LAURA 073: je cède au chantage 12/13

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Mon maître augmente son cheptel.
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Partie 73 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Finalement à côté de celui que j'occupe ce n'est pas un mais ce sont quatre petits chalets identiques à celui que j'occupe qui se montent rapidement.

Le vieux jardinier y travaille mais surtout comme maître d'œuvre car il est aidé par plusieurs hommes recrutés dans le village parmi ceux qui me sautent régulièrement.

Pour les dédommager le moyen de paiement prévu par Mathieu ce sont mes services sexuels mais aussi ceux de mes collègues (déjà prostituées ou en devenir) qu'elles soient consentantes ou non.

Donc en se vantant Amandine disait vrai, Mathieu envisage bien de mettre sur le trottoir cinq femmes moi y compris.

Viviane n'a pas résisté longtemps aux souffrances que Mathieu et Amandine lui infligeaient sachant qu'ils arriveraient à leur fin.

Elle a demandé à notre maître de la mettre sur le trottoir lui disant que si c'était sa volonté elle se soumettait et qu'il pouvait faire d'elle ce qu'il voulait.

Elle s'est prêtée à une longue séance photos et films qui seront diffusés pour être vus par un maximum de clients (clientes) potentiels (les).

Pour les clichés et le film concernant les relations sexuelles entre gouines j'ai du participer en prenant des poses et en faisant l'amour avec ma consœur.

Elle a rapidement commencé à tapiner sous surveillance acceptant sa nouvelle vie de prostituée.

Mathieu a précipité les évènements concernant l'augmentation de son cheptel car une autre femme prénommée Nadine est arrivée récemment.

Notre bourreau est passé maître dans l'art du chantage pour obliger des femmes, qui ont déjà fait des séjours chez lui, à y revenir définitivement.

Nadine est en phase dressage dressage accéléré et les souffrances ne lui sont pas épargnées.

Comme cela m'est arrivé précédemment elle passe ses journées et ses nuits à l'extérieur quelque soit le temps.

Pendant la journée, et parfois la nuit, des hommes qui rémunèrent Mathieu, viennent se soulager dans son vagin et dans son cul quand elle est prisonnière du carcan et aussi quand elle est attachée allongée dans l'herbe.

Quand elle n'est pas prisonnière du carcan Mathieu innove souvent dans le façon de l'attacher.

Il l'affuble de chaînes ou la saucissonne avec des cordes dans diverses positions très inconfortables et difficilement supportables.

Il veille à ce que sa chatte et son anus soient toujours accessibles aux verges des clients qu'il lui envoie.

Ils ont ordre de ne pas la libérer de ses entraves car elle n'est pas suffisamment soumise.

Pour la soumettre pendant les périodes où la prisonnière est inoccupée sexuellement Amandine s'amuse avec elle la pendant de différentes manières au palan qui est attaché à une grosse branche d'arbre.

Elle la frappe avec la cravache qu'elle promène maintenant tout le temps avec elle, la prive souvent de nourriture ou bien lui sert des croquettes pour chien que Nadine finit par ingurgiter pour faire cesser les coups qu'elle reçoit.

Sans pitié Amandine la fait saillir par Max son chien.

Je ne croise cette femme que brièvement et sans avoir beaucoup de contacts avec elle car elle est très prise avec Nadine en plus de ses occupations journalières habituelles.

Viviane je la vois sans avoir le droit de lui parler quand notre maître nous emmène tapiner ou bien quand il nous ramène chez lui notre journée de travail terminée.

Je la côtoie aussi le soir quand à genoux dans la cuisine nous avalons le repas servi dans des écuelles posées sur le sol avant d'être ramenées bâillonnées et tenues en laisse jusque dans nos chalets pour y passer la nuit attachées.

Souvent avant de pouvoir dormir nous devons faire l'amour à un ou plusieurs hommes qui paient Mathieu pour nos services sexuels.

Il arrive que le client veuille que Viviane et moi ensemble lui fassions l'amour, ce que nous faisons en silence car nous sommes filmées et espionnées en permanence.

Nous les putains il nous est interdit de communiquer entre nous, Amandine y veille passant de plus en plus de temps dans la propriété.

Satisfaite du rôle de garde-chiourme qu'elle joue et heureuse de pouvoir faire souffrir ses victimes elle utilise souvent sa cravache, parfois sans motif.

