La Transition 06

« Ce n'est pas aussi simple ... il faut que je baise sinon cela ne me calme pas .. »

« Attends ... j'arrive! »

Elle fit basculer le siège passager vers l'arrière et roula jusqu'au siège arrière. Sans rougir malgré son jeune âge, elle ouvrit la braguette du garçon et extirpa sa verge bandée comme un arc et commença à le branler sans fléchir. Amaury eut une curieuse sensation. Comme s'il était de nouveau dans sa Transition , il sentait ses couilles gonfler et son besoin de jouir augmenter démesurément.

« Viens! »

Elle lui avait à peine intimé l'ordre qu'il se cabrait et déchargeait plus abondamment qu'il ne l'avait fait depuis longtemps. Son sperme jaillit sur le dossier du siège devant lui et même dans le cou de la conductrice qui ne se retourna cependant pas.

« Uuugh! ... Aaargh .. c'était géant Annie! ... Comment as-tu réussi cela? »

« Tu en avais besoin .... Et je ne veux pas que tu touches à ma sœur! »

Il ne débandait cependant pas, même sans s'auto-Influencer. Annie recommença à le caresser tout en l'interrogeant

« Tu ne devrais pas devenir plus mou? Je n'ai jamais été avec un garçon mais d'après ce que Joëlle m'a raconté, les garçons ne peuvent jouir qu'une seule fois ... »

« Je suis différent ... On nous appelle les 'Doués'... uuuh ... ta main me fait du bien ... »

« Tu veux encore cracher ton truc? »

« Oui mais ce serait plus facile si tu me montrais tes seins ... »

« Et pas difficile avec ça! Il te faut une branlette ET jouer au voyeur! » Elle avait pris un ton sévère mais elle sourit tout en relevant son T-Shirt. Ses seins n'étaient vraiment pas impressionnant et elle les fit jaillir de son soutien sans problème. Amaury fut fasciné par les mamelons qui mangeaient presqu'un tiers des globes bien fermes qui s'offraient à sa vue.

Il ne put résister et les prit dans sa main pour mieux les apprécier ... et il jouit à nouveau!

« Uuugh ... oooh Annie ... tes seins! Quelles merveilles ... oooh! »

« Encore heureux que tu n'as pas vu les mamelles de Joëlle ... Ca c'est du nibard! Joëlle, montre lui un peu de vrais seins de femme!»

Sa sœur se retourna, se mettant à genoux sur le siège conducteur et enleva carrément son chemisier. Sa poitrine passait juste au-dessus du dossier et Annie releva elle-même les deux bonnets par-dessus les deux lourds globes qui dansaient au-dessus d'eux.

« Uuuugh! « Amaury n'en revenait pas lui-même. Ces deux filles allaient finir par avoir sa peau s'il continuait à décharger à chacune de leurs incitations.

« Il n'est pas normal Annie » confirma Joëlle « Aucun de mes mecs n'aurait été capable de jouir deux fois d'affilé comme cela et encore moins trois fois et il ne débande toujours pas! »

« J'ai envie .. . » commença la plus jeune en se penchant vers la bite toujours érigée. Elle l'emboucha avec une certaine prudence et commença à récupérer du bout de la langue les petites rivières de sperme qui la recouvraient. Après quelques secondes seulement de ce traitement, Amaury saisit la tête de sa jeune fellatrice

« Uuugh! OOOOH ... C'est trop ... Annie ... arrête ... par pitié! »

Elle se releva en se pourléchant les lèvres.

« Pas mauvais ... je pourrais m'y faire » ajouta t'elle, mutine . « Allons grande Sœur, direction la maison ... on va voir comment on va s'organiser pour le reste de la journée! » Elle fouilla son sac à main pour en sortir quelques mouchoirs en papier avec lesquels elle commença à éponger le sperme qui avait maculé la voiture un peu partout. Joëlle avait repris position derrière le volant et continua sa route comme si de rien n'était, sans prendre la peine de fermer son chemisier.

