Le Club - Partie 11

BÊTA PUBLIQUE

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Elle arriva devant l'entrée sécurisée de ce grand immeuble sombre et sonna à l'interphone. Une voix féminine répondit et elle présenta sa situation. Elle sut attendrir cette femme puisqu'elle lui ouvrit la porte.

Elle se retrouva donc dans un bureau impersonnel en présence d'une jeune femme brune d'une trentaine d'année affichant un sourire de circonstance. Elle tenta de la réconforter pendant qu'elle lui racontait son histoire.

- Rassurez -- vous, mademoiselle, fit cette jeune femme qui s'était présentée sous le nom de Christine Veron. Nous allons vous trouver une solution, pouvez -- vous me donner votre nom?

- Harmony Vega.

Etrangement, le visage de la jeune femme se referma soudainement. Elle se mit à écrire nerveusement sur son calepin laissant s'installer un silence malsain.

- Malheureusement, lâcha -- t -- elle finalement, nous n'avons plus de place au sein de notre foyer mais je vais contacter un abri pour sans abris qui pourra vous accueillir.

- Un abri pour SDF?

Elle faillit manquer de souffle. Elle connaissait ce genre d'endroits par leur réputation et elle savait ce qui l'attendait si jamais elle acceptait d'y mettre les pieds. Elle ne pouvait pas croire qu'en une seule journée, elle allait tomber si bas.

Christine passa un coup fil au responsable de l'abri qui lui indiqua qu'il lui restait une place et elle donna l'adresse à Harmony qui dut quitter le foyer le cœur lourd. En sortant, elle ne vit pas Christine qui décrochait sont téléphone.

- Maître, souffla l'éducatrice, une des femmes dont vous m'aviez parlé est passée. J'ai respecté vos consignes.

*******************CHAPITRE 12********************

La nuit que passa Harmony à l'abri fut une véritable horreur. Elle fut obligée de partager une chambre salle avec trois autres femmes qui devaient avoir le double de son âge et qui puaient toutes l'alcool. Elle ne dormit que très peu en réalité tant le sommeil des autres fut agité. Par ailleurs, des bruits étranges émanaient des autres chambres et il y eut même une bagarre au fond du couloir qui nécessita l'intervention de la police.

Au petit matin, quand elle quitta son lit et se rendit compte qu'on lui avait volé son téléphone portable. Quand elle osa questionner ses camarades de chambre sur la question ce fut de délire. La plus ancienne des trois se jeta sur elle et la frappa au visage en l'insultant. Prise au dépourvu, Harmony fut tout juste capable de mettre ses mains en opposition pour se protéger des coups. Quand finalement l'agression se calma, elle ne put que s'enfuir sous la vindicte de l'ancienne qui lui hurlait que si jamais elle la revoyait, elle la tuerait.

Elle se retrouva donc à nouveau seule dans la rue, sachant pertinemment qu'elle n'aurait jamais le courage de remettre les pieds dans cet endroit horrible. Elle était vraiment désespérée. Elle se remit à errer dans les rues de la ville. Ses vêtements sales commençaient à sentir mauvais et elle savait que les gens la regardaient. Elle finit par s'assoir sur un banc et se mit à pleurer.

Il lui fallut de longs instants pour retrouver un semblant de calme. A ce moment, elle comprit qu'elle n'avait plus qu'une seule solution pour éviter de sombrer encore plus. Elle entra dans une cabine téléphonique et, utilisant le peu d'argent qui lui restait, composa un numéro de téléphone.

- Hôtel Excelsior, fit la voix de la réceptionniste. Que puis -- je pour vous?

- Bonjour, répondit -- elle la gorge nouée. Je voudrais parler à monsieur Uron.

- De la part de qui?

- Harmony Vega.

- Attendez une minute.

