LAURA 074: je cède au chantage 13/13

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Je cherche à m'en sortir.
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Partie 74 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Bien qu'en semaine je passe mes journées dans le quartier chaud de la ville à faire le trottoir, donc à l'extérieur de la propriété.

En voyant plusieurs hommes qui régulièrement traînent sur les lieux sans consommer mais en observant beaucoup je sais que je suis quand même surveillée (tout comme d'autres prostituées) et que mes faits et gestes sont rapportés à Mathieu mon maître.

Je passe toujours mes nuits dans le chalet qui me sert de logement bâillonnée et les membres prisonniers de sangles fixées sur le plancher en bois qui me sert de lit.

Plus les jours passent et plus je dors souvent mal car des pensées noires tournent dans ma tête.

Maintenant que j'ai la certitude que Mathieu ne me lâchera plus avant bien des années j'ai peur et je cherche la solution pour me sortir de cet enfer.

Je continue à me prostituer en faisant le nécessaire pour que mon maître soit satisfait de mes gains journaliers ce qui n'est pas toujours le cas et me vaut d'être punie.

Puis, à force de ruminer, pendant que je tapine en ville dans le quartier chaud une idée me vient en tête.

Je propose à un client sympa qui vient me voir régulièrement de lui donner du plaisir supplémentaire gratuitement s'il me rend un service.

Il accepte de passer un petit coup de fil pour moi à une personne, n'ayant pas de monnaie sur moi et n'ayant pas la liberté de me déplacer je ne peux pas le faire moi même.

Il est venu pour une pipe, je m'applique à lui en faire une puis je m'allonge sur le lit et écarte les jambes.

- viens sur moi, mets ta queue dans ma grotte. C'est un acompte gratuit pour ce que tu vas faire pour moi -

Il se couche sur moi et me pénètre, comme il a déjà joui dans ma bouche il doit donner des coups de reins assez longtemps avant d'éjaculer, je fais bouger mon bassin en rythme avec lui.

Une fois qu'il s'est soulagé il se relève satisfait, enlève le préservatif et rajuste sa tenue en m'assurant qu'il fera ce que je lui ai demandé.

- je te remercie, dés que c'est fait viens me donner la réponse de la personne que tu auras au téléphone et tu auras le privilège de mettre ta queue dans mon cul -

A l'expression de son visage je comprends qu'il va passer le coup de téléphone et revenir me voir.

- comptes sur moi, je fais le plus vite possible -

- merci, tu es un ange -

Le lendemain l'homme revient me voir, je l'emmène dans la chambre où je me prostitue et après qu'il m'ait fait son compte rendu, pour le remercier, je lui fais une pipe et le laisse me sodomiser. Il me quitte heureux.

Je vais compenser la différence de gain en me servant de ce que j'ai gagné puis caché en faisant de choses supplémentaires à certains clients.

Le lendemain matin une femme m'aborde une carte de la ville dans la main, elle la déplie et me demande où se trouve un bâtiment administratif et où le situer sur le plan.

Nous parlons mais pas forcément de l'endroit qu'elle est supposée chercher puis elle s'en va dans la direction que je lui indique. Cela m'a fait du bien de voir cette femme et de lui parler, c'était mon amie Martine.

Quelques jours plus tard, en début d'après-midi je suis en train d'arpenter le trottoir quand un black grand et bien bâti surgit devant moi.

- alors la putain tu es en forme, j'ai un peu de temps et je vais en profiter pour m'occuper de toi et te faire horriblement souffrir -

Je reconnais Djawad un souteneur ami de Mathieu, il m'a déjà torturée une fois et j'en ai une peur bleue.

Je me tétanise sachant que ce n'est pas un tendre qui ne pense qu'à faire souffrir les femmes.

Ne pouvant pas faire autrement je le suis me demandant dans quel état je vais être une fois qu'il se sera occupé de moi.

Mais avant que nous soyons arrivés devant l'immeuble où il y a les chambres qui nous servent pour recevoir nos clients un événement imprévu survient.

Deux hommes qui portent un brassard au bras surgissent et exhibent des cartes de police, ils se plantent devant moi et m'interpellent.

