La nouvelle vie de Christine

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Soumission d'une belle-mère.
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Partie 1 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur "MILowner"

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*

La belle-mère n'a pas su résister.

L'histoire qui suit a commencé il y a près de 10 ans alors que moi-même j'avais 20 ans.

Après avoir été viré par mes parents, je suis parti vivre dans la maison de ma petite amie du moment. Dans cette maison, vivaient les parents de ma copine. Sa mère Christine avait 39 ans et son père Alain 44 ans. Elle avait aussi une sœur, Alice qui allait sur ses 17 ans.

Au début j'étais un peu gêné par la cohabitation. Mais, comme au bout de deux mois, ma copine s'est vu offrir un stage à l'étranger avec une opportunité de travail, sa mère Christine, qui était toujours très gentille avec moi, me proposa de rester tant que je voulais. Elle savait en effet que je ne pouvais pas retourner chez mes parents.

Les six mois suivants, j'allais et venais comme je le souhaitais. Et la famille était contente que je donne 150 euros de loyer par mois.

C'est pendant cette période que je me suis rendu compte que le père de famille Alain était constamment en colère. Il était souvent parti pour de longues durées mais lorsqu'il rentrait du travail, il était toujours complètement saoul et en profitait pour insulter sa femme. Il la traitait de pute et de grosse salope avant de monter à l'étage et s'écrouler ivre.

Elle passait ses soirées au salon, regardant la télévision attendant qu'Alain s'endorme pour se faufiler dans le lit.

Un jour, une dispute attira mon attention. J'entendis Christine crier à Alain :

- Comment oses-tu me traiter de pute alors que tu vas baiser partout aux alentours!

Et en descendant rapidement les escaliers elle ajouta :

- Voilà pourquoi tu ne m'as pas touché depuis trois ans!

- Désolé! Me dit-elle alors qu'elle alla s'enfermer dans la salle de bain en pleurant.

A partir de ce moment, j'ai commencé à regarder Christine différemment. Elle n'avait pas fait l'amour durant ces trois dernières années, depuis ses 36 ans.

Alors, au lieu de sortir en soirée, d'aller au Bistrot, je restais à la maison afin de tenir compagnie à ma logeuse.

Un jour, alors que j'étais seul à la maison, je suis tombé sur ses sous-vêtements et fus agréablement surpris de me rendre compte que sa lingerie était très sexy. Pour une femme en manque depuis si longtemps, elle savait toujours comment se sentir séduisante.

Au cours des mois passés, en la voyant porter des hauts serrés, je savais qu'elle avait de très beaux seins ce qui m'a été confirmé par l'étiquette d'un soutien-gorge indiquant un 95 D.

Dans sa table de chevet, je trouvai un canard en plastique. Je devinai son utilisation immédiatement. Ce jouet était sûrement la seule chose qui avait aidé sexuellement Christine durant ces trois dernières années.

Alors, au cours des prochaines semaines, je commençai à prendre des douches en laissant la porte entrouverte alors que je savais que Christine n'était pas très loin. Le matin, alors qu'elle se préparait pour le travail, je me levai nu et marchai jusqu'aux toilettes sur le palier.

Puis, mes horaires de travail ayant changé, je commençai plus tard et donc j'étais toujours à la maison lorsqu'elle se préparait.

Elle était gestionnaire dans une grande entreprise dans la ville voisine. Elle se levait à 7 heures pour partir au travail à 8 heures.

Donc je pris l'habitude de laisser ma porte de chambre ouverte la nuit afin de la voir passer le matin pour aller de sa chambre à la salle de bain.

Alors que normalement j'avais un aperçu d'elle, une courte serviette enroulé autour de ses gros seins, au bout de quelques semaines, je remarquai un changement subtil dans son comportement. Elle allait à la salle de bain avec juste une nuisette puis en revenait en culotte et soutien-gorge. Un jour, elle n'avait qu'une petite culotte, ce qui me permit d'admirer sa belle poitrine nue.

Puis un matin, un mercredi car je me souviens que nous étions en milieu de semaine, attendant que Christine se lève, je poussai ma couette afin que mon sexe soit bien visible. Puis, tout en faisant semblant de dormir, je me tournai de telle sorte qu'elle puisse bien voir.

