Le Gynécologue

BÊTA PUBLIQUE

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Après quelques instants de répit, elle montra qu'elle était prête en offrant son sexe. Elle l'avançait vers la main qui lui donnait du plaisir, elle ouvrait son trou, donnant l'impression qu'elle demandait à son gynécologue de la réinvestir à nouveau.

Il plongea ses doigts et reprit son mouvement de piston. Il avança son bras libre jusqu'à la poitrine d'Anne-Marie, força le passage et lui prit le sein avec brutalité. Il le pétrit. Le téton pointait. Il le pinça, le tira. Il malaxa la mamelle, enfonçant ses ongles dans la chair. Avec la même frénésie, il limait la chatte. Très rapidement, madame Lapiche gicla à nouveau, avec un nouveau cri de plaisir.

Daniel releva son bras laissant le geyser jaillir. Le jet s'arrêta tout aussi brusquement qu'il s'était déclenché. Sans attendre, le médecin recommença à baiser le con grand ouvert et à tripoter la poitrine de sa patiente.

Les phases de masturbation et d'expulsion d'urine se succédèrent, de plus en plus rapprochées, ponctuées à chaque fois d'un cri de plaisir. Cela dura jusqu'à ce que la vessie soit vide.

Daniel avait largement dépassé le quart d'heure habituel d'une consultation. Après une telle intensité dans l'action, Anne-Marie était épuisée. Le docteur, lui, était trempé. Il suggéra :

" Allez vous doucher. Vous en avez bien besoin."

Elle se releva et se rendit au cabinet de toilette. Il la suivit. Quand elle fut à l'intérieur, il resta sur le pas de la porte, la regardant enlever son chemisier et son soutien-gorge. Elle se déshabillait et lui la regardait sans pudeur. Elle entra dans la douche. Le docteur la laissa pour aller nettoyer le sol et se changer. Il prit le chemisier et le soutien-gorge et les amena dans l'autre pièce, à côté du tailleur et du slip.

C'était assez pervers puisque cela obligea Anne-Marie à sortir nue de la salle d'eau et à se reculotter devant son gynécologue.

Une fois rhabillée, elle sortit du cabinet pour rejoindre la secrétaire. Le docteur ne l'accompagna pas.

Martine demanda à madame Lapiche :

" Je vous fixe un nouveau rendez-vous pour mercredi?"

Anne-Marie hésita :

" Je ne sais pas, le docteur ne m'a rien dit."

La secrétaire la regarda avec un sourire et précisa :

" C'est à vous de décider. Si vous en avez envie, je vous note."

Anne-Marie resta encore un moment sans réagir. Elle réfléchissait. Il ne s'agissait plus d'examen gynécologique, elle en était consciente. En plus, l'attitude de la secrétaire, son air un tantinet rieur et sa façon de la laisser décider elle-même de la suite lui fit penser qu'elle savait ce qui s'était passé sur le fauteuil. Elle avait même probablement entendu les cris de plaisir qu'elle n'avait pu retenir.

Enfin, elle assura sa voix et trancha, soudain déterminée :

" Bon, très bien. Mercredi prochain, à midi."

Toute la semaine, Anne-Marie se posa des questions. Le comportement de son médecin l'embarrassait. C'était la première fois qu'elle était confrontée à une telle situation. En temps normal, elle aurait sans doute purement et simplement changé de gynécologue, sans pour autant vouloir faire de scandale.

Mais elle devait reconnaître qu'elle n'avait eu aucun rapport sexuel depuis plus de deux ans, depuis que son mari avait commencé à se soigner. Elle n'en avait pas conscience jusque là, mais cette abstinence lui pesait.

Par ailleurs, et elle en avait plus ou moins honte, elle avait joui sous les caresses de cet homme. Là encore, c'était assez inexplicable pour elle. Sa sexualité avait été jusqu'ici assez classique. Ce médecin venait de lui faire découvrir un plaisir tout à fait inhabituel. Cette alternance de contrainte et de relâchement lui avait donné un orgasme d'une rare intensité.

Elle devait se l'avouer, en acceptant ce nouveau rendez-vous elle profitait d'une aubaine.

Plus le jour du rendez-vous se rapprochait, plus elle était nerveuse. Le mercredi matin, elle s'abreuva copieusement, allant jusqu'à se forcer à finir ses tasses de thé. Elle le faisait avec une certaine excitation, toute interne.

