Le Boucher

BÊTA PUBLIQUE

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Khadaj
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La pine purulante et dantesque d'un monstre libidineux et anthropophage.

Son mari, aussi formidable et puissant qu'il avait pu l'être dans son passé de footbaleur, n'avait en réalité jamais eu la moindre chance, et elle encore moins.

Il dit quelque-chose d'autre.

Elle ne l'écoutait pas, encore sonnée, mais aussi perdue dans l'irréalité de sa situation, réflechissant éperduemment sur elle comme sur ses angoisses précédentes, comme si comme celles-ci, il n'eu pû s'agir que d'une rêverie cauchemardesque.

Vexé qu'elle ne lui prêta pas l'attention qu'il avait l'habitude de commander par sa seule présence, il la saisit par les cheveux et l'amena pendant au bout de sa chaîne comme l'une des innombrables carcasses qui pendaient aux chaînes de sa boucherie, d'une seule main, avec une aisance apparente proprement terrifiante.

Tremblante et tétanisée, elle fixa son regard tant que faire se put dans la région de son visage, ne pouvant s'empêcher de reporter son attention plus souvent encore, sur ce qui dominait si radicalement sa physionomie malgré son excès général, ridiculisant de loin tous les hommes, et probablement plusieurs chevaux qu'elle avait connu.

Notant son attitude générale abattue et terrifiée, et les oeillades horrifiées de sa captive vers sa virilité inhumaine, l'ogre sourit de toutes ses dents effilées, que Deborah refusait désormais mentalement de désigner autrement que comme des crocs.

Se penchant à demi, a une douzaine de centimètres de son visage, il darda une langue vipérine incroyablement longue et épaisse, qu'il fît frétiller juste sous son nez, serpent gluant et puant comme la chair morte et décomposée qui formait son habituel traffic.

Semblant s'abandonner tout à fait à quelque penchant personnel, ses yeux vitreux se fixèrent sur la lourde poitrine, encore ferme malgré son âge et quelques signes de détente ici et là, de sa captive quasi quinquagénaire.

Sa langue qui franchissait déjà aisémment l'espace les séparants pour frétiller juste sous son nez, sembla s'allonger encore, et c'est trente centimètres de muscles bucaux qui se déroulaient de sa caverneuse et béante gueule.

On aurait toujours dit celle d'un serpent, mais cette qualité serpentine se communiquait à l'ensemble, évoquant l'animal autant que son appendice.

C'est avec cette langue monstrueuse qu'il entrepris de lécher ses mammelons amples et durcis par le froid.

Le contact chaud, gluant et râpeux, la fît reculer instinctivement, dans un spasme de dégoût sans équivoque.

La physionomie si concentrée qu'elle en paraissait vide et inexpressive du boucher s'anima, une lueur mesquine de joie malsaine passant dans ses yeux vitreux et porcins, et assurant d'une main sa prise sur ses cheveux, il continua de faire danser sa langue sur ses larges aréoles brunes, long serpent mauve ondulant, chaud et gluant, sur sa chair froide et parsemée de cristaux de givre, alors que de sa main libre il commençait à palper ses cuisses toujours pulpeuses et lisse, et a tâter ses fesses girondes et dures, malgré un début d'affaissement sensible à l'arrière des cuisses, qu'il semblât explorer avec une joie malsaine.

L'examen de son corps par les mains géantes, caleuses et sèches du monstre qui avait tué son mari, doublé de la très douloureuse stimulation de ses seins frigorifiés par sa langue râpeuse, tranchante, presque écailleuse, arrachèrent à Deborah un gémissement plaintif, presque un couinement, continu et semi silencieux, comme une souris, ou une toute petite fille qui grince silencieusement sous la couette alors que le croque mitaine sors du placard de sa chambre, bien trop réel.

Il la rappela à l'ordre en lui donnant un coup de poing dans l'estomac, un coup si fort qu'il lui coupa le souffle et lui fit vomir toute la bile de son estomac, ainsi que les rares débris non digérées qu'elle avait pris amoureusement ce matin avec son Jim, presque un million d'années auparavant.