Lorsqu'elle passa dans sa nuisette, elle jeta un coup d'œil mais continua jusqu'à la salle de bain. Puis j'entendis la douche. Mais à la différence des autres jours, lorsqu'elle est revenue, elle s'est arrêtée un court instant, ses yeux se posant sur ma verge. Ce matin-là, elle passa devant la porte à huit reprises, soit trois fois plus que d'habitude, tout en s'arrêtant pour jeter un coup d'œil. La sixième fois, la porte grinça un peu alors qu'elle essayait d'avoir une meilleure vue. La septième fois, entre mes paupières presque closes, je la vis dans ma chambre presque au pied de mon lit. Elle y resta près d'une minute puis disparue dans sa chambre.

Lorsqu'elle en ressortit, complètement habillée, de nouveau elle jeta un regard insistant sur mon lit puis elle se tourna vers les escaliers, avança puis s'arrêta. Je suppose qu'elle combattait la petite voix dans sa tête qui lui disait de revenir en arrière pour regarder encore.

Redémarrant, et attrapant la rampe de l'escalier, elle s'arrêta de nouveau, se retournant pour regarder la porte de ma chambre.

En fin de compte, la voix coquine dans sa tête eut raison d'elle, femme négligée sexuellement depuis trois ans. Doucement, elle revint dans ma chambre, la chambre du petit ami de sa fille, et s'approcha à moins d'un pas de ma nudité.

C'est alors que j'ai ouvert rapidement mes yeux. Christine sauta en reculant. Mais ma main droite réussit à saisir son poignet avant qu'elle ne fuit.

Ma main gauche saisit ma bite et commença à coulisser afin de la faire grossir devant ses yeux.

Aucun de nous deux ne parla jusqu'à ce que mon sexe soit debout, en totale érection, 18 cm de long et aussi large que le poignet de Christine. Alors que ses yeux étaient posés sur mon membre elle déclara :

- Je ne devrais pas être ici, je dois aller travailler.

Pourtant je ne sentais pas beaucoup de résistance alors que je tenais toujours son poignet.

- Christine? Vous savez bien que si vous êtes ici c'est que vous voulez être ici!

- Non, je dois y aller! répondit-elle

Mais comme elle n'essayait pas de retirer son poignet je savais que ses mots étaient en contradiction avec ses envies.

- Nous savons bien tous les deux que vous ne voulez pas partir au travail n'est-ce pas?

Elle ne répondit pas cette fois-ci et n'essaya pas non plus de s'éloigner. Je décidai alors de ne pas laisser passer l'occasion.

Lentement, tout en lui parlant, je l'ai tiré vers moi afin qu'elle se tienne à côté du lit au niveau de ma poitrine, ma main droite tenant toujours son poignet gauche.

- Maintenant, Christine, vous allez prendre ma bite avec votre main droite

Elle hésita, mais leva lentement la main, la déplaça vers mon membre tendu. Alors qu'elle était à moins de 5 centimètres, elle arrêta son geste, le doute se glissant dans son esprit, la raison se débattant avec la voix coquine dans son esprit. Mais une fois de plus, la voix gagna. Sa main ouverte se déplaça et je sentis ses doigts fins et lisses entourer ma verge pour la première fois. Alors qu'elle fermait sa main sur mon membre, je fus fier de constater qu'il y avait encore un écart entre son pouce et son index.

En regardant sa main lisse avec ses ongles peints en rose, je libérai son poignet.

Comme je l'espérai, Christine n'a pas bougé ni lâché ma bite.

- Maintenant, branlez-moi Christine! ai-je demandé.

De nouveau elle hésita, mais seulement une fraction de seconde. Puis elle serra légèrement sa prise puis tira vers le bas, libérant la tête de mon gland, sur lequel il y avait une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire. Sa main remonta jusqu'à couvrir le bout de ma queue puis elle redescendit.

Gardant cette technique en rythme pendant quelques minutes, le résultat fut que j'éjaculai. Mon membre ainsi que la main et les doigts de la femme deviennent visqueux.

Durant tout ce temps le regard de Christine était resté sur mon bas-ventre si bien qu'elle s'est à peine rendu compte que ma main droite était maintenant entre ses jambes.

