Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 03

Informations sur Récit
La mariée est trop belle.
3.8k mots
4.8
16.3k
00

Partie 3 de la série de 12 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/20/2023
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Walterego
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Chapitre 03 : Le Pouvoir au féminin

Le lendemain matin, Catherine fut réveillée par une Lucie toute pimpante et particulièrement guillerette. "Madame Catherine, le Maître vous attend dans un quart d'heure dans le salon privé pour le petit-déjeuner."

"Mais je n'aurai pas le temps de prendre un bain ! Et nos invités?"

"Le Maître a donné des instructions pour leur préparer un brunch vers midi dans le jardin d'hiver mais il veut vous voir en privé avant cela ..."

Après un détour vers les lieux d'aisance, Catherine enfila sa chemise de nuit et une robe de chambre et se précipita vers le petit salon pour y rejoindre Gauthier.

Celui-ci, vêtu d'une ample robe de chambre lui aussi, trônait à la tête d'une table qui aurait pu accueillir une douzaine de convives et un second couvert était dressé à l'autre extrémité de la table. Interdite, Catherine ne fit ni une ni deux et déplaça le couvert vers la chaise la plus proche à la gauche de Gauthier. Elle lui décocha son plus beau sourire en s'asseyant à ses côtés.

Celui-ci la regarda un peu interloqué.

"Bonjour Gauthier. Désolée de changer votre plan de table mais je déteste utiliser un porte-voix au petit-déjeuner" lui dit-elle d'un ton sans réplique.

"Bonjour chère amie, avez-vous passé une bonne nuit?"

"Certainement moins animée que la vôtre mais néanmoins très satisfaisante ... à quatre ou cinq reprises, j'ai un perdu le compte..."

"Vous m'en voyez ravi ... d'ailleurs, mon odorat me le confirme"

Catherine rougit. Sans son bain matinal, elle devait en effet dégager des effluves féminins en abondance mais ...

"Dans ce cas, nous sommes à égalité" répondit-elle en fronçant les narines. L'odeur de mes remplaçantes surpasse presque celle du café qui vient de m'être servi !"

"Croyez bien que j'aurais préféré passer cette nuit en votre compagnie mais vu mon état, je n'aurais pu m'empêcher de vous Influencer."

Entre deux bouchées de brioche, Catherine s'enquit

"Puisque nous sommes francs et clairs ce matin, pourriez-vous m'expliquer comment fonctionne votre euh ...'magie'? Cela m'intéresse ne fût-ce que du seul point de vue médical."

"Comme vous voudrez bien que le sujet me semble un peu incongru. En fait, il y a deux possibilités : soit je décide de mon plein gré d'Influencer une femme qui me plaît ; je la regarde, je me concentre, mon cerveau chauffe -du moins c'est l'impression que cela donne - et je projette une espèce d'onde qui la soumet immédiatement à mes désirs. Dans certains cas, je suis moi-même submergé par mon Pouvoir et le processus se déroule hors de ma volonté. C'est ce que je redoute le plus avec vous."

"Mais si je comprends bien, vous devez voir cette femme, que ce soit pour une Influence volontaire ou non?"

"Euh oui, je suppose, je ne me souviens pas d'avoir Influencé une femme 'à l'aveuglette' "

"Gauthier, je dois être franche avec vous. J'ai beaucoup apprécié ma nuit avec nos deux soubrettes mais je ne pourrai jamais m'en contenter. Je veux trouver un moyen d'avoir des relations intimes avec vous sans courir le risque de l'Influence. Je voudrais donc tenter une expérience mais vous devrez peut-être essayer de vous maîtriser au-delà de tout ce que vous avez connu si cette expérience ne réussit pas."

"Catherine, je vous désire plus que je n'ai jamais désiré une autre femme donc je crains que cela soit impossible. Rien que d'en parler, je sens le Pouvoir qui monte en moi; il vaut peut-être mieux que vous vous retiriez dans votre chambre !"

« Et moi, je me refuse à vivre aux côtés d'un monstre de virilité sans pouvoir en profiter à ma guise ! L'épisode de cette nuit a réveillé ma sensualité et je ne veux pas gâcher la moindre occasion !»

Sans ajouter un mot, elle se leva et, empoignant une des grandes serviettes de table, la noua autour de la tête et surtout des yeux de Gauthier.

"Qu'en est-il maintenant?"

