Le Podologue

BÊTA PUBLIQUE

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-Je sais, ricana-t-il. Je sais tout. Tu sais quoi? Mon cabinet est équipé de plusieurs mini caméras vidéo et web-cams. J'ai filmé tout ce que tu as fait. Et si tu n'es pas très gentille avec moi, les bandes seront remises dès ce soir à ton mari. Et tel que je le connais, cela ne lui fera pas plaisir du tout et ta punition sera sûrement terrible.

Il me montra les caméras. Puis il alluma un petit téléviseur et l'image de mes jambes, toujours grandes ouvertes, apparurent plein écran. Je serrais immédiatement mes genoux.

-Stupide. Tu es stupide, en plus. J'ai des images à profusion.

J'étais consternée. Si mon mari me voyait offrir aussi impudiquement mon entre jambe à un inconnu qui, de plus, ne me demandait rien, il deviendrait fou. Sa réaction serait si terrible que je n'osais en imaginer les conséquences pour moi.

-Tu as même été filmée dans les toilettes, ma chérie, rajouta-t-il en me caressant les joues.

Je voulus d'abord repousser sa main, mais cette dernière révélation me tétanisa. Comment un être humain pouvait-il être aussi vicieux et méchant? De toute évidence, l'ensemble du scénario avait été prévu d'avance. J'aurais dû comprendre, à cet instant, que mon mari était complice, mais mon cerveau ne fonctionnait plus du tout, désormais.

J'étais écarlate de honte.

-Je t'ai vue sur mon ordinateur faire ton gros pipi. Je t'ai vue, bien embêtée, quand tu cherchais désespérément du papier pour essuyer ta grosse moule poilue dégoulinante de pisse et... d'autre chose, n'est-ce pas? Et comme je me suis bien amusé quand je t'ai vue baisser ta culotte, en chercher le fonds et t'essuyer consciencieusement la chatte avec. Je n'avais rien vu d'aussi bandant de ma vie, je t'assure et je t'en remercie sincèrement.

J'étais outrée, consternée par ces révélations dont je savais parfaitement qu'elles étaient la stricte vérité. Si mon mari voyait ces images! Non, impossible. Obéir à cet homme était la seule solution. Mais comment pouvais-je être certaine qu'après m'avoir fait subir les pires outrages, il ne continuerait pas de me faire chanter? Voire, ô pire encore, qu'il ait des idées plus saugrenues et qu'il envoie, quoiqu'il arrive, les films. Sa méchanceté était telle qu'il en était tout à fait capable.

Néanmoins, j'étais bel et bien piégée et devais lui obéir en tout point. Et finalement, cette dépendance totale faisait naître en moi un nouveau sentiment de jouissance extrêmement malsain.

-Ensuite, quand tu es retournée dans la salle d'examen et que je suis resté seul dans le bureau, j'ai retiré ta culotte de ton sac à main et je l'ai examinée, puis l'ai passée son mon nez. Elle est dans un état... indescriptible. Sale de vieille pisse, de vielles sécrétions vaginales, de cacas mal essuyés. Mais depuis combien la portais-tu? Et elle était trempée de pisse et de sécrétions vaginales immondes. Mon Dieu, je n'ai jamais vu un objet aussi abject.

Et il hurla les derniers mots dans mon oreille, tout en retirant le fameux objet de sa poche. Il le fit passer devant son nez, puis posa ses lèvres dessus. J'étais écœurée.

-Tu veux sentir, ma chérie?

Il approcha le fin et doux tissu de mon nez. L'odeur me surprit. C'était pire que je n'avais imaginé. Je reculai la tête. Il me la saisit violemment.

-Tu vas la sentir, petite pute. Sale pute. Très sale pute, même. N'est ce pas?

Il m'appliqua le fonds de ma culotte immonde sur le nez et la bouche, presque jusqu'à l'étouffement. C'était horrible. Chaque minute qui passait me faisait plonger davantage dans l'horreur.