Inconsciemment, elle a écarté un petit peu ses pieds et mes doigts ont eu un accès plus facile aux plis de sa chatte.

A ce stade, je décidai de retirer ma main afin de tirer sur la fermeture éclair qui ferme sa jupe grise. Puis en tirant un peu sur celle-ci, elle descendit et tomba sur le sol à ses pieds.

Pour la première fois, elle baissa les yeux mais je vis dans son regard qu'elle ne voulait pas stopper ce qu'il se passait. Avec plus de vigueur, elle recommença à me branler afin que mon membre regrossisse.

Je pris un moment pour admirer ses jambes gainées de bas noir ainsi que son cul magnifique dans une petite culotte de dentelle noir.

- Arrêtez de me branler Christine et enlevez votre veste et votre chemisier!

Même si je devais stopper, pendant quelques minutes, le plaisir qu'elle me donnait, j'avais trop envie de voir ses seins. Elle enleva sa veste grise puis déboutonna son chemisier bleu.

Alors que chaque bouton était défait, son décolleté impressionnant s'ouvrit sur un soutien-gorge noir assorti à la culotte. Enfin le chemisier rejoignit la jupe sur le sol.

- Vous êtes magnifique, à faire bander un eunuque! Rapprochez-vous un peu!

Elle enleva la jupe autour de ses chevilles et s'avança au niveau de ma tête, sa petite culotte mouillée à courte distance de ma bouche.

- Inclinez-vous!

Elle se pencha en avant. Je détachai son soutien-gorge et fut étonné de voir ses seins tomber sur ma poitrine. Je lui dis de rester penchée alors que je laissai le soutien-gorge rejoindre le reste des vêtements à terre.

J'ai approché ma tête de ses nichons puis j'ai pris son mamelon gauche dans ma bouche afin de le sucer. Elle laissa échapper un petit gémissement. Ma langue travailla son petit téton qui devint très dur.

Quand je me retirai, son mamelon était engorgé et pointait au milieu de l'auréole sombre de son sein.

En lui montrant ma bite gonflée par les derniers événements, je lui dis :

- Maintenant je veux que vous vous releviez et que vous vous tourniez vers mon engin!

Tout en poussant son dos avec la paume de ma main afin qu'elle comprenne ce que je voulais, j'ajoutai :

- Penchez-vous et sucez-moi Christine!

J'eus le sentiment qu'elle n'aurait plus aucune hésitation maintenant alors que je voyais qu'elle baissait volontairement la tête et que ces lèvres recouvertes de rouge à lèvres s'ouvraient pour ma bite.

Moi-même je gémis quand la mère de ma copine engouffra mon membre dans sa bouche. C'était délicieux. Je levai à nouveau la tête afin de la regarder faire. Elle utilisa sa main droite pour saisir la base de ma queue puis elle ouvrit la bouche très largement afin d'essayer de faire entrer mon sexe à l'intérieur de sa bouche humide et chaude. Finalement, après environ deux ou trois minutes et un peu de salive, en étirant bien ses lèvres, 12 ou 15 centimètres de ma bite étaient dans sa bouche alors que ses lèvres touchaient sa propre main.

Je suis retombé en arrière dans le lit et j'ai savouré cette fellation pendant cinq bonnes minutes. Puis j'ai attrapé sa culotte pour la descendre au niveau des genoux et je lui ai demandé d'écarter ses jambes autant que sa culotte lui permettait.

Elle a ouvert ses jambes jusqu'à ce que sa culotte soit tendue entre ses deux genoux. Je mis ma main entre ses cuisses, et je pris le temps de frotter avec mon index les plis charnus de sa chatte humide puis ayant trouvé son clitoris, je poussai mon doigt dessus.

Sortant ma bite de sa bouche, elle hurla subitement et bruyamment comme une adolescente qui n'avait jamais été touchée auparavant.

- Continuez à me sucer! Lui dis-je

Elle se remit au travail immédiatement.

Je continuai à doigter son clito alors que mon pouce pénétrait son trou humide. J'étais surpris de sentir comment sa chatte était serrée après deux enfants. Je voulais en profiter et la baiser.