- police, madame veuillez nous suivre, une plainte a été déposée contre vous pour vol et menaces de mort -

- je ne comprends pas, vous vous trompez de personne, je n'ai rien fait d'illégal -

- se prostituer est déjà illégal et un plaignant vous a formellement identifiée -

Djawad veut s'interposer.

- tu es qui pour cette putain? son maquereau? -

- un ami, on se promenait ensemble -

- à notre avis tu es son mac et tu te moques de nous, tu veux l'accompagner au poste avec une inculpation de complicité et aussi de proxénétisme -

- non! j'avoue que j'étais un client et que c'est la première vois que je fais appel à cette prostituée -

- montres nous ta carte d'identité -

Bien que contrarié Djawad s'exécute.

- on va regarder dans nos fichiers et on reviendra te trouver si tu nous a menti -

Le black reste là les bras ballants.

- allez! toi la putain suis nous -

Les policiers me menottent et m'emmènent vers leur voiture en me tenant chacun par un bras.

Une fois que je suis assise sur le siège arrière ils démarrent, le véhicule sort de la ville. Le flic qui est assis sur le siège avant droit se tourne vers moi.

- tends tes bras -

Il retire les menottes.

- on va t'amener chez ton amie Martine, c'est elle qui nous a contactés et c'est avec elle que nous avons élaboré le plan pour te récupérer. Il y a des vêtements décents dans le sac à côté de toi, tu peux te changer -

Sans pudeur je retire mes vêtements et mets ceux qu'ils m'ont amené.

Arrivés chez Martine, je prends une douche. Nous parlons avec les hommes de la suite des évènements.

Ils comptent se rendre chez Mathieu pour "faire des investigations" et l'interroger.

Il me disent qu'il faut qu'il ait une peur bleue afin qu'il me laisse tranquille.

Je passe la soirée et la nuit chez mon amie. Un coup de téléphone m'avertit que ma situation est réglée.

Le lendemain matin nous déjeunons. Je dis à Martine qu'en fin d'après-midi je dois aller chez Mathieu récupérer mon sac à main dans lequel se trouvent tous mes papiers.

Elle me le déconseille mais j'insiste. En voiture elle m'emmène jusqu'à la propriété puis à ma demande elle s'en va, je ne veux pas qu'elle soit vue de Mathieu ou d'Amandine.

J'entre dans la propriété de Mathieu, j'emprunte l'allée qui mène à l'habitation puis je sonne à la porte.

Mathieu ouvre et quand il me voit il reste un moment interdit puis je vois son visage changer. La rage monte en lui, des gifles et des coups de poings s'abattent sur moi.

Je tombe sur le sol.

- pourquoi me reprochez vous ce qui s'est passé -

- tu m'as donné aux flics, ils sont venus ici me menacer et ils risquent de revenir perquisitionner -

- je n'ai rien dis, je n'ai pas parlé de vous -

- alors pourquoi et comment ils me connaissent -

- il y a eu une dénonciation et suite à ça ils m'ont surveillée et suivie donc ils vous ont repéré -

- je ne suis pas obligé de te croire, tu es trop sournoise -

Je tente de l'amadouer avec un mensonge.

- c'est bien moi qui vais avoir des problèmes avec la justice et pas vous -

- je ne peux plus te garder mais avant que tu parte je vais t'en faire baver, allez entre connasse -

Je pénètre dans la maison et ça c'est une erreur surtout que je vois bien qu'il est très énervé.

Il me plaque au sol brutalement et entrave mes mains dans le dos à l'aide d'une serviette de table puis il téléphone.

- Amandine amène ton chien tout de suite, la connasse est revenue, je vais lui faire passer une nuit d'enfer à cette truie -

Il ne faut pas longtemps avant que Amandine ne rapplique avec Max.

Mathieu me relève sans ménagement et me traîne à l'extérieur en me tirant par les cheveux. Arrivés devant la cage faite de barreaux métalliques il libère mes mains et m'oblige à me déshabiller.

- entre la dedans et occupe toi de Max -

Prise au piège je fais ce qu'il me dit. J'ai du mal à maîtriser Max qui est très excité.

