Le Plaisir Vient Dans L'acceptation

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Une secrétaire se charge du problème d'une mère et sa fille.
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Lisa attendait patiemment dans la salle d'attente du psychologue, depuis deux mois son monde avait basculé. Le tout avait commencé avec leur déménagement en Floride gracieuseté du racisme que Peter son mari avait montré au travail. Après s'être engueulé avec un apprenti, il l'avait traité de négro stupide. Mr. Brown son patron avait éclaté dans une terrible colère quand il fut mis au courant de l'évènement.

Peter sortit du bureau de Mr. Brown ébranlé, le pardon n'était pas envisageable, le transfert par-contre serait immédiat. Sa situation financière l'avait forcé à accepter les conséquences de ses paroles racistes. Peter avait trois jours pour se rapporter à Jimmy Brown le directeur de la maison mère en Floride, plus précisément à Eatonville. Peter subit l'enfer quand il informa sa femme de sa disgrâce. Lisa l'invectiva de tous les mots possibles, après toutes ces années d'efforts pour se bâtir une sécurité, elle lui en voulait d'avoir sacrifié tout ça dans un moment de colère, de les avoir laissé tomber elle et sa fille dans un défoulement égoïste. Ayant le sens du devoir, Lisa reprit le dessus et accepta de partager le sort de son mari. Pour le meilleur et pour le pire, le meilleur ferait sûrement oublier le pire quand il arriverait se disait-elle. À peine déménagé Peter du aller suivre une formation de 3 mois à Baltimore, entrainement essentiel comme ils disaient. Seule avec sa fille dans cette ville noire Lisa releva les manches et fit du mieux qu'elle pouvait pour arriver avec le revenu que son mari déposait dans le compte familial. L'adaptation fut très difficile pour les deux et le besoin de soutien moral arriva rapidement. Fidèle à elle-même Lisa veilla à faire l'indispensable.

Au mur une horloge égrainait le temps d'attente dispensant des tics tacs sans fins accentuant le malaise de Lisa, devant elle une réceptionniste la fixait depuis son arrivé. Son badge indiquait Mme. Rosy mais avec un physique comme le sien il est peu probable que certaines effluves corporels soient représentatifs du nom. Elle n'avait pas l'habitude d'être sous le charme d'une femme mais malgré son surplus de poids cette femme ébène demeurait terriblement séduisante et Lisa avait de la difficulté à détourner son regard de la femme. Elle suivit son regard qui comme un rayon laser semblait pointer directement vers son entre jambe. Une mouillure émana de son sexe, par automatisme Lisa referma les cuisses réalisant qu'à cause de sa mini-jupe elle avait offert à la femme une vue sur sa culotte. Son geste de pudeur fit sourire Rosy, sa chatte devint visqueuse quand elle la vit sortir une langue démesurément longiligne et effleurer le pourtour de ses lèvres charnues avec.

Ce geste lui procura un tas de pensées vicieuses. Lisa sortit de son stimulus quand elle entendit son nom prononcé par le psychologue Mr. Dickson. Devant elle se tenait une masse imposante qui lui tendait une poignée de main, sa prise et la chaleur de celle-ci la remua, les aromates de sa chatte trempée lui chatouillèrent les narines, aussitôt une convulsion fit jaillir ses mamelles puis assaillit sa chatte déjà suintante fragilisant du même coup ses genoux. À la vue des gros doigts sombres, d'énormes clichés traversèrent l'esprit de Lisa. C'est perturbé qu'elle suivit son interlocuteur.

L'odeur de l'homme écorcha ses narines et ses manières suffisantes lui firent réaliser son antipathie face aux gens de couleur qui aimaient étaler une suprématie suite à leur nouveau statut social. Le problème c'est qu'elle devait expliquer les raisons de sa visite à ce nègre et cela la mettait dans un inconfort total. Lisa commença à lui expliquer qu'elle ne venait pas pour elle mais pour avoir de l'aide suite à un étrange comportement de sa fille. Un mois après leur déménagement, sa fille Élodie avait commencé à faire des cauchemars, elle se réveillait la nuit en nage et était incapable de confier la nature de ses rêves, maintenant elle refusait d'aller à l'école. C'est devant son incapacité à aider sa fille que Lisa expliqua au psychologue les raisons du rendez-vous qu'elle avait prît. En conséquence, Élodie fut invitée à le rencontrer au moins deux fois par semaine pour débuter.

