La Transition 07

Informations sur Récit
Lutte de Pouvoirs.
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Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 03/02/2015
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Walterego
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Amaury se précipita vers la pièce d'où provenaient les cris de Joëlle. Elle était assise sur le lit d'Annie et regardait avec inquiétude sa jeune sœur qui gémissait de douleur en se tenant le ventre. Le garçon s'approcha. La jeune fille portait une nuisette trempée de transpiration qui ne cachait plus rien de sa poitrine qui semblait avoir spectaculairement grossi, menaçant de faire éclater le tissu . Son slip était dans le même état, menaçant de céder sous la pression des grandes lèvres de sa vulve et de son clitoris qui saillaient sous le coton détrempé. Il réalisa qu'aucune de ses Soumises n'avait jamais arboré des organes sexuels aussi hypertrophiés.

Un nouveau gémissement rauque s'échappa des lèvres desséchées d'Annie et il vit distinctement ses seins augmenter encore de volume. Les mamelons dardés pointaient à travers la nuisette comme de petits crayons. La jeune fille porta les mains à ses seins en geignant mais sans ouvrir les yeux ; elle semblait presqu'inconsciente.

« Joëlle, va chercher de l'eau, des jus de fruits... des soft drinks ... n'importe quel liquide, il faut la réhydrater d'urgence! »

« Pourquoi, qu'est-ce qu'elle a? »

« Je peux me tromper mais cela ressemble furieusement à mon état quand j'ai commencé ma Transition! Vite, ramène des liquides!»

En attendant le retour de la sœur aînée, il fila dans la salle de bain et en ramena des serviettes et draps de bains. Il épongea délicatement le visage de l'adolescente qui geignait de plus en plus fort.

« A .. Amaury ... je brûle ... à l'intérieur... c'est ... insoutenable ... aaah! »

Joëlle revint les bras chargés de bouteilles. Amaury aida Annie à boire quelques gorgées puis imbiba une serviette pour lui rafraîchir le visage. Elle commençait à redevenir plus lucide.

« Qu'est-ce qui m'arrive? Ma chatte est en feu et mes seins qui vont exploser! »

« Vous allez devoir me faire confiance toutes les deux » répondit le Doué . « Il faut à tout prix faire diminuer la tension sexuelle qui te tourmente mais ne pas oublier de compenser les pertes d'hydratation »

« Et on fait cela comment? » demanda Joëlle

« Ben, moi je la fais jouir et toi tu la ravitailles après chaque orgasme »

« Joëlle, fais ce qu'il te dit ... oooh ... je n'en peux plus! »

Amaury s'accroupit à côté de la jeune fille et fit passer sa nuisette par-dessus sa tête. Sa poitrine soudainement opulente rivalisait avec celle de sa sœur avec l'avantage des larges mamelons qui mettaient ses seins magnifiques en valeur.

« Là, c'est moi qui suis jalouse maintenant » dit Joëlle dans un souffle.

Amaury s'escrimait déjà à enlever le slip distendu d'Annie. Ses hanches semblaient aussi avoir pris un peu d'ampleur car les premiers centimètres s'avérèrent particulièrement ardus. Enfin, il put ôter le sous-vêtement et le spectacle stupéfia le garçon et la sœur. Le clitoris avait facilement triplé de volume et quadruplé en longueur ; il pointait tel une minuscule petite verge au-dessus des grandes lèvres de la vulve qui semblaient elles-mêmes être boursoufflées au-delà de l'imagination.

Amaury se pencha entre les cuisses d'Annie et lécha précautionneusement le clito géant et la jeune fille sauta littéralement en l'air.

« AAAAAHHH ..... AM... AU.. RY ... N'ARRÊTE .... PAS ... AAAAHHH"

Encouragé, le garçon lécha franchement le méga-bouton d'amour de l'adolescente

« OOOHHH ... OUI .... C'EST CA! ... ENCORE ... JE PARS ENCORE! ... AAAH! »

Persuadé d'avoir pris la bonne décision, Amaury continua à la lécher pendant cinq bonnes minutes, faisant tressauter le corps de son amante sur le lit telle une pouliche rétive, avant de leur accorder à tous deux une pause. Tandis qu'il essuyait sa bouche trempée par l'abondance des sécrétions dont Annie l'avait gratifié, Joëlle avait fait boire sa cadette reconnaissante.

