LAURA 072: je cède au chantage 11/13

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Deux gouines filmées.
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Partie 72 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Ce jeudi là en fin d'après-midi j'arpente le trottoir et je suis en pleine négociation avec un client potentiel au visage ingrat quand j'aperçois mon maître qui m'observe assis au volant de sa voiture (mal) garée à l'angle de la rue.

Je continue mon travail et l'homme à qui je viens d'énumérer les différents plaisirs que je peux lui procurer accepte de me payer pour ce que je lui propose: une passe plus un supplément pour une pipe.

Il marche à côté de moi pendant que nous nous dirigeons vers l'entrée du vieil immeuble où je me prostitue dans une chambre miteuse.

Arrivés près du lit il sort des billets de sa poche et me les tend. Il y a cent francs: quatre vingt pour la pénétration de mon vagin et vingt pour la pipe en supplément.

J'ouvre un emballage pour en sortir un préservatif pendant qu'à ma demande mon client met sa queue à l'air, tout en enfilant l'objet sur celle-ci je constate que son érection est loin d'être satisfaisante.

Pas ingrate, comme il a payé un supplément je retire mon maillot et mon soutien-gorge afin qu'il puisse voir mes seins pendant qu'il s'allonge sur le lit.

Concernant la culotte, pas de soucis de ce côté là mon maître m'interdit d'en porter donc pour éviter de le contrarier et ne voulant pas être punie je n'en mets pas.

- ma poitrine te plait mon chéri, tu peux la caresser pendant que je te mets en forme -

Il ne se prive pas et pelote mes seins pendant qu'avec une main je le masturbe, sa queue grossit et je finis de le mettre en érection en lui faisant une courte fellation pour éviter qu'il ne jouisse trop vite.

Je me couche sur le dos et retrousse ma jupe courte puis j'écarte les jambes tout en l'invitant à se mettre sur moi.

Je dois l'aider en positionnant la verge à l'entrée de ma chatte dans laquelle elle ne tarde pas à s'enfoncer, mon client donne des coups de reins pour la faire aller et venir dans mon ventre pendant que par moments je fais bouger mon bassin pour l'accompagner en calquant mon rythme sur le sien.

Comme la plupart des clients il ne résiste pas longtemps avant de jouir, j'attends qu'il se soit correctement soulagé avant de le repousser.

- c'était bon mon chéri -

- oui mais trop rapide -

- tu avais une trop grosse envie, il faut venir me voir plus souvent ainsi ce sera plus long et tu profiteras plus -

- je n'habite pas dans cette région, sinon tu me verrais plus souvent -

Pendant qu'il retire le préservatif et essuie son pénis avec un mouchoir en papier puis jette le tout dans la poubelle je remets mon soutien-gorge et mon maillot.

Mon client a remballé sa queue et remis de l'ordre dans sa tenue nous n'avons plus rien à faire dans la chambre.

Toujours accompagnée de l'homme je quitte la chambre, descends l'escalier grinçant et arrive à l'extérieur puis je dis au revoir à mon client et je me dirige vers mon bout de trottoir et c'est là que Mathieu qui a ouvert sa portière m'interpelle.

- hé la putain! viens par ici -

Dit devant les gens qui passent dans la rue et les autres prostituées, qui d'ailleurs se retournent se sentant apostrophées, ses paroles pourraient être blessantes mais je suis habituée à son vocabulaire et cela ne me fait ni chaud ni froid. Je me dirige vers lui.

- tu allais où? tu as bien vu que j'étais là -

- oui maître je vous avais aperçu mais tant que vous ne m'avez pas dit que ma journée de travail est terminée c'est mon devoir de continuer à tapiner -

- c'est bien d'être obéissante. Allez montes! on rentre -

Je fais ce qu'il me dit, il démarre le moteur puis quitte son stationnement et fait route direction sa propriété.

- pour te changer de toutes les bites que tu as pompées ou qui t'ont défoncé la moule pendant ta journée je t'ai trouvé un autre divertissement pour ce soir -

- qu'avez vous prévu pour moi maître -

- un client qui paie bien veut un film porno avec comme actrices deux gouines -

- qui sera la deuxième -

- tu es débile ou quoi! ta collègue la connasse (Viviane) a beau être eu cours de dressage elle va devoir faire ce que je lui demande et y mettre du sien pour se montrer à la hauteur -

Il m'explique qu'il faut que les scènes montrent deux femmes amoureuses qui se donnent avec ardeur l'une à l'autre.