Elle se préparait. Cela n'avait rien à voir avec ses masturbations hebdomadaires, destinées à se soulager, faites à l'improviste et rapidement. Là, elle allait laisser un homme lui donner du plaisir de façon préméditée, avec des préparatifs. Elle aurait pu se cacher derrière la prescription médicale, mais la réalité était qu'elle remplissait sa vessie de façon délibérée.

Quand elle arriva au cabinet du docteur Frot, elle avait déjà envie de faire pipi. Bien qu'elle fut en avance, la secrétaire lui dit :

" Allez-y madame Lapiche. Le docteur vous attend."

Anne-Marie entra et se rendit directement au bureau où le docteur était en train de taper sur son clavier. Il lui dit, sans lever les yeux de son ordinateur :

" Allez vous préparer."

Elle se leva et se rapprocha du fauteuil. En enlevant sa culotte, elle vit qu'elle mouillait. Elle allait se jucher sur le siège quand le docteur, venant vers elle, approcha ses mains de son chemisier et commença à le déboutonner. Il expliqua :

" Il est préférable qu'on enlève aussi le haut."

Elle le laissa faire. Il lui enleva aussi son soutien-gorge et en profita pour lui pétrir les seins, sans se gêner. Puis, il sortit un masque chirurgical de la poche de sa blouse. Il exigea :

" Allongez-vous et mettez ça sur vos yeux."

Une fois en position assise, Anne-Marie passa l'élastique autour de sa nuque. Le médecin prit une télécommande et l'actionna pour mettre le fauteuil en position horizontale, abaissant la tête au maximum. Il souleva les chevilles de sa patiente pour les poser sur les repose-jambes qu'il orienta vers le haut. Elle avait le buste et la tête à plat et les jambes en l'air.

Daniel sortit un petit entonnoir en plastique d'un tiroir. Tout comme le masque, le bord de la partie évasée était équipée d'un élastique. Le docteur plaça un petit oreiller gonflable sous la nuque d'Anne-Marie. Il en profita pour fixer l'entonnoir dont il inséra l'embout dans la bouche de sa patiente.

Elle était aveugle, ce qui la rendait confuse. Elle avait du mal à comprendre la situation. Elle ne savait pas bien ce que son gynécologue lui avait mis dans la bouche. Mais elle restait obéissante et ne se serait pas avisée de mettre en doute les actes de son médecin.

Elle l'entendit s'éloigner et ouvrir la porte séparant le bureau du secrétariat. Il dit, s'adressant à sa secrétaire :

" Martine, vous voulez bien venir? Vous allez m'aider."

Anne-Marie eut un instant de panique à l'idée que la secrétaire allait la voir nue et dans cette position tellement scabreuse. Mais elle pouvait difficilement retrouver un aspect respectable dans les quelques secondes qui allaient s'écouler avant que Martine ne fasse son entrée. Par ailleurs, elle se souvint de cet air complice que la secrétaire avait en notant son rendez-vous la dernière fois. Cela suffit à calmer son appréhension.

Le docteur Frot expliqua à madame Lapiche :

" Vous allez lever le bassin pour faire la chandelle. Vous savez faire la chandelle madame Lapiche?"

Elle se dressa, maintenant ses reins à deux mains. Les jambes étaient repliées, serrées l'une contre l'autre, les cuisses à la verticale. Il dit à Martine :

" Aidez la à se maintenir. Vous lui soutenez les fesses pour qu'elle garde les mains libres."

La secrétaire se plaça sur le côté du fauteuil. Elle prit le postérieur d'Anne-Marie et le poussa légèrement pour lui donner une position plus verticale. Les cuisses se positionnèrent vers le bas, de part et d'autre du visage. Les genoux étaient proches des oreilles. Malgré sa cinquantaine, madame Lapiche restait très souple.

Daniel ouvrit le tiroir où il avait pris l'entonnoir et en sortit un vibromasseur. Il s'avança entre les cuisses de sa patiente et lui palpa la vulve. Constatant son état, il lui dit :

" Je vois que vous êtes tout à fait prête, n'est-ce pas?"

Elle ne pouvait pas facilement parler avec ce qu'elle avait en bouche. Elle se contenta de hocher la tête de de grogner du nez. Le gynécologue mit en route le moteur du sex-toy et enfonça le bulbe. Étant donnée la position d'Anne-Marie, la pénétration se faisait à la verticale. Le godemiché était muni d'un petit ergot que le médecin mit en contact avec le bouton du clitoris. De sa main gauche, il titilla un téton pour l'exciter. Puis il massa le mamelon.

Le frottement intense et les vibrations produirent très rapidement leurs effets. Anne-Marie commença à contracter ses cuisses et son ventre. Elle s'agrippait aux montants des accoudoirs.

