Le hangar 1

BÊTA PUBLIQUE

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son corps. Elle même était transie de froid et cette chaleur lui faisait du bien, elle lui remontait le peu de moral qui lui restait. Elle se frottait à lui pendant qu’il la caressait lentement, elle sentait monter la chaleur de son pubis entre ses fesses. Son sexe durcissait lentement et venait peu à peu se loger dans son fessier. Elle remua un peu les fesses pour présenter sa fente au sexe de Boubacar. Celui-ci manœuvra son bassin et de sa main vint placer sa verge tendue entre les fesses d’Annie. Celle-ci se poussa contre lui, gémissante et consentante. Boubacar reprit ses caresses, laissant à Annie l’initiative de la pénétration. Elle poussait ses reins contre lui de plus en plus fort et la verge tendue pointait à l’entrée de l ‘anus de la jeune femme. Elle sentit le gland contre son sphincter et entrepris des allées et venues de son bassin. La bite noire pointait de plus en plus fort contre le petit trou d’Annie. Les caresses de Boubacar étaient incessantes et réconfortantes, elles portaient Annie au nirvana, elle perdait conscience de sa position et de ces trois paires d’yeux qui les mataient elle et Boubacar.
Les trois autres haletaient en se masturbant de plus belle. Ils connaissaient Boubacar, mais c’était la première fois qu’ils le voyait ainsi, amenant une femme à la sodomie sans l’avoir sollicitée outre mesure. Ils étaient fascinés par le cul de femelle qui s’offrait, ils suivaient le progrès de la queue longue et dure qui forçait l’issue serrée et ridée, niché entre les globes fessiers que Boubacar maintenaient bien ouverts.
Quand son gland disparut dans l’anus de Annie, celle-ci poussa un petit cri.

Boubacar attendit quelques secondes et sans prévenir, d’un coup de reins il se propulsa dans le cul qui lui était offert. Annie émit un cri de douleur et se raidit soudain. Le sénégalais s’attendait à cette réaction, sa main maintint fermement le corps d’Annie qui voulait se soustraire. Il laissa passer l’orage qui endolorissait son fessier et quand les gémissements devinrent des plaintes de petit animal, il plaça sa grande mains aux doigts démesurés sur le sexe d’Annie et commença à la masturber.

Annie réagit rapidement, les doigts magiques de Boubacar lui faisaient oublier la douleur qui distendait son anus. Elle se laissa bercer doucement par l’homme qui en expert l’amenait à la jouissance. Petit à petit, son corps réagissait et l’orgasme pointait doucement. Elle perçut autour d’elle un rapprochement et en ouvrant les yeux, elle découvrir sous son nez une bite qu’on lui tendait. On lui prit la tête et on la força à prendre le sexe en bouche. L’excitation montait et elle ne se refusa pas. Annie se mit à sucer le sexe épais qui envahissait sa bouche, ses lèvres se refermèrent sur le gland et sa langue s’activa.

Bientôt elle eut le goût du jus chaud qui envahit sa bouche et presque aussitôt, une autre bite vint remplacer celle là qui venait de jouir. Celle-ci non plus ne tarda à cracher le sperme qui bouillonnait en elle. Annie savait qu’une troisième devait venir et se prépara. Elle la prit en bouche et suça pour la troisième fois un membre gonflé de sang et de foutre.

Ce fut plus long, l’homme tardait à éjaculer et le mouvement d’Annie devint routinier, rythmé par Boubacar qui allait et venait entre ses reins. Il avait grandement ouvert le sphincter d’Annie et sa bite noire disparaissait dans son ventre. La douleur s’était grandement estompé et cela était presque agréable. Annie se remémora quand Alain lui avait prodigué la sodomie pour la dernière fois, elle ne put s’en souvenir, c’était une phase amoureuse qu’ils pratiquaient peu, la jugeant vulgaire.

Elle sentit Boubacar qui haletait derrière elle, sa bouche s’énervait sur le gland tendu qui l’encombrait, elle en avait assez soudain de tout cela, elle aurait voulu en finir pour enfin pouvoir dormir, oublier ces vilenies toute cette crasse ambiante dans laquelle elle baignait.
Boubacar poussa sa bite plus loin entre ses fesses lui tirant une plainte, il se mit à grogner et à respirer fortement. Il l’emprisonna de ses bras immenses et la plaqua contre lui au point qu’elle abandonna le queue qu’elle avait en bouche. Il poussa fort contre ses fesses et sa verge entra encore de plusieurs centimètres. Annie gémit, vaincue et impuissante elle subit la fureur du noir qui labourait son pauvre fessier, elle subissait ce mandrin qui l’ouvrait sans ménagement. Le rythme devint infernal et elle eut soudain très mal, elle poussa une longue plainte de bête blessée sans attirer la pitié de celui qui défonçait son cul.

Cela durait, durait, paru interminable pour Annie qui avait fini par se prostrée presque en position fœtale pour mieux résister au mal qui malmenait tout son corps.

Enfin vint la délivrance de Boubacar, dans un dernier grognement le noir planta son dard au plus profond de son ventre et déchargea tout le foutre de ses bourses. Les longues saccades se succédaient les unes aux autres et Annie percevait le chaude liqueur qui remontait ses intestins, elle s’étonnait de sentir si précisément le sperme l’envahir.

Quand ce fut fini, Boubacar se dégagea d’elle
brutalement, lui arrachant une nouvelle plainte et la laissa pantelante en travers du bas flanc.
Rapidement il s’essuya la queue sur les fesses d’Annie et se rhabilla, les autres restaient silencieux, admiratifs de la performance, ils n’osaient plus rien dire.

« C’est bon » dit il de sa voix douce au bout d’un moment. « Elle a son compte. »
Puis se tournant vers Ali :

« Attache là au lit, on verra demain. »
Ali s’exécuta et Annie se retrouva les mains liées au lit de telle sorte qu’elle ne pouvait pas s’enfuir.

Trop abasourdie et trop mangée de souffrance, Annie ne réagit pas et c’est presque avec soulagement qu’elle vit la lumière s’éteindre et entendit la clé tourner dans la serrure.

« Fais de beau rêves » lui lança quelqu’un avant de partir.

Fin de la première journée.

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