Le Club - Partie 10

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

La normalité de la journée lui donna une impression presque d'irréalité après les horreurs subies la veille mais cela ne dura malheureusement pas car au milieu de l'après midi, sa secrétaire lui annonça l'arrivée d'un certain Adriano Silva. Elle envisagea un instant de le renvoyer à son maître mais bien entendu, elle se ravisa ; elle était allé trop loin pour reculer maintenant.

Sa secrétaire, visiblement mal à l'aise introduisit donc ce Silva dans son bureau. Il fallait dire que le personnage en plus d'être d'un physiquement peu avenant ne se gênait pas pour reluquer ses formes.

Caroline ne put s'empêcher de froncer les sourcils devant cet être étrange. De petite taille, il avait la démarche arquée et surtout un visage très mal proportionné avec un menton très long et un nez pointu. L'un de ses yeux semblait plus bas que l'autre et quand il lui sourit sa dentition lui parut composée de bien plus de canines que la normale. Il s'assit en face d'elle sans attendre d'y être invité, sans se départir de son sourire déplaisant.

- C'est un honneur de vous rencontrer mademoiselle Georges, la complimenta -- t - il. Je suis très heureux de venir travailler avec vous.

- Je suis heureuse aussi d'après ce que m'a dit monsieur Diaz vous êtes quelqu'un de compétent.

- Soyez -- en sûr, monsieur Diaz ne s'entoure que de gens de qualité et fidèles.

Son sourire s'effaça alors soudainement.

- Assez de simagrées, pétasse, reprit -- il sur un ton bien moins aimable. Ton seigneur t'as fixé les règles. Désormais tu ne prendras pas une décision concernant ce projet sans m'en parler avant, je serais constamment en ta compagnie à chacune de tes sorties sur le terrain et je devrais avoir un exemplaire de chaque document officiel.

« Je suis en prison et voici mon maton », réalisa Caroline. Silva se leva alors et se dirigea vers la porte du bureau. Un instant, elle crut qu'il allait sortir mais au contraire, il la verrouilla.

- Comme ça nous ne serons pas dérangé pendant notre « conversation importante », expliqua -- t -- il en dévoilant son sourire malsain. Montre-moi ton cul!

« Tu devras lui obéir aussi docilement que s'il était moi » l'ordre de Diaz prit alors une nouvelle dimension dans l'esprit de Caroline.

Silva revenais vers elle, l'air énervé.

- Alors ça viens?!? s'emporta --t -- il et elle comprit qu'elle n'avait pas d'échappatoire.

Elle se leva comme un automate et défit le ceinturon de son jean, le faisant glisser le long de ses cuisses. Pour la seconde fois, elle dévoila une petite culotte en soie blanche (elle devait reconnaître qu'elle manquait d'inventivité en matière d'érotisme). Silva grogna de mécontentement et elle fit glisser la culotte. Elle dut alors dévoiler son intimité à cet inconnu mais visiblement sa chatte ne l'intéressait pas vraiment puisqu'il fit le tour du bureau pour se placer dans son dos.

- Quel beau cul, annonça -- t -- il volontairement vulgaire.

Il commença alors à lui malaxer les fesses et elle retint sa respiration craignant l'issue de ce petit jeu de mains. En effet, il ne tarda à insinuer ses doigt entre sa raie culière jusqu'à son anus qu'il commença à évaser sans ménagement. Elle serra les dents en dépit de la douleur qui commençait à poindre. Elle entendit le bruit significatif d'une braguette que l'on descendait. Juste après, il écarta ses fesses avec ses mains et elle sentit son gland qui pressait contre son anus, il allait la sodomiser. Elle était vierge de cet orifice et elle savait qu'il n'allait montrer aucune douceur envers elle. Elle s'agrippa au bureau alors que les premiers spasmes de douleurs arrivaient quand il força la résistance de son sphincter. Il marqua un temps d'arrêt comme s'il peinait à avancer mais ne renonça pas. La douleur fut terrible mais comme la veille, elle serra les dents et refusa de crier. Quand son sexe la pénétra tout en longueur, elle sentit des larmes couler contre sa volonté mais ses dents restèrent serrer. Il se pencha alors vers elle.

- On y est arrivé finalement, lui murmura -- t -- il à l'oreille. Passons aux choses sérieuses.

Il se mit à la pistonner, doucement pour commencer puis de plus en plus vite. Elle se cambra sous l'effet de la souffrance qu'il lui infligeait et son visage s'empourpra, les larmes qu'elles tentaient de retenir lui piquaient les yeux. Chacun de ses coups de rein était un véritable calvaire qui la rapprochait du moment où elle finirait par craquer mais elle se raccrochait à sa volonté de ne pas crier ; son dernier îlot de dignité dans un océan d'humiliation. Silva n'avait cure de ses intentions, il accélérait sans cesse son rythme augmentant d'autant l'intensité de la douleur qu'il lui infligeait. Dans cet affrontement de volonté, finalement ce fut lui qui craqua en premier, il jouit en elle, inonda son intestin de son sperme chaud et dégoûtant. L'esprit de Caroline était envahi par des sentiments contradictoires entre la joie de la délivrance et l'horreur de cette nouvelle souillure. Silva se retira puis il lui remonta sa culotte et son jeans. Le sperme qui se trouvait en elle s'écoulait alors et imbiba ces vêtements. Elle réalisa alors qu'elle allait devoir passer le restant de la journée avec ses vêtements maculés de ce liquide immonde.

Epuisée, elle s'était penchée en avant sur son bureau pour reprendre son souffle. Il se pencha sur elle.

- Félicitation pour cette petite victoire, lui dit -- il, mais ne t'en vante pas trop ton cul va souvent rencontrer ma bite crois -- moi. J'aurais donc souvent l'occasion de te faire hurler à plein poumons. Cependant si je ne suffis pas à combler tes ardeurs masochistes, monsieur Diaz prépare un endroit bien particulier où il compte bien vous faire découvrir le vrai sens du mot douleur.

Il la tira alors par les cheveux et la força à prendre sa queue en bouche pour nettoyer le mélange de son sperme et de son propre sang résultant de la sodomie barbare qu'elle avait subi. Elle accepta cette nouvelle avanie en ce disant qu'elle permettait au rêve de Christian de prendre vie. Elle ne se doutait pas qu'en ce moment même Diaz et ses amis préparaient leur plan pour détourner totalement « centre paradis » de son but initial.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
misterbonemisterboneil y a plus de 14 ans
Et maintenant ?

Jusqu'ici, on a affaire à un petit bijoux d'histoire. La profondeur du récit tranche avec la norme du genre. Vous dépenser des trésors d'imagination qui rendent cette histoire noire et sordide à souhait. Vous vous tenez loin des clichés du genre où les femmes finissent par jouir comme des folles peu importe les sévices.

Je me demande cependant où on s'en va avec cette histoire. Jusqu'ici, on en est toujours à la présentation des personnages. Serez-vous capable d'élever votre récit et de l'amener plus loin?

Je crois que oui.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Le Club - Partie 11 Partie Suivante
Le Club - Partie 09 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Sandra, Esclave De Son Patron - 01 Une secrétaire vit une véritable descente aux enfers.
Dévergondage De Suzanne Le début du candaulisme.
Incarcération en Prison Une détenue humiliée lors du processus d'incarcération.
Le chantage de Summer La grosse erreur de la prof.
Le Crash Ch. 01 Un avion s'écrase sur une île déserte.
Plus d'histoires