La Villa Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Stéphanie qui à l'impression qu'un train est en train de la pénétrer, ne se rend même pas compte que seul les deux tiers du gland de son agresseur sont en elle. Le combat fait rage, mais elle l'a déjà perdue. Seul le temps nécessaire à l'intromission en entier du pal de fer, fera illusion. Mais c'est une chose inéluctable, après un enfer de souffrance, la bite qui la fore va entrer en entier dans son corps. Le ventre invisible de son agresseur va heurter son cul fermes. Puis alors, ce sera l'heure du véritable viol, qui lui fera découvrir le sens véritable des mots douleurs infernale.

Les chairs internes de Stéphanie ne font pas le poids face à la bite aussi dure que de l'acier. Millimètre par millimètre, le pieu progresse en elle, l'empalant littéralement. Stéphanie à l'impression qu'un énorme tuyau en acier, chauffé à blanc, est en train de l'enculer. Tout n'est plus qu'un maelstrom de douleur. Même les parties de ses entrailles que son bourreau est loin d'avoir encore visité la font souffrir. Son rectum, son anus, son sphincter, ses entrailles, ses organes, son intestins, tout n'est déjà plus qu'une seule et même chose : une explosion qui irradie de partout en elle. Normalement elle aurait dut s'évanouir depuis longtemps face à une telle douleur, mais même cela lui est refusé. Comme si cet entité qui l'assassine de sa bite avait le pouvoir de la garder consciente tout au long de cette épouvantable agression.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, le hurlement strident de Stéphanie augmente encore de volume quand le gland passe ses muscles anaux. Un autre craquement à lieu, résonnant encore plus atrocement que le premier dans toute la pièce. Désormais, elle ne pourra plus marcher, plus s'asseoir sans avoir mal, elle ne pourra plus aller à la selle, sans qu'une douleur fulgurante et atroce ne la frappe. Il vient de l'handicaper du cul à vie. Pour elle, outre les conséquences d'une agression aussi atroce, rien ne sera plus jamais comme avant. On connaît l'expression « casser le cul. », lui vient d'inventer une réalité : détruire, atomiser un cul.

Stéphanie à toujours refusée la sodomie, par peur d'avoir mal, par dégoût, par l'impression que l'acte est immoral, aujourd'hui elle le regrette amèrement. Au moins, si elle avait laissée Aurélien, son seul amant, la sodomiser, le chemin aurait été parfaitement fait. Certes pas suffisamment pour un engin du calibre de celui de l'entité, mais au moins fait pour un pénis normal. Hors là, il n'y a rien. Le monstre, le démon, la chose qui l'encule créé un passage. Part d'une virginité absolu, à la largeur de la pire des putains, habituée aux fists anaux. Le monstre essaie de faire passer un TGV dans un trou de souris. Cela ne peut passer sans de gros dégâts. Et des dégâts, on peut dire que l'entité en fait plus que de raison dans le corps de la malheureuse Stéphanie...

L'entité pousse et pousse, se frayant un chemin, pire le créant. Explosant, détruisant, déplaçant. Tout ce qui gêne son sexe doit faire place à sa bite monstrueuse. Stéphanie sent en elle des organes se déplacer, se retrouver là où jamais ils n'auraient dut. Il perce la chair, agrandit, écartèle. D'une façon ou d'une autre, le pieu doit avancer, alors il avance. Stéphanie est réellement empalée. Mais au lieu que le pieu soit en bois ou en acier, il est fait de chair invisible. La seule différence est qu'elle survivra à cet empalement, peu importe pour l'empaleur, les handicaps avec lesquels la pauvresse devra vivre.

