L'avilissement d'Aurore - Partie 07

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Infirmière sexy à domicile...
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/19/2020
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Chapitre 11 -- Une infirmière dévouée

A peine arrivée chez Pierre Pivert, elle se retrouve attachée, contrainte de tendre les fesses :

- Et bien, tu en as encore fait de belles! Mon ami le Directeur m'a fait un compte- rendu de tes performances au Lycée. Il tient ses informations d'un élève, un certain Ayoud.

Dix bites de gamins! Tu te rends compte! Ton cul et ta chatte vont bientôt devenir des halls de gare, vu le nombre de types qui te passent dessus! Je vais devoir te corriger pour réfréner tes pulsions sexuelles et ta nymphomanie. D'ailleurs, aujourd'hui, j'ai décidé de te garder pour moi tout seul! Allez, on va commencer!

Aurore encaisse en silence ces propos volontairement blessants, d'autant que le sexagénaire sait assurément que toute la situation est le résultat d'un odieux chantage. Obligée de compter les coups de cravache qui s'abattent sur ses globes fessiers, à raison de quinze sur chacun, elle voit ensuite sa bouche mise à contribution pendant près de trente minutes avant que son tortionnaire ne se décide à la sodomiser : - Ton trou de balle va bientôt ressembler à une roue de moto, salope!

Renvoyée chez elle, la jeune femme a reçu de nouvelles instructions pour le lendemain : - Tu iras à cette adresse demain, vêtue de ta jolie tenue d'infirmière. J'ai un copain qui a une jambe cassée et qui a besoin de réconfort. Tu iras trois jours de suite, le matin de 11h à 12h. Tu ne porteras pas de sous-vêtements. Par contre, tu veilleras à enfiler préalablement à ton arrivée chez mon ami tes boules de geisha devant et ton chapelet anal derrière. Je te conseille d'être une soignante dévouée et attentive aux demandes d'Alexis Maron. C'est l'identité de ton patient.

A 11h précises, après avoir sonné et attendu l'ouverture automatique de la porte d'entrée, elle est invitée par une voix lointaine à se rendre dans la chambre à coucher.

Elle y découvre un homme d'environ septante ans, aux cheveux et à la barbe blanche.

Celui-ci, la jambe droite plâtrée, est allongé dans son lit. Dès qu'il voit Aurore, il entame une petite complainte : - Bonjour, Mademoiselle, j'ai tellement mal, vous savez!

- Que puis-je pour vous, Monsieur? se force-t-elle à répondre, tandis qu'elle s'approche.

- Je me sens considérablement seul et frustré depuis que mon épouse est décédée. Vous pourriez juste me masser un peu? Ce faisant, Alexis descend le drap de son lit, exposant sa queue à moitié dure. Il sourit quand il voit la fausse soignante sursauter. Sa bite est vraiment grosse pour un type de son âge, se dit-elle. La vieille personne lui a déjà mis sa main autour du poignet, et le tire lentement mais fermement pour qu'il lui enserre sa queue. L'ancien collègue de Pierre est excité, la secrétaire étant probablement la créature la plus sexy qu'il ait jamais rencontrée. Son minuscule uniforme blanc et serré ne peut cacher ses seins parfaits, ses jambes galbées et son cul magnifique. Masturbant doucement le pénis, la beauté blonde constate que celui-ci devient de plus en plus long et épais.

- Oh oui! Cela va tellement mieux maintenant. Ne vous arrêtez pas, Madame! Continuez à me branler! encourage le vieillard encore vert. Il lâche le poignet d'Aurore, s'appuie sur ses coudes et commence à lui frotter la poitrine à travers l'uniforme. Il est étonné de voir à quel point celle-ci est ferme et ronde. Malgré l'épais tissu de coton, il peut aisément sentir ses mamelons devenir plus durs. La pseudo nurse pense l'arrêter : par ailleurs, elle veut aussi cesser de le toucher immédiatement et ne plus se laisser peloter. Mais elle sait qu'elle n'a pas d'autre option.

Aussi demande-t-elle :

- Vous allez mieux, Monsieur? se penchant plus près pour qu'il puisse tâter ses beaux seins.

