Alexia, la diabolique dominatrice.

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Cindy est informée de son nouveau rôle d’esclave sexuelle.
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(traduit de « Cruel Dominatrix Alexis » de Cindy Silver Eyes)

Alexia souriait à la jeune fille agenouillée

Un sourire étrange, mélange de joie et de fureur ; il reflétait une colère vengeresse devant celle qui lui était présentée. Alexia était une femme autoritaire de quarante ans, elle était en bonne partie habillée pour l'occasion. Elle ne portait pas son véritable costume de dominatrice, mais avait toutefois un ensemble en cuir assez intimidant et des bottes à talons hauts qui résonnaient sur le sol de façon menaçante.

Ils étaient dans le salon d'Alexia, car étaient présents en plus d'elle Cindy et Martin. Dans la pièce, Alexia surplombait Cindy. Elle lui souriait vicieusement tout en jouant de sa cravache avec désinvolture. Cindy, elle, était agenouillée au sol, incapable de parler ou de se lever. Elle avait les mains serrées derrière son cou, ses yeux larmoyants restaient fixés sur cette femme. Martin, lui, regardait tout cela avec simplicité. Il observait cette scène comme il l'avait toujours fait -- comme un hippie vieillissant plutôt que comme un professeur. Et, bien sûr, il tenait dans sa main un verre de Jack Daniels. Il avait toujours apprécié la bibine, n'étant d'ailleurs pas loin d'être un véritable ivrogne. Il l'était déjà avant de se faire virer de l'université pour avoir fait des avances à l'étudiante actuellement agenouillée devant Alexia. Mais il restait cependant un excellent chimiste, suffisamment bon pour rendre cette situation possible. Il était le cerveau de l'opération. Mais s'il en était la tête, il n'en était pas les couilles -- personne n'avait plus de couilles quand Alexia entrait en jeu. Elle était de loin la plus vicieuse, diabolique salope que Martin ait jamais rencontrée. Et il était pure vénération devant elle.

« La petite... Mademoiselle... Sainte... Nitouche... » souffla Alexia à Cindy, soulignant chaque mot avec emphase.

Il y avait une vraie colère dans sa voix, mais mélangée à des pépites de pur plaisir - du plaisir à sentir sa propre rage. L'étudiante était d'une beauté à tomber et Alexia n'avait qu'une envie, celle de poser ses griffes dessus pour l'asservir. Mais il n'y avait pas que ça dans le cas de Cindy Cooper : il y avait sa prétention, sa crânerie, son ton hautain et moralisateur de vraie salope, tout cela était atrocement horripilant pour Alexia. Quant à Martin, il voulait tout simplement sa revanche sur cette salope présomptueuse qui avait ruiné sa carrière. (Enfin, en supposant que son bon vieux Jack Daniels ne l'aurait pas entraîné sur la même pente tôt ou tard.)

Et puis Cindy était une bombe super canon.

« Je vais tellement m'amuser avec toi... » siffla à nouveau Alexia en tapotant son effrayante cravache contre son pantalon en cuir.

Cindy ne parvint qu'à trembler -- Martin, ayant conçu la drogue mixée dans la boisson de la jeune étudiante, et mis en place la procédure d'accompagnement pour parvenir à un conditionnement psychologique, il avait une idée assez précise de l'état où se trouvait Cindy. Le plus simple pour le décrire serait de dire qu'elle subissait une peur viscérale. Elle était maintenant, et pour toujours, la victime d'une terreur l'empêchant de songer à désobéir à Alexia ; sa nouvelle propriétaire et maîtresse. Du haut de ses vingt et un ans, l'emprise exercée sur elle par la peur était aussi irrationnelle et inexplicable qu'insurmontable.

De sa cravache Alexia souleva le menton de la fille.

« Tu n'es pas gouine, je parie. »

Reniflant et défaite, Cindy répliqua des sanglots dans la voix : « Non, je ne suis pas gouine... »

La gifle sur son visage fut alors aussi cinglante que soudaine. Elle résonna dans toute la pièce. Cindy hurla de surprise et de douleur -- Martin pouvait facilement voir l'empreinte rouge de la main d'Alexia sur la joue de la jeune fille.

« Tu dois m'appeler Maîtresse, putain de conne! » La fureur d'Alexia était réelle -- et le cœur de la jeune fille fut assailli de terribles vagues de peur.

« Tu me comprends, esclave?

— Oui Maîtresse! cria-t-elle, terrorisée.

— Bien ; alors tu n'es donc pas une gouine. Et comment serait-il possible que tu le sois? Tu es une miss perfection, une sainte-nitouche avec des principes! Je suis sûr qu'il n'y a pas un atome de lesbienne en toi.

