Le Plaisir Vient Dans L'acceptation

BÊTA PUBLIQUE

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Élodie sentait une sensation venant de son sexe et monter dans ses tétons. Pour la première fois de sa vie, elle s'ouvrait sexuellement, on forçait sa chatte mais elle en implorait pour plus. Une jouissance était éminente, elle le sentait et ouvrait ses cuisses au bonheur quand tout à coup une voiture arriva. Ses deux agresseurs prirent la poudre d'escampette la laissant sous le choc et principalement inassouvie. Suite à l'évènement, Élodie tomba dans un mutisme affolant, ses nuits se passèrent à la recherche de cette montée inoubliable de jouissances qui avait pris naissance dans son sexe pubère. Cette sensation licencieuse restait incomplète.

Un après midi, Lisa par accident fut témoin de l'aboutissement de la quête de sa fille. Un pauvre accoudoir en faisait les frais mais il n'y avait aucun doute pour Lisa, sa fille venait de connaître une béatitude sexuelle qui la rendait jalouse. C'est une mère à l'affût des masturbations de sa fille qui écrivit le premier chapitre de sa conversion quand dans son inaptitude à accepter la sexualité de sa fille elle avait pris un rendez-vous avec un psychologue.

Mme. Rosy était à ouvrir un dossier pour cette blancheur qui lui offrait une vue sur son entre-jambe, ses cuisses blanchâtres la faisaient saliver et instinctivement elle se pourlécha les lèvres. Un spasme engorgea sa chatte quand elle la vit refermer les cuisses et rougir comme une fillette. Rosy fut déçue d'apprendre que cette laiteuse brebis n'était pas venue pour elle mais pour sa fille.

Une semaine plus tard Mme Rosy fut agréablement surprise de voir l'adolescente que lui offrait cette mère sur un plateau d'argent. Elle lui avait promis qu'ils en prendraient soin de sa fille mais maintenant si elle était présente elle lui rajouterait qu'elle le ferait personnellement. Élodie expliqua à sa mère que Mme. Rosy avait fait preuve de beaucoup d'amabilité lors de son premier rendez-vous. Elle s'était sentit en confiance dès les premiers instants de leur rencontre. Comme le Dr. Dickson était absent ce jour-là et comme il s'agissait du dernier rendez-vous de la journée, Rosy avait fermé le bureau à clef pour pouvoir faire l'entrevue elle-même.

Élodie était soulagée de pouvoir se confier à une femme plus tôt qu'à un homme. Élodie lui expliqua qu'un soir en revenant de l'école elle avait été agressé par deux voyous. Qu'ils lui avaient retiré sa culotte brusquement et quand deux doigts étaient entrés dans sa chatte pendant que l'autre lui suçait un sein, elle était devenu toute mouillée. Que n'ayant jamais eu de relation sexuelle avant elle avait ressenti de la douleur au début mais malgré son rejet son corps lui avait accueilli les caresses avec plaisirs et que sa chatte rendue visqueuse avait facilité l'intrusion des deux doigts. Élodie expliqua à Rosy qu'involontairement elle avait débuté un balancement des hanches d'avant en arrière pour sentir davantage la touche en profondeur.

Toute honteuse, elle avoua qu'elle avait aimé quand un doigt avait effleuré son petit trou arrière et avait souhaité pendant un moment qu'il s'y glisse, qu'elle avait été troublée quand les deux scélérats avaient mentionné qu'elle ferait une bonne chienne soumise une fois bien excitée.

Elle avait hésité avant d'expliquer qu'elle avait senti une sensation agréable dans son sexe et sa poitrine, que pour la première fois de sa vie elle éprouvait un besoin sexuel et qu'elle se demandait qu'est-ce que ces deux truands avaient réveillé en elle.

Raconter son histoire à cette femme avait rendu Élodie dans une émotivité à trancher au couteau. Mme. Rosy salivait en écoutant cette jeune brebis lui ouvrir son cœur, par expérience elle savait qu'elle y trouverait la clé qui lui exposerait sa juvénile chatte. Une esquisse de l'arme se dessinait sur la joue d'Élodie quand Rosy passa à l'action, elle s'approcha de la jeune femme et la serrer sur sa poitrine chaleureuse, Élodie éprouva un besoin d'abandon.

