La Transition 05

Informations sur Récit
Le 5ème Pouvoir.
4.7k mots
4.63
15.5k
1

Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 03/02/2015
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Walterego
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Amaury Lemestre réunit son état-major.

« Elise, comme prévu, tu emmènes nos lauréates et les membres du jury dans la suite présidentielle de l'Hôtel Clonart? Je vais arroser tout le monde d'une petite touche de mon Pouvoir pour que la soirée soit assurément festive. Sev et moi , nous allons emmener Macha à la maison pour faire plus ample connaissance. Après tout, nous serons ses deux bras droits pour la campagne électorale. »

Séverine intervint « Il faudra que l'on repasse d'abord par le Club ; il est temps que je libère Ophélie-Blandine! »

« On peut l'emmener avec nous aussi... elle a droit à un peu de réconfort après la journée qu'elle vient de passer ... »

En arrivant au Club « Entreprendre au Féminin » , ils trouvèrent O.B. Juse endormie, pelotonnée dans le fauteuil de la Présidente Elise. Elle était entièrement nue si ce n'est les deux pincettes à tétons reliées à son collier, lui-même attaché à un des anneaux du mur.

Marie-Charlotte de Heinlein était fascinée par la vision de cette femme qui semblait être un symbole vivant de l'objectification sexuelle. Elle dont la sensualité avait toujours frôlé le zéro absolu était à la fois révoltée et attirée par cette démonstration de soumission extrême.

« Elle aime être traitée ainsi? » demanda t'elle à Amaury

« Elle l'aime, elle l'adore, c'est beau comme elle l'aime, c'est fou comme elle l'aime! » chantonna Séverine. « Je vais la réveiller et on va te faire une petite démo ... »

Elle plongea un doigt dans le vagin de l'esclave assoupie

« Même endormie, elle mouille ... »

Elle masturba un instant Ophélie-Blandine, le temps que cette dernière ouvre les yeux. La jeune fille força ensuite son doigt dans la bouche de la captive.

« Tiens ma cochonne, goûte-moi ça! De la mouille de cochonne en chaleur! »

Macha demanda à Amaury « Les pincettes sur les seins, ce n'est pas trop douloureux à la longue »

« Je n'ai jamais essayé moi-même mais c'est surtout quand on les enlève qu'elle ressent une douleur-plaisir qui la fait jouir à chaque fois. Je te connecterai à elle si cela t'intéresse. »

« Oui, volontiers. Je ne sais pas pourquoi pais j'aimerais bien les lui enlever moi-même ... »

« Ca peut s'arranger. Mais tu devras d'abord emmener notre cochonne aux toilettes. Depuis le temps qu'elle est sur ce fauteuil, il vaut mieux prendre quelques précautions. Sev, mets lui sa laisse, Macha va l'emmener au petit coin. »

En un clin d'œil, Macha se retrouvait avec l'extrémité de la laisse en main et guidait la femme nue vers les toilettes du hall en se demandant ce que ses nouveaux amis auraient fait en pleine journée. Auraient-ils poussé le vice jusqu'à obliger leur esclave à déambuler nue devant tout le monde?

Lorsqu'Ophélie-Blandine eut fini de se soulager, Macha tira sur la laisse pour qu'elles retournent vers le bureau présidentiel mais, à sa grande surprise, la femme-objet résista.

« Venez ... euh ... viens ... coch .. cochonne »

Pas de réaction. Une lueur de défi brûlait dans les yeux qui la fixaient avec impudence.

« Viens Ophélie-Blandine! »

Traction sur la laisse ... Toujours pas de réaction.

En désespoir de cause, Macha attrapa la chaînette reliée aux pincettes à tétons et tira légèrement.

« Uuuuh » gémit O.B. Juse et elle se leva docilement pour suivre la future candidate aux élections qui eût une impression étrange entre les jambes, comme si sa vulve s'ouvrait légèrement sous son slip ... Lorsqu'elles revinrent dans le bureau, Séverine demanda « Elle a été convenable au moins? »

« Non, pas vraiment ... Elle ne voulait pas revenir. J'ai dû la tirer par les pincettes! »

« Quoi? Elle a de nouveau été désobéissante? Tu sais ce qui t'attend O.B.? »

La femme baissa les yeux mais ne répondit pas

« Penche-toi sur le bureau ; il est temps de te traire! »

O.B. obéit ...

Séverine se tourna vers Macha « Tu veux lui enlever ses pincettes? Une à la fois et tu tritures bien le téton et le mamelon dès que tu as retiré la pincette. »

La main tremblante, Macha défit le premier instrument. O.B. Juse gémit puis cria lorsque Macha s'empara de son téton boursouflé.

