L'avilissement d'Aurore - Partie 06

Informations sur Récit
Obligée d'être temporairement pionne dans un Lycée masculin.
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/19/2020
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NDLR : quelques paragraphes de la présente aventure sont un clin d'œil indirect à une histoire publiée en 2007 par Lecteur 9 ("L'enseignante"), même s'il reste peu en commun.

Chapitre 10 -- Retour à l'école

La mariée devient donc, à sa plus grande crainte et pour deux semaines, attachée au secrétariat et pion officiant au sein d'une école internationale exclusivement fréquentée par des garçons originaires d'Arabie saoudite et tous issus de la haute noblesse et de la grande bourgeoisie. Dès son arrivée, le Directeur l'a clairement prévenue :

- J'ai eu mon ami Pierre au téléphone et il m'a expliqué en détails vos pulsions sexuelles. Je lui ai assuré que vous seriez pleinement au service de notre institution...

Je ne tolérerai aucune plainte de nos élèves, d'autant que les droits d'inscription payés par leurs parents sont particulièrement élevés et nous permettent de nous autofinancer.

L'établissement, dénommé « Lycée Salmane Al Saoud », en hommage au roi actuel, est implanté derrière une façade discrète dans un quartier périphérique de la Capitale.

Malgré toutes les humiliations passées, la jeune femme reste très élégante, sans compter sa beauté naturelle, ses yeux bleus, ses cheveux blonds, sa peau douce et hâlée.

Dotée d'une belle poitrine, elle attire les regards et les désirs. Ses seins ronds aux petites auréoles pointent sous ses chemisiers, qu'elle porte ou non un soutien-gorge. Son ventre plat, sa chute de reins soulignent une croupe fine mais cambrée.

Ses fesses, d'une beauté excitante, sont fermes, bougeant de façon suggestive à chaque fois qu'elle met une jupe un peu trop serrée. Son sexe délicat, épilé hormis quelques poils pubiens, rend fou de désir tous les hommes. A cause de ses formes très attirantes, tous les yeux masculins la déshabille lorsqu'ils la croisent. Même si elle aime son corps et en prend soin, elle est pudique par éducation. Malgré les épreuves subies qui ont miné sa confiance, elle tente de rester digne.

L'auxiliaire, traumatisée par les expériences vécues, évite autant que possible les contacts avec la gent opposée. Ses relations se résument à des banalités échangées avec de rares personnes. Après quelques jours, elle commence à trouver ses marques, entre son travail de bureau, la surveillance des classes (en cas de professeur absent) et des dortoirs (deux étudiants par chambre) de l'internat.

En ce jeudi soir, alors qu'elle traverse le couloir, vers 23 heures, elle entend un murmure provenant d'une pièce dont la porte est entrebâillée : - Madame! Intriguée, l'intérimaire s'approche du matelas et reconnaît Ayoud Tahal, l'un des élèves, dont le regard la dévisage souvent, ce qui la gêne plus qu'elle n'ose se l'avouer.

Il geint :

- Je n'arrive pas à dormir, j'ai mal...

Le gamin, âgé de 16 ans, s'est blessé au ventre au cours de l'après-midi. Aurore esquisse un faible sourire et s'assoie sur le bord du lit, jetant un coup d'œil à son pansement :

- Tu sais, je ne crois pas que cela soit grave, mais je vais vérifier, le rassure-t-elle. Tandis qu'elle soulève la gaze, Ayoud repousse ses draps, exhibant ses cuisses nues et un sexe court, dressé, qui vient taper contre sa paume. Sursautant, la fille rougit et fait mine de se lever quand l'adolescent lui attrape la main et lui dit fermement :

- Restez là... Vous devez me faire un petit plaisir... Ou sinon... Je raconte tout au Directeur.

- Mais de quoi parles-tu? tente-t-elle, indignée, prête à partir.

Le Saoudien poursuit : -- Ben, vous imaginez si votre mari savait ce que vous avez fait! Ce serait mauvais pour vous, non? Donc, je ne dis rien mais, service pour service, vous allez me détendre! Je pense, Madame, que vous n'avez pas vraiment le choix...

Le ton sarcastique utilisé par l'étudiant pour prononcer le dernier mot la fait paniquer, ses jambes flageolent. La créature de rêve bafouille : - Mais je suis... Ta prof... Et je... Déjà Tahal la reprend de volée : - Ferme-la! C'est l'heure de ma bonne branlette!