Au bout de trois semaines de rencontres, tout semblait rentré dans l'ordre. Lisa avait gardé ses appréhensions pour elle quand Élodie avait proposé ses services de gardienne aux familles environnantes, l'important c'était le bien-être de sa fille. Élodie était maintenant heureuse d'aller à l'école, curieusement elle si réservée portait maintenant des vêtements de plus en plus sexy. Elle était maintenant entourée d'ami(e)s noirs ce qui ajoutait une certaine inquiétude à Lisa, mais pouvait-il en être autrement dans une ville ou la population était à 99% noires.

Au bout de quelques mois Lisa devint contrariée, sa fille si prude devenait de plus en plus impudique dans son habillement et ses gestes, un jour Lisa surprit sa fille entrain se frotter la chatte sur le coin de la table. Ses gémissements ne laissaient aucun doute sur l'amplitude du plaisir qu'elle se procurait. Afin d'éviter toute confrontation avec sa fille, Lisa ressortit sans bruit et revint cette fois en claquant la porte.

Lisa : « Ma chérie tu es là? » Lisa n'était pas surprise du délai que sa fille mit avant de répondre. Élodie : « Je suis là maman. »

Étrangement quand Élodie alla l'embrasser Lisa trouva que le rose lui allait à merveille. Maintenant aux aguets, Lisa constata que les masturbations d'Élodie devenaient de plus en plus déchaînées et fréquentes. Lisa dans sa propre vie n'avait jamais atteint une telle intensité sexuelle. De là à développer de la jalousie il n'y avait qu'un pas.

Le pas fut franchi lors qu' une nuit qu'elle avait du mal à dormir, Lisa descendit à la cuisine pour se faire une tisane. C'est là qu'elle vit sa fille complètement nue frottant sa chatte et malmenant son clitoris sur le bras du divan. Un clair de lune projetait un faisceau lunaire faisant chatoyer la mouille juvénile sur l'appuie-bras utilisé révélant sans l'ombre d'un doute le degré d'excitation qui imposait le balancement des hanches d'Élodie. Une heure plus tard Lisa était genoux, une main dans sa culotte, le nez appuyé sur la mouille laissé par sa fille. Aux petites heures du matin la chatte et le clito rougit de Lisa portait témoignage des bienfaits que peut apporter le bras raboteux d'un divan. Les narines pleines d'effluves, c'est ainsi que le sommeil de Lisa fut gratifiant.

À son réveil Lisa encore bouleversée décida d'aller consulter à son tour le même psychologue que sa fille. Son efficacité avait été démontrée et Lisa était maintenant assise devant le noir qui avait accompagné sa fille dans sa tourmente. Mr. Dickson était étonné de sa réaction devant la sexualité de sa fille, Lisa lui expliqua qu'elle trouvait inconvenant qu'à 16 ans sa fille soit éveillée sexuellement de façon si débauchée et surtout si soudaine.

Mr. Dickson : « Lisa que faisait-elle exactement? » Lisa eu un malaise quand il l'appela pas son prénom, cette familiarité imposée la troubla. Quand Mr. Dickson l'obligea à raconter en détail l'évènement qui la bouleversait, qu'elle du brosser un portrait de la façon donc sa fille s'était masturbée, ainsi que décrire la quantité de mouille qu'avait produite la chatte de sa fille en se frottant sur le tissu rêche du divan, ses tétons se durcirent. Le regard glissant de Mr. Dickson sur ses mamelons érigés rendit Lisa extrêmement inconfortable.

Mr. Dickson : « Lisa qu'avez-vous fait quand vous avez vu votre fille se donner du plaisir? » Lisa sombra dans un mutisme suspicieux, repensant à l'incident et à sa réaction, son visage s'empourpra. Mr. Dickson en avait vu d'autre et son expérience lui soufflait la véritable raison du trouble de sa patiente. Frappant du plat de sa main sur le bureau, il fit sursauter Lisa.

