LAURA 071: je cède au chantage 10/13

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Une autre victime.
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Partie 71 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Le calvaire de Viviane

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Ce jour là en fin d'après-midi mon maître me ramène dans sa propriété une fois ma journée de tapin terminée.

En passant en voiture dans l'allée qui mène au garage j'aperçois une femme nue qui est saucissonnée à un lampadaire à l'aide de cordes.

Elle est également bâillonnée et en passant près d'elle je constate des rougeurs et des marbrures sur son corps.

Elle a été battue et comme sa tête est penchée en avant et son visage recouvert par ses cheveux je ne vois pas si c'est une femme que j'ai déjà côtoyée lors de mes précédents séjours chez Mathieu ou si c'est une inconnue.

- alors la putain tu reconnais ta copine -

- non maître, je ne vois pas qui c'est -

- tu es toujours aussi conne! elle se prénomme Viviane et elle a déjà fait des séjours ici en même temps que toi -

- excusez moi maître, je ne l'avais pas reconnue -

- comme tu peux le voir, Amandine est aux petits soins avec elle. Elle est en cours de dressage avant d'être mise sur le trottoir elle aussi -

Dans l'état où elle est j'ai bien compris que mon maître a utilisé le chantage pour la faire venir chez lui et dans quel but elle est traitée de cette manière.

Amandine la sadique doit s'en donner à cœur joie surtout si sa victime de rebelle ou ne fait pas les choses comme elle le veut.

- avant que je ne t'enferme dans ton chalet veux tu assister à ce qui va suivre avec elle -

Je n'ai pas envie de voir ce qu'il va lui faire subir mais le contrarier me vaudrait une punition, je suis déjà assez malmenée comme ça.

- c'est vous qui décidez de ce que je dois faire maître -

- sors de ma voiture, déshabilles toi et attends moi ici -

J'obéis sans discuter et je me retrouve vite nue debout à côté de la prisonnière qui ne relève même pas la tête pour me regarder.

Toujours silencieuse je pose mes habits dans l'herbe et j'attends le retour de notre tortionnaire qui est parti garer la voiture dans le garage.

Quand il revient tenant dans ses mains différents ustensiles il est en compagnie de son âme damnée Clémentine et évidemment de Max le chien de celle-ci.

Il fixe des bracelets de cuir autour de mes chevilles et de mes poignets puis y accroche des chaînes heureusement pas très grosses et assez longues pour me donner une bonne liberté de mouvements.

La muselière/bâillon est de retour, je suis réduite au silence.

Le fait qu'il se méfie de mes réactions maintenant qu'une nouvelle pensionnaire est là me fait perdre certains privilèges comme une petite liberté de mouvements.

Notre maître détache Viviane qui reçoit l'ordre de s'allonger dans l'herbe puis de replier et écarter les jambes et de mettre ses bras à l'horizontale.

Affublée de bracelets en cuir qui, comme c'est le cas pour moi, entourent ses chevilles et à ses poignets. Notre maître en accroche les anneaux métalliques à des piquets plantés dans le sol.

Une fois qu'il a terminé d'immobiliser Viviane, Mathieu s'adresse à elle.

- la connasse, est tu d'accord pour servir de femelle au chien d'Amandine -

En regardant ses yeux je vois qu'elle est horrifiée par ce qu'il lui demande, elle ne peut pas parler et secoue la tête de droite à gauche pour dire non.

- c'est pourtant ce qui va se passer et cela tous les soirs, tu vas t'y habituer et finir par aimer ça -

Il se tourne vers moi.

- il faut bien partager les bonnes choses entre vous maintenant que vous allez devenir sœurs et partager un bout de trottoir -

Bâillonnée je ne peux pas répondre, que dire servant régulièrement de vide-couilles à l'animal.

- toi la putain le chien te sera réservé pour le matin, ce sera ta mise en appétit avant de déjeuner -

Clémentine avec son sourire moqueur aux lèvres s'approche de Viviane et appelle Max qui tournait autour de moi, reniflait mon sexe et le léchait habitué à ce que je sois sa femelle.