Je la caresse partout, son pénis n'a pas attendu pour grossir et sortir de son fourreau. Je prends le membre à pleine main et approche mon visage. Je lèche puis enfourne le pénis qui perd du liquide dans ma bouche tout en caressant son ventre et ses bourses avec ma main libre.

Il ne bouge plus mais tremble. Pensant qu'après ça je serais libre de partir je perds pas de temps. Les va-et-vient de ma bouche sont rapides si bien que rapidement je sens Max se raidir puis le pénis tressaute et une grosse quantité de semence envahit ma bouche.

Si j'en avale, j'en laisse aussi couler sur mon menton. Les bourses vidées Max se désintéresse de moi, il se couche et ferme les yeux.

Mon bourreau qui devait surveiller devant un écran ce que je faisais arrive rapidement et entre dans la cage. Je pensais qu'il allait me libérer mais je me trompais. Il attache mes poignets ensemble et je dois lever mes bras pour qu'il fixe mes liens à un barreau du toit de la cage.

- tu passeras la nuit comme ça, tu seras juste détachée quand quand quelqu'un viendra te défoncer le cul et crois moi tu ne vas pas chômer et bien en baver cette nuit car cela va être un défilé de bites dans te moule et ton cul -

Je reste pendue avec très peu de liberté de mouvements et le goût du sperme de Max dans la bouche.

La nuit tombe.

J'essaie de dormir mais obligée de rester debout les bras levés les douleurs m'en empêchent.

Quand je m'assoupis mes yeux ne restent pas clos longtemps, le temps me paraît interminable.

Soudain une lampe située au dessus de la cage s'allume, je pense que Mathieu veut mieux me surveiller.

Cela ne fait pas bien longtemps que Mathieu m'a laissée seule attachée debout et les bras levés à des barreaux supérieurs de la cage quand il revient en compagnie d'un homme.

- vas y Marco! amuses toi avec la putain et fais en ce que tu veux, elle ne mérite pas que l'on ait pitié d'elle -

- tu y vas fort mais puisque tu l'autorise si je ne suis pas satisfait je vais lui en faire baver -

- ne te gêne pas -

Mathieu tourne les talons pendant que Marco ouvre la porte de la cage et pénètre à l'intérieur.

Il libère mes poignets qui sont toujours attachés à un barreau supérieur de la cage.

Une de ses mains attrape mes cheveux, il tire dessus tout en m'obligeant à me mettre à genoux.

- tu vas d'abord me faire une pipe, étant une prostituée tu dois savoir faire ça bien -

Devant cet être violent je n'ose pas me rebeller.

J'ouvre la braguette de son pantalon, je mets une main dans son slip et en extrais le sexe qui est déjà en érection.

J'approche mon visage du membre que je lèche consciencieusement partout avant de l'enfoncer dans ma bouche et de commencer une fellation en faisant varier la vitesse et l'amplitude des va et vient de mes lèvres.

L'homme qui me tient toujours par les cheveux ne tarde pas à se raidir puis mets ses mains sur ma nuque et appuie plaquant mon nez dans sa toison fournie contre son ventre pendant qu'il éjacule.

De bonnes giclées de sperme envahissent ma gorge, j'avale au mieux le liquide tout en déglutissant avant que le quidam ne retire ses mains me permettant de laisser sortir sa queue de ma bouche.

Placé derrière moi qui suis toujours à genoux , tout en m'obligeant à me pencher en avant, il me tord un bras sans douceur.

Mon corps bascule en avant et je me retrouve la tête dans l'herbe ce qui est douloureux pour mon cou car mon crane est en appui sur le sol pendant que l'homme pénètre ma chatte et que sa verge y fait des aller retour.

Pendant qu'il me défonce il finit par lâcher mon bras qu'il tordait sans douceur puis il tire violemment sur les tétons les distendant de façon exagérée ce qui est très douloureux, je crie sans que cela le dérange.

Après un moment la queue tressaute dans mon corps pendant que Marco s'y soulage.

Il se retire et se met de nouveau face à moi pendant que son membre gluant perd de sa superbe.