Mr. Dickson : « Écoute Lisa tu vas devoir être franche avec-moi si tu veux que je t'aide. » Lisa : « Je suis resté dissimulé dans la pénombre, j'étais sous le choc. » Mr. Dickson : « Et? » Lisa : « Je ne comprends pas ce que vous voulez savoir. » Mr. Dickson : «Qu'avez-vous fait cachée dans l'obscurité? » Lisa rougissante, baissa les yeux honteusement. Avec une voix vacillante Lisa admit qu'elle s'était touché le sexe. Mr. Dickson : « Lisa, tu veux dire que tu t'es masturbé en regardant ta fille jouir? » Sa réponse fût à peine audible. Lisa : « Oui monsieur. » Devant sa confession Mr. Dickson éprouva une agitation dans son pantalon et du replacer celui-ci. Lisa fut troublée par son geste.

Mr. Dickson : « Pourquoi voudrais-tu que ta fille maintenant épanouie renonce aux plaisirs sexuelles, parce que tu as refoulés les tiens? » Lisa prit cette question beaucoup plus comme une affirmation et resta paralysée. Elle aurait voulu répondre mais aucun son ne voulait sortir de sa bouche. Mr. Dickson : « Lisa, as-tu déjà eu un orgasme en faisant l'amour avec ton mari? »

Lisa était insulté par le commentaire, des larmes lui vinrent aux yeux et brusquement elle se leva mais non sans avoir accidentellement exposé son entre jambes à Mr. Dickson. Son sourire et ses murmures confirmèrent son appréciation.

Lisa : « J'en ai assez je dois m'en aller. » Elle se tourna et prit la direction de la sortie. Mr. Dickson : « Oui pour une première fois c'est assez. Quand tu reviendras j'irai beaucoup plus en profondeur avec toi, je suis sûr qu'il y a des endroits qui ont besoin d'être visitées. »

Lisa referma la porte, quand elle réussi à comprendre le sens des paroles de Mr. Dickson, une moiteur avait envahi son corps. Le cœur de Lisa se mit à battre quand elle dû repasser devant l'intimidante réceptionniste. Mme Rosy : « Au plaisir de vous revoir ma petite dame. » Quand elle entendit Rosy son sang bouilla, cette manière d'être si coutumière la mettait en rage, mais cela n'empêcha pas sa chatte de se resserrer quand elle croisa le regard prédateur qui s'était attardé sur ses seins momentanément avant de continuer sa descente vers son entre-jambe. L'arrogance de cette femme la répugnait mais l'attraction qu'elle provoquait lui causait beaucoup d'appréhension. Dieu qu'elle regrettait d'être obligé de venir dans cette clinique mais c'était la seule que défrayait la compagnie qui engageait son mari.

Lisa se trouvait un peu suspicieuse après tout Élodie était moins taciturne depuis qu'elle venait ici. L'approche était déconcertante certes mais les résultats semblaient y être, après tout sa fille semblait avoir retrouvé une joie de vivre. Lisa avait vraiment besoin d'un changement dans sa vie mais elle prit la décision d'attendre de voir comment Élodie évoluerait avant de prendre ou non un autre rendez-vous avec cette clinique.

Les choses n'évoluèrent pas comme Lisa l'avait espéré, bien que sa fille ait cessé ses masturbations, elle rentrait de plus en plus tard nuisant à son rendement scolaire. Souvent quand elle revenait elle laissait à sa traine une odeur de sexe assez musqué. Souvent dépeignée, son linge en mauvais état et taché Élodie se glissait dans sa chambre sans autres explications. Avec autorité Lisa trouvant cela exagéré, obligea Élodie à renoncer au gardiennage les jours de semaines.

Croyant à tort passé un vendredi soir tranquille avec sa fille, Lisa était confortablement installée sur le divan bienfaiteur quand le téléphone sonna. Élodie : « Allo! Oui, c'est moi! Ce soir, oui madame bien je vais me préparer, oui je vais le faire, comme vous désirez madame. » Quand Élodie raccrocha elle fut assaillie de questions par sa mère. Lisa : « Qui était-ce ma chérie? » Élodie : « Mme Rosy, elle va venir me chercher pour la soirée. » Lisa : « Zutt moi qui pensait passer la soirée avec toi. »

Lisa éprouva une certaine frustration quand elle remarqua que sa fille était déjà partit se préparer sans lui fournir de réponses à ses questionnements. Lisa remarqua que la douche que prenait sa fille était assez longue, un frisson traversa le corps de Lisa imaginant sa fille en pleine masturbation.