-Dis-le-moi : je suis une très sale petite pute.

-Je... je... je suis une... très sale petite pute, répétais-je entre les sanglots.

-Lèche tes immondices, maintenant.

Et il présenta à mes lèvres le fonds de ma culotte à l'endroit le plus sale et le plus mouillé.

Je pleurais maintenant à chaudes larmes. J'aurai voulu mourir plutôt que continuer à vivre cette succession infernale de révélations sur ce que je considérais comme le plus intime pour moi : ma culotte et les saletés qu'elle contenait et mon pipi. Cet homme était le pire des hommes existant sur la surface de la planète, j'en étais certaine. Par conséquent, mon avenir était lui, plus qu'incertain.

Il se radoucit soudainement et me murmura presque dans l'oreille.

-Tu ne peux rentrer chez toi avec une chatte aussi sale. Ton mari comprendrait tout. Je vais te nettoyer. Remonte ta jupe et écartes bien les jambes. Comme si tu étais chez le gynécologue.

Il me parlait comme à une enfant. Cet homme était complètement fou et je craignais maintenant presque pour ma vie. Que pouvais-je faire, hormis obéir?

Tout en sanglotant toujours, je remontais ma robe en soulevant mes fesses découvrant à ses yeux exorbités mon bas ventre blanc. Comme j'hésitais un instant, il me tapota doucement les genoux pour me les faire écarter. Je m'ouvris doucement. Il tapa plus fort sur le haut de mes cuisses, m'arrachant un petit cri et ôtant mes toutes dernières résistances. Je m'ouvris totalement. Il approcha lentement son visage de ma chatte offerte au maximum et regarda longuement.

Il se rapprocha encore à quelques centimètres et me sentit copieusement, prenant visiblement un immense plaisir à cet acte pourtant peu ragoûtant vu l'état de puanteur de mes lèvres intimes. Je sentais son souffle sur mon sexe grand ouvert.

-Tu pues, grosse salope, c'est horrible.

Pourtant le ton démentait les paroles. Il se régalait. Il m'attrapa ensuite les genoux pour soulever mon postérieur et approcha ses narines de mon trou du cul. Et de là également, il me sentit longuement, en poussant des petits cris de plaisir. Quelle horreur!

Puis je sentis soudain le contact, horrible, du bout de sa langue sur le bord de mon sexe. Il se mit à me lécher, très doucement, très lentement, très méticuleusement. Sa langue maintenant caressait mes grandes lèvres, provoquant en moi un sentiment mêlé de honte et de plaisir. De plaisir honteux, mêlé de peur. Sa langue opérait un véritable travail de nettoyage vulvaire, se faufilant entre chaque repli de mes grandes lèvres, puis pénétrant doucement dans mon antre la plus secrète, tout en évitant soigneusement mon petit clitoris, désormais impatient.

Je dégoulinais littéralement dans sa bouche ravie. Il déglutissait tout avec délectation.

-Tu sais, tout à l'heure, j'ai même goûté ton pipi. Il est délicieux.

Cet aveu m'écœura, mais me fis jouir également davantage. Je râlais et me tortillais sur mon fauteuil, lui attrapant les cheveux pour le maintenir contre ma bouche baveuse. Mes paroles me firent honte, immédiatement :

-Le clito, suce-moi le clito.

Mais il n'en fit rien. Il s'éloigna de ma chatte et me releva à nouveau les jambes pour poser sa bouche en ventouse autour de mon anus odorant. Sa langue entra à nouveau en action et tout aussi méticuleusement, il me nettoya avidement de toutes les horreurs qui ne manquaient pas de s'y trouver. Il dégustait avec un plaisir non dissimulé. Sa langue allait et venait tout autour de l'antre puante, puis doucement, commença à s'insinuer en direction de mon intérieur. Sa langue allait et venait, tentant de s'insinuer le plus profondément possible en moi, me procurant un plaisir insidieux. Sa langue était très longue, dure et cela ressemblait presque à une sodomie. Après chaque séjour prolongé au plus profond de moi, il aspirait et avalait bruyamment tout ce qu'il pouvait retirer de mon cul dégueulasse...