Elle poursuit ses caresses sur la pine en érection. De l'autre main, elle masse les testicules poilus. Elle ne peut pas croire que le membre soit si imposant! La queue semble engorgée de sang. Elle sent son odeur virile et forte. Elle poursuit le lent mouvement de va-et-vient de sa main le long de la hampe. Elle remarque un léger suintement près du gland, et augmente de manière assez conséquente le rythme de son poignet, encourageant son « patient » d'une voix faussement langoureuse : - Vous allez venir, Monsieur? Est-ce que cela vous ferait plaisir d'éjaculer?

Maron continue à lui masser ses globes mammaires et gémit : - Oh oui! Ne stoppez pas!

Elle agite rapidement le membre et lui dit : - Vous aimez palper ma poitrine? Lorsqu'il acquiesce de la tête, elle continue ses encouragements : - Voulez-vous juter, Monsieur? Je veux que vous crachiez! Elle est si vulgaire que, même si le retraité veut se retenir et prolonger son bonheur, il ne peut s'empêcher de jouir. Aurore voit la bite devenir encore plus gonflée, et soudain, se mettre à gicler partout.

Pour autant, elle ne cesse pas le mouvement de son poignet, même si du sperme a atteint son uniforme et le bas de son visage : - C'est cela, Monsieur, venez pour moi! Est-ce que cela vous fait du bien? Vous aimez que je vous astique? Vous adorez que je mette mes doigts autour de votre sexe? Elle ne termine que lorsque l'éjaculation est complètement terminée. Puis elle prend un kleenex et nettoie le foutre.

- Merci, Mademoiselle, pour votre aide! termine Alexis dans un sourire : - A demain, à la même heure!

Le jour suivant, suivant le même timing, Aurore pénètre, à nouveau déguisée en soignante ultra-sexy et sans aucun dessous, mais avec les boules de geisha et le chapelet anal à l'intérieur de son corps, dans la chambre du vieux vicelard : -- J'ai toujours mal, vous savez! Il va falloir me soulager! Comme dans un brouillard, l'employée s'approche du lit.

Dès qu'elle arrive, le septuagénaire tend la main pour lui toucher ses seins. Il déboutonne le devant de son déguisement, le retire de ses épaules et le descend jusqu'à la taille, puis entreprend de lui lécher la poitrine, pinçant et tirant sur ses tétons roses en érection. Elle voit sa queue se dilater, et elle sait au fond d'elle-même qu'elle va devoir le masturber à nouveau. Mais il a autre chose en tête. Il met ses mains sur son cou et guide le visage de la jolie blonde jusqu'à ce que son petit nez mignon touche sa bite. Elle a compris et ouvre la bouche pour sucer le bout. Maron pousse un gémissement en sentant les lèvres chaudes et humides sur son gland.

Le papy pervers pose fermement ses doigts sur l'arrière de la tête de l'auxiliaire et enfonce sa pine dans la cavité buccale offerte, jusqu'à ce qu'il ait atteint une profondeur de 18 cm dans la gorge. L'infirmière, pour éviter une nausée, bave sur la bite, telle une salope bon marché. Elle bouge la tête de haut en bas sur la hampe, saisissant fermement la base du membre tout en le pompant et massant les couilles.

- Je veux que tu me fasses jouir, suceuse de bites! Je veux éjaculer en me servant de ta bouche, de ta langue, de tes lèvres. Je veux que tu me caresses les testicules et le pénis avec tes mains si fines et si douces... Je veux que tu branles mon vieux chibre... Je veux que tu embrasses mes boules molles et poilues... Je veux que tu lèches ma pine couverte de veines saillantes et bleutées... Je veux que tu suces mon gland violacé. Et enfin, je veux que tu avales toute ma semence, jusqu'à la dernière goutte.

Tu as compris, ma belle petite salope?

- Oui..., murmure faiblement la secrétaire.

Couverte de honte, elle sent le pommeau du sexe masculin se dilater dans sa gorge, et se met à bouger plus rapidement de haut en bas, pour l'amener à un orgasme satisfaisant. Elle est pressée d'en finir et est soulagée lorsque, quelques secondes plus tard, du sperme lui remplit la bouche. Elle suce et avale aussi vite qu'elle peut, mais le liquide épais et chaud déborde sur son menton. Satisfait, Alexis la congédie :

- A demain, même heure!

Et un scénario identique se reproduit le jour suivant à 11h : toujours nue sous sa tenue sexy d'infirmière, son vagin accueillant des boules de geisha et son rectum un chapelet anal, Aurore se rend dans la chambre occupée par le pseudo-malade.