Stéphanie sent chaque veine, chaque bosse, chaque aspérité, chaque imperfection que la bite qui la fore, possède. Elle hurle et elle hurle, tellement que ses cordes vocales menacent de rompre, sa mâchoire de se déboîter. Son corps est trempé de sueur. Elle vomit plusieurs fois tant la douleur est forte, incandescente. Elle urine, elle bave abondamment comme si elle pisse de la bouche, son corps tressaute, convulse comme si un courant électrique puissant le traverse. Tout n'est plus que souffrance atroce pour elle, la rendant incapable de penser. Son violeur, quand à lui, savoure tout ce qu'il arrache comme souffrance à sa belle victime, le renforce. Enfin, belle... Son visage déformé par la plus atroce des grimaces de souffrance n'a presque plus rien d'humain. Lui se nourrit, se renforce de ce qu'il lui fait subir. Il va atteindre son apogée grâce à ce que la pauvresse endure. Plus elle souffre, meilleur c'est pour lui.

La malheureuse Stéphanie ressent millimètre par millimètre la progression du chibre en elle. Chaque poussée du sexe invisible, explose dans son corps, la traversant de part en part, de bas en haut, de long en large. Elle est une Hiroshima vivante, une Nagasaki qui dure beaucoup, beaucoup plus longtemps. Une explosion atomique sans fin qui explose dans chaque nerf, chaque part de son corps somptueux. Pour le plus grand plaisir de son violeur, de son bourreau dont la seule arme est son pénis. C'est un véritable assassinat bitale qu'elle subit...

Il n'existe aucun mot, aucune définition assez forte pour expliquer ce qu'elle endure. Aucune âme humaine ne peut comprendre ce qu'elle ressent. À quel point sa douleur est proche d'un massacre, synonyme d'un bucher. Comme si un par un, chaque nerf de son corps est atrocement brûlé, mais continue à ressentir de plus en plus de souffrance.

Elle est si étroite, si fermée, que le pieu ne peut aller plus vite, même si il le voulait, hors il ne le veut pas. Le massacre qu'endure Stéphanie est presque plus important que le viol en lui même. Il ne cherche pas seulement à prendre son plaisir, il est secondaire, mais surtout à lui faire le maximum de mal. Jamais aucun cauchemar humain n'a été aussi difficile à vivre que ce qu'elle vit. Et l'entité n'a enfoncé qu'un tiers de son engin dans le corps de sa victime.

Tout en continuant en lui maintenir la tête enfoncée contre la table, sa joue frottant le bois s'égratignant, il lui lâche les poignets. Stéphanie est trop épuisée, percluse d'une souffrance atroce, pour pouvoir se débattre. Une de ses mains se pose dans la chair de l'anche droite de la torturée, l'autre main glisse sous son corps, il lui attrape un de ses gros seins, écrasé sous son poids, qu'il entreprend de malaxer brutalement, de griffer, de détruire de ses doigts puissant. En rajoutant encore à la douleur que ressent la pauvresse.

L'anus éclaté, énormément dilaté, ouvert au maximum de ses possibilités par l'engin qui le force, saigne abondamment. Ce n'est pas une hémorragie, mais il y en a pas mal, trop, beaucoup trop. Le liquide rouge coule de chaque côté des fesses parfaite de Stéphanie, coule le long de ses cuisses, continue jusque à ses chevilles. Ce n'est pas mortel, ce n'est même pas une blessure grave, mais cela épuise encore plus la pauvresse, dont l'intérieur fissuré, déchiré, n'est plus qu'un magma en fusion.

Tout cela, l'entité continue à s'en moquer. Il progresse lentement dans les intestins de Stéphanie. Torturant son intestin, ses entrailles. Jamais la jeune femme n'a crut que l'on puisse ressentir une telle douleur, une telle torture. Puis à force de hurler sans discontinuer depuis les vingt minutes qu'à débuté son agression anal, ses cordes vocales pète. Son hurlement qui continue, ressemble à un baragouinage bizarre, avec la voix de Dark Vador. La brûlure vive qu'elle ressent en provenance de sa gorge se rajoutant à tout le reste. Mais elle ne peut s'empêcher à continuer à hurler. Peu importe le son, Stéphanie ne peut plus faire que ça.