Complètement sonné, Amaury n'avait même pas pensé à rentrer sa verge dans son pantalon. Lorsque la voiture finit par se garer dans la cour intérieure d'une vielle ferme, il voulut descendre et faillit s'étaler lorsque son pantalon finit sur ses chevilles. Les deux filles s'esclaffèrent et le portèrent à moitié à l'intérieur du bâtiment. Ils pénétrèrent dans la salle à manger où Amaury aperçut un appareil comme il n'en avait vu que dans les films des années '70 et '80 : un téléphone en bakélite!

« J'y pense » dit-il « Est-ce que je peux téléphoner à ma ...famille? Elles ... Ils doivent être inquiets ; j'ai oublié mon GSM ce matin chez moi. » Ce qui était en partie exact vu qu'il n'avait pas voulu le prendre avec lui pour ne pas être dérangé.

Il téléphona à sa mère qu'il chargea de rassurer son harem en lui intimant l'ordre de ne pas parler des 'Autres' . Il ne tenait pas à se retrouver avec une horde de femelles angoissées sur les bras!

Ils s'assirent ensuite autour d'une grande table en chêne qui trônait au milieu de la salle à manger, juste en face d'une énorme cheminée qui devait dater de bien avant les poêles aux charbon et même les lampes à huile.

« Parle nous des Doués et de ces gens qui te poursuivent » demanda Joëlle qu'Amaury avait libérée de son état de soumission.

Il expliqua son parcours, depuis la disparition de son père Stéphane à sa Transition puis continua avec ses premières expérience de Contrôle Mental et l'avertissement de Stéphane concernant les 'Autres'.

« Mais pourquoi ne m'as-tu pas contrôlée moi alors que Joëlle était devenue ton petit robot sans problème » demanda Annie.

« Bonne question . Je n'en sais rien ; c'est comme si tu étais imperméable au Pouvoir sous toutes ses formes. Par exemple .... » Il envoya des ondes sexuelles aux deux sœurs et augmenta la dose jusqu'à ce que Joëlle jouisse en sanglotant sous le regard éberlué de sa sœur. « Tu vois, je peux faire cela et bien d'autres choses à toutes les femmes ... sauf toi! »

« Ca ... ça me rappelle ...ce que disait Papa « intervint Joëlle . « il disait toujours que Maman pouvait faire bander un mort rien qu'en le regardant. Peut-être que c'était une Douée au féminin? »

« Stéphane ne m'a jamais parlé de DouéE » dit Amaury ; le Contrôle semble être plutôt un désir de Mâle mais c'est vrai aussi que je connais quelques Dominatrix qui se passent bien de Pouvoir pour contrôler leurs Soumis et Soumises. »

« Mais si Maman était une Douée, cela pourrait expliquer qu'Annie ait hérité de certaines de ses capacités, par exemple sa résistance au Pouvoir Mâle? »

« Pourquoi pas? » admit Amaury « Et en plus, elle n'a pas vécu de Transition donc son pouvoir serait toujours latent ... »

« Maman est morte d'un cancer il y a quinze ans et Papa a été renversé par un chauffard il y a cinq ans. Ce ne sont malheureusement pas eux qui pourront nous éclairer à ce sujet » soupira Annie. « Et je ne me souviens pas avoir un jour Contrôlé un homme, à moins que tu ne comptes mes copains de classe bourrés d'hormones qui bandent dès qu'ils voient un soutien! »

« Comme tu dis » renchérit sa sœur. « Et puis assez de plans sur la comète pour ce soir! On a un beau reste de potée champenoise et après cela, j'aimerais bien qu'Amaury me fasse la démonstration de ses qualités au pieu! Je ne suis plus vierge, moi et après toutes les Influences que j'ai subies aujourd'hui, j'ai bien droit à une compensation! »

« Joëlle! »

« Ne prends pas ton air de vierge effarouchée, petite sœur, dans la voiture tu étais nettement moins farouche quand tu as trait notre étalon! J'ai envie d'Amaury et je vais me le faire!»