Ces mots se bousculent dans sa tête et des images honteuses l'envahissent, le tutoiement la paralyse, elle pâlit et réalise qu'elle n'a aucune option. Elle sait qu'elle est piégée.

En outre, elle a le pressentiment qu'un jour ou l'autre, cette histoire malsaine et perverse finira mal.

Elle se rappelle les cinq dernières années de sa vie, se sentant presque coupable : toutes les fois où elle a mis des jupes courtes qui découvraient ses cuisses, ou des chemisiers qui ne faisaient que mouler son arrogante poitrine. Ces regards qui l'épiaient et la reluquaient dès qu'elle tournait le dos. Inconsciemment, cela la rendait fière et elle continuait par jeu, sans plus. Parfois, le soir en se couchant, tremblante de honte, elle les imaginait la dévorant des yeux, ses rêves troublés par des propos obscènes.

Et aujourd'hui, la réalité a dépassé la fiction. Pour son plus grand désespoir. Depuis quelques semaines, c'est un cauchemar en continu. La subalterne sort de sa torpeur pendant que des larmes commencent à embuer ses beaux yeux clairs. Dégoûtée, elle s'approche du sexe du jeune homme et tend vers lui une main peu assurée.

Elle touche la queue, qu'elle prend peu à peu entre ses doigts fins, tout en tournant la tête et en sanglotant. Elle sent que la chair chaude durcit vite, à mesure qu'elle fait glisser sa dextre, tandis que des perles de rosée coulent le long de ses joues rougissantes. Elle est contrainte et forcée de devoir obéir à ce gamin. Dans le dos de la surveillante, Walid Lasri, l'autre étudiant qui partage la chambre, s'est levé et regarde la scène en silence. Il l'observe, elle, la femme blanche faisant aller et venir sa main le long de la bite de son ami. Ayoud jette un coup d'œil par-dessus les épaules de la blonde et croise le regard brillant de son condisciple.

La tête baissée, les yeux clos, Aurore ne s'aperçoit pas des échanges intenses qu'ils s'adressent, ni de la présence dudit Walid. L'ancienne Secrétaire de Cabinet continue la masturbation, les narines pincées, se réfugiant dans ses rêves, pensant à son mari, pour oublier la sordide réalité. L'ado se met à respirer plus vite et adresse un sourire narquois à la petite bourgeoise de province. Elle n'ose plus lever la tête, activant ses mouvements du poignet afin d'en finir au plus tôt. Mais le Saoudien a d'autres idées en tête : il savoure ce moment où il tient cette chienne en son pouvoir. Il prend plaisir à rabaisser cette Occidentale.

Soudain, celle-ci sent des doigts sur sa nuque. Elle sursaute et éprouve un sentiment de dégoût. Mais Tahal poursuit, caressant de ses mains aux ongles grossiers la peau si satinée. Le gosse devine sa répulsion et, avec sadisme, touche son cou fin, puis frôle ses joues, avant de passer un doigt sur les contours de sa jolie bouche.

La blondinette détourne la tête mais il persévère, parcourt ses lèvres douces, les écarte un peu, avant de l'interpeller : - C'est bien! Mais maintenant, j'ai envie d'une pipe.

Elle ouvre les yeux de stupeur, n'ayant jamais imaginé que cela irait jusque-là. Mais l'élève vicieux insiste et appuie sur sa nuque afin d'abaisser son visage à quelques centimètres de son sexe dressé : - Regarde, ma cochonne! Tu sais que je me branle souvent en pensant à ton cul... Maintenant... Tu vas bien ouvrir ta bouche... Et sortir ta langue... Allez... Magne-toi! Horrifiée, elle n'arrive toutefois pas à protester, désormais physiquement dressée par son voisin Pierre Pivert.

- Vite!... A genoux... Suceuse de bites! Au service des hommes : là est ta place! persifle Ayoud.

L'insulte lui fait l'effet d'une gifle mais, affolée et complètement soumise, elle s'exécute, changeant de position. Elle descend du lit, toujours courbée. Elle n'a toujours pas remarqué Lasri qui, derrière elle, savoure le panorama que la fille lui offre. Son ami la tient toujours par l'arrière du cou et pousse sur sa tête : - Au boulot, sale Infidèle! Sors-moi ta langue, espèce de pute... Oui... Comme cela... Encore plus!

