Évolution de Carrière 01

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Male soumis au travail.
3.8k mots
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16.8k
4

Partie 1 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 03/11/2021
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L'entrepôt

Je m'appelle Julien je viens d'avoir 50 ans. Cette histoire à débuté l'année de mes 30 ans.

Je travaille dans un service d'après vente d'une grande société. Nous recevons des petits objets électroniques défaillants qu'il faut classer et réexpédier. Nous sommes une petite équipe de 5 salariés, sous l'autorité d'un directeur et d'une secrétaire. Nous sommes une structure très indépendante .

Nos locaux sont éloignés de quelques kilomètres du siège. Nos liens avec la direction se résume à une réunion mensuelle et des appels téléphoniques.

Nous travaillons dans une ancienne ferme entièrement rénovée, que l'on appelle l'entrepôt.

Deux fois par semaine, les appareils défectueux sont livrés et récupérés dans un hangar attenant. Étrangement nous touchons un très bon salaire pour ce travail de manutention simple.

L'ambiance de travail est agréable, je suis le seul homme, nous avons peu de pression. Entre midi et deux, nous prenons nos repas tous ensemble dans la cuisine qui sert de salle commune. Très vite une grande complicité s'est installée entre nous. Plusieurs soirées ont aidées à nous rapprocher, à mieux nous connaître.

LAETITIA est la plus jeune de l'équipe, elle est célibataire, elle a un certain embonpoint qu'elle assume pleinement portant des tenues sexy, qui ne cachent rien de ses formes pulpeuses, elle mesure 1m70 pour 80kg. C'est une belle brune aux cheveux longs, bien en chair. Elle jouie de ces 25 ans, collectionne les conquêtes et les sorties, parle beaucoup et souvent fort.

VANÉSSA à 30 ans, elle vie en couple avec un homme de 10 ans son aîné. Elle a une fille de cinq ans , elle fait 1m60 pour 50 kg, elle est classique, un style plutôt bcbg. Une coupe au carré, des lunettes, souvent habillée d'un tailleur strict.

CELINE à 38 ans, elle est divorcée elle a 2 grands adolescents. Elle est toujours joyeuse, heureuse de vivre, c'est une grande sportive d'un mètre 75 pour 65 kg de muscles et de sensualité.

PATRICIA est la plus ancienne, elle a 45 ans, elle est divorcée sans enfants. Elle a une très forte personnalité, plutôt sévère et autoritaire. Elle mesure 1m80 pour 70kg. Elle a le rôle de leader, c'est notre chef de service.

Et moi Julien, 30 ans, 1m85 pour 85kg, j'ai fait de l'aviron durant ma jeunesse, j'ai un corps musclé, sculpté par la pratique soutenu de ce sport. J'ai le crâne rasé, une calvitie précoce. Je suis marié depuis cinq ans à une femme merveilleuse. Je suis le dernier embauché sur le service. Je suis assez réservé et timide.

J'ai toujours apprécié de travailler entouré de femmes, les relations de domination, les rapports de force, les concours de savoir qui à la plus grande m'ont toujours agacé. C'est un réel bonheur d'être le seul homme pour 4 femmes.

Très vite elle m'ont adopté dans l'équipe. Mon côté gentil, serviable, et "beau gosse" à facilité les choses. Ma force physique est un atout non négligeable aussi. Dès qu'il y a des choses un peu lourde à porter, des tâches pénibles, difficiles, je me propose. J'essaie d'être attentif, prévenant avec elles. Au fil du temps je suis devenu leur "petit Juju" même si je suis le plus grand. Je suis toujours prêt à rendre service.

Très naturellement j'ai pris la place de l'homme d'entretien, de l'homme a tout faire en plus de mon travail.

C'est moi qui décharge et charge les palettes de cartons. Je range, fais le ménage dans l'entrepôt, mais ce qui leur plaît le plus, ce qui a vraiment facilité mon intégration ce sont les repas. Je suis celui qui cuisine la plupart du temps, j'adore faire à manger. Je suis même doué pour ça.

Tout cela c'est moi qui l'ai proposé sans qu'elles l'ai demandé ou imposé. Cela me fait plaisir de le faire. Réticentes au début elles m'ont laissé faire avec joie au bout de quelques semaines. J'ai des vrais talents de cuisinier, elles sont enchantées.