"Cela monte encore plus mais je maîtrise encore l'impulsion"

Se penchant légèrement, Catherine aperçut l'énorme verge de son mari qui pointait comme un obélisque hors de la robe de chambre. Mutine, elle passa un ongle le long de la hampe jusqu'au gland écarlate. Contrairement à son premier amant, la peau de la verge était nettement plus coriace et elle dut appuyer son ongle plus fort pour faire haleter son partenaire aveuglé par le voile. Il semblait d'autant plus sensible à la caresse que son pubis et ses bourses étaient étrangement dépourvus de toute pilosité, ce qui permettait aux doigts de la jeune femme de glisser sans entrave à la surface des parties génitales du mâle.

"Catherine ... je .."

Soudainement, un premier puissant jet blanchâtre jaillit du méat et inonda la manche de la robe de chambre de la jeune épouse avant de retomber sur celle de Gauthier. Un deuxième et un troisième jet jaillirent tandis que les mains de l'homme agrippaient la table.

Catherine se sentait de plus en plus excitée mais gardait une conscience très claire de ce qu'elle faisait.

"Où en êtes-vous Gauthier?"

"Je sens toujours le Pouvoir à son maximum mais il reste en moi; c'est comme une coque d'acier qui bloque l'impulsion habituelle. Je ne peux pas décocher la moindre flèche dans votre direction."

Catherine déplaça sa chaise à côté de celle de son mari et fit passer la main de celui-ci sous sa robe et sa chemise avant de la plaquer contre son sexe ruisselant.

"Gauthier, je vous désire autant que vous me désirez. Voulez-vous me donner du plaisir?"

L'homme émit un grognement guttural

"Arg ! C'est mon vœu le plus cher Catherine !"

"Catherine votre épouse ou Catherine votre Influencée?"

"Il n'y a qu'une seule Catherine. Votre ersatz s'appelle Charlotte; je ne l'ai appelée Catherine que parce qu'elle vous ressemble et que j'avais l'illusion de vous posséder"

Tout en lui répondant, ses doigts fureteurs s'étaient déchaînés sur son clitoris et pénétraient son antre d'amour. La jeune femme se sentait transportée mais elle n'en oubliait pas son amant pour autant. A deux mains, elle s'empara de l'énorme cylindre et se mit à le branler avec énergie. Gémissant à qui mieux mieux, ils ne mirent pas longtemps à jouir tous deux.

A nouveau, la quantité de semence que Gauthier expulsait surprit la jeune femme; s'étant penchée en avant pour mieux astiquer la verge de son mari, elle se retrouva avec des flaques gluantes dans les cheveux et sur le visage.

Complètement transportée par son propre orgasme, elle écarta la serviette qui pendait devant le bouche de Lemestre et l'embrassa avec une passion qu'elle n'avait jamais connue. Mais entre ses doigts, le vit d'acier ne faiblissait pas ... tout comme son propre désir. Elle n'avait jamais senti son intimité aussi ouverte .. non... béante.

« Presqu'aussi bien qu'avec les filles » haleta t'elle moqueuse.

Tout son être était focalisé sur son désir sans qu'elle ne sache vraiment si c'étaient ses propres gonades qui la dirigeaient ou le besoin de conquérir le mâle dominant et d'écarter les autres femelles. Elle se redressa, fit glisser au sol sa robe de chambre avant de se débarrasser de sa chemise de nuit. Entièrement nue, elle enfourcha les jambes de Gauthier et présenta son sein droit à ses lèvres juste au moment où il ouvrait la bouche pour dire quelque chose qui ne fut jamais audible.

Dès que la langue de l'homme découvrit le large mamelon et le téton orgueilleusement dressé, seuls des bruits se succion se firent entendre tandis qu'elle pressait le visage de l'homme contre son sein plantureux. Elle arracha plus qu'elle n'écarta les pans de la robe de chambre de Gauthier pour lui griffer les côtés, marquant le rythme de son désir à coup d'ongles sur la peau dure comme du cuir.

Eperdue de désir, elle finit par s'emparer de la verge monstrueusement dressée sous elle et la présenta à l'orée de son sexe ruisselant. C'est à peine si elle s'étonna qu'elle puisse s'empaler sur le géant.

Son sein s'échappa de la bouche avide et c'est à ce moment que Gauthier redevint actif : ses grands mains vinrent se poser sur les hanches de son épouse et il commença à la faire aller et venir interminablement sur son sexe monumental.