Elle s'exécute, passant celle-ci sur ses lèvres, dans une attitude complètement obscène.

- Bien! Allez, lèche la glace! poursuit son impitoyable tourmenteur : - Oui, c'est bien : lentement... Comme cela... Tu la fais fondre, et après tu l'avales tout entière!

L'auxiliaire sent une odeur acide et sale mais, docile, lui titille le gland avec le bout de sa langue experte, puis parcourt la hampe. Elle réprime une nausée lorsqu'il appuie à nouveau sur sa tête et que son sexe remplit sa cavité buccale, planté dans la gorge. Elle serre ses lèvres autour de la queue dure du garçon. Tahal ricane :

- On voit que tu as de la pratique!

Il attrape sa chevelure blonde et imprime un mouvement, faisant coulisser sa bite dans la bouche offerte. De l'autre main, il caresse les épaules de la créature de rêve et descend vers sa poitrine sous le fin chemisier. Dégrafant son soutien-gorge, Il prend l'un de ses jolis seins, le palpe avec douceur, joue avec la pointe de son mamelon qui se tend : - C'est bien... Continue... Tu as de beaux nichons, tu sais... Bien fermes... Je suis content... Lorsque tu es en cours, quand tu assures une surveillance, tu nous fais bander avec ta poitrine... Tu nous excites avec tes décolletés!

Derrière elle, Walid ne bouge pas et regarde. Il voit la pionne, une très belle blanche, cambrée, la tête entre les cuisses maigres d'Ayoud et observe ce dernier la tâter sans vergogne. Courbée, la fille lui présente de façon impudique ses fesses.

Il admire ses escarpins noirs à talons, les bas en résille qui gainent ses jambes superbes, sa peau laiteuse. Il contemple en gros plan ses globes fessiers qui ondulent, moulés dans le tissu gris de la jupe tailleur qui, déjà très courte, est remontée, dans cette posture, haut sur ses cuisses. Les boutons qui ferment le vêtement derrière sont à moitié défaits, ouvrant l'habit quasi à la lisière du postérieur.

Il n'a qu'à se baisser pour reluquer les jambes entrouvertes et contempler l'intérieur de celles-ci. Il se lève, le pantalon baissé, le sexe en érection et échange une œillade bestiale avec son condisciple. Aurore ne l'a pas entendu. Elle s'active sur le sexe de l'adolescent, afin de finir rapidement sa tâche infâme. Tahal gémit de plaisir et, d'une voix enrouée, la prévient : - Ooooh... Ouuui... Vas-y... Tu sais, Lasri lorgne ton beau cul... Ma belle!!! Ah! Ah! Ah! Ah... Tu vas te faire mettre!

L'assistante n'a pas le temps de saisir ce qu'il lui dit qu'elle sursaute, sentant deux mains se fixer sur son derrière. Ayoud la tient bien et elle ne peut remuer. Elle réalise alors ce qui se passe et hoquette de dégoût. Elle devine la pose humiliante dans laquelle elle se trouve, sa jupe à moitié ouverte ne cachant pas grand-chose de son intimité.

Elle est presque nue et complètement vulnérable.

En pleurs, désormais à quatre pattes sur le matelas, sous leurs insultes et commentaires salaces, toujours entre les cuisses de Tahal, ayant dû conserver le membre de l'étudiant dans sa bouche. Entre les deux jeunes saoudiens, affolée, elle sait qu'elle ne peut plus se dérober et pense à son époux. Sans scrupule, Walid défait un à un les boutons de sa jupe qui s'ouvre en révélant ses fesses haut perchées. Le léger string noir qu'elle porte lui rentre dans la raie. D'une claque sur le derrière, il lui fait écarter les jambes. Habituée à obéir, elle s'exécute, livrant pleinement son intimité à peine cachée. L'enfant d'Arabie s'approche, joue avec ses bas, parcoure la lisière du tissu puis, sans le moindre avertissement, lui écarte les globes fessiers, comme dans le plus pénible des cauchemars.