L'essentiel étant dit nous ne parlons plus pendant que la voiture roule, arrivés devant le garage j'en descends et je me dirige vers le chalet en bois qui me sert de résidence et surtout de geôle. Une fois à l'intérieur je retire mes vêtements puisque en dehors des heures que je passe à tapiner je dois rester nue.

Surprise je constate que sur la planche qui me sert de lit une tenue est posée: il y a un corsage, une jupe plus longue que mes mini jupes habituelles et même un soutien-gorge et un string plus des escarpins à hauts talons.

Sans attendre qu'on me donne un ordre je revêts ces vêtements puis je me maquille et je me coiffe. J'attends que l'on vienne me chercher ce qui ne tarde pas vu que l'on sait que je suis prête car des caméras disposées dans le chalet me filment en permanence.

La porte s'ouvre et j'entend une voix qui est celle d'Amandine.

- allez la putain! suis moi -

Je sors du chalet pendant que son regard se porte sur moi

- pour une fois que tu ne ressembles pas à une pouilleuse ça change -

- merci pour le compliment madame -

- ne me remercies pas bonne à rien, même avec des jolis habits tu es toujours aussi laide, un boudin reste un boudin -

Comme d'habitude je ne réponds pas préférant ne pas l'énerver afin d'éviter les représailles sachant par expérience qu'elle est méchante et sait se montrer violente.

Je la suis pendant qu'elle se dirige vers l'habitation de Mathieu.

Nous pénétrons à l'intérieur, empruntons le couloir puis elle s'arrête devant la porte d'une chambre.

- entres là-dedans, tu sais ce que tu as à faire, avec Mathieu je vais regarder sur un écran alors ne nous oblige pas à te faire recommencer des séquences car il t'en cuira. Tu m'as bien compris -

- oui madame! je vais mettre du cœur à l'ouvrage pour que mon maître et vous soyez satisfaits -

- comme toutes les connasses dans ton genre tu es forte en paroles mais avec moi ça ne prend pas. Allez! ne lambines pas, mets toi au travail et montres toi un peu plus dégourdie que d'habitude -

J'ouvre la porte de la chambre, pénètre à l'intérieur et referme la porte.

J'aperçois Viviane ma partenaire qui est assise sur une chaise recouverte de tissu, elle fait semblant de lire un livre qu'elle tient dans ses mains.

- bonsoir ma chérie tu m'attendais -

- oui mon amour, je me languissais, ta présence me manquait -

- quand je ne te vois pas tu me manques trop et mon corps réclame tes caresses -

- je ne vis que pour les moments où nous faisons l'amour ensemble -

- viens dans mes bras ma chérie -

Viviane se lève, elle a revêtu une robe boutonnée dans le haut jusqu'à la taille ce qui va me donner du travail.

Le sourire aux lèvres chacune de nous s'avance vers l'autre parcourant les quelques mètres qui nous séparent.

Apparemment et vu qu'elle joue bien la comédie laissant penser qu'elle est amoureuse de moi, ma future collègue est dans de bonnes dispositions et ne veut pas contrarier notre maître, elle doit en avoir assez d'être battue et punie.

Moi comme d'habitude je suis soumise et bien rôdée, je me plie à toutes ses exigences sans me forcer.

Comme si c'était naturel nous nous collons l'une à l'autre, je passe mes bras autour de son cou pendant qu'elle étreint ma taille.

Je commence par embrasser partout sa figure, elle essaie de faire la même chose sur moi.

Je poses mes mains sur ses joues de façon à cacher ma bouche et pendant que je multiplie les bisous sur ses lèvres j'en profite pour lui parler en chuchotant doucement.

Puis quand je cesse de la biser et que je frottes mon nez contre le sien pendant que mon regard fixe le sien elle me répond de la même manière.

Ne voulant pas que notre brève conversation soit découverte par ceux qui nous observe Viviane abrège, ses lèvres s'écrasent sur les miennes et sa langue, dont elle arrive à sortir une belle longueur de sa bouche, pénètre dans la mienne.

Elle ne fait pas semblant et m'oblige à suivre le rythme, nos langues se battent comme deux chiens, se séparent puis se retrouvent dans des baisers prolongés pendant que chacune a commencé à caresser frénétiquement l'autre.

Si au début nos mains s'égarent sur les vêtements cherchant à caresser le maximum du corps de la partenaire c'est ensuite à des boutons du haut de sa robe que je m'attaque d'abord pour l'ouvrir et en écarter les pans pour atteindre sa poitrine en déplaçant également son soutien-gorge.

Viviane ne reste pas inactive, elle a soulevé mon corsage et une de ses mains passe de sein en sein en les caressant.