Alexia se pencha sur la jeune fille : « Et c'est exactement la façon dont j'aime mes proies, esclave. »

Martin percevait pleinement la vérité dans ces paroles.

Alexia était dans sa vie courante une dominatrice lesbienne (en plus d'être une avocate des plus tenaces), et elle était une habituée des clubs BDSM de la ville. C'est ainsi que Martin l'avait rencontrée, il était venu en tant que simple spectateur, un peu comme aujourd'hui. Il l'avait vu posséder de nombreuses esclaves. Des soumises qu'elle trouvait dans les clubs et sur internet, des lesbiennes domptées qui rêvaient de devenir esclaves et d'être dominées depuis qu'elles étaient de jeunes filles en fleur, des soumises qui sentaient leurs genoux défaillir à la simple vue d'Alexia dans son costume de dominatrice, des petites salopes lesbiennes qui voulaient être rabaissées.

Bien sûr, aucune d'elles n'était de près ou de loin aussi bien roulée (ou aussi jeune) que Cindy, mais ce n'était pas ça le morceau de choix qu'Alexia voyait en elle. Alexia voulait, tout comme le lion veut de la viande de gazelle fuyante, une fille qui ne veut pas être soumise, qui ne veut pas être lesbienne, qui ne veut pas être baisée, humiliée et domptée par une dominatrice cruelle et saphique.

« Oui, tu es juste comme je les aime », ricana Alexia avec gourmandise, confirmant les soupçons de Martin. « J'ai toujours voulu me divertir avec une fille qui ne voudrait pas jouer le jeu. »

Martin finit son verre -- sa queue était dure comme du roc....

« Et crois-moi salope, je vais faire de toi une parfaite petite compagne de jeu... »

Alexia continuait alors que la jeune fille frissonnait.

« Tu vas apprendre à bouffer de la chatte -- Oh, oui, tu vas recevoir une formation dessus... Je te fouetterais jusqu'à ce que tu deviennes une brouteuse de gazon de premier ordre. Tu seras ma petite bouffeuse de chatte attitrée, jusqu'à devenir, je te le promets, la meilleure bouffeuse de chatte à l'est du Mississippi, oh oui salope! Tu vas avoir droit à une tonne de pratique, tu peux me croire -- Tu vas passer toutes tes journées à genoux à bouffer du con. Et quand j'en aurais assez -- Eh bien, je connais toute une bande de vieilles gouines qui seront plus que ravis de m'aider à entraîner une bonasse à brouter de la pelouse. Oui, ma petite esclave, tu n'auras droit à rien d'autre que de la pratique et des punitions -- Jusqu'à ce que je sois convaincu que j'ai la meilleure, la plus experte des lécheuses de con entre les jambes! »

Martin pouvait voir sans effort le dégoût, la terreur et l'humiliation se peindre sur le visage larmoyant de Cindy. Du sexe oral avec des gouines... la jeune étudiante ne pouvait en croire ses jolies oreilles bien éduquées.

« Oh oui, une mignonne esclave sexuelle, c'est ce que tu seras, souri malicieusement Alexia, toi et moi, nous allons visiter tous les clubs de bondage. Toi, tu seras mon esclave. Ma chose, mon jouet sexuel. Et, oui, tout le monde le saura -- tu seras nue, sauf si je t'autorise à porter un minuscule string, peut-être... et puis tu auras un collier, avec une laisse comme une chienne, tu ramperas à mes genoux. Et tu seras punie et utilisée comme aucune autre esclave ne l'a été, parce que tu ne seras pas une simple soumise mais une véritable esclave au sens le plus littéral du terme ; tu n'auras pas de putain de mot de sécurité, je me contreficherai de connaître ton avis sur ce que je te fais subir, je n'aurais aucun scrupule à pousser tes limites au-delà de ce que tu peux supporter... »

« Tu vas apprendre à être une esclave parfaite. Tu apprendras à parler, à te tenir et t'asseoir, à marcher et t'agenouiller comme une parfaite esclave sexuelle -- et, comme une chienne bien dressée, tu suivras les ordres à la perfection. Tu feras toujours exactement ce qu'on te demande. Tu accompliras les tâches enseignées au moindre signal. Tu feras des tours sur une simple commande -- oui, exactement comme une chienne! »