C'était écœurant. Mais tellement jouissif en même temps.

Enfin, il se retira de moi et reposa mes pieds sur le fauteuil. Je le vis ouvrir sa braguette et sortir son gros ustensile. Plus de doute, j'allais bien être violée. Mais cela me paraissait préférable désormais. Il grimpa au dessus de moi et le contact de sa bite contre le haut de mes cuisses provoqua une nouvelle poussée de plaisir honteux. Il tâtonna quelques secondes, puis je sentis l'engin pointer vers l'entrée de mon vagin mouillé. Je poussais mon ventre vers lui pour hâter la pénétration, mais il recula.

-T'es une vraie salope!..

Il disait vrai et je le savais. Allais-je être violée ou allais-je simplement tromper mon mari?

-Tu veux goûter ma langue? Elle est très sale, tu sais?

Je le savais. Mais je passais mes bras autour de son cou et tendis mes lèvres. Si mon mari me voyait, aucun doute, il me tuerait. Mon violeur commença doucement à me faire de petits bisous très tendres sur les joues, les yeux, le nez. L'odeur qui se dégageait de sa bouche était infecte. Une odeur de cuvette de WC, mélange de pipi et de caca, absolument infecte. Et pourtant je languissais de goûter ces horreurs issues de mon propre (et pourtant si sale) entre-jambes.

Enfin ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. J'ouvrais largement la bouche pour me régaler à mon tour. Sa langue entra en moi, déposant sur ma langue les restes détestables que l'anulingus et le cunnilingus avaient laissés sur sa langue. C'était infecte, mais je me régalais. Je le prenais à pleine bouche, comme une amoureuse gourmande. Sa bite entra doucement en moi. Je me trémoussais pour le faire pénétrer plus profondément en moi, ce qui provoqua immédiatement un orgasme incontrôlable. Je ne pouvais plus me retenir et criais comme une folle.

Il se retira alors rapidement de moi et me releva de nouveau les genoux. Je devinais aussitôt ce qu'il voulait me faire et, même si je n'aimais pas cette pratique, le simple fait de savoir que j'allais être sodomisée par un inconnu me fit jouir à nouveau.

Il positionna son engin sur mon anus étroit et commença à pousser en direction de mon ventre. La douceur du geste me surprit. Le contact de cette chair dure contre mon petit trou était finalement très agréable. Mon époux avait certes déjà pratiqué cette méthode sur moi, mais toujours avec un lubrifiant adapté. Aujourd'hui, je savais bien que ce serait, pour la première fois « à sec ». La poussée se fit plus pressante et mon anus s'ouvrait doucement.

-Doucement, osais-je murmurer.

-Sûrement pas.

Et il poursuivit son travail de sape sur mon pauvre petit trou du cul meurtri.

La douleur s'installait maintenant nettement dans mon arrière-train, déclenchant des sanglots qui, je l'espérais, attirerait sa clémence. Mais, bien au contraire, c'est encore plus sadiquement qu'il forçait mon petit trou. La douleur était terrifiante. Je me tortillais sur moi même pour tenter de me défaire de son étreinte scandaleuse mais cela ne faisait que renforcer son excitation. Sa bite devenait encore plus grosse et plus dure. Sa jouissance déclenchait en lui des spasmes et des à-coups terribles pour ma pauvre petite rondelle. Je redoutais désormais qu'il ne parvienne pas à ses fins. Quand enfin il aurait passé le cap et se serait enfoncé complètement en moi, je le savais, la souffrance disparaîtrait, mes expériences antérieures en étant la preuve. Je ne pouvais en l'occurrence, compter que sur ses sécrétions à lui pour lubrifier mon conduit, par essence, non lubrifiable. Il m'était arrivé dans mes toutes jeunes années de souffrir de constipation et de devoir expulser de moi des étrons énormes et très secs. La douleur actuelle ramenait à ma mémoire ces souvenirs tout à fait détestables. C'était vraiment atroce.