Une musique d'ambiance remplaça la voix sans intonation de la réceptionniste et Harmony se retrouva à attendre le cœur battant. Elle ne savait pas si elle devait espérer ou craindre que son ancien employeur accepte de prendre son appel. Elle était parfaitement consciente qu'en le contactant elle se mettait en position d'accepter l'horrible proposition qu'il lui avait fait juste avant qu'elle ne quitte l'Excelsior mais à ce moment là même l'idée de travailler dans un bordel lui paraissait moins terrible que de passer une nouvelle nuit comme celle qu'elle venait de subir.

Son attente s'éternisa puis la musique s'arrêta enfin.

- Mademoiselle Vega, fit la voix de Uron. Je suis surpris de vous entendre. Dois -- je en conclure que vous avez réfléchi à ma proposition?

- Vous concluez bien.

- C'est que ce n'est pas aussi simple. Je ne suis pas quelqu'un de patient et entretemps j'ai trouvé quelqu'un pour occuper le poste que je vous réservais. Les places sont chères même au Chat Brulant.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, cette nouvelle brisa Harmony à telle point qu'elle en aurait pleuré si elle avait encore des larmes en réserve.

- Cependant, reprit -- il après avoir bien pris soin de ménager ses effets. Je pourrais reconsidérer ma position si vous vous montrez convaincante.

- Que dois -- je faire? réagit -- elle comme si sa vie en dépendait, et de fait c'était le cas.

- Cet enthousiasme me comble de joie. Maintenant je ne veux plus une employée, je veux plus. Tu feras tout ce que je te dirais sans hésiter et tu retrouveras la vie que tu connaissais. Je te redonnerais un appartement encore plus beau que le précédent, je m'arrangerais pour que tu retrouves toutes tes affaires et personne ne sauras que tu travailles dans un bordel. En échange, tu seras toute à moi à chaque fois que je le voudrais. C'est ça ou je raccroche et je te laisse à ton bel avenir de SDF. Tu as une seconde pour répondre.

- J'accepte, répondit -- elle sans même réfléchir mais avait -- elle vraiment le choix?

- Parfait alors je vais te donner l'adresse exacte du Chat Brulant. La gérante s'occupera de te briefer et tu commenceras dès ce soir. Ensuite, elle te remettra les clés de ton nouveau chez toi.

*********************CHAPITRE 13******************

Le Chat Brulant se trouvait dans une petite rue à proximité des quais. Comme tous les établissements de ce genre, il se faisait discret. Une seule petite porte en chêne brun permettait d'y accéder.

Totalement défaite, Harmony tapa à cette porte et un homme de taille imposante lui ouvrit. Il fit une mine dégoûté en constatant son état.

- Je m'appelle Harmony Vega, bafouilla -- t -- elle toute à la honte de devoir venir dans un tel endroit. On m'a dit de venir ici.

Le visage de l'homme ne se radoucit pas mais il se poussa et la laissa entrer. Derrière lui, une femme d'une cinquantaine d'année et qui devait peser prés de 100 kilos s'approcha d'elle.

- Harmony? fit -- elle. Je m'appelle Mona, je suis la responsable de cet endroit. Enchantée de te rencontrer. Suis -- moi.

Elle suivit cette femme obèse, traversa une pièce sombre passant devant plusieurs pièces tout juste séparées par de petites parois fines. Dans la pénombre, elle ne put discerner rien de ce qui se passait dans ces endroits mais les râles qui en émanaient ne laissaient aucun doute sur les activités auxquelles les personnes qui s'y trouvaient se livraient.

Mona la conduisit jusqu'à un escalier. Elles grimpèrent d'un étage pour arriver à un endroit bien plus lumineux. Il y avait plusieurs chambres, certainement celles des résidentes de cet endroit mais elles ne s'y attardèrent pas. Elles terminèrent dans une grande salle de bain. La gérante lui indiqua alors la douche.

- Lave -- toi et n'oublie rien surtout. Nos clients n'apprécieraient pas que tu ne sois pas d'une hygiène irréprochable. Quand tu auras fini, tu trouveras des vêtements propres rangés sur la commode à côté. Je t'attends dans le couloir. Prends ton temps.