Puis sa mâchoire se déboîte, se bloquant en position grande ouverte. La langue de Stéphanie, qui sort au maximum de sa bouche, déverse un torrent de bave sur la table. Elle veut, elle souhaite mourir, seul moyen pour fuir l'atrocité qu'elle vit. Mais son cœur, son corps, malgré ce qu'il endure, tient parfaitement le coup. Elle ne peut même pas entrer en état de choc ou de sidération, pour atténuer ne serait-ce qu'un peu ce qu'elle endure, même cela est refusée à la malheureuse. Stéphanie doit tout vivre en étant parfaitement consciente du moindre once de douleur qu'elle ressent. Et la chose qui continue à la pourfendre de son engin devenu glaive, lance, épée...

Puis après une heure trente de ce qui ressemble à une horrible mise-à-mort bitale, un cri de victoire retentit dans la pièce. Il est enfin en entier dans le corps de Stéphanie. Son ventre est contre les fesses fermes, trempées de sueur de sa victime. Pour la pauvresse, qui croit avoir vécu le pire, elle va vite découvrir que en fait, il est à venir. Quand il va commencer à vraiment la défoncer, en allant-et-venant en elle. Le véritable massacre, la véritable destruction commencera alors.

La sensation est aussi douloureuse quand l'entité se retire lentement d'elle. Jusque à ce que seul la moitié de son gland soit à enfoncé entre ses fesses. Puis, il a besoin de trois coups de reins si puissant, que la grande table se soulève à chaque fois du sol, pour entrer de nouveau en entier. Bien que déjà pourfendue, il faudra qu'il répète l'opération une trentaine de fois, malgré le sang qui lubrifie tant bien que mal le conduit, avant de pouvoir coulisser, avec grandes difficultés, dans les entrailles de la pauvresse, bien trop étroite, pas faites du tout pour recevoir un engin de ce calibre, de cette taille.

Entre la merde et le sang qui le recouvre, l'engin qui sodomise Stéphanie, s'aperçoit. Même si la jeune femme ne peut pas le voir. Par contre elle peut ressentir ce que lui inflige cet engin souillé de ses sécrétions. Comme si chaque nerf de son corps est broyé. Pas un par un, mais tous en même temps. L'entité lui défonce le cul, faisant avancer de plusieurs centimètres la lourde table, signe de la puissance incroyable de la sodomie que subit la malheureuse. Son sang vole en gouttelette dans la pièce, elle a l'impression atroce, que à chaque coups de reins de la brute, des morceaux de chairs, de sa chair, traversent la pièce.

Pendant une nouvelle heure, qui dure des siècles et des siècles pour la pauvresse, Stéphanie est analement violée. Puis d'un coup, il se fiche en elle, s'immobilisant, avant qu'un véritable tsunami de semence la traverse. Réellement. Il y en a tellement que cela ressort par chaque minuscule orifice de son corps. Elle sent le liquide qui jaillit puissamment, remonter le chemin interne de son corps. La semence qui explose si fort en elle, prend même des voies improbable. Le sperme ressort de partout. De son anus, mais aussi par sa bouche, ses narines, ses oreilles même. Il la remplit littéralement de semence. Cela lui brûle ses chairs tuméfiées par le viol horrible, elle a l'impression atroce de se noyer quand ça lui remplit les poumons. Mais les derniers coups de reins que lui donne son bourreau, font sortir le sperme par sa cavité buccale. Stéphanie s'urine une nouvelle fois dessus, tandis qu'un cri abject d'un orgasme cosmique retentit dans la pièce.

Enfin son assassin anal se retire lentement de son corps. Son trou-du-cul reste si grand ouvert, que l'on pourrait y mettre quatre doigts sans en toucher les bords. Puis le sexe dur replonge une fois en elle. En entier, en un seul coup. Comme ça, juste par méchanceté, comme si il veut achever sa victime. Un dernier coup, juste pour le plaisir. Il se retire ensuite aussi brutalement. Vite, trop vite. Entraînant une partie des intestins de sa victime avec lui, créant un horrible prolapsus anal. Une vision qui s'avère merveilleuse pour l'entité qui vient de massacre à coups de bite, la douce Stéphanie, qui n'est plus qu'une petite chose agonisante, transpercée de part en part par la douleur.