Cette situation dure depuis presque 2 ans. C'est moi qui ferme l'entrepôt le soir après avoir fait le ménage. Nous avons un local ou nous déposons nos affaires de rechanges, c'est un grand vestiaire, avec trois grandes douches, des lavabos et des toilettes.

Un soir, en faisant le tour, je remarque le placard de Céline ouvert. Ses affaires de sport sont là, en boule par terre, elle court souvent entre midi et deux, elle a du les oublier.

Je suis seul, elles sont parties depuis une petite heure. J'ai toujours été attiré par les parfums féminins.

La possibilité de sentir son odeur intime m'excite beaucoup. Ses habits sont encore humides de sa transpiration, je fouille un peu, trouve sa petite culotte. Je bande presque instantanément. Elle est blanche, toute simple en coton, mais surtout elle est encore humide. Je la porte à mon nez, elle sent un parfum si subtile, à la fois âcre et sucrée. Je bande comme un fou, sans réfléchir, j'ouvre la bouche, tire la langue, je léche l'intérieur de sa culotte, elle a beaucoup transpirée. Je l'ai entièrement nettoyée en quelques minutes. Mon érection est à son maximum, mon caleçon est tout mouillé. Un peu honteux, je range tout, ferme les- locaux et part en week-end.

Quand je rentre chez moi, je raconte tout à mon Épouse, ça la fait sourire, elle me rappelle la première fois où je l'ai léché et mouillé mon caleçon de la même façon.

Mon Épouse est une très belle femme, des grands yeux bleus comme moi, une silhouette élancée, un mètre soixante quinze, une grande chevelure blonde encadre un visa ge parfait. Une belle poitrine, un cul ferme un peu rebondi. Beaucoup se retourne sur son passage. L'on se connaît depuis le lycée, j'étais un peu amoureux d'elle, l'on s'était perdu de vue après le bac.

Durant un été il y a sept ans l'on s'est retrouvé. C'est elle qui m'a dragué pendant que je travaillais comme maître nageur sauveteur sur une plage Aquitaine.

Elle m'a immédiatement séduite, après un été toride, on a aménagé ensemble, elle est venue vivre chez moi. J'ai hérité d'une grande maison dans une ville proche de Bordeaux, je n'ai pas besoin de travailler, je vis de mes rentes. Elle finissait ces études dans le marketing, je travaillais comme maître nageur dans une piscine de la métropole bordelaise, depuis l'on ne s'est plus quitté.

L'on s'est marié deux ans plus tard. C'est l'amour de ma vie. Je l'aime, elle m'aime.

Notre relation est basée sur la confiance et le respect. Je n'ai aucun secret pour mon Épouse. Le sexe entre nous est absolument génial, nous n'avons pas de tabou, l'alchimie de nos corps est parfaite.

Elle connaît tout de moi, mes désirs, mes phantasmes les plus intimes, elle n'aime pas tout, mais m'accepte tel que je suis. La seule chose qu'elle m'a imposé c'est de ne rien lui cacher, elle m'a toujours encouragé à tout lui avouer.

Donc naturellement, je lui ai parlé de mon excitation solitaire avec la culotte de ma collègue. Elle aussi est excitée par mon attirance pour les parfums intimes, elle sait que je préfère goûter directement à la source. Elle adore le cunilingus, je suis très doué d'après elle.

Le lundi retour au travail, je fais comme d'habitude même si j'ai du mal à oublier ce que j'ai fait vendredi soir, le parfum intime de CÉLINE reste très présent à ma mémoire.

La journée se passe sans problème, le soir je fais un peu de ménage, vaisselle,... Je nettoie les vestiaires, le casier de CÉLINE est toujours ouvert mais cette fois il est vide. Je ferme tout et rentre à la maison un peu déçu.

Le lendemain je sent une petite différence dans le bonjour de CÉLINE mais rien d'inhabituel. Journée tranquille, jusqu'à ce qu'un un regard sévère de Patricia me fasse frissonner. Je ne comprends pas pourquoi car je fais comme d'habitude. La fermeture de l'entrepôt après le rangement est rapide. Le placard de CÉLINE est encore ouvert, curieux je regarde à l'intérieur, vide . Je ferme et rentre chez moi.