- Votre chatte est fantastique Christine. Je ne peux pas attendre, je veux vous pénétrer.

Elle n'a même pas arrêter de sucer pour protester ou m'interdire de la baiser. Un autre signe qui me montrait que toute résistance avait complètement disparue.

Pendant cinq minutes, nous nous sommes faits mutuellement plaisir, elle avec ma queue dans sa bouche, et moi avec un doigt coincé en permanence sur son clitoris alors que deux autres doigts investissaient sa chatte.

Puis je lui ai demandé de se mettre à cheval sur mon visage. Je voulais goûter son jus avant de la pénétrer.

Elle se leva, finit d'enlever sa culotte pour la jeter avec les autres vêtements. Puis elle monta sur le lit afin d'abaisser sa chatte sur ma bouche.

- OH PUTAIN OUI! déclara-t-elle bruyamment.

Ce fut les premières paroles de Christine qui indiquaient son plaisir. Mais un instant plus tard, elle cria de jouissance alors que ma langue avait trouvé son clitoris. Elle serra ma tête avec ses cuisses poussant son bassin afin que ma langue s'enfonce profondément dans son trou. Pendant 10 secondes l'orgasme la fit trembler. Tant d'années de frustration et refoulement s'effacèrent dans son cri.

Alors que je sentais le doux arôme de sa chatte, je sus que ce ne serait pas la dernière fois que je la goutterais.

Alors que Christine baissa la tête et aspira ma bite le plus profond qu'elle pouvait au fond de sa gorge, je lui demandai :

- Savez-vous que vous avez un goût incroyable Christine?

Elle ne répondit pas. Et cela ne me dérangea pas alors qu'elle faisait glisser sa bouche rapidement de haut en bas le long de mon membre. Je sentis que je ne pourrais pas tenir encore longtemps si elle continuait sur ce rythme.

Mais je voulais me trouver dans une position où je pourrais avoir le contrôle. Alors je l'ai poussée sur le côté, afin qu'elle glisse à genoux sur le côté du lit. Puis je me suis levé au-dessus d'elle pour la première fois.

Ses grands yeux bruns se levèrent sur ma bite qui se balançait au niveau de son visage. Je vis dans son regard que l'excitation était toujours là.

- Sucez-moi encore!

Elle se releva légèrement sur les genoux et recommença à me sucer avec la même vigueur qu'auparavant. Moins d'une minute plus tard, j'étais de nouveau près de l'explosion. J'ai failli lui dire que j'allais éjaculer mais en fin de compte je décidai que la surprise serait plus excitante.

Alors qu'elle enfonçait ma queue au fond de sa gorge, j'utilisai ma main gauche pour tenir sa tête en place. Elle me regarda comme si elle savait ce qui allait se passer. J'éjaculai une première décharge de sperme et ses yeux s'agrandirent alors que sa bouche se remplissait.

En sortant ma bite de sa bouche, je luis dis :

- Avale!

Puis une autre décharge sortit de mon sexe, atterrissant sur le côté droit de son nez, couvrant le coin de l'œil et glissant au-dessus de sa lèvre supérieure.

Enfin, tenant ma verge droite, la dernière décharge tomba sur son menton et ses seins.

- Tu as l'air encore plus sexy avec mon sperme sur ton visage Christine. Maintenant, remets ma bite dans ta bouche!

Elle n'accorda pas d'attention aux fluides sur son visage et se relevant légèrement sur ses genoux, elle recommença à sucer ma bite qui n'avait pas perdu toute sa dureté.

Je voulais récupérer un peu et quoi de mieux que la mère de votre amie, le visage recouvert de sperme, pour être excité. J'étais maintenant prêt à enfiler sa chatte pour la première fois.

- Lève-toi et allonge-toi sur le lit les jambes écartées afin que ton sexe négligé retrouve une vraie bite!

Sans parler ou protester, elle s'allongea en travers de mon lit, son derrière près du bord. Puis elle ouvrit les jambes et les tira en arrière utilisant ses mains derrière ses genoux.

Je mis mes paumes sous ses fesses pour la tirer un peu plus près du bord, vers mon membre, excité à la perspective d'entrer à l'intérieur de son sexe humide.

