La Villa Ch. 04

Informations sur Récit
Cela empire pour Stéphanie...
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Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/21/2022
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Ce récit fantastique, teinté d'horreur, n'est pas à mettre entre toutes les mains. Le viol en est son fondement. Seul un public majeur et avertit pourra le lire. Seul un public aimant ce genre de texte l'appréciera, du moins je l'espère. Il est donc réservé au moins de dix-huit ans, au amateurs de rapports forcés. Je rappelle que ce texte n'est que tiré de l'imagination de son auteur. En aucun cas il ne cautionne quoi que ce soit. Il y aura des moments pornographique, pervers, d'autres plus narratif, j'espère que les deux côtés vous plairont. Pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas, seul des critiques jaillirons de votre esprit. Ce serait aussi stupide que de commander le meilleur plat à base de viande dans le meilleur restaurant du monde, alors que vous êtes totalement végan. Pour les autres, je vous souhaite bonne lecture.

Pour info, j'ai classé ce texte dans « horreur », mais il aurait tout aussi bien put se mettre dans « non consentement. ». Ensuite l'histoire va commencer plus ou moins doucement, avant de basculer dans le porno horrifique. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ce texte, que j'en ai eus à l'écrire. Cordialement, Livio.

C'est la lumière du jour qui la tire de son sommeil, la malheureuse est restée inconsciente plus de sept heures. Quand elle revient à elle, ses fesses sont dans une grande flaque d'eau. Eau qui à été de la semence avant de se transformer. Stéphanie le sait bien. Tout son corps, mais surtout son sexe et ses seins, lui fait atrocement mal. Elle n'est plus qu'une boule de douleur. La jeune femme à vraiment besoin d'une douche, tant elle se sent sale, une envie de vomir l'habite. Mais un autre sentiment plus puissant prend le dessus sur le besoin de se laver. Celui de fuir le plus vite cet endroit maudit.

Une force retrouvée la remplit. Stéphanie se lève d'un bond, fonce dans sa chambre. Sans prendre le temps de mettre des dessous, elle enfile un jeans, un pull, met les premières baskets qu'elle trouve. Elle prend son sac et en courant, se dirige vers la porte. Elle essaie d'ouvrir, la porte ne bouge pas. Puis elle voit les clés dessus, elle est verrouillée. Alors la malheureuse, complètement affolée, tourne les clés en tremblant. La porte se déverrouille, la pauvresse entend le déclic des pennes qui sortent de leurs trous. Elle tire sur la porte, mais rien, elle reste fermée. Stéphanie y va de toutes ses forces, sans plus de succès. Alors elle essaie frénétiquement d'ouvrir chaque fenêtre, en vain, tout paraît scellés. Même en prenant un marteau, le verre ne se brise pas. Elle va vers le téléphone fixe, mais il n'y a aucune tonalité. Elle fonce vers le canapé, son portable s'y trouve. Mais il est brisé, en morceau. De nouveau elle fonce dans l'entrée, essaie encore une fois d'ouvrir la lourde porte, toujours en vain. Une voix résonne alors dans le vestibule, la même voix d'outre-tombe qui, hier, a hurlée son plaisir en se vidant en elle :

- Tu n'iras nul part! Tu es à moi!

Stéphanie comprend alors qu'elle est prisonnière dans sa propre maison. Que cet entité, cette chose, ce fantôme à fait d'elle son jouet sexuel...

Stéphanie tourne sur elle même, la voix semble venir de partout et de nul part à la fois.

- Jamais! Tu entends, jamais je ne serais à toi!

Un rire effroyable éclate alors dans la pièce.

- Je me tuerais! Tu entends, je me tuerais si tu me violes encore!

De nouveau le rire explose, semblant venir de partout, comme si c'est la maison dans son entier qui rigole. Puis le silence se fait, avant que la voix ne revienne :

- Je me lasserais peut être de ton corps de chair... Mais si tu meurs, alors ton âme sera à moi pour l'éternité! Crois-moi, tout sera alors bien pire!

Le choc est énorme pour Stéphanie, car elle sait, elle sent, qu'il dit vrai. Que si elle se suicide, alors le pire sera à venir pour elle. Un enfer que même son imagination pourtant prolifique ne peut faire qu'entrevoir.

- Mon dieu... Aidez-moi...

- Ton dieu ne peut rien pour toi. Ici, tu es chez moi!