Elle doit répéter plusieurs fois ses ordre pour que le chien obéisse et vienne vers elle.

- mon bon chien tu as vu cette dégénérée, elle veut profiter de ta bite. allez! vas y! fais lui goûter à ton engin -

Le tenant par son collier elle approche le chien de Viviane et le place entre les jambes de sa victime puis appuie sur sa tête jusqu'à ce que la truffe butte contre le pubis de celle-ci.

- allez Max c'est ta deuxième femelle, amuse toi et prends du bon temps -

Habitué aux odeurs vaginales il renifle puis lèche le sexe, son pénis aux couleurs peu chatoyantes sort du fourreau et grossit rapidement.

Il pose ses pattes de devant sur le ventre de Viviane, il frotte son pénis rouge violacé sur le corps de sa future femelle en y laissant des traces car du liquide s'en échappe.

Il ne trouve pas ce qu'il cherche surtout que Viviane fait bouger le plus qu'elle peut son corps pour empêcher la saillie.

Enervé Mathieu m'apostrophe:

- toi la putain je vais libérer tes mains et tu vas aider Max et surtout empêcher la connasse de bouger -

Je me dirige vers Viviane puis je m'assois sur elle.

Max cherche toujours à la pénétrer, j'attrape son pénis avec une main et je le place contre la chatte avant de le faire pénétrer un peu à l'intérieur.

Ensuite je laisse faire le chien qui n'a plus besoin de moi, le membre s'enfonce dans la grotte de celle qui elle aussi devient sa femelle, puisque moi je le suis déjà, puis son corps se met à trembler pendant que son pénis s'agite dans la chatte.

C'est en poussant des petits cris qu'il se laisse aller et après quelques minutes éjacule dans le vagin de Viviane.

Il reste un moment en place à trembler avant de se retourner mettant ses pattes arrière sur le ventre de la femme.

La verge sort de la chatte avec un bruit de succion et rapidement une bonne quantité de sperme s'en échappe et coule entre les fesses.

Pendant que Max s'en va se coucher aux pieds de sa maîtresse je me lève et je regarde Viviane, elle a le visage défait et des grosses larmes coulent de ses yeux.

Mathieu et Amandine commentent et rient beaucoup se moquant de leur victime.

Sans pouvoir l'aider je compatis à son malheur car j'ai vécu la même chose même si maintenant cela me laisse de marbre car je suis habituée à donner du plaisir à Max que ce soit avec ma bouche, ma chatte ou mon cul.

Plusieurs jours jours passent, si en fin de journée je dois faire l'amour aux hommes que Mathieu m'envoie je constate aussi que d'autres hommes vont et viennent dans la propriété sans que mon corps ne soit sollicité.

J'en déduis que dans la pièce qui sert de geôle dans le sous-sol de l'habitation il prostitue aussi Viviane bien qu'elle ne soit pas encore soumise.

En entendant Mathieu discuter avec Clémentine j'apprends que l'appât de l'argent gagné facilement avec mon cul lui donne des envies d'expansion rapide et qu'en plus de Viviane il va rapidement passer à l'action avec d'autres femmes pour en faire ses esclaves et des prostituées.

Ils parlent de Viviane qui pendant la journée est enfermée dans la carcan qui a servi pour moi auparavant. Des hommes viennent dans la journée et se soulagent dans sa chatte ou son cul.

Si ses orifices ne doivent pas servir ses poignets et ses chevilles sont attachés ensemble puis accrochés au palan fixé à une grosse branche d'arbre, elle est ensuite suspendue dans le vide.

Elle est souvent privée de repas.

Amandine n'hésite pas à la frapper et comme cela s'est passé avec moi Viviane a commencé à lui faire l'amour. Elle doit surmonter son dégoût et la déshabiller, lécher et embrasser les seins plats puis le corps disgracieux et enfin le sexe à la toison genre "forêt vierge" et à l'odeur écœurante avant de faire jouir son bourreau avec ses mains et ses doigts.

Si elle n'y arrive pas ou ne la fait pas suffisamment jouir c'est la raclée assurée.