« Et jusqu'à ce que tu aies appris à agir comme une esclave exemplaire, appris à être l'incarnation de la parfaite esclave sexuelle, tu seras puni. Très, très douloureusement, petite salope hautaine... Tu as intérêt à apprendre très vite à endurer la douleur, conasse. Parce qu'à la plus petite erreur, à la moindre hésitation à suivre mes ordres, à la plus légère insatisfaction quant à tes performances, alors tu connaîtras le fouet. Je t'attacherais dans le sous-sol de mon donjon et je te fouetterais jusqu'à ce que tu sois trop épuisé pour pouvoir crier. »

« Sans compter, et Alexia eut un sourire de pure cruauté, que je te punirais souvent, simplement parce que j'en aurais envie -- pour m'amuser et amuser mes amies... Et tu apprendras à supporter tout ça comme une brave petite fille. »

Martin était à deux doigts d'éjaculer dans son pantalon -- après tout, il s'attendait à être pleinement présent pendant les séances de punitions.

« Mais en premier lieu, dit Alexia avec toujours autant de colère dans la voix, tu vas aider à rectifier le tour pris par la carrière de ce bon vieux Martin. » Une autre gifle atterrissant sur le joli visage de l'étudiante fit vibrer la pièce.

« Quelle conne bien-pensante, quelle crâneuse! siffla-t-elle. Ton professeur, ton supérieur, veut goûter à petit peu de chatte, et toi tu t'enfuis pour aller trouver les putains d'autorités! Quelle sale petite salope d'allumeuse! »

Martin lui-même n'avait pas été tout à fait aussi furieux contre Cindy... enfin presque pas.

« Alors maintenant grosse pute, continua Alexia, tu vas bouger ton cul serré de péteuse et te présenter devant les autorités compétentes, et tu confesseras que tout ce que tu leur avais déblatéré était des mensonges... oui, toutes tes allégations contre le professeur étaient des bobards! Tu abjureras toutes les petites méchancetés que tu lui as faites, et alors je suis sûre que l'université sera très contente de reprendre Martin à son poste... Après tout, s'il en avait envie, Martin pourrait même demander au doyen de porter un tee-shirt rose. Rien ne l'empêcherait de les menacer d'une plainte pour diffamation une fois que tes mensonges de sale putain auront été exposés! Pas vrai, Martin? »

Martin parvint seulement à hocher la tête à cette déclaration -- une fois que la petite salope se désavouerait, et se serait rétractée sur toutes ses accusations, alors il tiendrait le doyen par les couilles...

Alexia sourit : « Et comme tout le monde apprendra quelle petite menteuse tu es, comment tu t'es comporter en vraie salope, mademoiselle la sainte-nitouche, je m'attends à ce que tu fasses une belle prestation de repentir devant tes camarades de bahut. Que tu te présentes comme ce que tu es ; une allumeuse, une grosse chaudasse. Tu vas décrocher le titre de salope de l'école haut la main. »

Il y avait un trait de caractère d'Alexia que Martin avait depuis longtemps remarqué. Comme toute vraie dominatrice, la diabolique vacharde ne pouvait simplement se contenter de se faire brouter la chatte par une belle petite minette. Elle voulait tourmenter et dominer -- pour aboutir à la forme ultime de domination, l'humiliation...

Hélas, les soumises trouvées sur internet ou dans des clubs BDSM, même les plus adeptes à s'abandonner corps et âmes avaient des limites très strictes quant il s'agissait d'humiliation publique... Ce dont la pauvre Cindy était incapable, elle ne pouvait fixer aucune limite à la volonté de sa propriétaire et Maîtresse...

« Tu t'habilleras -- je t'habillerai, en fait -- comme une pute totale, à l'image de ce que tu seras devenu. Dis au revoir à Mademoiselle la sainte-nitouche, et bienvenue à la salope du campus! Tu te pavaneras sur le parc universitaire dans des habits qui ferait rougir une pute professionnelle! Et je tiens absolument à ce que tes nichons soient constamment bien exposés, tout ce que tu porteras aura un immense décolleté, ou alors ce seront des tee-shirts si serrés que tes nibards seront pressurés comme dans une cage, on te considérera plus que comme une vache à grosses mamelles et au cerveau vide! continua Alexia. »

« Et puisque tu auras prouvé être une menteuse, une allumeuse et une salope, tu seras désormais incapable de te faire violer -- qui pourrait croire un seul mot sorti de ta bouche? Ça devrait rendre les soirées des confréries étudiantes très intéressantes! gloussa Alexia. »