- tu vas faire ce qu'il faut pour me remettre en forme ce qui ne doit pas être difficile pour une poule de trottoir, si tu n'y arrive pas je vais te mettre une bonne raclée -

Sans répondre je fais ce qu'il me demande.

Je me sers d'abord de mes mains, et cela pendant un moment, caressant et triturant le pénis avant de le masturber d'abord doucement puis de plus en plus vigoureusement.

Quand l'homme bande de nouveau j'approche mon visage de sa verge et je lui fais une fellation avec des aller retour rapides de mes lèvres que je serre bien autour du membre.

Il finit par me repousser puis il s'allonge dans l'herbe et me donne l'ordre de lui donner du plaisir.

Je me mets à califourchon au dessus de son corps et m'aidant d'une main j'introduis sa queue dans ma grotte.

Je n'ai pas le temps de commencer à remuer que le corps de l'homme se soulève et une paire de gifles atteint mes joues, saisie je reste immobile me demandant pourquoi cette violence.

- je n'en ai rien à foutre de ta chatte dégueulasse, c'est de ton cul que tu dois te servir que tu le veuilles ou non -

Je ne réponds toujours pas et voulant éviter qu'il ne se montre plus violent je fais ce qu'il m'a demandé.

Je positionne la verge sur mon anus puis je laisse descendre mes fesses, le membre s'enfonce lentement dans mon fondement jusqu'à y pénétrer entièrement puis je fais bouger mon corps pour le faire aller et venir à l'intérieur.

Je m'active longtemps pendant qu'il me donne des claques destinées à faire mal sur les cuisses, pour varier il pétrit brutalement mes seins ou martyrise les tétons qu'il tord ou distend sans douceur me faisant crier de douleur.

Je n'ai qu'une hâte c'est d'en finir avec cet homme et j'accélère les aller retour de mon cul sur la queue mais il n'a pas l'air pressé de vouloir jouir.

Je dois me donner pendant un bon moment avant de voir l'expression de son visage changer et de sentir son corps se raidir, enfin la queue tremble dans mon fondement et du sperme y coule.

Je me retire et me relève pendant que Marco les yeux fermés et le visage déformé par un rictus met un peu de temps avant de récupérer et de se mettre debout.

Il remballe son attirail mou et rétréci avant de s'occuper de moi.

Il me rattache à un barreau de la cage tout en m'insultant puis il part après m'avoir enfermée.

L'homme est parti depuis quelques minutes quand deux autres quidams apparaissent et entrent dans la cage commentant mon statut de prisonnière.

Dés que je suis libre de mes mouvements et qu'ils ont mis leurs sexes à l'air c'est accroupie que je passe de l'un à l'autre leur faisant des fellations non abouties avant que cela ne leur suffise plus.

C'est à genoux que je suce la queue de l'homme assis devant moi les jambes écartées pendant que son compère a enfoncé sa queue dans ma chatte et la défonce à coups de reins lents, il leur faut peu de temps avant d'arroser ma gorge et mon vagin de sperme.

Ils échangent leurs places et de nouveau ma bouche et ma chatte sont occupées par les pénis, je dois sucer nettement plus longtemps pendant que ma grotte subie l'assaut de l'autre verge.

Je dois avaler la semence qui se répand dans ma cavité buccale et ensuite mon vagin sert de vide-couilles.

Je reçois l'ordre de les faire bander et accroupie je caresse et masturbe les queues en me servant de mes deux mains.

Ensuite pendant que je masturbe un pénis je lèche ou suce l'autre jusqu'à ce que les deux hommes bandent correctement.

De nouveau à genoux ils se relaient pour me sodomiser et les pénétrations durent pendant un bon moment avant qu'un premier ne se laisse aller et éjacule dans mes intestins, le deuxième prend sa place et ses coups de reins sont violents pendant qu'il me défonce le cul.

Il met un peu de temps avant de réussir à arroser mon fondement.

Ils en ont assez et rajustent leur tenue avant de m'attacher de nouveau, ils sortent de la cage pendant que leur sperme s'échappe de mon corps et coule sur mes cuisses et sur le sol.