Le coup avait été administré avec une brutalité toute économe, le colosse demeurant autrement dans la posture qu'il tenait l'instant d'auparavant, continuant de lui tirer les cheveux et de consommer sa poitrine comme un enfant le ferait d'une glace.

La cambrure brutale de sa nuque sous la torsion du spasme vomitif projetèrent les débris et le liquide acide dans un arc disgracieux qui aspergea l'épaule du géant et souilla le sol derrière lui, et s'eparpilla sur le visage de sa captive comme une bruine billieuse parsemée de débris alimentaires, se mêlant aux mèches épaisse de sa tignasse rousse comme un onguent délétère et puant.

Une douleur intense et vive succéda et éclipsa celle, déjà puissante mais assourdie qui c'était épanouie dans son ventre.

La brute venait de lui mordre le sein droit, à sang, lui arrachant presque le téton.

Sous le coup du choc et de la douleur, luttant pour respirer au travers du calvaire abrupt de son expectoration provoquée par son bourreau, elle parvînt à hoqueter de douleur, des larmes innondants ses yeux, troublants sa vue.

La main du cannibale, si c'était bien un membre de la race humaine et non un ogre, lâcha ses cheveux, et pendant un bref instant elle se sentit libre.

Cela ne dura pas.

Aveuglée, mais en rien entravée dans l'usage de ses autres sens, elle sentit le déplacement d'air qui lui indiquait que l'être vil et horrible qui la torturait se pencher vers elle.

Il lui susura à l'oreille:

"J'aime ton goût."

Puis elle sentit sa poigne de fer se refermer autour de chacune de ses chevilles, et il lui écarta les cuisses avec la brutalité qu'on met à noël a séparer les pilons de la dinde.

Elle réalisât trop tard, presque à posteriori, ce qu'il allait faire.

Il entra en elle comme une lance de fer portée au rouge, quelque-chose de dur et inexorable, plus imposant, douloureux et brûlant que quoi que ce soit qui était jamais entré par là.

Toujours à la douleur de son sein, elle ne ressentit pas immédiatement toute celle qu'il lui infligeait de son sexe à son intimité.

Curieusement, elle ne pensât pas à un rapport sexuel.

C'était trop gros. Cela n'avait rien à voir avec le fait de se faire pénétrer par un homme.

Même si en périphérie de son esprit elle évoquait sa première fois, avec un garçon charmant, maladroit, et fort communément doté, ou sa première fois avec Jim, l'homme le plus viril qu'elle eût jamais connu, et jusqu'alors, croyait-elle, dôté du sexe le plus formidablement gros que dieu pouvait donner à un mortel, elle pensait surtout à la naissance de son fils, David.

S'avait été une procédure douloureuse et agressive, son enfant se présentant par le siège, mais si avancé que la césarienne était à proscrire.

Il avait fallu le faire passer par les voies naturelles, la chirurgie aidant, le médecin pratiquant une épisiotomie pour aider le nouveau-né à les franchirs malgré le refus que la nature semblait lui opposer dans la conformation de sa mère.

De justesse, il était sorti.

Moins que de justesse, l'ogre entrait en elle comme un bélier éventrait les portes d'une forteresse, la fendant en deux, l'évantrant presque, dans un acte qui n'était que violence et douleur, et n'avait de sexuel que dans les organes qu'il faisait se rencontrer.

Il n'en finissait pas d'entrer. Il était si gros, et inexorable, comme un train qui lancé a pleine vitesse par son inertie, perforait le quai de la gare plutôt que de se glisser le long des voies.

Il la dilattait et la repoussait, comme seul l'enfantement l'avait fait jusque-là, la circonférence absurde de son membre gonflé et titanesque ne pouvant se comparer qu'à celle du crâne de sa progéniture, avec cependant l'immense, la douloureuse différence qu'il ne sortait pas. Il entrait.

Alors que les larmes innondaient une fois de plus ses yeux, et que cherchant désespérément l'air dans de longs et hoquetants sanglots, tandis que sa vulve distendue lui cuisait de plus en plus, rivalisant avec son mamelon à vif, et que son vagin vivait un martyr autrement plus douloureux, une réalisation morbide se fît jour dans son esprit.