« Je me sens un peu mieux « dit Annie « mais j'ai l'impression que la pression recommence à monter! Quand je jouis, ça baisse mais dès que tu m'abandonnes un peu trop longtemps, j'ai de nouveau de l'électricité dans la chatte et les nibards»

« C'était la même chose pour moi » renchérit Amaury « pendant les premières heures, je devais éjaculer près de dix fois par heure »

« Qu'est-ce que tu attends alors? » demanda Annie visiblement impatiente de continuer son traitement. « Et fais-moi un peu les seins s'il te plaît ... c'est terrible comme ils m'élancent ... il faudrait me les traire! »

Amaury replongea dans l'entrejambe de la jeune fille tout en pelotant fermement les lourdes mamelles qui avaient remplacé sa fine poitrine d'adolescente.

« Plus fort ... n'aie pas ... peur ... j'aime ... »

La bouche du garçon s'empara du clitoris hypertrophié qu'il suça goulûment

« WAAAOOOOHHH!.... DEJA ... JE REPARS ... EN.. CORE ... AAAHH! OOOHH ... MON ... CLITO ... AAAHH! »

Annie attrapa la main de sa sœur et la serra comme si sa vie en dépendait

« Jojo ... c'est si bon ... merci ... d'être .. avec moi ...AAAAHH .. grande sœur ..OOOH ... CA RECOMMENCE! ... JOJO ... OOOH! »

Si elle avait été au départ effrayée par l'état d'Annie, Joëlle se sentait maintenant excitée par les orgasmes à répétition qui ravageaient le corps de sa cadette avec une pointe de jalousie cependant. Jamais sans doute, elle ne connaîtrait un tel holocauste des sens.

Annie posa ses mains dans les cheveux de son amant.

« Amaury ... c'est très bon mais ...uuuh ... il faudrait s'occuper ... de ma chatte ...uuuh ... Trop vide ... J'ai des crampes... aaah... à ... l'intérieur ... Prends-moi ...oooh ... en force ... pour calmer ces foutus...uuuh... spasmes ... Marre de cette... oooh .. foutue virginité ... Fais de moi ...uuh ... une femme ... une vraie!»

Le garçon décida de ne pas prendre de risque et 'chauffa' légèrement Joëlle avant de prendre la direction de l'opération « Première Fois » d'Annie.

« Joëlle, Annie va avoir besoin de toi : étends-toi sur le dos ; tu vas t'occuper du clitoris de ta sœur pendant que je la prendrai. Annie, mets-toi à quatre pattes au-dessus de Jojo. Si tu peux, essaye de lui donner du plaisir avec ta langue »

Les filles prirent position et Amaury vint se placer derrière le cul relevé d'Annie, pointant sa verge monstrueusement érigée vers la vulve béante.

« Prêtes les filles? A toi d'ouvrir le bal Joëlle ; j'arriverai dès que tu auras fait crier ta sœur! »

Il n'eut pas à attendre longtemps

« OOOHH JOJO! ... Aaah ... grande sœur ... oooh merci ... c'est mer.. veilleux ... oooh ... AÏÏE!»

Amaury venait de la pénétrer en force, brisant son hymen d'un seul coup de boutoir ; s'enfonçant dans le vagin encore intact mais tellement ouvert au-delà de la fine membrane de la jeune vierge qu'il faillit oublier qu'il venait de la déflorer. Les grandes lèvres de la vulve se refermèrent sur sa verge, emprisonnant encore plus son membre dans la cavité brûlante et agitée de contractions qui mettaient ses gonades en émoi.

Il se mit à la prendre puissamment, arrachant des grognements de plaisir pur à sa partenaire

« Aaah ... OUI ... Com' ça ... oooh ... En ... cor' ...YAAAAHH ... CA REPART ... AAAHHH! »

Amaury réalisa rapidement qu'il ne tiendrait pas le coup très longtemps dans ce maelström de sensualité totalement débridée . Il serra les dents, décidé à prolonger autant que possible la saillie de cette femelle en chaleur.

« N'ARRÊT' ... PAS! ... BAIZ ... BAISE... MOI ... AAAAHH ... PLUS ... FORT ... PLUS.... VIT'! YAAAH! JO ... MON CLITO ...»

Joëlle n'avait pas non plus lâché prise et continuait à sucer le clitobite d'Annie. Elle se sentait elle-même de plus en plus frustrée en voyant la puissante verge du Doué, maculée de sang virginal, labourer la chatte de sa sœur alors que son propre vagin palpitait dans le vide.

« YAAAAHH! »

Entraîné par le nouvel orgasme d'Annie, Amaury ne put s'empêcher d'ouvrir les vannes à son tour et jouit à gros bouillons dans la grotte d'amour de sa monture.