On l'entendit gémir. C'était un long râle qui allait en s'amplifiant. Le docteur prévint Martine :

" Elle ne va pas tarder à jouir. Quand ça va gicler, orientez bien le bassin pour ne rien perdre."

La secrétaire se concentra en ajustant la position du buste par rapport au visage. Elle prenait soin de le maintenir parfaitement centré.

Le docteur retira le membre précipitamment. La contraction vaginale due à l'orgasme éjecta un beau jet d'urine, qui retomba sur le visage d'Anne-Marie, une bonne partie s'engouffrant dans l'entonnoir. Comme lors de la séance précédente, elle eut le réflexe de stopper le flux en bloquant son urêtre.

Sous l'effet de la surprise, elle se mit à tousser, manquant s'étouffer. Daniel délaissa son sein pour sortir l'embout de sa bouche et lui laisser le temps de retrouver une respiration normale. Elle essaya de cracher. Elle voulut parler mais on lui remit l'entonnoir dans la bouche.

Il remit le gode en marche et le réintroduisit dans le vagin. Il reprit ses stimulations mammaires. De nouveau ils la virent se tendre, encore plus rapidement, les abdominaux se contactant. Elle se mit à haleter au travers de son mors. Le docteur ressortit le faux sexe, annonçant une nouvelle giclée. Martine affermit sa prise. Anne-Marie grogna au moment où le jet partait. Il atterrit au bord de l'entonnoir. Martine ajusta la position de façon millimétrique pour déplacer la retombée au centre du réceptacle. Le petit vase se remplit puis se vida. On voyait Anne-Marie déglutir, sans plus s'étouffer. Tout fut absorbé.

La bite en caoutchouc reprit sa place, vibrant sur le point G. Anne-Marie réagit immédiatement. Un nouvel orgasme se déclencha en quelques secondes, ponctué d'une troisième émission plus forte encore que les précédentes. Le liquide se déversa dans l'entonnoir et Anne-Marie en but tout le contenu. On voyait la glotte s'agiter au gré des ingestions.

Étonnamment, elle prenait soin de faire durer, ne lâchant qu'un seul jet à la fois. Elle aurait pu pisser d'un coup, mais elle ne le fit pas. Elle s'était rendu compte que pisser au moment de l'orgasme faisait partie de la jouissance. Quant à lui faire boire sa propre urine, c'était une humiliation qui, elle devait bien le reconnaître, ajoutait à son excitation. Après trois fois, Martine n'était plus nécessaire. Elle aurait pu diriger elle-même son bassin pour tout boire.

Daniel en eut l'intuition. Il retira le masque et l'entonnoir, caressant les cheveux d'Anne-Marie au passage. Il lui demanda :

" Tu aimes?"

Elle le regardait ardemment. Elle cligna des deux yeux et murmura :

" Oui."

Il proposa :

" Martine, laissez madame Lapiche. Elle va se débrouiller seule. Mais vous pouvez lui caresser la poitrine, je suis sûr qu'elle appréciera."

Anne-Marie en profita pour reposer ses fesses sur le siège quelques instants. Puis, d'elle-même, elle leva ses hanches et se tint avec ses mains. Le docteur lui rentra le gode et se remit à la branler. Anne-Marie gardait son sexe dans l'axe de son visage. Elle ouvrait la bouche et elle fixait son urètre. Son front se plissa, ses joues se creusèrent, son cou se tendit et elle exhala un nouveau cri de plaisir quand le jet gicla. Elle fut éclaboussée sur le nez. Elle bougea ses épaules pour capter l'urine. Lorsqu'elle avala, sa bouche se contracta et une partie du liquide lui inonda le visage. Martine lui pelotait les seins à pleines mains, semblant y prendre plaisir.

Anne-Marie laissa retomber ses jambes. Daniel lui demanda :

" Tu en as encore?"

Elle répondit :

" Oui. Mais j'aime tout bloquer et faire en plusieurs fois."

Elle se reposa encore un peu, puis reprit sa posture, avec tout le visage en attente. Mais le docteur la prévint :

" Non, cette fois, c'est moi qui vais te boire. Tu veux bien partager, n'est-ce pas?"

Elle le regarda en souriant et dit :

" Oui, bien sûr."

Il la pénétra de ses doigts et la caressa avec beaucoup de doigté. Elle fut plus longue à jouir. Dès qu'il sentit une chaleur sur ses doigts, il plaqua sa bouche sur la vulve, masquant totalement le jet de pisse. Il buvait mais la position faisait qu'une grande partie de l'urine passait par ses commissures, mouillant toute la chatte jusque dans la raie des fesses. Cette fois, Anne-Marie s'était soulagée jusqu'à vider sa vessie.