Je n'ai pas trop le temps de gamberger qu'un nouveau mâle ouvre la porte de la cage

Il m'enfonce un linge dans la bouche puis allongée sur le sol il m'attache de différentes façons veillant à toujours avoir accès à mes parties intimes et me pénètre dans différentes positions au gré de ses fantaisies.

Il s'active en solitaire et arrive à prendre trois fois son plaisir dans mon corps en ne s'aidant qu'une fois et brièvement de ses mains pour se remettre en érection.

Je reste seule pendant un petit moment et je commence à sommeiller quand un groupe de cinq hommes survient, sans attendre ni préambule ils s'en prennent à moi et surtout à mon corps.

Si au début je participe un peu en caressant et suçant des pénis rapidement c'est l'hallali, dépassée par les évènements je subis.

Les queues se succèdent dans ma bouche et comme ils me prennent à plusieurs en même temps ma chatte et mon cul sont aussi occupés en permanence.

J'avale autant de sperme qu'il en coule sur mon menton et mon vagin et mes intestins sont bien arrosés eux aussi.

Je finis par jouir moi aussi et pas qu'une fois car toutes les pénétrations successives qui finissent par durer m'apportent du plaisir qui arrive à être insupportable.

Quand ils en ont fini avec moi je suis très fatiguée, dans un état second et je tiens à peine debout pendant qu'ils attachent mes poignets à un des barreaux supérieur de la cage et à cause de mon manque de forces mes bras sont bien étirés.

Le groupe reparti je n'ai pas la possibilité de récupérer car je me fais encore défoncer par plusieurs mâles qui se succèdent à peu de temps d'intervalle sans se rencontrer.

Même si je ne suis plus en bon état et que n'en peux plus, je dois satisfaire leurs exigences sexuelles, ils ne sont pas entièrement satisfaits devant se contenter d'orifices déjà bien défoncés et dégoulinant de sperme.

Du coup deux d'entre eux un peu dégoûtés par mon état ne se soulagent que deux fois chacun dans mon corps avant de me rattacher et de quitter les lieux.

Le jour commence à se lever quand je me retrouve seule, un dernier mâle est parti après s'être soulagé dans mes trois orifices tout en se plaignant de l'état lamentable dans lequel je suis: mon corps plein de sperme, ma chatte et surtout mon cul défoncés.

Je reste prisonnière car il m'a rattachée et a fermé la porte de la cage à clé.

Je ne sais pas comment Mathieu s'y est pris pour trouver et faire venir autant d'hommes avec des horaires assez précis mais pendant toute la nuit le sommeil n'a pas été pour moi car je n'ai pas arrêtée d'être la proie d'hommes qui se succédant n'ont pas cessé de me défoncer.

Je suis loin d'être en bon état avec la fatigue et mes orifices douloureux.

Je somnole quand j'entends le bruit d'une clé dans la serrure de la porte de la cage.

J'ai mal et froid, j'ai hâte de voir le jour se lever et surtout la température remonter.

je regrette de ne pas avoir écouté mon amie Martine, je voulais récupérer les quelques affaires personnelles que j'ai ici car je ne voulais pas laisser de traces de mon passage et c'était une erreur que je paie au prix fort -

Le chien qui s'est tenu tranquille pendant la nuit est maintenant réveillé, il tourne autour de moi et me renifle, il essaie de grimper sur moi mais vu que je suis debout c'est impossible, il ne peut que lécher mon bas ventre car dans ma position je suis dans l'impossibilité d'écarter les jambes.

C'est Amandine qui fait son apparition.

- alors la putain la nuit a été bonne, avant de dégager d'ici tu vas donner un dernier plaisir à Max -

Elle me détache et je fais ce qu'il faut le pour mettre en érection puis je lui fais une fellation.

- dans ton cul la putain -

j'obéis et après avoir couché Max sur le dos j'enfonce péniblement son pénis dans mon cul puis m'aidant d'une main je le fais aller et venir à l'intérieur. Je dois m'activer pendant un bon moment avant de sentir le membre gonfler puis envoyer des jets de sperme dans mon fondement.

J'attends un peu puis je me relève, le pénis sort de mon cul avec un bruit de succion puis je me relève pendant que le liquide coule sur le sol.

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