La verge de cet être, homme ou bête, était si dure que contrairement au crâne du nouveau né, elle ne se contractait pas sous la pression des parois vaginales.

Son gland était si gonflé et si rigide, et elle ne savait trop comment, si visqueux et lisse, que malgré ses contractions de rejets volontaires comme réflexes, et la puissance des muscles périnés et des sphincters vaginaux, il ne se déformait pas, aussi plein et régulier que la surface d'une boule de bowling, et presque aussi gros.

Sa vulve aux lèvres étirées à l'extrême se détendit si brutalement qu'elle accueuillit la sensation comme une libération, et soupira d'aise au milieu de son calvaire.

Le pire était passé, le plus gros morceau était passé!

Mais le soulagement ne dura qu'une seconde.

Attirant toujours son corps à lui en tirant de part et d'autres les cuisses de Deborah comme pour la déchirer en deux, elle le sentait aussi pousser de ses reins sa virilité en elle, sans s'arrêter ni ralentir.

Baissant la tête pour regarder ce qui se passait, la ramenant vers l'avant pour la première fois depuis le coup à l'estomac, elle se retrouva nez-à-nez avec le boucher, qui souriait une fois de plus de son air furieusement jovial, écho sinistre de la réclame publicitaire qui trônait toujours sur le trottoir, quelques mètres plus loin, pour autant qu'elle le sache.

Avec une vivacité vicieuse qu'elle lui devinait désormais coutumière, il lâcha brusquement ses jambes, et avant qu'elle ai esquissé quelque geste que ce soit, il la saisit par la taille et par la nuque, et d'un coup de rein brutal, enfonça en une seule fois autant qu'il en avait fait entrer dans sa lente et douloureuse insertion dans son con.

Elle glapit, un couinement pathétique de jouet en plastique pour chien éventré, autant de douleur que de surprise.

Il l'avait meurtri plus qu'en insérant l'impossiblement imposante tête en forme de poing serré de son pénis aux dimensions de balle de handball, les nodosités blanchâtre ornant sa verge pâle l'ayant limé sur tout le pourtour de sa vulve, un endroit à la fois, a une vitesse telle qu'elle évoquait la morsure abrasive du papier de verre.

Chaque bulbe variqueux était de l'ampleur d'une balle de golfe, et elle avait l'impression qu'elle venait de s'insérer une bouteille de cola de 2 litre hérissée de tels hémisphères rugueux entre les cuisses.

Il était en elle, jusqu'au fond, et l'avait distendue, presque à rompre, aux limites de son élasticité féminine, peut-être au delà.

Avant qu'elle puisse refermer la bouche sur son cri, la langue épaisse et visqueuse du satyre darda brusquement d'entre les croûtes désséchées qui lui tenait lieu de lèvres pour s'introduire entre les sienne et emplir sa bouche presque aussi entièrement que sa queue brulante emplissait son vagin.

L'embrassant longuement, brutalement, sa langue enserrant et se contorsionnant comme un boa constrictor autour de la sienne, il décolla enfin son visage du sien, libérant ses voies aériennes oppréssées, seulement quand après de long spasmes et griffures désespérées de ses ongles longs sur son cuir épais, elle se détendit enfin entre ses bras, aussi souple et désarticulée qu'une poupée de chiffon.

Inspirant d'un seul coup à s'en brûler les poumons, suffocante, cherchant l'air, elle huma a longues goulées tressotantes, toussant, réveillant avec une douloureuse acuité la conscience de chacune des blessures et meurtrissures de son corps malmené.

La prise sur sa nuque se durcit, tendant les muscles de son cou en les comprimants, réduisant drastiquement mais pas dramatiquement son arrivée d'air, focalisant son attention et son regard sur celui de son tortionnaire, alors qu'elle sentait glisser la grosse main dure et caleuse dans le bas de son dos, qui lui empoigna fermement les fesses, les deux ensembles, sa pogne étant si comiquement colossale qu'elles semblaient en comparaison, malgré son bon 95, deux oranges un peu grosses dans une main d'homme.

D'un doigt plus épais et dur que la plus dure et épaisse érection que feu son mari ai jamais fait passer par ce chemin là, il lui viola l'anus.