L'employée d'administration frissonne et ferme les yeux, s'appliquant sur la bite qu'elle suce tandis qu'elle sent repousser l'élastique du string et palper les parois douces de son vagin. Lasri frotte sa courte queue contre la vulve et fait entrer le gland à l'intérieur, jusqu'à ce que ses couilles heurtent la croupe. Alors, il se met à aller et à venir, la défonçant avec ardeur et la poussant en avant. Elle est profanée au plus profond de son corps. Sous les assauts de l'étudiant, la blonde voit la queue d'Ayoud s'enfoncer plus encore dans sa bouche et ses seins viennent à chaque fois frôler les draps rêches, achevant d'ériger ses tétons. Les deux arabes font pénétrer leurs sexes dans ses orifices. Tahal jouit le premier, éjaculant dans sa gorge, puis c'est au tour de Walid de lui remplir le ventre. La surveillante intérimaire se redresse péniblement, les cheveux en désordre, les lèvres humides, les yeux brillants, la respiration saccadée. L'élève persiste à la serrer dans ses bras par derrière, pétrissant ses seins douloureux qui pointent tels des obus.

L'autre gamin se relève à son tour, en regardant l'assistante droit dans les yeux. Il lui ordonne sèchement : - Tu peux partir, salope blanche... C'était bien... Tu as été très obéissante ...Et... Au fait... Inutile de mettre un soutien-gorge ou une culotte pour surveiller le cours demain... Vas, femelle... Tire-toi avant que j'ai envie de ta rondelle!

Aurore quitte le dortoir en entendant longtemps les rires assourdis des deux étudiants. Elle se rhabille en marchant, les mains tremblantes, et rentre dans sa chambre, désertant sa garde une heure en avance. Elle prend une douche, se sentant misérable, aussi bien physiquement que moralement, et s'effondre sur son lit.

Le lendemain matin, elle se lève comme un automate, résignée à obéir aux consignes des deux garçons dépravés. Elle va se vêtir, choisissant une robe noire en coton, légère et ample, sobre, boutonnée devant et au décolleté profond, dénudant sa poitrine un peu plus que prévu. La Cheffe de service, fébrile, l'enfile, se représentant les réactions que cela ne manquera pas de susciter chez les élèves.

Elle arrive en classe un peu stressée, prenant une profonde inspiration, puis entre ensuite. Elle aperçoit notamment ses deux tourmenteurs, au fond de la classe, à l'avant-dernier rang, en grand conciliabule mais ne faisant pas de bruit, manigançant à voix basse et la dévisageant avec des sourires visiblement ironiques.

Elle surveille le cours qui se déroule tranquillement et sans problème particulier, puis distribue les travaux pratiques préparés par le professeur absent. Elle parcoure les rangs pour tenter d'expliquer ou d'aider ceux qui, parmi la dizaine d'étudiants présents, le lui demandent. Soudain, Ayoub lève la main et l'appelle doucement :

- Madame... pouvez-vous venir s'il vous plaît?

Elle se dirige vers les deux jeunes et se penche vers l'adolescent qui vient de la solliciter. Ce dernier lui montre une feuille blanche et murmure en fixant son décolleté :

- Mhmmm... Tu vois... Cela te va mieux d'être la poitrine nue sous ta robe... Au fait... C'est bien d'étaler tes beaux nichons... Mais... Tu n'as pas mis de culotte, j'espère... Fesses nues et la chatte à l'air, comme je te l'avait demandé? Je vais vérifier...

Elle sent le garçon s'emparer de l'ourlet de sa robe et entreprendre de relever le tissu. Les joues cramoisies, elle se mord les lèvres pour ne pas crier, la main droite crispée contre la table, le regard vague. Lentement, le gamin découvre ses jambes, ravi de lui infliger ce tourment. Il remonte le vêtement jusqu'à la mi-cuisse, puis le soulève d'un coup, le rabattant sur ses hanches. Nul ne semble s'apercevoir de ce qui de passe. Sauf, bien évidemment, les deux ados saoudiens du dernier rang, abasourdis et excités de découvrir subitement et de cette façon le joli postérieur de leur surveillante. Tahal constate avec satisfaction qu'elle lui a obéi :

- C'est mieux, non?... Et... Dis-moi... Cela te plaît de montrer ton cul de salope blanche?... Tu as raison...Tu es bandante... Une vraie petite soumise... Enfin, la sonnerie retentit et les enfants sortent pour la pause, sauf les deux petits vicieux, qui restent assis. Quand tout le monde est parti, Lasri lui donne des consignes : - En fin de journée, on passera dans ta chambre pour voir tes habits afin de les choisir pour demain. Il y a encore un prof absent, en première heure. Tu seras de corvée!