« YES ! OUI !! BAISE-MOI ... GAU..THIER ! »

La tête au creux de l'épaule de son amant, complètement bouleversée par les sensations qui déferlaient en elle, Catherine n'avait qu'une pensée lancinante en tête "Encore, encore". Elle n'avait pas envie de faire l'amour comme avec Rupert, elle avait BESOIN d'être prise, forcée, défoncée. Elle avait l'impression que sa jeune vie arrivait enfin à un aboutissement qu'elle avait toujours inconsciemment recherché dans l'onanisme ou sa précédente relation ou même, par compensation, dans son brillant parcours intellectuel.

Elle tira les cheveux de Gauthier et l'embrassa à pleine langue avant de coasser d'une voix rauque "Tu es .. à moi .. Gauthier ... Le .. mestre... A moi ... Tu ... aah ... m'appartiens !"

Lequel Gauthier ne répondit que par un grognement guttural. Depuis sa Transition, c'était la première fois qu'il parvenait à faire l'amour à une femme sans l'Influencer voire l'Améliorer. Cette pensée l'amena à un nouveau sommet et il se répandit en elle tout en l'enfonçant jusqu'à la racine de son pénis.

"AARRGH... GAU ...THIER ... OUIII ... A FOND ... JE ... AAAHHH !"

Ils s'enlacèrent, pétrifiés par leurs orgasmes simultanés. Catherine sentit la verge d'airain se contracter enfin et se retirer petit-à-petit de son vagin pourtant serré à souhait. Sortant de sa torpeur, elle décida de jouer son va-tout et arracha la serviette qui empêchait Gauthier de la voir.

L'homme ne réagit pas tout de suite, les yeux dans le vague, encore à moitié assommé par ses jouissances successives. Ce n'est que lorsque Catherine déplaça les mains de Gauthier de ses hanches vers ses seins qu'il réalisa et ferma les yeux en catastrophe.

"Catherine, stop, remets-moi le bandeau ... VIIITE !"

"Non Gauthier, rouvre les yeux; tant pis si tu m'Influences; je veux être ton épouse à part entière. Je ne sais pas encore si je t'aime mais ce qui est certain, c'est que je ne pourrai plus jamais me passer de ta verge".

Il entrouvrit ses paupières et son regard tomba d'abord sur ses mains posées sur les seins de sa femme, caressant les mamelons hypertrophiés et il sentit une brusque flambée de Pouvoir. Incapable d'y résister, complètement submergé par son don, il leva les yeux et envoya une puissante onde en direction de sa femme. Il gémit de frustration; dans quelques secondes une magnifique jeune femme indépendante allait devenir une poupée sexuelle de plus dans son harem.

"Huuum, tu me donnes chaud ..."

"Catherine? Désolé, je n'ai pas pu me retenir... Je t'ai Influencée ! "

"Pas plus que je ne l'ai été jusqu'ici Monsieur mon Mari; ce n'est pas parce que tu m'as divinement fait l'amour que je vais me soumettre à tous tes caprices ..."

"Catherine, je t'assure que je viens de t'Influencer !"

"Rien senti... tu as dû tirer à côté .. hi hi .."

"C'est impossible; à cette distance tu aurais dû tomber sous ma domination immédiatement"

"Tu as réussi à te contrôler alors?"

Non pas une seconde et je n'ai jamais eu une telle explosion de Pouvoir depuis ma Transition. "

"Aïe, encore un truc que tu vas devoir m'expliquer. C'est quoi la Transition? Non, pas maintenant. Occupe-toi un peu de mes seins... Tu aimes mes seins?

"Je les adore; juste assez gros et des mamelons magnifiques. Ils me font rebander sans que je fasse appel à mon Pouvoir."

"Caresse-les alors, je pourrais-jouir rien qu'avec ta bouche et tes mains sur mes seins."

Obéissant, il engloba les deux mamelles de sa femme dans ses grandes mains et les pressa avec avidité, faisant jaillir les mamelons et les tétons entre ses doigts puis il les suça l'un après l'autre comme si sa vie en dépendait. Survoltée, Catherine se lança dans un délire verbal :

"Aaah, vas-y mon mâle, suce mes bouts...tu m'excites ... plus fort ... je veux sentir tes dents ... et ta verge qui durcit ... encore ...malaxe mes miches .. aaaaaaaah .. brute ... c'est bon ... attends"

Elle échappa aux mains et à la verge qui la clouaient sur son mari, contourna la table et s'accouda à celle-ci, face au grand miroir qui reflétait la lumière du dehors. Elle tendit sa croupe somptueuse, écarta les jambes et appela son mari.