Si, suivant la volonté de Mathieu ou Amandine, Viviane passe ses journées prisonnière du carcan ou attachée et pendue, ses nuits se passent couchée dans l'herbe et attachée de différentes manières dans des positions difficiles à supporter et qui ne la laisse que peu dormir.

C'est aussi elle qui a hérité de la cage faite de tubes métalliques, quand elle y est enfermée c'est en compagnie de Max le chien d'Amandine qu'elle doit faire éjaculer selon les directives de celle-ci soit dans sa bouche, son vagin ou son cul.

Les coups de cravache pleuvent quand comme c'est souvent le cas la tortionnaire n'est pas satisfaite.

Un soir mon maître est de mauvaise humeur, il m'a attachée debout à un tronc d'arbre et de là j'assiste à un spectacle avant d'être enfermée.

Mathieu tient dans une main un fouet. Une des extrémités d'une longue corde est attachée à un piquet enfoncé dans le sol, l'autre extrémité de la corde est nouée à l'anneau du collier de Viviane.

Il fait courir sa victime qui doit tourner en rond autour du piquet, le fouet cingle le corps de la femme quand il n'est pas satisfait.

Pour éviter d'être frappée elle donne ce qu'elle peut en courant le plus vite possible.

Pas habituée elle ne tient pas longtemps et tombe plusieurs fois, hors d'haleine et avec un point de côté elle finit par ne plus se relever malgré les coups de fouet qui frappent son dos.

Son bourreau se calme et attend qu'elle récupère un peu puis lui fait faire le même exercice mais en marchant à quatre pattes.

Quand il décide que c'est assez et sans se soucier de ma présence il dégrafe sa braguette, sort son gros pénis qui est en érection et se place derrière Viviane qui est à genoux et sans prendre de précautions il l'encule.

Quelle souffre ou pas pendant la pénétration il s'en fiche.

Excité par tout ce qu'il vient de lui faire subir les va et vient de la queue ne durent pas longtemps avant de tressauter, il se soulage envoyant des jets de sperme dans les intestins de la femme.

Il se retire et remet la queue dans son pantalon.

Notre maître me détache et m'ordonne de le suivre pendant qu'il emmène aussi Viviane tenue en laisse et les poignets attachés ensemble dans le dos.

Mathieu pénètre dans le chalet qui me sert de logement, il ne s'occupe pas de moi ce qui ne m'empêche pas étant obéissante de m'allonger sur la planche qui me sert de lit.

Tirant sur sa laisse il fait entrer Viviane qui elle est bâillonnée, ses poignets sont toujours attachés ensemble dans son dos, il les libère.

Il place contre la paroi le tabouret qui me sert pour m'assoir quand je suis libre, il a choisi le mur sur lequel sont fixées des courroies.

- montes la dessus la connasse et colles ton dos contre le mur -

(pour nous différentier il appelle Viviane "la connasse" et moi "la putain").

La femme obéit et fait ce qu'il demande, elle met ses bras à l'horizontale et une fois que ses poignets sont emprisonnés dans des courroies elle écarte les jambes pour placer ses chevilles aux endroits où d'autres courroies sont fixées.

Une fois que les chevilles sont également emprisonnées Mathieu retire le tabouret et sa souffre-douleur se retrouve accrochée et pendue contre la paroi.

- bon la connasse tu vas passer la nuit dans cette position, cela t'apprendra à vivre et à te soumettre à ma volonté. En plus tu vas assister à un spectacle car ta collègue la putain va recevoir deux clients ce soir -

Notre maître s'approche de moi.

- toi la putain je vais t'attacher pour éviter que tu ne tentes quelque chose avec la connasse, tes clients savent ce qu'ils ont à faire avec toi -

Il immobilise mes poignets et mes chevilles dans les sangles fixées dans la planche en bois.

C'est le silence dans la chalet pendant un moment, je regarde ma consœur qui souffre car son visage est ravagé, les larmes coulent sur ses joues et tout comme moi elle bave beaucoup à cause du bâillon.