« AAÏÏÏE! ... AAAHHH ... MAÎTRESSE! ... OOOH ... CA FAIT MAL ... C'EST ...BON! »

Macha ne s'arrêta pas aux mamelons et empoigna la lourde mamelle à deux mains et la malaxa avec une cruauté qui étonna ses deux jeunes compagnons. O.B. ne put s'empêcher d'essayer de caresser subrepticement son clitoris qui saillait hors de sa gaine mais Séverine vit le mouvement et tapa sur la main scélérate.

« Cochonne! Est-ce que ta Maîtresse t'a donné l'autorisation de te caresser? »

« Noooon ... Maîtresse ... mais c'est si .. booon... J'ai .. envie .. »

« Macha, occupe-toi de son autre pis pour lui apprendre l'obéissance! »

La jeune femme haletait, les joues rouges et une lueur d'excitation dans les yeux ; elle défit la seconde pincette puis se précipita sous la Soumise et pris se téton fraîchement libéré en bouche, l'aspirant en même temps que le mamelon et referma ses lèvres et ses dents sur la tendre chair.

« AAAAHHH! .... MAÎTRESSE! ... OOOHH ... MER...CI ... OOOH! »

Prise d'une espèce de fureur génésique, Macha se redressa et la fessa d'une main tandis que l'autre était pressée entre ses propres jambes.

« Tiens .. cochonne ... en chaleur .. ooh ... tu ne ... peux ... pas ... jouir .. . oooh .... Prends .. encore ça! Cochooooonne! »

Séverine se rapprocha d'Amaury « Tu as vu ... on dirait qu'elle est excitée! »

« Shhht .. c'est passionnant ... elle devient 'chaude' ... Ca part de l'arrière de la tête et la 'chaleur ' est diffusée vers le restant du corps ... Je n'y avais pas encore fait attention mais c'est la même chose chez toi quand je t'Influence ... »

« Concentre-toi sur cette zone, essaye de la 'pousser'? »

« C'est ce que je fais ... regarde i »

Macha était tombée à genoux , les deux mains maintenant sous sa jupe et se masturbait frénétiquement. Amaury continuait à la fixer et plus précisément l'arrière de son crâne. Elle jouit en sanglotant de joie , sa tête s'affaissant doucement vers le sol jusqu'à ce qu'elle se retrouve comme prosternée entre les jambes d'Ophélie-Blandine.

« Maintenant je n'y arrive plus ... La zone 'refroidit' et je ne peux rien y faire »

« Tu crois qu'il faut qu'elle joue à la Dominante pour être excitée et pour que sa 'zone érogène' réponde à ton Influence?

« On dirait bien. Ca vaudrait la peine de tenter une autre expérience ... Attache moi aux anneaux . Je voudrais voir si elle démarre aussi en Dominant un homme! »

Pendant que Macha récupérait tout doucement de son troisième orgasme, Amaury se déshabilla et se coucha au pied du mur aux anneaux. Séverine récupéra deux paires de menottes dans le tiroir. Elle en fit passer une par un anneaux avant de la fixer à ses mains et utilisa l'autre pour relier ses chevilles. Elle défit le collier d'Ophélie-Blandine pour le mettre au cou du Doué et enroula la laisse autour de ses couilles et de sa verge pour lui donner l'apparence d'un sex toy vivant.

« Tu n'exagères pas un peu? « souffla le garçon

« Si je te disais que ça m'excite de te voir comme ça? Je suis aussi une Dominatrix après tout! »

Elle tourna le fauteuil de sa mère vers son amant, s'y assis et dit « Cochonne, viens ici! Il est temps que tu remercies ta Maîtresse! » puis « Macha, tu as vu Amaury? Il n'est pas mignon comme cela? »

Interloquée, cette dernière contourna le bureau et vint admirer l'œuvre de sa cadette.

« Hum ... c'est vrai qu'il est à croquer ... je peux l'avoir? »

Elle posait la question mais s'approchait déjà de sa proie. Elle s'assit à cheval sur les cuisses du garçon et commença à palper sa verge « tu bandes dur .. mmmh .. esclave... tu as besoin de vider tes grosses couilles? » Elle se débarrassa de la veste de son tailleur puis empoignant son chemisier, l'ouvrit d'un seul coup, arrachant la moitié des boutons et faisant sauter les autres. Sur sa lancée, elle abaissa les balconnets de son soutien-gorge, révélant sa superbe poitrine aux yeux emplis de désir du mâle incapable de se défendre.

« Regarde ... regarde mes seins ... ils te font envie? »

Elle se pencha et empoigna la verge à moitié garrottée « mais c'est MOI qui contrôle ta grosse bite! Elle se mit à le branler avec une fausse douceur . « Mmmh .. ; elle est toute rêche ... il faudrait un peu la huiler ... attend! »

Elle rampa sur le corps du garçon, hissant son bassin sur son pubis en s'aidant de ses ongles plantés dans la chair de son torse. Amaury se félicita que sa Transition ait renforcé son épiderme. Sans cela il aurait hurlé sous les griffures. Elle troussa sa jupe et Amaury senti sa verge entrer en contact avec le slip trempé de sa cavalière et, sous le slip, les grandes lèvres de sa vulve béante qui venaient l'envelopper.