Pour Max son chien le cheptel de femelles augmente et comme sexuellement il ne peut pas suivre je suis saillie de moins en moins souvent.

Bien que Mathieu ait multiplié ses moyens de prospection afin de trouver de plus en plus de clients qui viennent le soir et même pendant la nuit se soulager directement dans un des chalets qui sont numérotés, mon corps est moins sollicité qu'auparavant.

En semaine, pendant la journée c'est la chatte et le cul de Nadine, qui prisonnière du carcan ou attachée de différentes façons dans l'herbe, sert aux clients de notre maître pour se soulager.

Bien que Mathieu l'ait déconseillé il arrive que certains hommes adeptes de la fellation libèrent sa bouche du bâillon et osent enfoncer leur queue dans sa gorge pour s'y libérer de leur sperme, ceci à leur risques et périls car elle n'est pas encore mâtée.

Certains prennent leur précaution au cas où elle voudrait mordre leurs pénis, ils passent une corde autour de son cou et menacent de l'étrangler si elle ne se comporte pas correctement.

Par chance craignant les représailles, car Amandine surveille pendant qu'elle est utilisée sexuellement, à chaque fois elle se plie aux exigences des hommes et suce les pénis mais si souvent au début elle recrachait le sperme elle a fini par l'avaler.

Cela lui a valu des coups de cravache car Amandine lui disait qu'une putain ne gâche pas la marchandise.

Ce qui me traumatise quand je reviens dans la propriété de Mathieu est le fait qu'il m'oblige à assister aux punitions infligées à mes consœurs souvent pour un motif futile.

Bien que je sois très obéissante il veut me rappeler ce que je risque si je tente de me rebeller ou de m'échapper.

Méfiant et n'ayant qu'une confiance limitée il emploie les moyens à sa disposition pour annihiler toute tentative de rebellion de ma part et il semble craindre que je disparaisse pendant que je fais le trottoir car là je suis souvent sans surveillance.

Voir la maltraitance que subissent les autres femmes, prostituées ou en devenir, quand elles sont pendues de différentes manières, frappées ou torturées, est difficile à supporter et ne peut que me rappeler que j'ai un maître qui a tout pouvoir sur moi et mon corps et que je dois marcher droit et obéir en toutes circonstances.

Ce jour là je suis assise à côté de Mathieu dans sa voiture et Viviane est à l'arrière pendant qu'il nous ramène de nos lieux de prostitution quand il franchit la grille d'entrée de sa propriété puis roule dans l'allée quand nous apercevons une femme qui attend assise sur l'une de des valises.

Je reconnais Jenny une femme venue ici avec son mari peu après leur mariage, j'avais du payer de ma personne pour en faire des excellents partenaires sexuels car leurs relations au lit étaient catastrophiques: un niais et une gourde ensemble le résultat ne pouvait pas être bon.

Je suis étonnée mais je ne dis rien. Mon maître lui jubile.

- j'ai réussi, enfin elle a quitté son mari. Je n'aurais pas besoin de la pousser beaucoup avant de la mettre sur le trottoir elle aussi -

Je comprends qu'il ne mentait pas le soir où il m'avait avoué poursuivre un objectif en s'intéressant au coupe Jenny/Sébastien.

En bon baratineur il a tramé derrière le dos de Sébastien pour que son épouse le laisse tomber et ceci dans le but de la prostituer elle aussi.

Il arrête sa voiture et en descend. ils discutent pendant un moment puis la femme, laissant ses bagages sur place, monte à l'arrière et la voiture redémarre avant de stopper devant le garage.

Comme d'habitude je prends l'initiative de retirer mes vêtements que je pose dans l'herbe, Viviane en fait autant.

Pendant ce temps Mathieu fouille dans son garage après y avoir remisé son véhicule, il dit à son invitée.

- déshabilles toi -

- pourquoi -

- ici les femmes doivent vivre nues en permanence -

- mais moi je ne suis pas une de tes putains, je suis venue uniquement pour vivre avec toi -

- je sais! c'est ce que je t'avais promis pour que tu laisses tomber ton mari mais je ne fais pas d'exception. Retires tes vêtements -

- tu ne vas pas me rabaisser et me mettre au même niveau que les traînées qui se déshonorent en vendant leur corps et en faisant le trottoir -

- si tu n'as pas encore compris ce qui va se passer pour toi c'est que tu es encore plus idiote que je ne le pensais. Maintenant à poil et vite -

Jenny ne bouge pas, notre maître qui sort de son garage tenant des chaînes dans ses mains les laissent tomber sur le sol et assène une paire de gifles violentes à la femme qui s'étale sur le sol.