Elle se contracta instinctivement sous l'assaut, et soudainement, elle sentit son rectum et son con épouser chaque reliefs, chaque noeuds et chaque bosses caleuses de la verge et du doigt fichés jusqu'au fond d'elle, pareils à des lames mythiques dans quelque rocher mystique.

C'était douloureux, bien sûr, affreusement douloureux.

Mais pour la première fois depuis que le monstre avait commencé à la faire souffrir, quand elle geint,elle n'était plus entièrement sûre que ce n'était qu'une plainte qui franchissait ses lèvres.

Braquant soudain sa tête d'une torsion de sa nuque, d'une torsion correspondante de son poignet, le boucher força son regard à se porter sur l'endroit ou son bourreau et elle fusionnaient si intimement.

"Regarde, c'est beau l'amour" murmura-t-il à son oreille, alors que de la main ensserant ses fesses il poussait son bassin vers lui tandis-que d'un coup de reins il rapprocha sa masse d'elle, dans un coup de boutoir puissant qui cingla son cervix comme un gong de douleur aigüe et acide, presque comme si un taser avait libéré sa charge a cet endroit, pendant que le doigt énorme et dur s'enfonçais un peu plus loin dans son cul, plus épais et l'emplissant plus encore, que jamais quoi que ce soit à cet endroit.

Alors qu'elle n'était presque plus que peine indicible et cuisante, les dents serrés, les larmes aux coins de ses yeux rougis et douloureux, bouffis par le chagrin et la peine, elle vît.

De son regard forcé par la main puissante de l'ogre vers sa chatte ouverte comme un fruit de mer à marée basse, comme une cervelle mise à nue dans un crâne fendu en deux par le couperet du boucher, elle vît.

Elle vît la queue la plus énorme, la plus grotesquement dure, longue, épaisse et bouillante qui l'avait jamais empalé, s'enfoncer encore en elle, la faire souffrir, la faire gémir de douleur, puis se retirer, lentement, jusqu'aux limites du rebord de son absurde et colossal gland quasi sphérique, autour duquel ses lèvres trempées et rougies par la friction s'accrochaient dans une étreinte à la fois mécanique et animale, tout à la fois comme un caoutchouc trop petit sur une verge immense, et comme une anémone de mer baveuse ensserant de ses extémitées rosâtres quelque énorme poisson globe albinos.

En se retirant, la surface torturée de sa verge noueuse et bulbeuses, pareille au tronc épais d'un arbre malade bouffé par un champignon agressif, avait fait onduler les petites et grandes lèvres comme la bouche gourmande d'une petite créature gluante, qui au franchissement de chaque bubon kystique, hoquetait en répandant une matière crémeuse et grumuleuse.

A chaque hoquet, elle senti dans ses reins un éclair devenu par trop rare dans sa vie de femme, mais que la flamme ravivée de l'amour de son mari avait récemment rendu de nouveau familière.

C'était du plaisir sexuel, brut et sans fioritures.

Presque toute son attention avait été focalisée sur ce qui lui arrivait physiquement à elle, Deborah Myers, affectueusement surnommée Debbie par son désormais défunt époux, feu James Myers, qu'elle appelait avec la même affection teintée de nostalgie par le temps, Jim.

Son Jim, qu'elle était venu sauver, et qu'elle avait simplement pu entendre mourir, et voir froid, mort et mutilé, par la bête qui commencer à se mettre en train pour la besogner.

Mais Debbie Myers était une créature de l'esprit, ce qui même si cela lui jouait souvent des tours, particulièrement lorsqu'il s'agissait de son imagination, lui offrait aussi une créativité et un loisir intellectuel peut commun.

Elle était apte à tenir en elle même et avec elle même, plusieurs conversations simultannées, et pour ainsi dire, à guider à bon port, même si à des vitesses différentes, différents trains de pensées dans un ballet synchronisé aussi complexe que limpide et précis, du moins pour elle.

Alors même qu'elle subissait la violence du mufle qui allait éventuellement la violer, et qui peut-être, mangeait des corps et comptait, dans un avenir proche, la mettre au menu autrement qu'avec sa bite, elle pensait encore et toujours à s'échapper.