Je guidai mon gland jusqu'à l'ouverture mouillée, puis le frottai le long de sa fente pour venir buter sur son clitoris.

Christine tressaillit alors que ma bite frottait son clitoris puis elle retint son souffle alors que je levai ma queue pour frapper par trois fois son clito. Enfin, je déplaçai mon sexe vers le bas, et trouvant l'ouverture, je rentrai juste la tête. Je savais que ma bite allait la remplir entièrement.

En regardant Christine dans les yeux, lentement, j'avançai les hanches et poussai mon membre dans cette mère de famille. Ce fut une sensation incroyable de sentir cette chatte ouverte et serrée autour de mon bâton alors qu'elle avait le visage en arrière et les yeux fermés. Ses doigts étaient blancs alors qu'ils serraient ses cuisses.

- AHHHHHHHHH! AHHHHHHHHHHH! AHHHHHHHH! cria-t-elle

Elle gémit profondément jusqu'à ce que ma bite soit totalement entrée en elle, mes couilles battant son anus. Je regardai sa chatte, étant ravi qu'elle soit complètement remplie, son clito pointant vers moi. J'eus l'idée de le rouler entre mon pouce et mon index.

- OHHHHHHHHH! Baise-moi! gémit-elle

Elle répéta sa demande alors que je continuais à taquiner son clitoris.

- Tu veux bien te faire baiser maintenant Christine? lui demandai-je

- Oui! dit-elle doucement.

C'était ce que je voulais entendre. Alors je retirai un peu ma bite sans la sortir complètement pour la rentrer violemment de nouveau le plus profondément possible. Ce qui fit hurler de façon incontrôlable la mère de famille.

Je répétai le mouvement quatre ou cinq fois, la faisant crier de plus en plus.

La sixième fois, elle lâcha ses jambes pour les mettre autour de mon dos, me tirant ainsi plus profond dans son sexe affamé.

Alors qu'elle me tenait, elle jouit et sa chatte se serra sur ma bite pendant un moment. Son visage était de côté mais ses yeux étaient ouverts alors que de nombreuses années de frustration disparaissaient.

Alors que son corps se détendait, je commençai des vas et vient soutenus dans sa chatte. J'ai donné tout ce que je pouvais pendant dix à quinze minutes jusqu'à ce que je dégouline de sueur sur ses gros seins.

Pendant toute la session, nos yeux se rencontrèrent et je pensai qu'elle était fantastique avec mon sperme sur le visage et ma bite en elle.

Je savais que je n'étais pas loin de l'éjaculation alors je repoussai ses jambes en arrière vers sa tête afin de m'enfoncer encore plus profondément.

- OHHHHHHH! OHHH MON DIEU! JE JOUIS! OHHHHH cria-t-elle en serrant les dents.

Cette fois-ci je ne la laissai pas entourer mon corps de ses jambes mais au contraire, je poussai ses jambes encore plus loin en arrière alors qu'elle inondait ma bite de son jus.

- Es-tu prête à recevoir ma semence Christine? Lui demandai-je.

- Pas en moi s'il vous plaît! Répondit-elle.

- Qu'est-ce que tu croies? Je vais te remplir!

- Pas en moi! Sur mes seins plutôt! Demanda-t-elle de nouveau.

- Je ne pense pas!

Alors que je lui répondais, je poussai ma bite tout au fond et je la regardai dans les yeux alors que mon sexe crachait mon sperme dans son ventre. Je restai dans cette position le temps que mes bourses se vident puis je souris tout en lui essuyant le sperme sur sa lèvre supérieure.

Puis je me penchai sur elle et je l'embrassai, ma langue forçant sa bouche jusqu'à ce qu'elle me rende mon baiser. Pendant ce temps, je retirai mon membre de sa grotte humide.

Saisissant ses vêtements elle dit :

- Je dois aller au travail!

Elle enfila sa culotte sur son sexe détrempé par le mélange de nos fluides puis courut à la salle de bain pour nettoyer son visage. Ensuite elle disparut rapidement dans les escaliers. Puis j'entendis la voiture s'éloigner.

Je roulai sur le lit avec un grand sourire de satisfaction. J'étais impatient d'être en soirée pour voir revenir Christine et savoir le tour qu'allait prendre notre relation.

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