- ici tu n'es plus rien, tu obéis et tu la fermes -

Jenny les larmes aux yeux hurle et se révolte inconsciente de s'être jetée dans la gueule du loup.

- tu crois que je vais me rabaisser comme tes putains le font. Je m'en vais, même si maintenant et à cause de toi je ne sais pas où aller, en quittant Sébastien tout le monde m'a rejeté -

- tu ne vas nulle part, tu es venue ici alors maintenant tu y restes -

Elle n'a pas le temps de se relever que l'homme l'immobilise et bien qu'elle se débatte elle se retrouve vite enchaînée.

Comme elle vocifère et hurle Mathieu va chercher une boule/bâillon, il l'étrangle pour l'obliger à ouvrir la bouche dans laquelle il introduit la boule de force puis attache les lanières du bâillon côté nuque.

- tu vas vite apprendre à obéir et à te taire. Maintenant tu fais partie des putains comme toutes les femmes qui sont ici -

Jenny gesticule beaucoup et se rebelle, elle essaie de parler et d'invectiver Mathieu malgré son bâillon.

- Mets toi dans le crâne que tu vas beaucoup souffrir et ceci jusqu'à ce que tu sois capable de faire le trottoir de ta propre volonté -

Il relève Jenny et énervé ne s'embarrasse pas pour le déshabillage, c'est rapide car à l'aide d'un couteau il coupe le chemisier, le soutien-gorge, la jupe et le string.

- tout ça ne te servira plus -

Il s'adresse à moi.

- la putain ramasse les oripeaux de la nunuche et mets les dans une poubelle, ils sont foutus et de toute façon elle n'en aura plus besoin.

Il attrape la femme en mettant ses mains sous ses aisselles et la relève.

- ne bouges pas, tu seras plus jolie avec un collier et une laisse -

Il retourne dans le garage pendant que Jenny hébétée et immobile le regarde faire, il en ressort avec un gros collier clouté et une laisse en cuir, il en affuble sa victime qui pleure réalisant dans quel piège elle est tombée et que Mathieu est maintenant maître de son destin.

- allez la putain, je vais mettre ta nouvelle collègue au frais puis tu vas manger car tu as encore des clients à satisfaire ce soir -

- bien maître -

- toi la connasse tu vas passer la nuit dans la cage car fainéante que tu es tu n'as pas gagné la somme minimum que j'exige de mes prostituées chaque jour -

- bien maître! je m'excuse encore de vous avoir déçu -

Nous le suivons pendant qu'il tire sur la laisse entraînant Jenny qui ralentit l'allure en se rebellant et refusant d'avancer, elle va jusqu'à se laisser tomber sur le sol.

Mathieu la frappe plusieurs fois, elle finit par le suivre plus docilement sans qu'il soit obligé de la faire avancer en tirant sur sa laisse.

Nous nous retrouvons dans le sous-sol de l'habitation où la femme qui recommence à gesticuler, ne voulant pas se laisser faire, se retrouve avec des lanières de cuir autour des poignets et des chevilles, comme ils sont solidaires de grosses chaînes qui coulissent dans des poulies fixées sur un mur elle se retrouve enchaînée les bras en l'air, les jambes écartées et les pieds touchant à peine le sol.

- bon la nunuche te voilà dans une position confortable. Je m'occupe de la putain et de la connasse, ensuite je reviens te sauter, tu ne vas pas t'en plaindre car tu es venue pour moi et ma bite -

Que sa victime arbore un visage défait et pleure ne semble pas l'émouvoir.

- au lieu de pleurer réjouis toi, bientôt ton cul va prendre du plaisir avec toutes les bites qui vont s'y soulager. La putain et la connasse peuvent te confirmer que ce n'est pas déplaisant de se prostituer pour moi -

Je ne vais pas le contrarier.

- oui maître! c'est un plaisir pour moi de faire le trottoir pour vous, c'est un beau métier et je suis contente de vous rapporter de l'argent -

Viviane n'a pas envie de prendre une raclée.