La porte du chalet s'ouvre, les yeux des deux hommes qui pénètrent à l'intérieur vont de moi attachée sur le plancher qui me sert de lit à Viviane pendue par les poignets et les chevilles contre la paroi.

- Mathieu ne rigole pas, elle doit en baver la putain accrochée comme ça -

- oui! je la plains mais elle va avoir un divertissement pendant qu'on va sauter sa collègue -

Ils libèrent mes poignets et mes chevilles des sangles et se déshabillent partiellement, je constate que de voir Viviane dans cette position les a mis rapidement en érection.

Ils grimpent tous les deux sur le plancher et une fois assis les ordres fusent:

- on a payé pour avoir du plaisir et Mathieu nous a dit que pour ça tu étais bien dressée -

- oui messieurs, je suis à votre service et je ne vais pas vous décevoir. Dites moi ce que vous voulez et je le fais -

- d'abord occupes toi de nos bites avec tes mains et ta bouche -

Je n'ai pas besoin de répondre et me positionne à genoux entre eux deux puis je commence à caresser les pénis avant de les masturber doucement.

Ensuite je me penche et passant plusieurs fois d'un membre à l'autre je lèche et je suce sans chercher l'issue fatale.

Pendant ce temps ils ne restent pas inactifs et tripotent mon corps, l'un des deux n'y va pas en douceur quand il triture et pince mes tétons me faisant sursauter et je dois me retenir pour ne pas crier.

Après un moment ils sont bien excités et l'un d'eux n'en peut plus.

- fais moi décharger dans ta bouche et goûte mon nectar -

- oui monsieur -

Pendant que je triture la queue du deuxième j'enfonce celle du premier dans ma bouche et lui fais une fellation avec des va et vient rapides de mes lèvres afin de le faire éjaculer rapidement ce qui ne manque pas de se passer, la verge tressaute dans ma bouche et le sperme gicle dans ma gorge.

J'avale et continue un peu à sucer avant de passer à son collègue.

Nouvelle fellation mais lui tient un peu plus longtemps avant d'éjaculer et de me laisser boire sa semence.

Ils sont toujours en érection et ne perdent pas de temps, je me retrouve allongée sur un des hommes avec sa queue dans ma chatte puis à genoux derrière moi le deuxième enfonce son pénis dans mon cul.

Pendant que je suis sodomisée et que mon corps se déplace à cause des coups de reins que l'homme donne, la verge qui est dans ma grotte bouge pendant que son propriétaire lui n'a pas besoin de me défoncer.

Chacun leur tour ils finissent par jouir dans mon corps et je dois les remettre en forme en les masturbant et leur faisant des fellations pendant que le sperme s'échappe de mon vagin et de mon fondement et coule sur le plancher.

Une fois qu'ils bandent durablement je me retrouve de nouveau avec une queue dans la chatte et une dans le cul et là les va et vient durent bien plus longtemps et je prends du plaisir avec cette double pénétration.

Je regretterais presque que cela cesse une fois qu'ils se sont encore soulagés dans mon corps et qu'ils se relèvent et descendent de mon lit.

Sans gêne ils se servent de ma serviette de toilette pour s'essuyer avant de se rhabiller.

- avant de partir nous devons t'attacher -

- faites ce que mon maître vous a demandé, j'ai l'habitude -

- tu es bien dressée à ce que je vois -

- oui monsieur, mon maître décide de tout et moi j'obéis -

Pendant que l'un des deux hommes m'emprisonne les poignets et les chevilles dans les sangles qui sont solidaires du plancher/lit, son compère me réduit au silence à l'aide du bâillon/muselière.

ils s'en vont en commentant ce qui s'est passé et surtout la façon dont Viviane et moi sommes traitées.

Le sperme coule sur le plancher pendant que j'essaie de m'endormir évitant de penser à la souffrance qu'endure ma collègue prisonnière pendue par les membres contre une paroi du chalet.

Pour être libérée de sa position peu enviable et passer dans les mains d'Amandine pour d'autres souffrances, Viviane devra attendre le lendemain matin quand notre maître viendra me détacher avant que je ne déjeune puis me prépare et ensuite aller arpenter le trottoir pendant la journée.

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