"Viens me prendre ici et fais-moi les seins; je veux te voir me soumettre mon Doué !"

Flamberge au vent, Gauthier n'eut pas besoin d'autre encouragement; il se précipita derrière son épouse et l'emmancha sans coup férir, à nouveau étonné de la capacité de Catherine à accueillir son mandrin surdimensionné sans avoir bénéficié d'une quelconque amélioration. Il s'ancra à ses seins pour mieux aller et venir dans l'antre distendu et passa au rythme de combat, grognant de désir et arrachant en parallèle des gémissements de bonheur à sa femme.

Catherine essaya de regarder la scène le plus longtemps possible dans le miroir mais rapidement elle dut fermer les yeux et feula de plaisir, secouée de spasmes par un premier orgasme ravageur. Gauthier s'arrêta un instant mais la tension de sa verge réclamait un assouvissement rapide et il reprit son rythme frénétique, la soulevant à chaque fois que son sexe arrivait en bout de course dans le vagin rutilant.

"Ooh Gauthier, tu vas ... si loin... jamais .. senti cela... même la ... aaah ... main de Lucie ... pas si ... loin !"

Imaginant sa femme emmanchée sur la main de sa servante, il ne put se contenir plus avant et éjacula une fois de plus, l'inondant de sa semence.

"Gau.. thier ... encore .. un peu ... j'y suis ... presss ..que !"

Serrant les dents, il continua à la marteler, faisant appel au Pouvoir pour ne pas débander.

"Ouiiii ... Gau ... Je ... viens aah... pour ... toi !"

A son tout, elle inonda le sexe de son amant puis s'effondra sur la table. Gauthier se dégagea, alla récupérer la robe de chambre et la chemise de nuit de son épouse et l'enveloppa dans les vêtements avant de la soulever dans ses bras et de l'emmener, pelotonnée contre sa poitrine vers sa chambre. En ouvrant la porte, il tomba nez à nez avec Lucie, Mariette et Charlotte qui avaient certainement écouté à la porte. Il leur jeta un regard courroucé et dit :

"Que faites-vous ici? J'espère que mon bain est prêt?"

"Oh oui Maître, nous venions justement vous prévenir !"

Un énorme baignoire trônait maintenant dans le coin de la chambre des vicomtes, alimentée en eau chaude par la chaudière flambant neuve qu'il avait fait installer. Il déposa délicatement son épouse dans l'eau puis enjamba le bord pour la rejoindre, se déhanchant pour faire passer ses jambes de part et d'autre de son bassin avant d'attirer son dos contre son torse. Elle tendit les bras derrière elle tout en tournant la tête et quémanda un baiser puis soupira.

"C'était merveilleux Gauthier et je ne me sens pas du tout changée. Comment se fait-il que tu as Influencé toutes les femelles de notre maisonnée sauf moi?"

Tout en la lavant avec une éponge douce, il répondit pensif

"Honnêtement, je n'en sais rien; cela ne m'est jamais arrivé et mon grand-père ne m'a pas parlé d'un cas similaire au tien .On dirait que tu es immunisée contre le Pouvoir."

"Pas tout-à-fait, en ta présence, je me sens excitée et j'ai envie de toi mais je ne me sens pas obligée de me soumettre à tes désirs. C'est moi qui prend l'initiative d'assouvir mes passions comme tu as pu t'en rendre compte"

"Je ne m'en plains pas ...que du contraire !"

"Merci pour le compliment mais je voudrais te proposer que nous réfléchissions ensemble à notre vie commune. Lorsque tu sentiras monter la pression, est-ce que tu accepteras de ne pas te jeter sur la première Influencée ou Influençable venue mais de venir me trouver d'abord si je ne suis pas à l'école de médecine. Même pendant mon indisponibilité féminine, je pourrais te satisfaire avec ma bouche ou avec mes seins ..."

"Haha ... cela me fera un gros changement mais, pour toi, je suis prêt à tout essayer. Ceci dit, tu risques de te lasser; moi-même, je suis parfois excédé par mes surhormones"

"Qui sont en train de se réveiller ou alors tu as glissé un gros cierge entre ton ventre et le bas de mon dos ..."