Puis d'un coup, Stéphanie est plaquée contre le mur en face d'elle. Violemment son jeans est baissé, avec tant de force que le bouton en est arraché. Le tissu s'arrête sous ses fesses nues. Elle hurle quand le même pal énorme qui l'a forcée la veille la pénètre de nouveau, ravivant la douleur atroce dans son sexe. La voix murmure alors à son oreille :

- Tu es à moi! Je te prendrais quand je veux! Chaque fois que j'en ai envie!

Malgré la bite qui lui ravage le sexe, qui la brûle atrocement, une vague de froid qui la fait frissonner envahit Stéphanie. Elle sait au plus profond de son âme que l'entité à raison. Il la forcera chaque fois qu'il le voudra. Mais surtout qu'elle ne pourra rien y faire pour y échapper. Prisonnière de sa propre maison, elle n'est plus que le sex-toy d'une chose invisible, qu'elle ne peut pas voir, mais qu'elle peut ressentir. Surtout quand, comme maintenant, il la prend férocement. Lui faisant mal, si mal.

Cette fois la chose la prend rapidement. En moins de dix minutes, il la remplit, jouissant comme d'habitude torrentiellement dans son ventre. Quand il se retire, Stéphanie sent le flot de sperme qui s'écoule d'elle, mais il ne la lâche pas, la maintenant plaquée contre le mur. La voix qui semble venir de partout se fait de nouveau entendre :

- Tu vas te déshabiller et rester nue. Tout le temps. Chaque fois que tu mettras quelque chose sur toi, je te prendrais. Plusieurs fois.

Quand elle est lâchée, Stéphanie sait ce qu'elle doit faire, elle lutte contre l'envie de se coucher sur le sol. Au lieu de cela elle enlève son pull, retire son jeans déjà baissé sur ses jambes.

- Mets-toi à quatre pattes maintenant!

- Pitié!

Stéphanie hurle, elle est brutalement projetée contre le mur d'en face :

- J'ordonne!, tu obéis!

Deux gifles, qui cette fois lui fende la lèvre, faisant couler le sang, la frappe. Alors pour éviter de nouveau coup, la jeune femme se met à quatre pattes.

- Ne bouges pas!

Stéphanie obéit. Quand des mains se posent sur ses hanches, que des doigts s'enfoncent dans sa chair, elle reste immobile. Pour la première fois, elle se rend compte que ce qui la tient, n'est ni chaud, ni froid, un peu comme du plastique solide mais invisible.

Cela lui demande un effort surhumain, mais la pauvre fille de vingt-trois ans ne bouge toujours pas quand le gland énorme, qu'elle commence à bien connaître se pose contre sa vulve. Quand le pieu pénètre son sexe, elle pousse un long feulement guttural, puis vomit sur le sol. Cela ne gêne pas son bourreau qui se met alors à aller-et-venir dans son corps. À un rythme soutenu, mais sans la violence et la brutalité des derniers coïts. Stéphanie le subit en grognant tout du long. C'est presque un rapport sexuel normal, juste un peu brutal. Il la prend ainsi, en levrette, pendant un gros quart-d' heure, avant une nouvelle fois de se vider en elle. Quand il se retire, la jeune femme, comme elle en prend l'habitude, sent la semence de son tourmenteur s'écouler d'elle.

Quand il se retire, il l'attrape par les cheveux, il lui écrase la tête dans son propre vomit, frotte sa joue dedans.

- Nettoie! Après va te laver, tu pues!

Du fond de son enfer, Stéphanie sait qu'elle va obéir. Une main lui flatte alors les fesses.

- Je viendrais peut être te prendre sous l'eau. J'aime ça!

En priant pour que ce ne soit pas le cas, Stéphanie se lève et va cherche de quoi nettoyer. Elle se rend dans le coin cuisine, remplit un sceau d'eau, prend un balai espagnol. Ensuite elle retourne dans l'entrée, nettoie son vomit. De nouveau une main lui flatte les fesses, elle gémit quand en plus, deux doigts s'enfoncent dans son sexe :

- La prochaine fois que tu souilles le sol avec de l'urine, du vomit ou de la merde, tu nettoies avec ta langue!

Stéphanie lâche un gémissement d'horreur, elle sait parfaitement qu'il arrivera à lui faire exécuter sa menace. Quand le sol est propre, la voix résonne de nouveau :

- Range, ensuite tu vas sous la douche!

Comme un zombie, la tête basse, la jeune femme s'exécute.