- notre maître a raison, il sait ce qui est bien pour nous -

Nous gagnons la cuisine, il met de la pitance dans des écuelles, accroupies et en silence nous mangeons puis nous quittons l'habitation.

Nous marchons dans le parc derrière notre maître jusqu'à ce que nous arrivions à l'endroit où se trouve la cage faite de barreaux métalliques, il enferme Viviane à l'intérieur.

- tu vas pouvoir t'amuser, Amandine va t'amener Max et te dire comment tu dois le faire jouir -

Puis il me ramène dans le chalet que j'occupe.

Il déplie la double planche montée sur charnières pour augmenter la surface de ce qui me sert de lit.

Il n'a pas le temps de m'attacher car trois hommes entrent sans frapper.

- bonjour Mathieu, nous ne pensions pas te voir ici. Nous sommes bien dans le bon chalet, c'est le numéro un que tu nous avais indiqué -

- oui! mais vous êtes en avance. Ce n'est pas grave, ma putain est prête à vous satisfaire. Je vous laisse avec elle -

- si cela ne te dérange pas et qu'elle est prête autant la sauter tout de suite -

- attachez là bien et mettez lui le bâillon quand vous en aurez fini avec elle -

- tu peux compter sur nous -

Mon maître sort du chalet pendant je m'allonge et que les trois clients se mettent nus ce qui est souvent la stratégie des hommes pour ne pas laisser de traces de leur adultère sur les vêtements et ne pas avoir de problèmes avec leurs épouses.

Il n'y a pas de temporisation, ils se ruent sur moi me pelotant partout pendant que je triture et masturbe les pénis que je peux saisir, tous ne sont pas en érection.

Quand ils se calment un peu, après avoir mis leurs mains partout sur mon corps, malaxé mes seins et trituré les mamelons ou enfoncé des doigts dans ma grotte et mon anus, je me mets à genoux et je commence des fellations passant d'un pénis à un autre sans m'attarder.

Rapidement pendant que je suce une verge s'enfonce dans ma chatte et y fait des aller retour. C'est ma gorge qui est d'abord arrosée de sperme puis rapidement mon vagin.

Ensuite je suce un membre gluant pendant que ma chatte est de nouveau occupée et défoncée puis l'homme qui m'a pénétrée se soulage sans que je n'amène à la jouissance celui à qui je fais une fellation.

Les trois clients se parlent et je me retrouve avec un homme sous moi, je l'aide à positionner sa queue à l'entrée de ma grotte et quand elle s'est enfoncée dedans une autre verge glisse entre mes fesses avant d'arriver à se placer contre mon anus puis d'y pénétrer sans douceur.

Les pénis vont et viennent dans mon corps pendant que je caresse et masturbe celle qui est inoccupée.

Une fois que les hommes se sont soulagés dans mon vagin et mon fondement ils changent de place et mes orifices sont de nouveau investis mais plus longtemps.

Je dois faire une fellation à celui qui attend son tour et surtout le remettre en forme car il a débandé.

si après avoir passé un moment à échanger leur place et à me défoncer les orifices deux clients s'arrêtent après trois éjaculations le troisième n'est pas satisfait.

A genoux derrière moi il me pénètre encore passant assez souvent de la chatte au cul et vice et versa.

La queue va et vient longtemps dans mon corps pendant que après avoir passé une main entre mes cuisses je caresse et malaxe ses testicules pour l'exciter.

Le plaisir que je n'arrive pas à contrôler monte dans mon ventre pendant que je serre les dents ne voulant pas extérioriser mon ressenti et je suis soulagée quand enfin la queue tressaute et déverse un reste de semence dans mon fondement.

Utilisant ma serviette de toilette les hommes s'essuient, se rhabillent puis comme demandé par Mathieu utilisent les sangles, qui sont en permanence fixées la planche qui me sert de lit, ils les attachent autour de mes poignets et de mes chevilles m'immobilisant.

Je suis ensuite réduite au silence à l'aide du bâillon/muselière.

Les trois clients s'en vont sans un regard pour la prostituée que je suis, ils sortent tout en discutant de ce qui vient de se passer et surtout de ce que nous fait subir notre maître.

J'essaie de m'endormir pendant que le sperme qui s'échappe de mon vagin et de mon anus coule et tache le plancher.

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