Mona sortit et Harmony enleva ses vêtements qui empestaient pour se jeter littéralement sous la douche et profiter enfin d'un jet chaud et purifiant. Elle resta de longues minutes sous l'eau profitant au maximum de ces instants revigorants puis le son des tapotements de Mona à la porte lui indiqua que le « prends ton temps » avait ses limites et elle décida de ne pas tester la patience de cette femme. Elle coupa l'eau et sortit de la douche.

Les vêtements qu'elle devait endosser étaient d'une vulgarité sans nom. Il s'agissait d'un petit top noir qui s'arrêtait au nombril, d'un string blanc et d'une mini jupe noire. Mona tapa de nouveau à la porte et elle voulut sortir mais ce fut la matrone qui entra.

- Attends ma belle, lui expliqua -- t -- elle. Il faut te maquiller maintenant.

Mona lui passa un rouge à lèvres très billant sur les lèvres afin de les rendre encore plus pulpeuses et surligna ses yeux avec un fard à paupières des plus vulgaires. Même ses joues furent grossies pour lui donner l'air plus provocante. Quand ce travail fut fini, elle ne ressemblait plus à la jeune femme raffinée qu'elle était encore la veille mais belle et bien à la prostituée qu'elle se préparait à devenir.

- Tu es parfaite, affirma une Mona visiblement satisfaite de son travail. Maintenant descendons. Je suis sûr que plusieurs de nos clients seront heureux de faire ta connaissance.

Le cœur serrée, Harmony suivit de nouveau son nouvel employeur.

*******************CHAPITRE 14********************

Mona conduisit Harmony jusqu'au comptoir qui se trouvait au fond de la salle à l'opposé des pièces isolées. Plusieurs jeunes femmes s'y trouvaient déjà en compagnies d'hommes. D'autres allaient et venaient en direction des pièces. Harmony s'installa au comptoir et attendit. Il ne lui fallut pas longtemps pour qu'un homme vienne à elle. Dans la pénombre, elle ne le discerna pas facilement. Il n'était pas très jeune, la quarantaine, petit de taille et assez grassouillet. Il se mit à lui parler lui demandant son nom. Elle lui mentit en lui disant s'appeler Eden. Il lui répondit des banalités avant finalement de passer au vif du sujet. Il se tourna vers le barman et sortit deux billets qu'il posa sur le comptoir. L'homme se contenta de hocher la tête sans dire le moindre mot et ramassa les billets. Il se tourna vers elle et d'un geste lui indiqua l'une des pièces du fond. Elle frissonna mais elle savait qu'elle ne pouvait plus reculer. Le client la prit par le bras et le fut obligée de le suivre.

L'endroit était sordide. Il était seulement éclairé par une petite lampe qui donnait une ambiance que certains diraient tamisée mais Harmony l'estimait obscure. On y avait installé une petite table basse ronde autour de laquelle étaient disposées des canapés en velours noirs. Sur la table, une serveuse avait posé une bouteille de champagne et deux coupelles.

Le client s'assit sur l'un des canapés et, la tenant toujours par le bras, l'amena contre lui. Il la dévisagea et elle comprit qu'il attendait qu'elle lui verse un verre. Toujours aussi inquiète, elle se plia à son diktat muet et remplit les deux verres. Il se mit alors à parler tout en commença à la peloter. Sentir les mains boudinés de cet homme auquel elle n'aurait même pas accordé un regard deux jours auparavant sur son corps lui fit monter un haut le cœur qu'elle ne retint qu'à grande peine. Le client se rendit compte de sa gêne et elle se força à sourire. Mona lui avait bien signifié quelles répercutions auraient sur son avenir les plaintes de clients mécontents. Sa main s'insinua dans sa robe tirant sur l'élastique de son string qui se défit immédiatement. Il n'était pas fait pour résister bien longtemps. Et elle sentit alors le contact chaud des doigts de ce personnage sur son clitoris. Son autre main était remonté jusqu'à sa poitrine et, remontant son top, commençait à jouer avec son téton droit. Dans cette position, leurs deux visages se touchaient presque. Elle pouvait sentir son haleine imbibée d'alcool et elle tremblait à l'idée qu'il veuille l'embrasser. Mona lui avait expliqué que cela ne faisait pas partie des services qu'elle était obligée d'offrir mais elle savait que s'il lui forçait la main, elle ne pourrait pas résister au moins au début. Heureusement, il ne fit rien dans ce sens mais ce fut une bien maigre consolation car une fois la séance de pelotage terminée, il s'installa bien confortablement dans le canapé et défit sa ceinture et sa braguette.