Nue, elle entre dans la douche de sa chambre. L'eau qui coule lui fait un peu de bien, mais cela ne dure que quelques secondes. Une petite tape cogne contre son crâne.

- J'ai envie, en position!

Stéphanie, pleurant de nouveau, appuie alors ses mains contre le mur, tend ses fesses en arrière, écarte les cuisses. Des mains l'attrape encore une fois aux hanches, de nouveau des doigts s'enfonce dans sa chair, un pal énorme la pénètre alors. Un pal qu'elle déteste, qui lui fait mal, la tue, mais auquel elle ne peut échapper.

Cette fois, il la prend pendant une bonne heure, sous l'eau. Il jouit trois fois en elle, sans se retirer, entre chaque éjaculation. Il y a tellement de semence dans son corps, que quand il jouit la troisième fois, son ventre est légèrement gonflé, emplit qu'il est du sperme de son agresseur invisible. Quand il se retire, tout s'écoule d'elle, avec la sensation horrible d'uriner par le sexe. Une main caresse sa joue, la voix résonne encore :

- J'ai finis, lave-toi bien, va te reposer, je reviens quand j'ai envie de toi.

Alors Stéphanie frotte son corps comme rarement, tentant en d'enlever trop énergiquement toute la souillure qu'elle ressent dessus. En vain. La malheureuse pense être au fond de l'enfer, elle ignore encore que l'on peut y plonger plus profondément. Malheureusement pour elle, Stéphanie va rapidement l'apprendre.

Complètement abattue, elle sort de la salle-d'eau, le corps et les cheveux encore mouillée, Stéphanie s'allonge sur son lit. Épuisée autant mentalement que physiquement, le sommeil la gagne rapidement. Comme d'habitude, la jeune femme dort sur le ventre. C'est un sommeil sans rêve qui s'empare d'elle. Stéphanie est tellement épuisée, que le corps qui se couche sur son dos, presque trois heures plus tard, ne la réveille pas.

Ce n'est que quand l'énorme pieu pénètre son vagin beaucoup trop étroit pour lui, que la jeune femme se réveille en criant de douleur. Mais son agresseur n'en a cure, il la prend sauvagement comme cela, tout en lui maintenant la tête écrasée dans l'oreiller. Vingt minutes plus tard, après avoir crier de douleur tout le temps de son agression, Stéphanie sentira enfin la semence jaillir en elle. Signe, comme la pauvresse l'espère, de sa libération proche.

Cette fois, il ne la fait pas mentir, une fois vidé, il se retire du corps qu'il prend à l'envie. Il caresse les cheveux d'une Stéphanie, qui en plus du viol subit, se retrouve humiliée par le geste et les mots qui l'accompagne :

- C'est bien, tu es une bonne putain qui se laisse gentiment faire. J'apprécie.

L'instant d'après, elle se retrouve seule dans la chambre, couchée sur son lit, la semence s'écoulant de son corps. Consciente qu'elle ne peut pour l'instant, rien faire contre son tourmenteur invisible.

Les deux jours suivants se ressemble. Viols, entrecoupés de moments de libertés tant qu'elle reste à l'intérieur de la maison. Même la piscine lui est interdite. Elle découvre quand même que la télé fonctionne encore. Qu'elle capte les chaînes et les divers abonnements qu'elle a. Ainsi elle peut au moins regarder ses séries. Si elle ne peut entrer en contact avec personnes, elle peut se servir d'internet sur son ordinateur. Stéphanie ne sait pas comment l'entité fait, mais la censure qu'il a installé fonctionne parfaitement. Elle ne peut contacter personne, ne peut aller sur aucun site pouvant l'aider. Mais elle peut consulter toutes les autres pages, jouer en ligne, aller sur tout les sites même ceux d'achat par correspondance.

Le troisième jour est très difficile pour elle. L'entité entreprend de lui apprendre à sucer comme il aime, mais surtout à respirer avec l'énorme engin planté au plus profond de sa gorge. Stéphanie restera pendant onze heures, la bouche grande ouverte, le sexe de son tourmenteur planté dans sa cavité buccale. Elle avalera des litres de semence, en recevra autant sur son visage et sur son corps.

Pendant les trois heures qui suivent, Stéphanie devra apprendre à nettoyer son corps et son visage de toutes traces de semences, avec ses doigts, puis à tout avaler. Après quatorze heures aux mains de son bourreau, la jeune femme pourra enfin allée se laver. Une fois propre il la laissera enfin tranquille. C'est une Stéphanie à bout de nerfs qui s'endormira ce soir là. Pour se réveiller d'elle même douze heures plus tard, sans que son violeur ne la touche.