Comme elle le craignait, ils la retrouvent vers 17h. Après un examen sommaire de ses frusques, ils sortent de la commode une chemise qu'ils lui tendent et lui ordonnent d'enfiler sur ses vêtements avant de commencer à la boutonner. Ils l'arrêtent après quelques instants : - Parfait, tu viendras ainsi fringuée! Je te conseille d'aller te changer dans les toilettes juste avant de rentrer en classe : si tes collègues masculins te voient ainsi, ils pourraient jaser! Car, évidemment, à part cette liquette, tu ne porteras rien d'autre en-dessous, hormis une paire de talons hauts!

Histoire de te sentir... habillée!

Et les deux élèves de s'en aller en riant. Aurore n'en dort pas de la nuit. Le matin, elle met l'habit et les chaussures dans un sac en plastique, s'enferme dans les WC, se change et s'installe à son bureau avant l'arrivée des adolescents. Ceux-ci, lorsqu'ils pénètrent dans la classe, sont ébahis par le spectacle offert. Jambes croisées, leur pionne les attend uniquement vêtue d'une chemise ample et dont le décolleté vertigineux dévoile ses seins à tous les étudiants qui la regardent de côté. Les pans de la liquette sont trop courts. Si elle se lève, nul doute que son vagin et ses fesses seront exposés en quasi-totalité. Alors que ses condisciples s'assoient dans un indescriptible brouhaha, Tahal prend la parole pour donner un nouvel ordre :

- Madame, vous devriez vous lever pour nous faire admirer votre tenue si sexy et si élégante!

Les joues cramoisies, la jeune femme se met debout, le bruit étant soudain remplacé par un silence assourdissant. Elle sait qu'elle est en train de dévoiler ses charmes.

Le garçon se lève et se dirige vers la blondinette, figée devant les élèves. Il la contourne et se positionne derrière elle, ses deux mains se dirigeant vers les boutons de devant : - Ne bouge pas! glisse-t-il à l'oreille de la surveillante, avant de poursuivre : - Madame, je constate que vous aimez exhiber vos formes. Vous me permettrez donc de vous soulager de cette liquette qui empêche une vision complète.

Et tandis qu'Ayoud termine d'enlever la dernière attache, il ouvre largement les pans de la chemise, dévoilant la belle poitrine d'Aurore et l'intégralité de son sexe délicat. La subalterne est morte de honte, nue devant dix gamins de seize ans. Son élève fait descendre le fin vêtement le long de ses bras et celui-ci tombe sur le sol :

- Maintenant que tout le monde a vu votre devant, il est temps de montrer votre derrière. Et la faisant pivoter, il expose à tous les globes fessiers de la secrétaire, ajoutant :

-- Je propose, Madame, que vous fassiez l'intégralité de votre surveillance dans cette tenue qui vous va à ravir. Je parlais des chaussures à talons hauts, bien sûr. Rien d'autre!

Les yeux embués de larmes, c'est uniquement vêtue de ses escarpins qu'elle répond aux questions des gamins, qui ne manquent pas de l'appeler pour de faux problèmes.

Ses seins sont palpés, son postérieur caressé. Des doigts se perdent tantôt dans sa vulve, tantôt dans son anus. Elle a l'impression d'être le travail pratique d'un cours d'éducation sexuelle. Fort heureusement, elle n'a, ce jour-là, qu'une seule heure de remplacement. La torture terminée, elle se rue dans sa chambre et s'y enferme, meurtrie.

La journée du lendemain s'annonce un peu moins pénible, pense-t-elle. Une excursion à la mer est prévue en car avec la classe. Un professeur masculin doit être aussi de la partie. Ayant emporté avec elle un sage maillot noir une pièce, elle apprend toutefois avec stupéfaction de la bouche même du Directeur, qui l'attend près du bus, déjà occupé par les dix gamins, que son collègue est subitement tombé malade : - Vous devrez assurer seule la surveillance des garçons. Avant d'ajouter ironiquement : - Amusez-vous bien! Je suis sûr que tout ira pour le mieux!

Abattue, elle s'assied à l'intérieur du car. Bizarrement, pendant les trois heures que dure le trajet, aucune remarque ne lui est adressée, les élèves parlant de sujets sans intérêt.

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