Le mercredi c'est une journée un peu différente car VANÉSSA finit à midi et LAETITIA à pris sa journée. Tout va pour le mieux avec CÉLINE, c'est moi qui ai du mal interprèter. La journée à été agréable, CÉLINE est rentrée de son footing enchanté, elle a pris sa douche comme d'habitude, nous avons travaillé dans une bonne ambiance toute l'après-midi. 17 heures les filles débauchent, je range, nettoie, un passage rapide par les vestiaires, le placard de CÉLINE est encore ouvert, je jette un coup d'œil, ses affaires de sport sont là, toujours en vrac au fond de son casier. Ma queue se dresse instantanément dans mon pantalon. Cela me fait presque mal. Je déplace délicatement son tee-shirt pour découvrir une petite culotte noire, je l'a prend et la porte à mon nez, elle est encore plus odorante. Sans réfléchir je baisse mon pantalon et mon caleçon, ma bite coule toute seule.

J'ai toujours été très à l'aise avec mon corps, pour la première fois depuis que je travaille dans cette boîte, je fais un truc fou, je me met entièrement nu, et pas pour prendre une douche. L'excitation d'être à poils sur mon lieu de travail est encore plus forte que ce que j'avais pu imaginer, j'ai très envie de profiter pleinement de cet instant. Je me met à genoux, devant le casier de CÉLINE, je porte ce petit bout de tissu à mon nez, l'odeur est encore plus forte, la culotte est trempé, ce nectar m'excite, c'est un aphrodisiaque si puissant. Je lèche du bout de la langue, je la prends dans la bouche. Je suce, je bois chaque goûte de ce divin nectar. Je prends ma queue, la serre dans ma main, je fais à peine quatre ou cinq va et vient et j'éjacule dans un grand râle. Je range tout, nettoie le sol, toujours nu. Je me rhabille ferme et rentre chez moi.

La journée du lendemain se passe sans problème, le soir je fais un peu de ménage, vaisselle,... Je nettoie les sanitaires, le placard de CÉLINE est toujours ouvert mais cette fois il n'y a pas de vêtements sales. Je ferme tout et rentre chez moi . Le lendemain je sent une différence dans le bonjour de CÉLINE, elle garde une certaine distance toute la journée . Je passe la journée inquiet , de plus je suis troublé par des regards plus sévère, des réflexions sèches et sanglantes de PATRICIA . Je ne comprends pas pourquoi car je fais comme d'habitude. Le soir je fais la fermeture, en entrant dans nos vestiaires je vois que le placard de CÉLINE est encore ouvert, curieux je regarde à l'intérieur, rien, il est vide. Je ferme et rentre chez moi. Le mercredi c'est une journée un peu différente car VANÉSSA finit à midi et LAETITIA à pris sa journée. Tout va pour le mieux avec CÉLINE et PATRICIA , on plaisante, on travaille dans une bonne humeur, c'est moi qui ait dû mal interprèté. La journée à été agréable, 13h30 CÉLINE est rentrée de son footing enchanté, elle a pris sa douche comme d'habitude, puis tous les 3 nous avons travaillé dans une bonne ambiance. 17 heures les filles débauchent, je range nettoie, toujours la même routine. Dans nos vestiaires, le placard de CÉLINE est encore ouvert, avant de le fermer, je jette un coup d'oeil, ses affaires de sport sont là. Je me fais violence pour le fermer mais c'est mon corps qui parle. Ma queue est dure dans mon pantalon. Cela me fait presque mal. Je déplace délicatement le tee-shirt pour découvrir une petite culotte noire, un tanga en dentelle. Je l'a prend et la porte à mon nez, elle est encore plus odorante. Sans réfléchir je baisse mon pantalon et mon caleçon, ma bite est tendue elle coule toute seule. Je décide de me mettre entièrement nu. j'ai envie de profiter pleinement de cet instant. L'excitation d'être à poils sur mon lieu de travail est encore plus puissante que je pouvais l'imaginer. Je me met à genoux, devant le placard. Je porte ce petit bout de tissu à mon nez, la saveur est encore plus forte, elle est très humide. Ces effluves m'excite, c'est un aphrodisiaque si puissant. Je suis sur que si je me caresse je vais jouir rapidement. Je lèches la culotte du bout de la langue , la respire, la lèche, je la lape comme un chien devant sa pâtée, puis je la prends dans la bouche. Je suce, je bois chaque goûte de ce divin nectar.