« Oh oui, ma chère, je suis sûre qu'une Mademoiselle sainte-nitouche comme toi abhorre les fraternités, tous ces garçons bruyants et lubriques qui y traînent! Mais, en tant que Maîtresse, je veillerais à ce que tu assistes à chaque fête de fraternité sur le campus. Où... - Alexia releva avec sa cravache le menton de l'étudiante pour admirer ses yeux bouleversés - tu te feras prendre en gang-bang toute la nuit! Oui, je te laisserais loin de moi, juste pour que d'autres puissent profiter et abuser de toi. Je prendrais un plaisir immense à savoir que Mademoiselle la petite sainte-nitouche se fait baiser de toutes les façons possibles par une bande de débile, de bestiaux en rut dont tu ne supportais même pas la vue... »

« Et pour une fois, tous ces étudiants pourront prendre en tournante une aguicheuse petite princesse sans peur de se retrouver sur la chaise électrique! » Alexia regarda Martin en souriant : « Tu vois, Martin, nous autres les gouines on ne déteste pas les hommes. »

Martin leva son verre à cette déclaration -- Il était évident qu'Alexia ne détestait pas les hommes... Mais elle les chassait peut-être...

« Oui, ma chère, continua Alexia, en ma présence tu seras mon esclave sexuelle, ma bouffeuse de foune lesbienne. Mais quand tu seras sur le campus, tu seras la salope de l'école, la poupée idiote qui ne peut même pas épeler "N.O.N"! Un jouet sexuel pour tous...! »

Le visage de la jeune fille passait de l'écarlate au cramoisi ressentant au plus profond d'elle des bouffées de terreurs et d'humiliations...

« Et, je parie qu'ils voudront tous saisir l'occasion de saillir l'ex-hautaine petite sainte-nitouche, maintenant qu'elle sera à sa vraie place, à leurs genoux. »

« Et à l'évidence, Alexia fit un clin d'œil à Martin, quelqu'un devrait avoir la priorité sur l'usage de la salope de l'école, et ne serait-ce pas juste que ce droit revienne au professeur qu'elle a abusivement accusé? »

« Dorénavant salope, tu seras constamment à la botte de ton professeur, tu montreras le plus grand respect pour son autorité en faisant exactement ce qu'il te dit. Et il te punira pour la plus légère désobéissance, ou si tu montres la moindre petite aversion à accomplir tes tâches. »

Martin ne pouvait cacher sa jubilation -- C'était trop bonnard : L'immaculée, la toute pimpante Miss Cindy était prête à se mettre à poil et écarter les jambes, prête à se mettre à genoux et sucer sa queue, prête à suivre ses ordres les plus révoltants en bonne petite fille sage, prête à être punis selon son bon vouloir... Une petite salope d'étudiante humiliée...

Alexia saisit un objet en métal -- Martin pouvait voir qu'il s'agissait d'un collier de chien. On ne pouvait pas se tromper, c'était un collier pour chien simple et sans fioriture comme il y en a tant, mais avec le nom de « Cindy » graver dessus. N'importe qui, même sans rien connaître aux coutumes BDSM, pouvait deviner que celle qui portait ce genre d'accessoire servait d'esclave sexuelle...

Alexia verrouilla le collier de chienne autour du cou de Cindy -- Martin vit qu'elle prit soin de le fermer au plus serré. Le visage autrefois fière de Cindy ne reflétait plus que de la honte et de l'effroi.

« Est-ce que tu te sens humiliée, salope? ricana Alexia avec délice, parce que ce n'est rien! Tu es mon esclave, ma chose. Mon petit animal. Et le monde entier finira par le savoir... Je tatouerais "Propriété de Maîtresse Alexia" sur ton cul -- pour que les mecs se fendent la poire quand ils t'enculeront... Je mettrais un site web en place à ton nom -- dédié à l'esclave Cindy. Avec des images de Cindy se faisant prendre en tournante, Cindy suçant des queues, Cindy divertissant sa Maîtresse, Cindy se faisant punir -- oh oui, il y aura de tout, et tout ce qu'on pourra imaginer de dépravé... »

Cindy employait toute sa volonté à se retenir de pleurer, mais c'était en vain.

Et Alexia souriait avec malice.