« AAARGH .. ANNIE ... TIENS ... pour toi ... »

Le garçon avait l'impression que ses couilles allaient complètement se vider tant son éjaculation était abondante. Beaucoup plus abondante que tout ce qu'il avait déversé depuis sa Transition.

« Oooh ... tu .. m'inondes ... mon .. premier sperme .... Dans ma ... chatte ... MA CHATTE ... AAAAHH! »

Joëlle n'en pouvait plus ; elle porta la main à son propre sexe et se masturba frénétiquement, se faisant jouir aussi rapidement que cette jouissance était insatisfaisante.

« Amaury .... Tu veux bien me baiser pendant que je caresse ma sœur. J'ai aussi mes besoins, moi! »

Tout en changeant de configuration, ils en profitèrent pour essuyer les traces de sperme et de cyprine qui couvraient leurs cuisses ou leur visages. Joëlle particulièrement qui s'était retrouvée en-dessous de la fontaine de sa sœur et du geyser d'Amaury.

Malgré ... ou grâce à la cascade d'orgasmes qu'elle venait de traverser, Annie avait bien meilleure mine. Les grandes lèvres de sa vulve s'étaient même quelque peu rétractées et son clitoris avait légèrement diminué de volume même si ses dimensions restaient impressionnantes. Ses seins par contre restaient toujours orgueilleusement dressés malgré leur prodigieuse croissance.

Amaury s'aperçut qu'un liquide clair s'échappait des tétons. Curieux, il se pencha pour sucer la substance fluide qui restait accrochée au mamelon. Il avait à peine fini de nettoyer le deuxième mamelon qu'il eut l'impression que son bas-ventre explosait. Sa bite reprit vie alors qu'il n'avait fait pas encore fait appel à son Pouvoir pour se faire rebander!

Incrédule, il regarda sa verge qui venait de reprendre ses dimensions de combat et même peut-être un peu plus! Et il ressentait un furieux besoin de s'accoupler séance tenante. Il lui fallait trouver un fourreau pour sa bite enfiévrée ... et vite! Annie s'était adossée aux oreillers et Joëlle était déjà occupée à la lécher tout en faisant pénétrer ses doigts dans la jeune chatte enfin ouverte. Elle tendait ses fesses vers le garçon qui ne voyait plus que son sexe offert, tel une cible pour sa flèche monstrueusement bandée.

Sans prévenir, il saisit la sœur aînée aux hanches et s'enfonça en elle d'un seul coup.

« OUCH! ...Amaury ... J'ai dit baiser ... pas violer! »

Le garçon n'en n'avait cure ; sa verge l'élançait beaucoup trop pour qu'il prête attention aux protestations de la femme autour du trou qu'il pistonnait avec rage. D'autant plus qu'Annie, à nouveau surexcitée, avait enfoncé la bouche de sa sœur sur sa corolle, la bâillonnant implacablement. Prise en sandwich entre sa jeune sœur et le Doué qui se servaient tous deux d'elle sans retenue, Joëlle eut du mal à se mettre au diapason de leur sensualité forcenée. Heureusement, le rythme frénétique d'Amaury qui massacrait sa chatte finit par avoir raison de sa réticence de départ.

Amaury jouit en elle sans que cela semble l'émouvoir puisqu'il continua à la labourer mais cet apport séminal la fit enfin ressentir un début de plaisir. Sa bouche fut presqu'en même temps inondée des sécrétions de sa sœur et elle franchit un nouveau palier dans l'excitation... Même trois ou quatre ; elle commençait à avoir du mal à se concentrer sur le clito et la chatte de sa cadette tant les sensations explosaient dans son ventre. Elle avait l'impression que plus elle avalait la cyprine d'Annie, plus elle s'approchait de la jouissance ... Oui, ... ça montait, montait ...

« MMMMH ... MMMH... » Elle aurait voulu hurler sa jouissance mais Annie ne la libérait toujours pas ; trop obnubilée par son propre besoin de jouir. Derrière elle, Amaury se cabra et jouit une nouvelle fois en elle avant de s'effondrer sur son dos. Ses deux éjaculations aussi rapides qu'abondantes avaient provisoirement eu raison de sa résistance. Déterminée à faire jouir Annie, elle finit par glisser toute sa main dans le vagin de sa sœur qui se donna sans problème à cette intrusion massive. Annie haleta

« Oooh grande sœur ... c'est bon ... baise-moi ... toute ta main ... oooh! »

Amaury s'était retiré du vagin ravagé de Joëlle et réfléchissait à son comportement des dernières minutes. Cette bandaison instantanée et ce besoin irrésistible de jouir deux fois qui l'avaient envahis après qu'il eut absorbé le liquide mammaire étaient certainement dus à ce dernier. Ce liquide devait être produit par les surhormones d'une Douée femelle. Et ses sécrétions vaginales semblaient aussi contenir un aphrodisiaque au vu des réactions de Joëlle et des siennes lorsqu'ils avaient pratiqué le cunnilingus sur Annie.