C'est elle la première qui glisse une main sous ma jupe, elle caresse mon sexe avant de mettre sa main dans mon string et de recommencer les caresses directement sur la peau de mes parties intimes.

Nous nous embrassons toujours fougueusement pendant que moi aussi j'ai soulevé sa robe et fait subir le même sort à son sexe.

J'écarte les pans du haut de sa robe et après l'avoir dégagé de ses épaules je fais glisser le tissu le long de ses bras puis de sa taille jusqu'à ce qu'il se retrouve à ses pieds.

Ma comparse déboutonne mon chemisier, et le dégage de mes épaules puis l'arrache presque avant de le jeter dans la chambre.

Puis elle tire ma jupe vers le bas, le vêtement tombe à mes pieds. Je m'en dégage en levant un pied puis l'autre.

Chacune notre tour, debout, nous alternons et caressons, embrassons ou léchons le corps de l'autre en commençant par le visage, le cou puis la poitrine après avoir dégrafé le soutien-gorge.

Avant qu'elle en fasse autant sur moi je me baisse, caresse et embrasse son ventre, je baisse son string et en fais autant sur ses cuisses puis son sexe.

Je me relève pour la laisser me faire subir le même traitement.

Pendant que chacune s'occupe du corps de l'autre des mots doux accompagnent nos actions:

- mon amour j'aime ton corps et je le mangerais si je pouvais -

- ma chérie comme tes lèvres sont douces et me font frissonner de plaisir -

- continue comme ça, j'ai trop attendu ce moment: ta langue et tes lèvres sur mon corps -

- mon amour je ne me lasse pas de tes caresses et du plaisir qu'elles me donnent -

Que ce soit en paroles ou en actes nous faisons notre possible pour satisfaire ceux qui nous asservissent ainsi que la personne qui leur a commandé le film dont nous sommes les actrices.

Maintenant nues toutes les deux et tout en nous embrassant avec ardeur nous nous laissons tomber sur le lit.

Là c'est baisers, caresses partout sur le corps de la partenaire en changeant souvent de position afin d'être parfaitement exposées aux caméras disposées à différents endroits dans la chambre.

Allongée sur elle je frotte ma poitrine contre la sienne ainsi que mon ventre et mon pubis contre les siens.

Quand Viviane en a assez de subir et décide de participer elle me retourne et se retrouve sur moi puis fait onduler son corps sur le mien.

Ensuite après que chacune se soit bien occupée avec sa bouche et sa langue des seins de sa partenaire puis des mamelons qui ont été sucés, aspirés et mordus nous nous mettons tête bêche l'une sur l'autre, d'abord moi sur elle.

Chacune s'applique à embrasser et lécher le sexe de l'autre puis avec sa langue à fouiller l'intérieur de la chatte ou à s'en prendre au clitoris.

Ensuite c'est Viviane qui se dégage et se retrouve couchée sur moi et nous refaisons la même chose avant de continuer couchées sur le côté, la tête enfouie entre les cuisses de la partenaire.

Elle est surprise quand ma langue s'active sur son anus puis elle ne peut que me faire la même chose et cela pendant quelques minutes.

Après un moment, pour varier, je me positionne à genoux entre les jambes de Viviane et avec ma bouche et ma langue j'embrasse et lèche alternativement ses cuisses, sa chatte et son clitoris pendant qu'elle gémit et que ses fesses bougent.

Quand elle juge que cela suffit elle me repousse et c'est mon sexe qui subit le même châtiment et je dois dire que j'y prends du plaisir alors comme elle l'a fait je gémis, mes fesses se trémoussent, j'en rajoute simulant le plaisir.

Quand j'estime que cela suffit je me dégage et de nouveau nous nous plaçons tête bêche et ce sont nos mains et nos doigts qui entrent en action, très échauffées ce n'est plus de la simulation pendant que nous passons à la phase principale de nos ébats.

Les sensations ressenties s'accentuent pendant que des doigts s'agitent dans nos grottes et anus et le pire c'est la masturbation des clitoris qui a tendance à nous rendre bruyantes.

Ce n'est pas toujours la même qui est sur l'autre et nous varions aussi en faisant ça dans diverses positions bien que certaines ne soient pas confortables.

Les doigtages de nos chattes et fondements ainsi que les masturbations des clitoris sont de plus en plus vigoureux et violents au fur et à mesure que le plaisir monte dans nos corps.