Par contre dès qu'elle a prit son petit-déjeuner, Stéphanie sent que son tourmenteur arrive. Il doit devenir plus puissant. Jusque à présent, seul le sentiment d'être épiée lui donnait connaissance de l'arrivée de l'entité. Maintenant, avant de se sentir regardée, elle sent physiquement la présence de l'être invisible. Comme si il se nourrit de son désespoir, de sa douleur, de son humiliation. Cette fois, c'est douze heures de sexe vaginal qui attendent la malheureuse. Elle apprendra à s'empaler sur le sexe de son bourreau en cow-girl, à bouger dessus en lui donnant le maximum de plaisir. Mais elle apprendra aussi à s'empaler et à aller-et-venir sur le pal qui la taraude, en levrette, debout, assise sur lui. Ce n'est qu'une fois qu'elle pourra faire parfaitement chaque position, chaque geste, qu'elle aura le droit de se laver, de dormir.

Si le lendemain ainsi que les six jours qui suivent, il ne la force que dans quelques coïts classique, la laissant tranquille, comme si il ne veut pas casser son jouet, le même jour la semaine suivante sera le pire jour de la vie de Stéphanie. Dire qu'elle en en a connu des très difficiles, surtout depuis que l'entité la viole plus que régulièrement, est un euphémisme. Tout commence normalement. Il la réveille, lui ordonne d'aller prendre sa douche. Stéphanie obtempère, encore à moitié endormie, la jeune femme se lève, va dans la salle-d'eau attenante à sa chambre. Elle sait ce qu'elle doit faire. Stéphanie ouvre l'eau, entre dans la douche, appuie ses mains et sa joue droite contre le mur, elle tend les fesses vers l'arrière, jambes écartées pour qu'il est plus facilement accès à son sexe. Puis elle attend. Il ne tarde pas. Un gland aussi énorme qu'invisible se colle à sa vulve, l'instant d'après elle crie de douleur quand il la pénètre.

L'entité ne ménage pas la chatte de Stéphanie, ni ses seins qui cogne contre le mur à chaque coups de reins violent du violeur invisible. Cinq minutes que la jeune captive est réveillée, déjà son premier viol est là. Stéphanie le subit en criant de douleur, en pleurant abondamment. Comme chaque matin, il jouit rapidement, le rapport n'ayant durée que trente minutes. C'est à la fois énorme, mais bien peu par rapport aux heures de viols abject auquel il s'est adonné sur elle récemment. Mais hélas pour la pauvresse, la journée est loin d'être terminée.

Stéphanie est surprise quand son agresseur sexuel la laisse tranquille. D'habitude, le matin, il la prend deux ou trois fois. Cette fois, après une seule éjaculation qu'elle sent s'écouler de sa vulve, la voix d'outre-tombe résonne :

- Lave-toi et va manger. Ta journée va être difficile.

La jeune femme se demande quel tourment il lui réserve, car même dans les pires jours il ne l'a jamais prévenu de rien. Pour éviter toute punition, Stéphanie se lave alors très consciencieusement, car à force de coups, elle a bien compris qu'il n'aime pas violer un corps qui n'est pas parfaitement propre.

Une fois qu'elle a but son café, mangée ses tartines, la voix résonne de nouveau :

- J'ai envie de ton corps de salope. Va t'arc-bouter sur la grande table. Joue sur le bois, bras croisés dans ton dos.

Stéphanie n'y trouve rien de bizarre, il l'a déjà souvent prise comme cela. Lui tenant les poignets, lui écrasant la tête sur la surface dure, lui défonçant sauvagement le sexe. Elle ne trouve pas bizarre non plus quand elle sent sa présence derrière elle, que l'une de ses mains lui enserre les poignets, que l'autre lui écrase la tête contre la table. Que son gland se frotte de l'entrée de son sexe à son anus. Ce sont des choses qu'il fait souvent, donc rien ne l'alarme. Mais quand le gland énorme comme à peser contre son anus, orifice d'où elle est encore vierge, Stéphanie commence à paniquer. Outre le dégoût qu'un tel acte lui inspire, si il entre par là, il va la tuer, c'est certain... Le subir pour l'éternité c'est une chose qui l'horrifie au plus profond de son âme la jeune femme.