- Je vous attendais! Vous arrivez juste à temps pour soulager ma douleur! gémit le retraité libidineux. Cette fois, la fille voit les deux mains épaisses du vieillard encercler son visage pour l'amener vers le sien. Les lèvres charnues de Maron se pressent contre les siennes. Sa langue s'insinue dans la cavité buccale de la soignante. Elle se sent abusée, salie, profanée, alors qu'il l'embrasse en salivant et bavant. Ce « baiser » ne dure que quelques minutes mais il paraît sans fin pour la cheffe de service. Un goût d'alcool et de cigarette lui reste au fond du gosier. Les doigts boudinés du septuagénaire commencent à déboutonner l'uniforme blanc de la soignante.

Puis, c'est la ceinture en coton cintrant la fine taille de l'employée d'administration qu'il détache. Lentement, il enlève l'intégralité du costume, dévoilant ses seins, son sexe et ses fesses. Elle est là, dénudée devant un homme qui a presque l'âge d'être son grand-père. Des larmes de honte, de dégoût et d'impuissance coulent sur ses joues : - Tssss.... Tssss..., feint Alexis de la consoler, ajoutant :

- Il ne faut pas pleurer, ma belle... Tu sais, je ne veux que ton bien et te donner du plaisir... J'espère aussi que tu m'en donneras! D'ailleurs, je te trouve passive... Je te rappelle que tu as des obligations vis-à-vis de tes patients... Viens au-dessus de moi que je puisse bien te caresser la chatte... Et que j'aie enfin la chance de m'occuper de ta fente et de ton clito... Et puis ensuite... On verra bien... On a bien le temps, non?

La tête inclinée vers l'avant, complètement à la merci de l'infâme débauché, elle sent que ce gros porc se délecte, dans un premier temps, de sa poitrine ronde et ferme, désormais située juste devant son visage. Déjà, les mains du vieillard courent sur la poitrine de la blonde : soupesant, palpant et pressant les deux globes, pinçant délicatement au passage les petits mamelons rosés rigides. La bouche et la langue du « patient » explorent et lèchent avidement, à grands bruits de succion, cette peau douce et lisse, se refermant sur les pointes dressées des seins. La jolie fille préfère détourner la tête, regardant par la fenêtre la clarté de la lumière.

Les tétons sont maintenant luisants de salive : - Tu as de belles loches... Humm... Ils sont magnifiques! ajoute le prétendu infirme en les enveloppant à nouveau de ses doigts calleux et sentant pointer les bouts désormais durcis. Centimètre par centimètre, ses mains descendent vers le mont de vénus de la belle mariée. Les pognes fripées du septuagénaire traînent maintenant le long de la taille et des hanches d'Aurore, avant de basculer vers sa croupe tonique sur laquelle elles se referment. Malaxant, comprimant le postérieur de celle-ci, il peut déjà fantasmer en imaginant toute la joie qu'elle va lui offrir lorsqu'il va la pénétrer analement. Continuant toujours à tâter le cul de sa main gauche, Maron fait doucement glisser sa dextre droite pour revenir flatter à nouveau le ventre plat de l'assistante administrative, avant d'apprécier la forme arrondie de son sexe glabre. Allongeant son index, l'ancêtre libidineux touche le renflement des lèvres de la vulve.

Il sent sa bite se dresser encore davantage. Il s'apprête à explorer avec ses doigts l'endroit le plus secret et le plus intime de la nurse. Enhardi par cette première découverte, il retourne ausculter la cramouille charnue et en trouve facilement l'entrée : - Oh, mais tu as quelque chose à l'intérieur? Laisse-moi t'enlever cet objet! Des boules de geisha? Pierre m'a dit que tu étais une cochonne, mais je n'imaginais pas à ce point-là! Laisse-moi t'aider à les ôter! Et joignant le geste à la parole, dans un « plop » obscène, il sort celles-ci d'un geste rapide et habile... L'obstacle ainsi dégagé, le majeur du vieux vicelard s'introduit dans le canal vaginal de la subalterne, qui le sent rentrer en elle en écartant les parois lisses. -- Ecarte les cuisses, salope! croasse-t-il, tandis qu'elle exécute l'ordre qui lui est donné. Cette fois, c'est avec deux doigts qu'il s'engage très délicatement et très profondément dans la chatte, fouillant et explorant ce chaud et spongieux réceptacle.