Lisa troublée ne put se retenir et huma le bras invitant, son clitoris venait à peine de pilonner le bras du divan en quête de plaisirs quand un coup de klaxon indiqua que Mme Rosy était arrivée. Lisa tentait de dissimuler l'entre-jambe de son pyjama déjà imprégné de mouille quand elle vit la porte s'ouvrir, Lisa blêmit en présence de la femme noire. Rougissante Lisa se demanda si elle avait vu par la fenêtre son enlacement dépravé sur l'appui bras. La hauteur du regard de Rosy lui indiqua qu'elle avait deviné les raisons de sa confusion.

Lisa eut à peine le temps de dire bonjour à sa fille quand elle descendit rejoindre Mme. Rosy. Lisa eut un frémissement quand elle vit Élodie s'incliner devant Rosy, du coup elle put voir la petite jupe de sa fille se retrousser exposant une lanière rouge disparaissant entre ses deux petits lobes. Rosy : « Es-tu prêtes bonne fille? » Élodie : « Oui maitr...., heuuuu, oui madame. »

Lisa eut un choc quand elle crut voir par la fenêtre Rosy glisser sa main sous la jupe de sa fille. Comme sa fille n'avait pas réagi, elle en conclue qu'il s'agissait d'une illusion. Pourtant Lisa demeurait inconfortable, elle n'avait jamais vu sa fille montré une telle déférence face à une autre femme et encore moins devant une noire. De plus elle n'était pas au courant que Mme. Rosy avait des enfants et n'avait aucune idée où elle restait.

Pour chasser ses soucis inutiles, Lisa jeta son dévolue sur son verre de vin. Après avoir fermé les rideaux et tamiser les lumières du salon, elle se laissa glisser sur le divan. Les yeux mi-clos, Lisa se laissa glisser dans d'avilissants fantasmes, un sursaut d'adrénaline vint amplifier son excitation quand elle réalisa qu'elle n'avait pas barré la porte et pouvait se faire surprendre par n'importe qui. Très vite elle sentit son pyjama glisser entre ses lèvres humides. Lisa basculait son bassin afin de sentir son clitoris gonflé se frotter sur le textile trempé. Dans un besoin criant, Lisa bascula sa jambe par-dessus l'accoudoir pour y appuyer sa chatte. Un déplacement vigoureux et ses lèvres s'ouvrirent à la recherche du plaisir, une main se glissa dans sa chatte poisseuse récupérant sa propre substance avec ses doigts. Quand l'orgasme la traversa, Lisa avait ses doigts enfoncés dans sa bouche goûtant son propre nectar. Son autre main malmenait ses tétons enflés un après l'autre pendant que son clito s'érigeait sous son déhanchement bestial. Vagin et bras en harmonie la menait aux plus intenses jouissances.

Après un tel moment de plaisirs, Lisa éprouva le besoin d'aller prendre une douche. Lisa ne fut pas surprise de voir que les vêtements et les sous-vêtements d'Élodie trainaient un peu partout dans la salle de bain mais fut choqué en constatant qu'Élodie avait utilisé son rasoir. Lisa remarqua les poils dans la baignoire, ces derniers étaient à peine visibles et Lisa se demandait bien pourquoi sa fille avait pris la peine de les raser. Choses certaines ce duvet n'avaient sûrement pas été un obstacle à l'exploration de sa vulve ni à l'obtention d'orgasmes. La sexualité d'Élodie semblait progresser plus vite que celle de sa mère au même âge. C'était le jour et la nuit pour Lisa.

Inconsciemment Élodie obligeait sa mère à prendre connaissance de toutes les jouissances sexuelles qu'elle s'était privé au nom d'une morale désuète. Élodie avait infecté sa conscience et Lisa maintenant était déchiré entre sa morale et ses désirs physiques. Ce soir-là, sa libido sortit victorieuse, Lisa s'empara d'une mousse et du rasoir, en quelques minutes sa vulve avait retrouvé la douceur de sa jeunesse. Lisa était impatiente de disjoindre ses lèvres imberbes sur le bras de la causeuse. Lisa venait d'ouvrir la porte du réfrigérateur pour se verser encore un peu de vin quand elle remarqua un concombre fraîchement acheté. Lisa détourna les yeux de ce légume démentiel, non elle ne pouvait pas tomber aussi bas. Sa main gauche refusait de refermé la porte pendant que la droite complice de toutes ses débauches faisait abstraction des négations encéphaliques pour favoriser les aspirations vulvaires. La chatte de Lisa se crispa quand sa main droite empoigna le légume.