Laquelle Annie venait de se cambrer, étouffant presque sa sœur entre ses cuisses. Pour la première fois, elle semblait quelque peu apaisée même si Amaury supposait que ce n'était qu'un calme relatif et momentané avant la prochaine tempête sensuelle.

Dès que les filles eurent récupéré de leurs derniers orgasmes, il leur fit part de ses suppositions

« Tu veux dire qu'au lieu d'Influencer les garçons comme toi tu Influences les filles, moi je ne vais produire des fluides aphrodisiaques? C'est beaucoup moins drôle! »

« Mais drôlement efficace. Je n'ai plus été excité comme cela depuis ma Transition! Ceci dit, rien ne dit que tu ne pourras pas aussi Influencer» les garçons. Tant que ta Transition ne sera pas terminée, nous ne connaîtrons pas l'étendue de tes pouvoirs ... »

« Ca va encore durer longtemps cette Transition? » demanda Joëlle qui fatiguait plus vite que les deux Doués.

« Personne ne m'a jamais parlé d'une DouéE donc je n'en sais rien avoua honnêtement le garçon. « Déjà que la mienne était inhabituelle et qu'elle ne peut pas servir de référence ... »

« En tout cas, j'ai mon compte pour le moment . » continua Joëlle « Je vous laisse vous amuser, je vais préparer le déjeuner. J'espère que vous pourrez vous interrompre le temps que nous mangions ensemble »

« Pour l'instant, c'est mal parti » lui répondit sa sœur en s'emparant de la verge d'Amaury. J'ai de nouveau la chatte qui me démange » Elle se mit à branler le garçon qui se fit un devoir de rebander aussitôt. Elle le poussa sur le dos et l'enjamba pour venir le chevaucher. Annie s'empala sur la verge à nouveau bien dure en poussant un soupir de soulagement.

« Ha! C'est ce qu'il me fallait ... Une bite bien raide pour me ramoner le minou. Essaye de résister cette fois, Doué de mes deux, j'ai envie que ça dure longtemps, très longtemps! »

Une heure plus tard, Annie s'effondrait en sueur sur le torse d'Amaury. Il avait fait mieux que résister et l'avait amené à pas moins de sept orgasmes durant ces soixante minutes de folie sensuelle. Il l'avait empoignée par les seins, serrant bien les deux mamelles pour lui communiquer son propre désir et leurs bas-ventre s'étaient entrechoqués comme deux cerfs en rut, se livrant à une mêlée érotique comme dans un match de rugby d'un nouveau genre .

Il caressa les cheveux de la jeune fille à laquelle il s'attachait de plus en plus. Pas seulement parce qu'il avait trouvé son égale dans les performances sexuelles mais aussi pour sa vivacité et son esprit indépendant qui le changeait agréablement de toutes ses Influencées . Il était toujours accro à l'Influence qu'il exerçait sur la gent féminine et ne voulait certainement pas renoncer à son harem mais un petit feu follet libre lui semblait à tout le moins aussi désirable.

Annie recommença à s'agiter.

« C'est pas vrai, cela recommence et je suis crevée! » se plaignit-elle. Il lui tendit la bouteille d'eau et l'obligea à boire de grandes lampées.

« Laisse-moi faire alors » continua t'il. D'un coup de reins, il les fit basculer sur le côté puis se retrouva juché sur elle, toujours empalée sur sa bite de Doué qui ne donnait, elle, aucun signe de fatigue. Il la pistonna sans merci tandis qu'elle nouait ses bras autour de son cou et se laissait complètement aller à la domination du mâle.

Elle commença à grogner des sons gutturaux à chaque coup de boutoir jusqu'à ce que ses jambes se dressent presqu'à la verticale. Elle glapit son plaisir tandis que son bassin se vissait à celui du garçon. Ses jambes vinrent encercler les reins de son amant, l'immobilisant en elle, vrillant sa verge au plus profond d'elle-même. Ses yeux s'étaient fermés pendant qu'elle jouissait mais ils se rouvrirent, dévoilant un regard flou de plaisir.