D'une voix hystérique, Stéphanie tente de le faire changer d'orifice. Il n'a jamais cherché à la prendre par là, il doit faire une erreur.

- Arrête! Arrête! Tu te trompes de trou! C'est mon anus, pas mon sexe!

Un rire impitoyable éclate tandis que la poussée du gland invisible stoppe. La voix d'outre-tombe résonne ensuite :

- Je ne me trompes jamais! J'ai envie de t'enculer, alors je vais t'enculer... à sec!

Pour la première fois, une émotion se fait entendre dans la voix de l'entité : l'envie. La pauvre Stéphanie comprend qu'elle ne le fera pas changer d'avis. Elle n'y arrive jamais. La jeune femme au bord de la crise de nerf tente alors de fuir son agresseur. Mais cela s'avère impossible, sa force est surhumaine. Sa poigne de fer entoure ses poignets, sa tête est écrasée sur la table, son corps coincé contre le meuble par le poids de sa agresseur.

Stéphanie le sent forcer contre la petite étoile gardant l'entrée de ses reins, étoile qui lutte héroïquement contre le sexe qui veut l'envahir. Un être humain arrive toujours à entrer dans l'orifice qu'il convoite vraiment, alors une entité beaucoup plus puissante... l'issue est inéluctable. La malheureuse jeune femme sent une force incroyable poussée contre son petit trou. Petit à petit l'issue ne fait pas de doute, elle sent son anus qui s'écarte de plus en plus. En moins de trois minutes, l'entité gagne, une fois de plus, cette bataille.

Un craquement ignoble retentit dans la pièce, suivit du pire hurlement de souffrance atroce que Stéphanie n'est jamais poussée. Dieu sait que pour hurler, Stéphanie l'a fait plus qu'à son tour depuis que cette chose monstrueuse la force. Mais là le douleur est pire que tout. Une explosion atomique explose dans tout son corps, ravageant tout sous son passage, du bout de ses ongles de pieds, à la pointe de ses cheveux. En passant par son estomac, son cœur, ses poumons, ses intestins. Une onde d'une chaleur atroce ravage tout ses organes internes, tandis que son sphincter se fissure avant de se diviser en trois morceau. La pauvre malheureuse en gardera d'ailleurs des séquelles pour le reste de sa vie. Et dire que seul le tiers de son gland est entré en elle...

Une Stéphanie hurlante la bouche grande ouverte, le visage rouge, les yeux exorbités semblant vouloir sortir de leurs orbites, pense que le pire est arrivé. Mais le pire est sournois, surprenant. Elle n'en est qu'au début, bientôt cette douleur lui semblera une douce caresse comparé à ce qu'elle va vivre ensuite.

Après l'entrée de ses reins, il n'y a rien, tout est hermétique. L'entité va devoir forer la voie. Il s'y atèle d'ailleurs immédiatement. Il n'a aucune pitié, la souffrance de Stéphanie le nourrissant, son désespoir le rendant plus fort, ses hurlement lui donnant plus de puissance, de méchanceté. Plus il lui fait mal, plus il la détruit psychologiquement comme physiquement, plus il aime cela, plus il devient fort.

Une fois son gland entouré de l'anus de Stéphanie, qui palpite comme un fou pour faire sortir cet intrus destructeur, il se met à forcer pour faire entrer le reste de son énorme bite, vraiment trop énorme pour l'étroit fourreau qu'il prévoit d'enculer à fond. Il sait qu'il va lui faire vivre le plus atroce des enfers, il s'en délecte par avance.

- J'ai enculé des centaines de putains dans ton genre, mais une aussi étroite, jamais!

Stéphanie, trop occupée à hurler sa douleur, ne l'entend même pas.

L'entité force comme un fou pour progresser dans le cul somptueux de la pauvre enculée. Son gros gland disparaît peu à peu entre les fesses au trou sanguinolent et éclaté de Stéphanie. La malheureuse sent son sang lui inonder les fesses. Bien qu'invisible, l'entité mate avec plaisir son engin que lui voit, s'enfoncer entre les fesses somptueuse, du cul encore plus somptueux de son amante forcée. Entre son intérieur très serré, le fait qu'elle se contracte comme une folle, la bite est obligée de créer du vide là où il y a de la matière. À la manière d'une foreuse sur un champ de pétrole, s'enfonçant dans la terre, le pieu lutte pour s'enfoncer dans le corps de la jeune femme.

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