Elle s'apprêtait à se relever, mais Daniel vint lui remettre le masque et l'entonnoir. Il redressa le dossier du fauteuil, le mettant en position inclinée. Il dit :

" Ce n'est pas fini."

Il fit un signe de connivence à Martine.

Elle baissa sa culotte et monta sur le siège, à califourchon sur le ventre d'Anne-Marie, lui tournant le dos. Elle leva ses fesses et les recula pour les placer juste au dessus de l'entonnoir, regardant entre ses jambes pour ajuster sa position. Elle était accroupie, se tenant aux accoudoirs.

Daniel ouvrit sa braguette et extirpa son sexe de son slip avec difficulté tellement il était raide. Il prit Anne-Marie par les hanches et la pénétra d'un coup, se plantant au fond de son utérus. Il resta immobile pendant quelques instants puis se mit à la baiser, augmentant progressivement la cadence.

Martine le regardait faire et en même temps, elle se concentrait. Quelques gouttes perlèrent. Puis, un filet coula, qui commença à grossir, remplissant l'entonnoir. Anne-Marie le vida à grandes gorgées. Elle se faisait remplir la chatte et la bouche. Martine se mit à pisser dru. Anne-Marie avait du mal à tenir la cadence mais bravement, elle buvait tout ce que la secrétaire pissait. Martine tendit son visage en direction du docteur. Ils mélèrent leurs langues pendant qu'il besognait sa patiente à grands coups de reins.

Il se libéra à son tour, criant sans retenue, se vidant les bourses dans cette chatte. Martine finissait de s'égoutter.

Daniel se retira. Il alla vers la tête du fauteuil, ôta masque et bâillon et engouffra sa bite à la place de l'entonnoir. Anne-Marie l'enserra de ses lèvres et lui nettoya le gland avec sa langue à l'intérieur de sa bouche. Il sortit sa queue et ce fut au tour de Martine de se faire essuyer la vulve. Elle descendit son cul jusqu'à coller sa fente sur la face d'Anne-Marie. En même temps, elle lui empoigna les oreilles et lui remua la tête pour bien frotter son sexe du nez jusqu'au menton.

Anne-Marie se laissa faire. Elle organisait sa respiration en fonction des mouvements que lui imposait Martine.

Daniel les regardait faire. Il s'adressa à Anne-Marie :

" Lèche lui la chatte! Elle va se branler sur toi."

Martine releva légèrement ses fesses. Anne-Marie lui attrapa la taille, sortit sa langue et lui lécha toute l'ouverture du bouton à l'anus. Martine changea de position, se posant sur ses genoux. Son cul surplombait Anne-Marie. Elle le posa sur son nez, s'empalant dessus. Anne-Marie respirait par la bouche. Martine se branlait le clitoris à vive allure. Elle ne fut pas longue à jouir tellement elle avait été excitée par tout ce qui venait de se passer.

Puis, les trois amants se relevèrent. Daniel dit à ses deux maîtresses :

" Allons prendre une douche."

Martine finit de se déshabiller. Daniel enleva sa blouse et son pantalon. Ils se serrèrent pour tenir à trois sous le jet de la douche.

Puis, tout le monde se rhabilla. Martine et Anne-Marie sortirent du bureau. Daniel remit de l'ordre, nettoyant particulièrement le fauteuil.

Anne-Marie demanda à Martine :

" Je peux revenir mercredi prochain?"

La secrétaire reprit son rôle et répondit :

" Oui, bien sûr madame Lapiche. Je vous note pour midi. À mercredi."

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3 Commentaires
frederic_le_dardfrederic_le_dardil y a 6 moisAuteur

Je n'ajoute jamais de suite à mes histoires (sauf si elle a été pensée en plusieurs épisodes comme Trois hommes et un coup fin). L'histoire est bâtie sur un (petit) suspense : on sait qu'il va se passer quelque chose mais on ne sait ni quand ni comment. On attend la progression. Dans le cas du gynécologue, une fois l'histoire terminée, on sait tout et il ne peut pas y avoir le suspense de la première fois.

AurailiensAurailiensil y a 6 mois

Excellent ! Mais j'ai peur qu'une suite soit moins intense... Une nouvelle patiente avec la participation d'abord contrainte et involontaire d'Anne-Marie ?

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Ce pourrait-il que nous profitions d’une suite à cette histoire géniale ? Bravo…

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