Même si 99.9% de son esprit était occupé par la verge colossale qui déformait de sa brutale et rigide présence sa cavité vaginale, et par l'insistant va-et-viens du rigide et massif appendice digital qui récurrait de force son rectum, la partie restante avait noté des détails qui, mis bout à bout, pouvaient ressembler au début d'un plan d'évasion.

Primo, le temps.

Elle ne savait pas l'heure qu'il était, mais la soirée devait être entamée.

Si elle distrayait son ravisseur suffisament longtemps, avec les instruments que la nature lui avait donné, alors elle vivrait peut-être assez pour s'échapper.

Secundo, ses liens.

Même si un grand soin avait été apporté à saucissonner ses poignets, et que le scotch demeurait résistant et rigide, un léger relâchement du matériau, tellement difus qu'il frôlait les limites de la perception, et qu'il pouvait aussi bien être un voeu pieu, lui laissait entrevoir une issue, une échapatoire hors de ses liens.

Si rien de tout cela ne constituait en soi un plan, pas même de loin, c'était de l'espoir.

Et c'est habité de cet espoir, aussi vague qu'incertain, mais bien réel, ainsi que l'épanouissement timide, mais tout aussi concret d'un début de plaisir sexuel, qu'elle s'abandonna à la tâche en cours.

Il fallait faire plaisir à son bourreau.

Être une gentille fille, lui faire du bien, et peut-être, le satisfaire assez pour qu'il l'épargne, ou se désintesse momentannément d'elle, suffisament pour qu'elle s'échappe.

C'est en contemplant la verge brûlante et palpitante qui glissait presque hors d'elle qu'elle s'y résolu, et lorsque les noeuds varruqueux de la queue déformée du boucher mordirent ses lèvres de leurs rugueux et abrasif baiser, elle râla un peu de plaisir.

Son bourreau avait l'air de se satisfaire de l'évolution de la situation.

Alors qu'il enfonçait de nouveau son gourdin en elle, avec la délicatesse d'une trirème antique perforant de son rostre de bronze la coque d'une autre nef moins fortunée, il eu l'amabilité de lubrifier un peu plus sa progression, en gratiffiant sa verge, et par voie de conséquence, son con à elle, d'un épais crachat glaireux.

Si le romantisme de la circonstance était loin d'être à son comble, la sortie verbale du monstre taré acheva tout à fait toute illusion de subtilité amoureuse.

"Putain, c'est vraiment en ramonnant les vieilles putes qu'on tape dans les meilleures minettes."

Il arriva au fond d'elle plus vite et fort encore qu'auparavant, moins ralentis par la friction, sa solution de lubrification à lui, et ses propres sécrétions s'étend combinée pour accélérer le transit du sexe boursoufflé.

La douleur fût moins vive, et le plaisir plus fort.

Ses seins lourds balottèrent, la douleur acide de la morsure lui arrachant une grimace, attirant l'attention du balourd qui, ravi, léchâ avec délectation la plaie suintante de lymphe et de sang qui béait à son mamelon.

Elle cria de douleur, rapidement suivit de spasmes plus agréables cependant, alors qu'il terminait enfin d'enfoncer son doigt dans son rectum, l'occupant tellement qu'elle le sentait partout en elle a la fois, commençant à se contracter vivement sur le doigt et le sexe, tout son horizon mental se réduisant à la sensation de chaleur bouillante, comme une lame de fer en fusion dans son con, et a la dureté minérale du majeur démesuré dans son cul.

Il grogna, sans doute de contentement, et elle contempla encore sa longue queue sortir en faisant tressauter sa vulve comme un train de marchandise comiquement long et surchargé quitter on ne savait comment un tunnel trop étroit pour un tel volume.

Sa poigne d'acier braquait toujours son regard vers leurs entrejambes soudés, et elle se demanda au début du processus comment il pouvait y avoir encore tant de cette foutue bite dehors alors qu'elle était plus que pleine, et à la fin, comment après en avoir sorti une telle longueur il pouvait rester autant de la présence de cette putain de queue éléphantesque dans sa bon dieu de chatte.

Khadaj
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