Le martyr que nous nous infligeons mutuellement dure pendant un moment et aucune de nous deux n'échappe au plaisir. Une fois que l'une de nous à amené l'autre à l'orgasme elle continue à doigter et masturber encore plus intensément sa partenaire jusqu'à la faire jouir plusieurs fois.

C'est presque un concours entre nous deux causé par le plaisir ressenti et chacune est contente et encore plus excitée ne s'arrêtant même pas de torturer quand prise de tremblements et râlant un orgasme emporte la partenaire et que les jets de cyprine s'échappent du vagin arrosant la main de la tortionnaire et le drap.

Un peu calmées et allongés sur le lit nous nous caressons, embrassons et léchons partout sans nous fixer longtemps sur un endroit du corps et en changeant souvent de position.

Les mots doux et encouragements à en faire plus qui n'ont pas cessé depuis le début se poursuivent pas seulement pour la galerie mais aussi parce que nous sommes toutes les deux prises dans le tourbillon de l'amour et qu'il n'y a plus de limites à nos envies de sexe.

Ce petit jeu qui avait pour but de satisfaire Mathieu et Amandine qui doivent nous observer sur un écran nous a finalement très échauffées et énervées.

Nous ne jouons plus un rôle, nous faisons l'amour avec des envies qui nous torturent le ventre.

Et de nouveau chacune doigte de nouveau la chatte et le cul de l'autre sans oublier de masturber violemment son clitoris.

Le plaisir n'ayant pas quitté notre ventre il redevient vite très important puis trop fort et si Viviane jouit la première elle fait en sorte de m'amener moi aussi à l'orgasme.

Nous atteignons le point de non retour plusieurs fois chacune, jusqu'à être épuisées par les jouissances sans se soucier de nos fesses et cuisses trempées par les nombreux jets de cyprine qui s'échappaient de nos vagins à chaque orgasme.

Allongées sur le lit, nous n'en pouvons plus, serrées l'une contre l'autre et enlacées nous récupérons.

Pour en terminer puisqu'il faut une fin comme dans tous les films, j'embrasse Viviane sur les lèvres et je me lève en disant:

- chérie je serais bien restée avec toi mais ton mari va arriver et il vaut mieux que je parte -

- dommage, tu vas me manquer mon amour, j'étais si bien avec toi -

- je sais ma chérie je suis déjà impatiente de te voir et de te faire l'amour -

- je vais m'habiller moi aussi, il vaut mieux que mon mari ne me voit pas nue car il se poserait des questions -

Nous nous rhabillons puis nous nous enlaçons nous étreignant fort et après plusieurs longs baisers langoureux j'ouvre la porte et je sors de la chambre.

J'attends dans le couloir.

Mathieu et Amandine ne tardent pas à apparaître et demandent à Viviane de se dévêtir et sortir de la chambre.

- dites donc les deux putes, vous y avez mis le paquet, on aurait cru deux gouines amoureuses en rut en train de faire l'amour -

- c'est ce que vous vouliez maître, nous avons essayé de satisfaire vos exigences afin que le film plaise à votre client -

- je suis sur que cela va plaire à mon client et que je vais en tirer un bon prix. Je pense aussi à le commercialiser -

Il s'adresse à moi:

- toi la putain, retires moi ces oripeaux, tu n'en a plus besoin. Pendant que je vais m'occuper de l'autre connasse Amandine va te faire manger puis te ramener dans tes quartiers -

Je suis Amandine jusque dans la cuisine, là elle remplit une écuelle et la pose sur le sol.

- manges la putain et plus vite que ça, je n'ai pas de temps à perdre, je veux voir Max mon chien prendre son plaisir en enculant ta copine -

Ayant très faim j'avale la nourriture puis je mets ma bouche sous le robinet de l'évier pour boire de l'eau.

C'est après m'avoir affublée d'un collier et d'une laisse que la méchante femme me conduit jusqu'au chalet puis une fois que je suis allongée sur la planche qui me sert de lit elle attache mes chevilles et mes poignets avec les bracelets en cuir qui sont fixés sur la planche m'immobilisant pour la nuit.

Avant de sortir de ma prison elle me lance:

- tu n'as pas de chance la putain, personne ne viendra te sauter que ce soit ce soir ou cette nuit mais tu peux toujours te branler pour passer tes envies malsaines -

Comme ci j'avais des envies! les sentiments ne sont pas là quand je fais l'amour aux hommes que Mathieu m'envoie ou quand je tapine.

Comme toute bonne prostituée je me montre professionnelle avec mes clients.

j'ai compris que les clients que Mathieu a fait venir pour le soir ou pendant nuit ne sont pas pour moi, c'est Viviane qui va être mise à contribution.

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