Il s'occupe maintenant du clitoris, fièrement dressé, gardant, telle une guérite, l'entrée de la vulve. Doucement, il fait remonter son index le long du con de la jeune femme pour aller à la rencontrer de ce pieu gorgé de sang. À sa grande surprise, celui-ci a déjà quitté son capuchon, étant en érection. Elle pousse un cri étouffé. Un cri de surprise, de déshonneur... De plaisir? La bouche entrouverte, sa respiration s'accélère, entrecoupée de légères plaintes. Va-t-elle jouir sous les caresses du vieil homme? Ce dernier, croyant sentir l'arrivée d'un orgasme qui secouerait sans doute prochainement le corps de la soignante, arrête subitement ses attouchements et lui ordonne d'une voix étranglée : - Il est temps de venir sur moi!

Tandis qu'elle s'empale sur le membre turgescent, la main du vieillard, pelotant toujours une fesse, trouve l'entrée de son anus et, voulant y insérer son pouce, ne peut masquer un cri de surprise : - Mais tu as aussi quelque chose dans le cul! Tu es pleine de surprises! Je vais t'aider à enlever ce qui, je pense, est un chapelet anal!

Mortifiée, ondulant désormais des hanches sur le sexe d'Alexis, elle s'active sur celui-ci. La tête basculant vers l'arrière, son visage se crispe sous le dégoût ressenti, tandis que perlent des gouttes de transpiration entre ses seins et au creux de ses reins. Soucieuse de mettre un terme à cette torture, la fille serre sa cavité vaginale, emprisonnant au fond de son ventre la bite du pensionné. Elle doit s'appuyer sur les épaules d'Alexis pour ne pas perdre l'équilibre. Elle pousse une série de gémissements, pour faire croire qu'elle vient d'atteindre l'apogée du plaisir.

La voix du septuagénaire la ramène à cette réalité qu'elle veut tellement fuir : - Tu as jouis, mon infirmière! Je t'ai amenée à l'orgasme. Tu as visiblement aimé ma queue...

D'entendre ainsi parler son tourmenteur donne à la mariée l'envie de vomir. Comment ce type peut-il croire un instant que j'ai pu avoir un orgasme? se dit-elle.

Alexis poursuit : - Maintenant, c'est à toi de me donner du bonheur!

Elle ne le dévisage toujours pas, bien trop honteuse pour affronter son regard lubrique.

- J'ai envie de te connaître de partout avant de ne plus te voir, car c'est aujourd'hui ton dernier jour à mon service. Je vais donc découvrir ta petite porte du paradis!

Il est en temps pour toi de guider mon sexe dans ton anus. Ensuite, tu t'enculeras toi-même, en montant et en descendant sur ma bite, comme tu viens de le faire avec ta chatte...

Compris, Aurore?

Opinant faiblement de la tête, la donzelle s'exécute, la mort dans l'âme. Après avoir sorti doucement de son vagin le membre du vieillard et mouiller son anus avec ses propres sucs, elle essaie de se détendre au maximum afin de faciliter l'intromission dans son rectum. Aussi l'introduit-elle avec une grande délicatesse afin de s'éviter toute souffrance inutile. Inexorablement, elle le fait s'enfoncer dans son cul. Une fois l'admission de la pine complètement terminée, elle entame son mouvement de va-et-vient. Plus je serai sensuelle, pense-t-elle, plus vite ce sera fini.

Après quelques minutes d'un pareil traitement, le vieil homme libère une éjaculation puissante et massive. Un flot de sperme se répand dans les entrailles de l'aide-soignante.

Elle se sent comme une prostituée forcée de satisfaire un « client » afin d'éviter qu'éclate un scandale qui détruirait sa famille. Comme les professionnelles, médite-t-elle, je me refuse à prendre le moindre plaisir. Elle a définitivement perdu toute estime d'elle-même, n'étant plus qu'une poupée gonflable aux mains de jeunes ou de vieux dégueulasses. Quand cet enfer finira-t-il? Si tenté qu'il se termine un jour...

- Je n'ai plus mal, Madame! Vous pouvez disposer! Grand merci pour vos services!

Toujours nue, elle entreprend d'enfiler ce costume grotesque qui lui sert de vêtement et, en pleurs durant tout le trajet du retour, de regagner péniblement son domicile.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

On se demande si Aurore va réussir un jour à se défaire de cet odieux chantage.

MaitrePolMaitrePolil y a plus de 3 ans

Hummm vous avez un grand talent pour la perversité je donne un 5 en attendant la suite.

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