Je prends ma queue, dans ma main, je fais quelques va et vient, j'éjacule dans un grand râle. Il me faut plusieurs minutes pour émerger, je suis à quatre pattes. Je réalise que des gouttes de sperme ont atterrit sur ses vêtements et ses baskets, je m'approche toujours à quatre pattes et je lèche avec application la moindre goutte qui a pu souiller les affaires de CÉLINE. J'ai toujours apprécié de lécher mon sperme depuis l'adolescence et mes premières éjaculations.

Quand tout est nettoyée je me relève, je suis toujours nu. Etre à poil sur mon lieu de travail est une sensation géniale. Ça me fait bander encore alors que je viens de jouir.

Je me surprend à m'imaginer devant mes collègues, je suis encore plus excité par cette idée. Je fais un grand tour dans la maison et le hangar nu. En passant devant une horloge je réalise qu'il est 18 heures, ça fait presque une heure que je suis nu et je n'ai toujours pas débandé. Je reviens aux vestiaires, range tout, me rhabille et rentre chez moi.

Mon Épouse me trouve bizarre, je suis toujours excité. Je lui raconte tout. Elle veut tout savoir dans les moindres détails.

_S_ J'aime te savoir nu sur ton lieu de travail, ça m'excite, je suis si fière de toi. Tu es mon dieu grec. Tu devrais être tout le temps à poils. Tu es un régal pour les Yeux. Tu es tout à moi. Je suis sûre que tes collègues phantasme sur toi, si elles savaient à quel point tu es un petit cochon.

_J_ Tu crois que mes collègues rêve de moi?

_S_ Tu n'a pas idée, jai déjà vu leurs regards quand elles te regardent.

_J_ Vraiment? Mais c'est toi que j'aime mon Amour, tu es si magnifique, c'est toi la plus belle.

_S_ Arrête de parler, fou toi a poils, viens me lécher, tu vas pouvoir comparer.

Elle est toute mouillée, mes confidences l'on bien émoustillée. Mes doigts la pénètrent facilement. Je ne peux résister, je plonge la tête entre ses jambes. Son orgasme est rapide, je suis surpris par son intensité. En quelques coups de langue elle m'inonde de son divin nectar. Une fontaine coule dans ma bouche. Ses premiers mots sont de '' recommencer mes cochonneries mon petit coquin ''.

Le lendemain la journée est passée très très vite, j'étais sur une autre planète, je me revoyait nu au travail. Mais là, c'est différent, je suis entouré de toutes mes collègues pour de vrai. Je bande depuis que je je suis arrivé. C'est troublant d'avoir le désir profond de me mettre nu, de m'exhiber devant les filles, cette pulsion me donne des ailles pourtant. Il faut que je trouve le moyen de remercier CÉLINE pour le plaisir qu'elle m'a offert sans le vouloir et sans le savoir. En même temps Je me sent coupable de connaître son parfum INTIME, d'avoir fouillé dans ses affaires, je culpabilise d'avoir reniflé sa culote en me donnant du plaisir dans son dos.

Il faut que je me fasse pardonner. Comment? Et si leur disait tout? Non impossible, je passerai pour quoi? Je sais, je vais devenir le collègue idéal.

Je me suis rendu le plus avenant possible, j'ai été encore plus serviable avec elles. Pendant le repas, Je me suis régalé d'être leur '' serveur ''. J'ai essayé avec chacune d'elles, d'être attentif à leurs habitudes, leurs envies, leurs désirs.

C'est LAETITIA qui la première souligne mon zèle, pendant que je lui sert son thé. _L_ Julien qu'est ce qu'il t'arrive?

_J_ Quoi? Comment?

_L_ Tu es super serviable,

_J_ Je veux juste vous faire plaisir, je...

PATRICIA m'a coupé sèchement.

_P_ Ça ressemble plus à quelqu'un qui veut se faire pardonner d'avoir fait une bêtise.

Je suis resté sans mots, C'est LAETITIA qui m'a sauvé.

_P_ Moi je trouve ça génial, ton attitude est parfaite, tu devrais être tout le temps comme ça. C'est trop cool de se faire servir comme ça.

Les autres confirment avec enthousiasme seule PATRICIA rajoute

_P_ Je trouve ça quand même curieux, mais j'apprécie moi aussi.

Je me lance, j'explique alors, poussé par mes désirs inavouables et une grande culpabilité.