C'était la première fois qu'Amaury se retrouvait dans la position d'un Objet Sexuel et cette idée l'émoustilla. Il avait déjà eu un aperçu des seins de la sœur aînée et ne demandait pas mieux que de la laisser se servir de lui comme d'un sex toy vivant. Il eut bien du mal à faire honneur à l'excellent repas tant sa verge le démangeait.

Ils firent l'amour toute la soirée ; Joëlle s'avéra insatiable alors même qu'Amaury avait pris grand soin de ne surtout pas l'Influencer. Elle le chevaucha jusqu'à ce qu'elle obtienne son troisième orgasme après quoi, elle le suça avec une douceur raffinée qui le fit grimper au plafond. Au moment où il allait se répandre dans sa bouche, elle l'abandonna pour lui murmurer

« Je ne suis qu'un fusil à deux coups ... j'aimerais que ce soit toi qui me prenne ma dernière virginité ... »

Amaury eut bien du mal à ne pas la violer séance tenante tant la vue de ses fesses somptueuses l'excitait . Macha en plus jeune ; Séverine en plus junonienne et aussi avide qu'Elise! Le garçon la fit s'étendre sur le dos, les jambes écartelées et suréleva son bassin avec deux oreillers pour faciliter son accès à la petite rondelle recroquevillée qui l'attendait. Pour maîtriser son impatience, il commença par s'occuper de sa somptueuse poitrine avant de lécher son clitoris en fusion. Quand elle fut excitée au bord de l'orgasme, il utilisa sa crème de nuit pour lubrifier sa verge et força l'entrée de son anus.

Elle gémit de douleur et il s'arrêta tandis qu'elle reprenait à son compte les caresses sur son clitoris puis recommença à la sodomiser avec une redoutable lenteur. Discrètement, il la 'chauffa' un tout petit peu pour s'assurer que son rectum se relâchait suffisamment pour lui laisser le passage.

« Aaah .. maury ... j'ai mal mais .. continue! C'est bon ... Dommage .. que tu n'as pas ... oooh ... deux bites ... Oooh ... pour me défoncer ... la chatte ... AAAHH ... en même temps! ... Vas-y ... bel amant ... inonde ... mon CUL ... OOOH ... oui .. AMAURY ... MON CUL ... AAAAHH ... ENFONCE ... A FONDS! »

Elle enfonça deux doigts dans sa chatte tout en écrasant son clitoris et le garçon jouit pour la dernière fois de la journée, les yeux braqués sur le beau visage de Joëlle qui se contorsionnait de plaisir sous lui.

Le lendemain matin, , il émergea d'un sommeil aussi réparateur que mérité et découvrit le corps nu de Joëlle pelotonnée contre lui. Il ne put s'empêcher de lui caresser les fesses en l'embrassant dans le cou. Encore endormie ,elle l'enlaça en soupirant d'aise. Elle finit par s'éveiller et lui sourit.

« Si tu veux profiter de la salle de bains, c'est le moment! Après j'aurai bien besoin de la monopoliser une bonne demi-heure pour me remettre de tous les sévices que tu m'as infligés cette nuit! »

Lorsqu'elle lui succéda, elle lui dit « Annie a dû faire le café et préparer le petit dej dans la salle à manger. Tu veux bien ramener un plateau? »

Joëlle avait dû pécher par optimisme car rien n'était prêt mais heureusement, Amaury trouva dans l'unique buffet de quoi confectionner un petit déjeuner de fortune et revint dans la chambre au moment où Joëlle émergeait de la salle de bains. Il s'excusa de la frugalité du plateau pendant que sa compagne liquidait une tasse de café avec un plaisir non feint .

« Je vais aller réveiller cette paresseuse! » dit-elle en reposant sa tasse. Et après, je reprendrais volontiers un p'tit coup d'Amaury ... »

Elle glissa plus qu'elle ne marcha hors de la chambre pendant que le garçon, malgré une érection imposante, remportait les reliefs de leur repas au rez-de-chaussée. C'est là qu'il entendit les cris de Joëlle « Amaury , ... AMAURY ... VIENS VITE! »