« Encore »

Amaury ne se le fit pas répéter et reprit sa cadence infernale à l'intérieur du vagin rutilant. Annie grogna à nouveau puis lui murmura à l'oreille.

« C'est crevant ... jouir à répétition ... mais qu'est-ce que ... c'est booon ... oooh ... Continue... j'en veux encore ... encore ... »

Son enthousiasme commençait à entamer les bonnes résolutions d'Amaury qui avait de plus en plus de mal à se retenir. Ce jeune corps plein d'ardeur allait bientôt venir à bout de da résistance de Doué! La cascade de grognements enamourés qui se déversait dans ses oreilles n'y était pas pour rien non plus. Cela lui faisait le même effet que cette vieille chanson disco de Donna Summer qu'O.B. Juse aimait écouter. La pression montait de plus en plus dans son bas ventre et c'est avec soulagement qu'il vit Annie se cabrer pour annoncer un nouvel orgasme. Il en profita pour se lâcher lui aussi et se répandit en elle.

Sa jouissance fut tellement intense qu'il ne se rendit même pas compte qu'elle mordait dans son biceps pour étouffer ses propres cris d'extase.

Lorsqu'il réalisa la douleur de la morsure, la tête de la jeune fille retombait déjà sur l'oreiller pendant qu'elle essayait de recouvrer son souffle. Il la regarda avec amusement

« Tu es sure que tu ne descends pas d'une tribu de cannibales? »

« Non mais une de mes ancêtres a été piquée par une Mante religieuse ; depuis lors, après l'amour, nous dévorons nos amants! » répliqua t'elle en riant. Il sourit en retour et la laissa guider sa bouche vers son sein gauche dont il commença à sucer l'aréole avec délectation.

Mais presqu'aussitôt, il sentit du liquide projeté sur sa langue . Il pesta contre sa propre stupidité mais il était trop tard ; les surhormones femelles avaient déjà fait leur effet et il rebanda immédiatement à l'intérieur de la conque qui englobait sa verge à nouveau dure comme du fer. Ses reins s'agitèrent contre sa volonté mais le besoin de forniquer était trop fort. Il la pourfendit avec une vigueur retrouvée.

« OOOH MON DOUE! ... QU'ELLE EST GROSSE! .... VAS-Y ... BOURRE-MOI! »

Amaury ne répondit pas ; toute sa conscience était concentrée dans sa verge qui pulsait comme un cœur en fibrillation tout en défonçant la vulve de la jeune fille.

« YAAAAH ... PLUS FORT! .. ENCORE ... PLUS ... FORT ... CREUSE ... TRAVERSE-MOI! ... »

Annie semblait être passée à la vitesse supérieure elle-aussi, l'encourageant à gorge déployée, lui déchirant le dos de ses ongles et martelant ses fesses de ses talons.

« AAAAHHH ... N'ARRETE PAS! »

Même sans ses instructions, il aurait été bien incapable d'arrêter de la perforer ; sa bite l'élançait beaucoup trop pour qu'il n'aille pas jusqu'à obtenir la satisfaction sexuelle qu'il poursuivait comme un mustang sauvage.

« J'ai .. besoin ... de te .. baiser... » parvint-il à articuler en hoquetant

« Baise-moi ... alors ... encore ... »

Sa verge incandescente n'en finissait pas d'aller et venir dans le puit d'amour de la jeune fille et malgré sa peau renforcée, elle commençait à le brûler tant leur implacable coït se prolongeait.

« A.. maury ... « gémit-elle ... « viens ... avec moi ... VIENS! »

L'instant d'avant, il se demandait s'il pourrait un jour soulager sa bite de l'infernal sort qui l'avait transformée en marteau-pilon incontrôlé mais au moment où elle beugla « VIENS » , il jouit comme un puceau à son premier rapport.

« ANNNIIIIE! » Il avait l'impression que sa moelle épinière suivait son sperme à travers sa bite enflammée.

« VIENS ... ENCORE ... INON..DE ... MOI! ... JE VEUX ... TOUT! »

Vidé, épuisé, perdu dans un demi coma, il s'effondra sur elle qui était elle-même en train de voguer vers le septième ciel. Sa verge était encore bandée mais avait cessé de l'élancer. Il recouvra ses esprits avant elle et en profita pour s'extirper de son intimité pour basculer sur le dos, toujours haletant.

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