_J_ Mesdames, je souhaite juste devenir votre super collègue, c'est tellement génial de bosser dans une équipe pareille. Vous êtes vraiment, toutes magnifiques. je vous promet de faire tout mon possible pour vous rendre la vie la plus agréable possible à l'avenir.

Elles m'observent toutes dans un silence troublant. LAETITIA est la première à parler.

_L_ Quel discours! Vous avez entendu les filles, ça me change de tous les mecs qui ne pensent qu'à leur gueule.

_C_ Tu veux devenir le meilleur collègue? C'est pas gagné il y a du boulot.

_P_ Tu as raison CÉLINE, il a encore du travail à faire avant d'y arriver.

_V_ Je suis d'accord avec vous, il n'est pas encore au top mais il veut s'améliorer, je trouve ça bien.

_L_ j'espère que tu n'es pas qu'un beau parleur Julien.

_J_ Je veux vraiment m'améliorer LAETITIA, je suis prêt à entendre toutes vos remarques.

_P_ Bien, ça me fais plaisir Julien de t'entendre dire ça. Comment ce fait il que mon assiette soit vide?

_J_ Pardon PATRICIA, tout de suite, la tarte sort juste four.

Les filles me regardent servir PATRICIA, elles ne font pas de commentaire, je leur sert aussi une part.

Puis, comme si de rien n'était, le repas reprend normalement, je suis resté debout pour servir le dessert.

Pendant que je finis de ranger et nettoyer la cuisine, les filles boivent le café, elles parlent entre elles comme si je n'étais pas là. j'entends VANESSA se plaindre de son corps, de ses formes. CÉLINE lui propose de venir courir avec elle pour retrouver la forme, elle le propose même aux autres qui sont toutes enchantées par la proposition. Elles programment donc un footing pour le lendemain.

La journée se termine normalement. Avant de partir LAETITIA me complimente sur ma journée.

_L_ Julien tu as été génial aujourd'hui, je me demande si je tu vas tenir ma promesse.

_J_ Bien sûr LAETITIA.

Dès leur départ, je me précipite au vestiaire. Le placard de CÉLINE est ouvert mais il est vide. Un peu déçu, Je range tout et rentre chez moi.

Mon Épouse m'interroge sur ma journée, je lui explique ma nouvelle attitude, résume la discussion, elle est déçu que je n'ai rien fait, mais quand je parle du footing collectifs de demain elle est enchanté. L'on fait l'amour ce soir la, elle est déchaînée mais ne m'autorise pas à éjaculer, elle veut me garder les couilles pleines, même si je recharge très vite dit-elle.

Vendredi Matin, le petit déjeuner est installé quand elles arrivent. je fais le service, elles sont toutes assises, moi je reste debout. Cette situation me fait bander. J'ai peur qu'elles s'en aperçoivent. Aucune remarque sur moi ou sur mon attitude. Elles lèvent leur tasses pour que les serves. Discutent de tout et de rien. Je passe de l'une à l'autre pour les servir du mieux que je peux, malheureusement en voulant débarrasser je percute la tasse de PATRICIA qui tombe et se casse. Grand silence, Je me m'excuse platement et me précipite alors pour ramasser les morceaux et nettoyer. Je suis à genoux quand je réalise qu'elles sont toutes debout autour de moi, elles me regardent. Je garde la tête baissée, je réitère mes excuses. Elles ne disent rien, je n'ose pas me lever. PATRICIA s'approche de moi, pose sa main sur ma tête.

_P_ Julien tu semble un peu nerveux, tu as été presque parfait ce matin, ce n'est pas trop grave pour la tasse, fais plus attention a l'avenir.

_J_ Je suis désolé PATRICIA, excuse moi.

C'est avec les larmes aux que j'ose lever mon regard vers elle. Sans rien dire, Elle pointe du doigt une petit éclat à l'autre bout de la salle. Le temps à ce moment semble s'être arrêté, je sens leur regard me transpercer, je suis toujours à genoux immobile.

_P_ Alors, qu'attend tu? résonne la voix de PATRICIA dans un grand silence.

_J_ Oui bien sur. Je suis désolé excuse moi.

C'est à quatre pattes que je parcours les quelques mettres jusqu'au morceau. Je le ramasse, puis je reviens devant PATRICIA qui n'a pas bougé.

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