La bite souillée de sang et de merde semble voler dans les airs, contourner le corps convulsant de la pauvresse, avant de se mettre en face de son visage. Avec horreur, Stéphanie, la bouche bloquée grande ouverte, voit l'engin se mettre devant son visage, face à ses yeux. Du fond de son horreur, elle entend l'entité dire :

- Tu vas nettoyer ce que tu as salis! Sale putain!

Il attrape ses cheveux trempés, lui redresse la tête. Puis lentement l'immonde sexe souillé, partiellement visible, s'approche de ses lèvres. Il s'enfonce dans sa bouche, se frotte sur sa langue. Un goût abominable envahit alors la pauvre jeune femme. En plus de la souffrance en provenance de son anus atomisé, elle doit avaler ses propres souillures. Puis avec épouvante, elle découvre après que l'engin se retire propre de sa gorge, que l'entité peut uriner. Un flot incroyable et nauséabond frappe d'abord son visage, avant de viser sa bouche grande ouverte. Stéphanie doit alors en avaler une grande partie pour éviter tout risque de se noyer. Tandis que le jet d'urine jaillit sur elle, Stéphanie sent de l'air frais, froid, qui s'engouffre dans son trou-du-cul grand ouvert.

Enfin il la lâche. Stéphanie commence alors à glisser de la table. Mais elle n'a pas le temps de toucher le sol, que la chose l'attrape par les cheveux, il tire alors son corps mou à travers la pièce, la faisant glisser sur le carrelage. Il lui fait monter les marches, comme ça, elle geint fortement de douleur quand à chaque marche, sur la première partie de l'étage, ses reins et son dos, heurtent violemment les marches. À mi-chemin, par pur sadisme, il la fait tourner, sur la seconde partie de l'étage, c'est ses seins volumineux et son ventre plat qui heurte les marches... Enfin arrivés au premier, il la traîne dans le couloir, la fait entrer dans la chambre et la balance sur le lit. La pauvresse y atterrit sur le dos. Sans qu'elle est put faire le moindre mouvement, il se couche sur elle, l'enculant de nouveau immédiatement, par devant. L'enfer reprend alors quand le pieu se met une nouvelle fois à défoncer son anus et son intérieur atomisé.

Pendant trente-six heures non-stop, il l'encule également non-stop. Ne sortant de son cul que pour lui faire boire sa pisse. Des fois même par pur méchanceté, il urine directement en elle, dans son anus ou son vagin. Durant ce laps de temps, c'est des litres et des litres de semences qui se déverse en elle. Quand enfin, après un jour et demi d'acharnement sexuel, il la laisse tranquille, Stéphanie à bout de force, sombre enfin dans les ténèbres. Elle y restera huit heures, avant qu'un nouvelle enculage ne la sort de son sommeil proche d'un évanouissement.

Ensuite pendant quinze jours, Stéphanie sera violée normalement. Enfin normalement pour l'entité. neuf rapports par jours qu'il divise équitablement. Trois dans le vagin, trois dans la bouche, trois dans ses fesses. Si il fait toujours usage de violence, il n'y va pas trop fort. Lui permettant de récupérer lentement de son dépucelage anal. Il lui a remit la mâchoire en place en la giflant. Ses cordes vocales sont revenus au bout de dix jours. Un rythme rapide pour une telle blessure. Si Stéphanie peut marcher sans trop grimacer, par contre s'asseoir ou aller à la selle est une torture pour elle. Quand à la sodomie, le fait qu'elle se contracte énormément, plus les blessures qu'elle a toujours dans ses entrailles, c'est un déchaînement de hurlements et de suppliques.

Au bout de quinze jours, pris d'une nouvelle frénésie sexuel, il battra son record. Il prendra Stéphanie pendant quarante-huit heures de suite. Sans la nourrir, lui donnant le minimum à boire. Le reste du temps, il lui violera principalement la chatte, ne la prenant que rarement dans l'anus ou la bouche. À la fin, c'est une Stéphanie complètement remplie, débordant de nouveau de semence de la bouche, du nez et des oreilles, qui s'évanouira, restant dans les ténèbres bienfaitrice plus de dix heures de suite.

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