- Suce -- moi, ordonna -- t -- il en sortant sa queue de son caleçon.

Elle hésita une seconde mais il la prit par le cou l'entraînant vers son entrejambe. Prise de court, elle n'ouvrit pas la bouche mais il la maintint dans cette position. Elle s'avoua vaincue et finit par prendre son pénis en bouche. Elle entama sa fellation et l'entendit haleter au dessus d'elle. Entre son excitation et son état ébriété, elle comprit que si elle jouait bien le jeu, elle pourrait le faire jouir assez vite pour éviter le pire. Elle prit son membre en main et accéléra le rythme tout en lui léchant parfois les testicules au passage. Elle savait qu'elle avait un certain talent dans ce domaine mais avant elle s'en servait surtout pour exciter ses partenaires avant l'acte. Pas cette fois. Elle sentait son membre qui gonflait dans sa bouche et elle sut qu'il était tout prés de jouir et elle ne dut qu'à un réflexe salvateur de ne pas avoir le visage inondé de son sperme. Il poussa un râle de plaisir et s'affala encore un peu plus dans le canapé sans se soucier du fait que désormais son pantalon était maculé de sa propre semence. Harmony de son côté dut cracher les gouttes qu'elle avait absorbé durant son acte et s'essuya comme elle le pouvait. Elle réajusta ses vêtements et attendit quelques instants, craignant qu'il ne fut capable de repartir pour un second round. Heureusement, il se releva, réajusta son pantalon, indiqua qu'il en avait assez. En la quittant, il lui glissa un billet supplémentaire en pourboire et elle rejoignit le comptoir assez satisfaite de cette prestation qui lui avait permis d'éviter le pire. Elle se dit que finalement elle pourrait s'en sortir à bon compte. Elle se trompait et elle ne savait pas à quel point.

*******************CHAPITRE 15********************

Dès qu'elle arriva au comptoir, elle vit les deux hommes qui se tenaient accoudés à quelques mètres du barman. L'un d'entre eux se tourna vers lui qui de nouveau hocha la tête et elle comprit qu'ils l'attendaient. Ils s'approchèrent d'elle et elle eut un horrible sentiment de malaise. Ils se ressemblaient et elle se dit qu'ils devaient être des frères.

- Tu dois être Eden, la nouvelle, dit celui qui paraissait être le plus vieux. Je m'appelle Kyle et voici mon frère Lyle. Nous allons faire connaissance tous les trois, viens.

Ils l'encadrèrent et l'entraînèrent vers une nouvelle pièce sombre, différence de la précédente mais organisée exactement de la même façon. Une nouvelle bouteille y avait été posée et Kyle remplit les verres.

- Bois, lui ordonna -- t -- il en lui en tendant un.

Elle le prit mais comme précédemment ne le but pas.

- J'ai dit bois! s'énerva Kyle.