« Oui ma petite esclave... Tout le monde saura que tu es ma propriété. Mon jouet sexuel favori. On ne te connaîtra plus que comme l'esclave sexuelle d'une dominatrice gouine! Ils sauront, et ils le verront... Tous ceux qui te haïssent. Tous ceux qui t'aiment. Ils sauront que tu es devenue la plus pathétique des esclaves sexuelles... »

« Tes amis, tes camarades, tes colocs... » Alexia s'arrêta pour l'emphase, prenant plaisir à s'écouter parler. « Tes professeurs... » Elle s'arrêtait pour être sûre que Cindy soit bien tourmentée et terrorisée par toutes les ramifications de ses paroles. « Tous les mecs qui ont jamais songé à te fourrer -- les sportifs que tu ne supportais pas, les nerds qui te semblaient invivables, le concierge de bas étage que tu vois chaque matin... ils sauront tous... »

« Et bien sûr ta famille -- ton papa et ta maman, oh, ils adoreront voir comment je vais modeler leur précieuse petite Cindy. Tu seras la précieuse petite esclave sexuelle lesbienne! Je parie que mamie adorera ça aussi -- et puis tous les lointains cousins, les oncles et les tantes... Je parie qu'ils seront très fiers de savoir qu'en leur sein se cachait une esclave sexuelle dévouée à mon propre usage... »

Alexia était en pure extase maintenant.

« Et bientôt, je leur enverrais des cartes postales -- des cartes avec la photo de leur Cindy chérie au pilori, ou bouffant une chatte, ou prenant par le cul... Tout ça. Et je mettrais un lien web aussi - pour qu'ils puissent aller se rincer l'œil et admirer la collection complète... On va rendre ta famille fière de toi! »

Cindy n'était plus que pleurs maintenant.

Une autre claque résonna dans la pièce. Alexia était furieuse. « Tu pleurniches juste pour ça? Attends un peu et je te donnerais une bonne raison de pleurer, putain d'allumeuse, » siffla-t-elle.

Puis elle aboya : « Ce collier, il a un but! » Elle avait une petite télécommande dans sa main. Elle y toucha et soudain Cindy reçut une décharge et cria de douleur.

« L'électricité, gloussa Alexia, tu aimes? Parce que je vais aussi te fourrer quelques électrodes dans la chatte et sur les tétons... »

« Et devine qui aura la télécommande quand tu seras à l'école -- eh oui, le bon professeur dont tu as eu l'audace de vouloir ternir la réputation avec tes divagations! Martin gardera la télécommande -- et l'œil sur toi, pour être sûr que tu te comportes comme on te le demande... »

Cindy était complètement perdu, consumé par un effroi épouvantable. Elle avait l'impression de tomber dans un gouffre sans fond habité seulement par la terreur et la honte.

« Et maintenant, sourit Alexia, tu vas offrir au généreux professeur et ton maître sur le campus une fantastique pipe, comme une jolie petite esclave sexuelle se doit de le faire... Ce sera un signe de gratitude pour avoir réussi à transformer ton comportement de manière si profonde -- et comme une promesse de tous les plaisirs auxquels il aura maintenant droit. »

Alexia agrippa Cindy par les cheveux et la poussa vers Martin, s'assurant qu'elle se mette bien à genoux devant lui.

Martin souriait aussi, pendant que Cindy, effrayée et sans plus aucun espoir dézippait sa braguette et prenait sa queue dure comme du fer dans sa bouche.

Cindy ne prononcerait plus de foutaises arrogantes. Il n'y aurait plus de repartis de la part de Cindy.

Cindy n'était plus qu'une esclave sexuelle maintenant, et rien d'autre...

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5 Commentaires
emmanuellewaldmanemmanuellewaldmanil y a environ 3 ans

j'avoue , j'ai lu à genoux , et avec quelques larmes !

trouchardtrouchardil y a presque 7 ans

Très bonne traduction. Merci.

VictorlepieuxVictorlepieuxil y a presque 7 ansAuteur
Pas de suite

Oulà, pas de faux espoirs, il n’y pas de suite. Toutes les histoires de Cindy sont des one-shot. Je vous traduis ce qu’en elle dit en préambule sur son site :

“Mes histoires se concentrent particulièrement sur l’esclavage, le contrôle mental, la soumission forcée, l’humiliation... de femmes par des hommes ou par d’autres femmes. J’aime me mettre en scène dans mes histoires. Et des célébrités parfois, je donne alors des indices ou je l’indique clairement... Je suis parfois accompagné de ma grande soeur Cathy, ou de mes meilleures amies Shannon et Jennifer... La plupart de mes histoires sont de petites nouvelles, des instannés... Je trouve rarement de quoi maintenir l’intérêt pour écrire une histoire complète – alors j’ai tendance à laisser les choses avec une fin assez ouverte. Parfois j'emprunte à d’autres auteurs certaines parties d'histoires que j'adore, je l’indique alors clairement.”

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

J'adore ce premier chapitre, il est très prometteur !

Vraiment j'adore

Rudy

CocuforeverCocuforeveril y a presque 7 ans

Quel début!!! Vivement la suite, j'en salive déjà

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