L'avilissement d'Aurore - Partie 06

BÊTA PUBLIQUE

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Arrivant près de la plage, la petite troupe se dirige vers des cabines individuelles pour se changer.

Il n'y a pas beaucoup de monde sur la grève, se dit-elle, malgré cette journée chaude avec une légère brise. Puis elle repère un panneau sur lequel il est inscrit « vêtements en option au-delà de ce point ». Tahal prend immédiatement la parole : - Oui, Madame, cette plage est en partie réservée aux nudistes. Nous resterons évidemment tous habillés, sauf vous, bien sûr! Veuillez dès lors enlever votre maillot!

Aurore se tait, sachant que discuter est peine perdue. Elle regarde autour d'elle. Il y a quelques personnes qui marchent le long de la longue grève et d'autres qui se font bronzer, étendues sur des serviettes ou sur des transats. Aucune d'entre elles n'est dénudée. Après une courte pause, elle baisse les bretelles de sa « combinaison », dévoilant sa poitrine, puis son sexe et ses fesses. Le gamin reprend la parole : - Allons! Il est grand temps de commencer à marcher! Vous passez devant : nous savons que vous aimez vous exhiber et nous montrer votre beau cul!

La fille commence à marcher sur la plage, sans la moindre protection textile, suivie par dix adolescents en slip de bain. La scène lui semble surréaliste, tandis que son postérieur se lève et retombe ostensiblement à chaque pas. Les shorts de certains étudiants commencent à se tendre à l'avant et à présenter de solides érections.

Même de dos, on peut voir les côtés des seins qui se balancent doucement. De rares promeneurs, masculins et âgés, les seuls à être nus, regardent avec une avidité à peine masquée les charmes de la jolie naïade, dotée d'un physique de rêve...

L'après-midi se passe sans encombre, les jeunes faisant du foot de plage ou batifolant dans l'eau. Installée sur le sable, Aurore passe son après-midi dans le plus simple appareil, assise sur une serviette de bain. De temps en temps, deux ou trois enfants la tirent vers le haut et l'obligent à jouer avec eux au ballon, sa poitrine et ses fesses bougeant lorsqu'elle le lance ou courre pour le ramasser. Les élèves lui lancent tous la balle de façon excessive, ce qui l'oblige à se déplacer sur quelques mètres pour le récupérer, alors que ses seins rebondissent. La soirée arrive et, après un repas pris dans une guinguette, tous se retrouvent dans le bus.

A peine le car prend-il la route qu'Ayoud prononce des propos qui anéantissent l'auxiliaire :

- Madame, le trajet dure trois heures. J'ai expliqué à mes amis que vous étiez une excellente suceuse de bites. Nous sommes dix, mais je connais déjà vos talents. Vous n'aurez donc plus que neuf paires de couilles à vider avec votre bouche. Allez, il est l'heure de vous mettre au boulot... Même si vous risquez d'avoir mal aux mâchoires!

Vous garderez au moins un quart d'heure pour moi à la fin!

Et, passant de banquette en banquette, la Cheffe de service lèche des hampes vigoureuses et titille des glands. Pressée par le délai imparti, elle s'active sur chaque queue, utilisant sa technique imparable afin de les faire dégorger le plus vite possible. Après près d'une heure et demie de succion, elle recueille dans sa gorge la neuvième et dernière charge de sperme, qu'elle avale péniblement en déglutissant. Son tortionnaire exprime bruyamment sa satisfaction à l'égard de ses condisciples :

- Vous voyez les gars! Je vous avais dit que c'était une vraie chienne! Bon, à mon tour maintenant!

Et déjà le meneur donne des instructions supplémentaires à la surveillante, la tutoyant à nouveau :

- Désape-toi et viens me rejoindre à l'arrière du bus. C'est l'endroit le plus spacieux.

Dénudée, elle s'approche du siège, tandis que Tahal lui décrit ce qu'elle va devoir réaliser : -- Il est temps de donner à mes copains une cours d'éducation sexuelle en « live ». Tu vas me faire durcir la pine avec ta langue et une fois que ce sera fait, tu viendras t'empaler et tu me chevaucheras. Et tu as intérêt à bien bouger, comme si j'étais ton mec. Celui-là, il ne doit plus passer les portes avec les cornes que tu lui fais. S'il savait que sa femme est pire qu'une putain! Allez, magne-toi! A la bite!

Pendant dix minutes, elle s'escrime sur le membre, ondulant et se déhanchant. L'élève, délibérément, écarte ses fesses, afin de bien montrer son anus à tous les gamins.

Il éjacule enfin dans sa chatte et, alors que le car rentre au Lycée, elle a tout juste quelques minutes pour se rhabiller. Les jours qui suivent cette expérience horrible se ressemblent : les adolescents ont décidé d'une tournante et, chaque soir, Aurore doit visiter deux chambres et soulager les deux garçons qui s'y trouvent. Soit quatre amants par soirée. Son contrat arrive à échéance. La veille de son départ, les étudiants ont tenu lui faire leurs adieux. Ils ont tous décidé de se vider dans son anus.

A l'aube venue, ses sphincters sont terriblement douloureux. Ayoub lui adresse, d'un air narquois, une ultime pique : - Tu vas avoir du mal à t'asseoir pendant quelques jours!

Heureuse de retrouver enfin son mari, qui vient de rentrer de son stage intensif et a désormais de grandes chances de disputer des compétitions internationales, elle ne bénéficie que d'un court répit, son voisin lui ordonnant cinq jours plus tard de le rejoindre...

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Toujours aussi bien !

J'espère que pour cadeau de la part de ces riches amants, Aurore aura reçu des bijoux (collier, bracelets pour les poignets et chevilles de ses pieds nus, chaînette pour le ventre) ! Sans doute suis - je fleur bleue !

Et quelques anneaux…

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