Elle sursauta et croisa son regard dur et effrayant. Elle but une gorgée mais elle comprit qu'il ne serait satisfait qu'une fois qu'elle aurait vidé le verre entier. Une froide certitude en elle lui indiquait qu'elle avait affaire à des hommes très dangereux et elle s'exécuta. A ce moment, Lyle, placé derrière elle, lui saisit la poitrine au travers de son top. Ce petit pelotage ne dura cependant pas très longtemps car il l'obligea à se tourner et pour la seconde fois de la soirée, elle fut contrainte à une fellation. Elle tenta de l'expédier de la même façon que la précédente mais elle sentit une poigne puissante qui lui imposa de ralentir son rythme, Lyle ne semblait pas enclin à lui laisser le contrôle de la situation et ce n'était pas le pire. Elle sentit les mains de Kyle qui remontait sa jupe au dessus de ses hanches. Il défit le nœud de son string qui tomba sur le sol. Elle se retrouva alors cul nul bien tendu ; une véritable offrande pour Kyle qui ne fit pas prier. Il la pénétra sans attendre. Elle redressa la tête quand le pénis lui transperça le vagin mais de nouveau la main ferme de Lyle l'obligea à reprendre son membre en bouche. Elle se retrouva ainsi prise de deux côtés par ces deux hommes qui ne la ménageaient pas. Kyle la besognait avec force en la tenant par les hanches pour lui imposer son rythme qu'il voulait rapide pendant que Lyle lui empêchait toute velléité de le faire jouir trop vite avec sa bouche. Ce petit jeu dura de longues minutes puis Kyle se retira et elle crut qu'il allait jouir mais elle se trompait lourdement. La tenant toujours fermement par les hanches, il se glissa entre ses fesses et elle voulut protester mais la queue qu'elle avait dans la bouche l'en empêcha. Elle n'était pas vierge de cet orifice mais le manque de douceur de Kyle n'avait aucune mesure avec la mesure de ses partenaires précédents. Ce fut un véritable supplice qui sembla durer une éternité. Finalement Kyle jouit en elle mais elle ne ressentit aucunement l'écoulement du liquide dans ses intestins et elle comprit que, comme le règlement de l'établissement le lui imposait, il avait mis une capote. Quelques instants après son frère, Lyle éjacula à son tour mais contrairement à la fois précédente, il retint fermement la tête d'Harmony qui fut obligée d'avaler le flot de sperme. Quand il la lâcha enfin, elle détourna la tête et recracha tout ce qu'elle put mais elle en avait ingurgité une bonne partie et fut prise d'une nausée horrible.

Elle restait allongée sur le ventre, reprenant son souffle après le traitement qu'ils lui avaient fait subir. Kyle et Lyle s'étaient assis et s'étaient versé un verre. Ils la pelotaient encore en plaisantant sur ses qualités. Finalement, Kyle lui tapa sur les fesses en lui ordonnant de se relever. Et elle put se rhabiller et les quitter en titubant en laissant derrière elle ses illusions d'éviter les pires outrages.

******************CHAPITRE 16*********************

La soirée dura encore plusieurs heures mais parurent des jours. En tant que nouvelle et compte tenu de ses atours plus qu'avenants, Harmony en fut l'attraction principale. En plus de ses deux premières expériences, elle dut suivre trois autres clients qui se montrèrent tout aussi grossiers. Elle fut de nouveau pénétrée à chaque fois et sodomisée à deux reprises. Sa bouche lui faisait mal à force de réaliser des fellations et le goût du sperme lui acidifia le fond de la gorge. Quand finalement, le Chat Brulant ferma ses portes, elle était éreintée. Elle restait allongée nue sur un canapé de l'une des pièces isolées, soufflant difficilement. Ce fut à peine si elle remarqua les deux personnes qui entrèrent et s'installèrent en face d'elle. Elle trouva à peine la force de tourner la tête pour voir avec horreur le visage de l'homme responsable de l'enfer qu'elle vivait.

- Je vois que tu as connu une soirée pleine d'expériences enrichissantes, dit Uron avec un sourire sadique. Rassure -- toi ce n'est qu'un début.

Elle ne sut que répondre surtout à la vue de la personne qui l'accompagnait. Voir Angelica assise docilement à côté du propriétaire de l'Excelsior, vêtue elle aussi dans une tenue des plus provocante, lui fit comprendre que les dés avaient été pipés dès le début. Elles étaient condamnées à finir dans cet endroit dès le moment où elles avaient posés les pieds dans le bureau de salaud.

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