Une heure plus tard, Lisa malmenait sa chatte avec un énorme concombre. Ses grandes et petites lèvres étaient pigmentées d'un rouge vif dû à un frottement soutenu sur un tissus rugueux, son majeur gauche astiquait méchamment son clitoris Lisa eu une décharge électrique dans tout son corps quand la porte d'entrée s'ouvrit subitement. Au même instant un orgasme dévastateur emporta Lisa qui bien que consciente de l'arrivée de sa fille, fût incapable d'arrêter la montée de jouissance qui profanait sa chair. Un tel niveau de sensation laissa entrevoir le faciès d'une mère débauchée à la vue de sa fille.

Élodie : « Wow! Maman, je n'ai jamais connu de quoi d'aussi fort, tu as l'air d'avoir trouvé un bon substitut à papa. »

Lisa en larmes : « Nooooonnnnnnnnnn! » Lisa venait de voir le cellulaire de sa fille. Lisa toujours en larmes : « Chérie je suis désolée de ce que tu viens de voir mais tu vois ton père est partit depuis 3 semaines et même ta mère peut avoir des envies. » Élodie : « Je ne te juge pas maman, mieux vaut être magnanime l'une envers l'autre. »

Lisa : « Merci de me comprendre ma chérie! » Quand Lisa voulut faire une accolade à sa fille elle remarqua les suçons dans son cou. Lisa : « C'est quoi ce que tu as là? »

Lisa savait bien ce qui laisse de telles marques. Ce qu'elle voulait savoir c'est qui lui avait fait. Élodie : « Maman je ne te poserai pas de questions sur ce que je t'ai vu faire, alors faisant autant sur ce qui se passe dans ma vie. » Lisa était honteuse de son laissé aller car elle savait bien qu'elle avait eu un excès d'excitation à l'idée d'être surprise en pleine luxure par sa fille et Rosy. Elle n'était pas exhibitionniste mais la peur de se faire surprendre avait affermi sa libido et décuplé son orgasme.

Lisa : « Tu as raison chérie, je n'ai pas à te demander des explications mais tu es ma fille et je m'inquiète pour toi. » Élodie : « Trop tard maman, on m'a prise en main. » Lisa : « Qui est-ce, cette chienne de Rosy? » Élodie : « Ça suffit maman ou je vais mettre papa au courant de tes actions pervers! »

Lisa resta pétrifiée devant les menaces et la levée du ton de sa fille, sans dire un mot elle regarda sa fille lui tourner le dos et monter l'escalier, sa jupe trop courte lui permit d'apercevoir les rayures violacées qui lui striaient les fesses. Lisa détourna son regard mais l'image resta présente et au bout d'un moment elle décida de jouer son rôle de mère. Quand elle arriva devant la porte de chambre de sa fille elle hésita avant cogner car elle entendait sa fille parler sur son cell. Élodie : « Oui maitresse.......... C'est comme je vous l'ai dit,............ sur le bras du divan,.........avec un concombre,............. oui j'ai pris des photos............. Bien maitresse je les envois. »

Lisa n'en croyait pas ses oreilles, sans formalité, elle entra dans la chambre. Élodie stupéfaite avisa sa maitresse qu'elle devait raccrocher. Lisa : « Élodie je veux que tu effaces les photos que tu as prise de moi. » Élodie : « Oui mais c'est trop tard j'ai dû lui envoyer! » Lisa : « Comment ça tu as dû les envoyer et à qui? » Élodie : « À Mme. Rosy. » Lisa : « Pourquoi à cette chienne? » Élodie : « C'est une longue histoire. » Lisa : « Alors raconte-moi j'ai tout mon temps. »

Élodie se demandait par où commencer, en fait les choses avaient commencé deux semaines après être déménagé, un soir en revenant de l'école elle avait été agressé par deux noirs. Ils n'avaient eu aucun mal à lui retirer sa culotte et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire deux doigts fourrageaient sa chatte pendant que l'autre lui suçait un mamelon. Étant vierge, la douleur fut omniprésente au début mais contre sa volonté son corps réagit aux attouchements et provoqua l'éveille de sa féminité, au même instant sa chatte devint visqueuse facilitant la pénétration. Quand Élodie commença à basculer ses hanches d'avant en arrière, Ronny et Tim crièrent victoire. Ronny : « Cette jeune femelle émoustillée va nous faire une bonne chienne soumise quand on l'aura baisée.

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