Les coups de piston répétés commencèrent enfin à avoir raison de mes résistances naturelles. Je sentais qu'il allait très bientôt prendre totalement possession de moi. Et j'en étais parfaitement heureuse. Dans un ultime coup de boutoir et dans une apothéose de douleur, qui m'arracha un cri strident, il s'enfonça soudain de dix centimètres supplémentaires dans mon cul brûlant. Ses allers-retours se firent rapidement plus doux et la douleur se transforma tout doucement en un doux et sale plaisir. Mais il avait décidé de ne pas me laisser jouir et m'interrogea aussitôt :

-Où préfères-tu que j'éjacule? Dans ton trou du cul, dans ton vagin ou dans ta jolie petite bouche?

Mon choix naturel se serait porté sur mon vagin, bien sûr. Mais il ne me laissa même pas le temps de répondre.

-Si j'étais à ta place, je ne choisirai ni le cul ni la chatte. Vu l'état de ta culotte, que tu n'oseras peut-être même pas remettre, tu auras certainement du mal à rentrer discrètement chez toi avec du sperme dégoulinant le long de tes cuisses. Car bien évidemment, et j'en suis vraiment désolé, je n'ai rien à te prêter pour t'essuyer.

L'argument était bon. Je savais de toute façon ce qu'il avait décidé comme dernier plaisir et savais que je ne pourrais pas m'y soustraire.

-Et puis, imagine que ton mari t'inspecte à ton retour... J'attends ta réponse.

Il restait planté en moi, sans plus aucun mouvement, me maintenant de tout son poids sur mon ventre et ma poitrine. J'essayais de bouger et de me plaindre pour me défaire de l'étreinte, mais ma position était intenable. J'étouffais et le bout de viande (toujours aussi dur) dans mon anus me faisait à nouveau souffrir.

La situation était stupide et honteuse pour moi. A dix centimètres de moi, il cherchait mon regard avec des yeux vicieux, alors que moi, je le fuyais.

-Réponds, hurla-t-il, soudain.

Je pleurais à grosses larmes :

-Dans... dans...

-Alors?

-La....la.... bouche, murmurai-je dans un dernier sanglot de honte.

-Et bien voilà. Tu vois, il suffit de me dire ce que tu aimes. Je ne veux que ton plaisir, mentit-il encore.

Il se retira de mon anus en feu et vint s'asseoir sur ma poitrine.

-Regarde ma belle bite.

Elle était effectivement très grosse et j'avais du mal à imaginer que cela sortait juste de mon si petit trou.

-Tu vois, elle est toute sale. Il va falloir la nettoyer.

Et je dus prendre à pleine bouche la bite de cet inconnu. Il força ma gorge profondément et tout d'un coup lâcha une longue décharge dans ma bouche. J'avalai goulûment la crème pâteuse et onctueuse. Une deuxième puis une troisième décharge me remplit à nouveau que j'avalai tout aussi bien.

Je me sentais exceptionnellement bien. Le plaisir et la honte m'habitaient entièrement. Nous restâmes enlacés plusieurs minutes. Puis il reprit ses esprits et me dit de me rhabiller et de rentrer chez moi, que mon mari allait s'inquiéter.

Je remis tant bien que mal ma robe, mes bas, mes chaussures et tentais de me recoiffer. Je ne cherchais pas à récupérer ma culotte souillée. Avant de quitter les lieux, je me retournais vers lui et osais lui demander :

- On se reverra?

Lui, dans un grand sourire :

- Salope...

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

J’ai adoré et suis depuis plein d’envie pour une telle expérience... très excité également à vivre des moments pareils.....

Silvain004Silvain004il y a 5 mois

Récit très excitant. Une suite vivement souhaitée pour ces cochonneries érotiques

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