« Je te confirme que ce n'est pas un cierge »

« Assieds-toi sur le bord de la baignoire, j'ai envie de remplir mon devoir d'épouse »

Gauthier se hissa sur le rebord tandis que Catherine se retournait à genoux dans l'eau du bain. Sa bouche s'approcha du membre turgescent et elle commença à le lécher à petits coups, le faisant tressaillir à chaque contact. Gauthier gémit.

« Je t'ai dit que j'avais besoin de décharger six fois par jour mais ... erg ... avec toi, c'est six fois par heure ! »

Catherine ne répondit pas car au même moment, sa bouche engloba le gland écarlate qu'elle goba comme une monstrueuse sucette. Il restait encore assez de place pour ses deux mains et elle entama des mouvements de va-et-vient sur la hampe tout en suçant avidement l'extrémité de la verge qui lui distendait les lèvres.

Malgré ses précédentes éjaculations, Gauthier sentit la sève monter dans son sexe à la vitesse d'un train express. Il ne fit aucune tentative pour se retenir et s'épancha avec délice dans la gorge de sa maîtresse ... non de son épouse légitime !

Les yeux fermés, il savoura sa jouissance sans retenue, sans s'inquiéter de son abondance alors que Catherine n'avait pas relâché la pression de ses lèvres ou de sa langue, extirpant chaque miette de son plaisir. Ce n'est qu'une fois la dernière goutte expulsée qu'il s'inquiéta de sa femme et, rouvrant les yeux, il s'aperçut qu'elle le regardait les yeux écarquillés. Sans ouvrir la bouche, elle était encore en train de déglutir pour avaler le flot de semence qui devait l'étouffer. Il voulut se retirer mais les mains de la jeune femme tenaient ferment sa verge tandis que sa langue finissait d'éliminer toute trace de son plaisir.

« Par Jupiter ma mie, c'était fantastique ! J'en ai les genoux qui flageolent ... »

« Vous ai-je bien vidé Monsieur mon mari? »

« Ah que oui ! Je me suis rarement senti aussi détendu. Vous m'avez vidé les gonades .. »

« Dans ce cas, est-ce que nous pourrions profiter de votre relâchement et de l'eau chaude du bain pour me rendre plus apte à nos accouplements frénétiques? »

« Euh ... qu'entendez-vous par là? »

« Par là, pas grand-chose ... je voudrais que vous rasiez mon intimité. Je suppose qu'un homme est habitué au maniement du rasoir? »

« Euh oui mais pourquoi? »

« J'ai pu constater de visu que vous-même et vos Influencées êtes glabres à l'endroit stratégique, ce que j'ai trouvé très excitant mais après notre session de ce matin, j'en ai découvert l'intérêt. Avec un mâle aussi puissant que vous, je me sens un peu irritée au niveau de ma toison pubienne et comme j'ai bien l'intention de profiter de votre super-virilité, je tiens à éliminer toute source de désagrément. »

« Etes-vous certaine que je ne vous ai pas Influencée? »

« Est-ce qu'une seule de vos Influencées a pris ce genre d'initiative? A moins que ce ne soit un autre conséquence de votre Don, de votre Influence ou de vos Améliorations ou .. ;»

« Euh ... non .. J'ai toujours pris les devants. Elles me rasent et se rasent entre elles ; je n'en ai jamais eu la patience jusqu'à présent ...»

« Dans ce cas, allez-chercher votre coupe-choux et au travail ! »

Gauthier sauta hors de la baignoire comme un poisson volant et revint rapidement avec un rasoir grand ouvert, un blaireau et du savon. Son sexe reprenait lentement une rigidité de bon aloi tandis que Catherine 'asseyait à son tour sur le bord de la baignoire, écartant les jambes pour lui donner l'accès le plus ouvert possible à son pubis.

Il recouvrit le bas-ventre de mousse et, mutin, il insista avec le blaireau sur la zone du clitoris jusqu'à ce que Catherine ne l'arrête.

« Le travail d'abord, le plaisir ensuite !

Contrit, Gautier s'empara du coupe-choux, protégea de ses doigts les grandes lèvres encore gonflées et commença à éliminer tous les poils qui entouraient la corolle d'amour. Sa femme ne put s'empêcher de gémir et il la regarda interrogateur.

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