Mme.Rosy : « C'est ça mon ange je suis là, laisse toi aller! » Élodie en pleure : « Pouvez-vous m'aider madame, depuis que cela est arrivé j'éprouve des envies sexuelles, je me masturbe deux trois fois par jour, j'ai du plaisir mais je redeviens en manque après un moment. Ma mère s'inquiète de me voir comme ça.»

Rosy : « Mais oui mon ange je vais m'occuper de toi en personne après ça on s'occupera de ta mère. Je vais préparer le formulaire de prise en charge, il doit être signé par ta mère et toi. Quand une patiente en fait la demande habituellement le Dr. Dickson accepte que je la prenne en charge. »

Élodie : « Tu vois maman c'est là que tout commence, après que tu ais signé le formulaire. » Lisa : « Oui oui je m'en rappelle, mon dieu avoir su. »

Pour répondre à sa mère et obéir à sa maîtresse, Élodie passa de la souvenance au verbe. Les mots coulaient aussi intensément que le faisait sa chatte à l'instant même. Elle avait raconté à Mme. Rosy sa mésaventure, la femme s'était montrée particulièrement compréhensive et un climat de confiance s'était établit rapidement. Élodie se sentit stimulée dans sa sexualité impétueuse, Mme. Rosy lui expliqua le bien fondé de sa méthode et elle y avait adhéré illico. Elle avait aimé quand elle l'avait serré dans ses bras, quand elle s'était retrouvée le mufle humant l'énorme poitrine quand elle avait senti une main lui caresser l'échine. Ses mamelons s'étaient raidis sous la sensation et quand une autre main empoigna la sienne avec fermeté et la guida sur ses tétons, Élodie s'embrasa. Lisa était troublée par le témoignage de sa fille, enchaîné aux lèvres de sa fille, sa culotte s'humidifiait en crescendo avec sa libido dévorante. Devinant les prémices d'un orgasme prometteur, elle se garda bien de l'interrompe. Avec une main en attende d'une possibilité de fourrager sa chatte, elle prêta l'oreille à la conclusion de ce déballage charnel.

Élodie expliqua qu'elle avait trouvé ça étrange que cette femme l'incite à se caresser devant elle mais un désir malsain couvant dans son sexe avait étouffé toute moralité, docilement elle avait laissé Rosy prendre sa main et la glisser dans sa culotte. Leurs doigts entrelacés avaient foré son tunnel d'amour produisant des clapotis avec sa chatte visqueuse. Élodie basculait son bassin afin de mieux profiter de cette montée de jouissance, Rosy stoppa ses ardeurs. Brusquement Rosy tira une poignée de poils et lui fit comprendre qu'elle avait besoin de faire un défrichage complet. Rosy retira sa main mais incita Élodie à continuer à jouer avec son clitoris.

Rosy : « Si tu veux t'en sortir petite tu vas devoir suivre mes consignes et me faire confiance. »

Élodie : « Oui madame, je vais les suivre. » Rosy : « Bonne fille. »

Rosy savait que la meilleur chose à faire pour l'aider, c'était de reproduire l'incident, la mener au bord de l'orgasme puis après l'avoir fait languir, la faire gueuler de plaisirs. Un surplus de mouillure baigna sa moule quand elle vit Rosy se lécher les doigts gluants. Jamais elle n'avait vu une langue aussi longue, c'est sous l'emprise d'un fantasme qu'elle vit Rosy ouvrir sa chemise et la guider vers ses énormes mamelles foncées. Élodie aveuglément s'enfonça dans cette simili relation mère/fille, en pleine jouissance et se montra malléable. Élodie tétait goulument ce stimulant lait au chocolat quand elle sentit le retour des doigts de Rosy lui soutirer un orgasme comme elle n'en avait jamais connu. Élodie retourna chez elle vaincue mais impatiente du prochain rendez-vous.

.

L'histoire basculait entre les déclarations d'Élodie et les souvenirs de sa mère. Élodie dû prendre une pause avant de raconter la visite suivante, Lisa avait sombré dans un sommeil léger et ses gémissements ne laissaient aucun doute sur le fondement de cette sonorité. Pour Lisa le lendemain fut une journée à l'image de sa nuit agitée. Tout était au questionnement, elle avait envie d'aller exprimer sa colère à cette femme qui abusait de sa fille mais d'un autre côté, elle en était encore toute émoustillée. Au fond d'elle-même les fantasmes qui avaient bercé ses premières masturbations ressemblaient à ce que vivait sa fille.

Pendant qu'Élodie narrait son cheminement vers la soumission. Lisa lui appliquait une crème analgésique sur les fesses. Tant de rayures que Rosy avait tracées avec maitrise, chaque boursoufflure humidifiait indignement l'entre-jambe de cette mère. Pendant qu'Élodie racontait comment elle avait aimé être punie par sa maîtresse pour s'être donné du plaisir sans autorisation, Lisa réprimait son envie de déposer un baiser sur chaque lune meurtrie de sa fille.

Lisa : « Ma pauvre enfant je regrette de t'avoir remis entre les mains de cette chienne. »

Élodie était en peine Lisa regardait rouler les sanglots sur les joues de sa fille et mouiller l'énorme suçon confirmant sa tutelle.

Lisa : « Ne pleure pas, tout va bien aller à présent que tu m'as tout dit. Je vais l'avoir à l'œil et la rapporter à l'ordre des psychologues. » Élodie resta silencieuse un moment tentant de rassembler ses souvenirs, Rosy lui avait bien dit, un jour ta mère va te poser des questions sur le collier et les marques, je veux que tu lui racontes tout dans les moindres détails. Élodie : « Maman elle m'a obligeai à lui promettre de l'aider afin qu'elle fasse de toi son esclave sexuel. »

Lisa : « Soit sans crainte ça n'arrivera jamais. »

Élodie : « Pardon maman mais elle m'a obligeai à lui remettre les photos que j'avais pris de toi. »

Lisa : « Oui je me souviens quand tu as dit que tu les avais envoyées, ça va être un problème que je vais devoir régler. »

Élodie : « Telle fille telle mère qu'elle a dit! » Cette nuit-là Lisa fut victime d'affreux cauchemars. Lisa rêvant : « Ohhhh ... Non mon Dieu ... ummmm ... ohhhh, Madame .... ohhhh non pas ça, je ne veux pas .... nooonnnnnn uhhhh ...outchhhh, ayyyyyyeee noooonnnn ohhhkeeeeyyyy maitresse c'est ohhhhhh ooooouuuuuiiiii huuuummmm ... c'est bon. Oui ... ohhh Dieu ooooouuuuiiiii je viiiieeeennnnnss....... Ooooouuuuiiiiii! »

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Anonymous
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7 Commentaires
MaitrePolMaitrePolil y a plus de 3 ansAuteur

Je viens de prendre connaissance du message, cette histoire n'est pas une traduction et est une série à 3volets sur la fille, la mere et le pere.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
C'est une série ? Apparemment traduit de l'anglais, mais de quel auteur d'origine ?

L'auteur d'origine a écrit d'autres textes?

MaitrePolMaitrePolil y a presque 4 ansAuteur

La deuxième partie sera bientôt soumise tout comme nous tenterons d'en faire de même avec la mère. Merci belle demoiselle pour ta vision de la soumission et pour tes confidences sur ton amour du sexe, tu m'as vraiment stimulé pour écrire la suite. Il est très stimulant de voir une fille reconnaître ses besoins avec autant de passion. J'espère que tu me permettras de te sortir de l'anonymat en rédigeant ton histoire, d'ici là je respecte ta demande.

foudespitfoudespitil y a environ 4 ans
Encore une bonne entrée en matière...

Encore une belle histoire de déchéance de ces 2 femmes... J'ai vraiment hâte de découvrir dans quelles turpitudes elles vont tomber...

MaitrePolMaitrePolil y a environ 4 ansAuteur

Il y aura effectivement une suite, ceci n'est qu'une mise en place des membres d’équipage voyageant sur cette galère qu'est la luxure. Tout bon coup de rame de votre part poussera plus loin cette croisière débauchée et sûrement bien au-delà de nombreux tabous (les sous-entendus avec enfants n'en feront pas partie sous aucune considération et les jeux avec excrément expédiés là où ils devraient être. Les billets d’embarquements devront porter un nom, les voyageurs anonymes seront confinés dans la cale le jour même de leur embarquement.

Maitre Pol ( capitaine )

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