Macha entama une véritable danse du ventre sur le sexe hypertrophié du Doué tout en titillant ses seins en gémissant

« Oooh ... une grosse bite ... prisonnière ... à moi ... elle veut ... oooh .. s'échapper ... mais ... non ... je ne veux .. pas ... aaah .... C'est bon ...dominer ... je suis ... ta ... Maîtresse! »

Séverine cala la tête d'O.B. Juse entre ses cuisses et tira sur ses cheveux pour qu'elle la lèche séance tenante

« Ne regarde pas ma Cochonne, ce n'est pas un ... uuuh ... spectacle pour les petites ... cochonnes comme toi ... ouiiii ... tu me lèches ... bien ... oooh ... mets tes doigts aussi ... làààà ... bien à fond! »

Amaury avait sans peine détecté l'émergence de la 'chaleur' venant de la nuque de sa cavalière. Il sentait aussi le sperme bouillonner dans ses bourses et se prépara à inonder de sa semence la culotte et la jupe de Macha qui le chevauchait de plus en plus frénétiquement. Il jeta un coup d'œil à Séverine ; elle avait empoigné les cheveux d'O.B. Juse et faisait aller et venir son visage le long de sa fente comme si ce visage était un godemiché vivant. Cette vision le fit basculer et ...

« AAARRGGGH ... AÏÏÏÏE ... SALOPE! »

Les cris de douleur lui avaient échappé au moment où Macha s'était effondrée sur lui, tirant à deux mains sur la laisse qui se serra comme un garrot autour de ses bourses et de sa verge, interrompant son éjaculation aussi sûrement que si elle lui avait passé de l'azote liquide sur ses parties génitales. Mais son hurlement semblait avoir encore décuplé la jouissance de sa cavalière . la 'chaleur' qui émanait de sa nuque avait atteint un paroxysme mais ses mains ne lâchaient pas la laisse et malgré la robustesse de sa nouvelle constitution, il commença à craindre pour sa virilité.

Il utilisa son Pouvoir sans retenue et clama « Libérez-moi ... vite! »

O.B. Juse abandonna Séverine et rampa vers Amaury pour enlever les menottes tandis que Macha basculait sur le côté pour détacher la laisse. Seule Séverine, délaissée par sa Soumise à une léchouille de l'orgasme eut du mal à répondre à l'Appel du Doué. La frustration était telle que ses jambes tremblaient de faiblesse. Agitée de spasmes de désir inassouvi, elle s'effondra aux côtés d'Amaury en lui murmurant

« Ce serait une bonne idée d'Influencer Macha pour qu'elle sache s'arrêter à temps.... »

Trois mois plus tard, la soirée électorale battait son plein. Ils avaient réussi à présenter des candidates -- et même parfois des candidats -- dans presque tous les districts mis-à-part Broyes-Vully. Amaury s'était dépensé sans compter pour aider ses candidates, influençant des assemblées entières d'électrices potentielles lors des meetings. Il avait aussi payé plus physiquement de sa personne lors de soirées très privées avec des soutiens importants du parti. Ce qui n'avait pas toujours été sans mal ; comme l'avait dit Chantal jadis « ce sont des femmes mais je ne peux pas te garantir qu'elles sont toutes attirantes ».

Séverine de son côté s'était attaquée à la concurrence avec une idée très simple « on les prend par les couilles et on serre ». Elle avait réuni un groupe de jeunes femmes qu'elle avait baptisé « le bataillon Messaline » et les avait fait Influencer par Amaury pour les débarrasser de toute inhibition sexuelle envers des 'cibles' qu'elle leur désignait. Cela avait valu à la presse du Canton de recevoir un flot de photos numériques de politiciens locaux parmi les plus en vue, tous dans des tenues et positions compromettantes avec d'accortes jeunes femmes plus nues les unes que les autres.

Certains hommes politiques s'étaient par ailleurs retirés de la course sous de vagues prétextes familiaux ou de santé mais la rumeur avait fini par trouver une explication relayée par la presse : l'ancienne classe politique était en proie à la lubricité la plus extrême ; il était temps de changer de dirigeants et pourquoi pas ne pas choisir le nouveau parti « La Voix des Femmes »?

Le parti disposait par ailleurs d'un confortable trésor de guerre ; Stéphane et sa 'patronne' Bettenlon avaient discrètement envoyé des valises de billets sans compter l'argent qui avait été récolté au cours de soirées de soutien où le carnet d'adresse de la richissime femme d'affaires avait fait merveille.

Cependant, à la veille des élections, les sondages étaient toujours contradictoires. Certains prédisaient une percée du 'Parti des Pensionnés', d'autres celle de la 'Voix des Femmes' et tous prévoyaient une abstention tellement forte que tout pronostic semblait aléatoire. Amaury et Stéphane, évitant soigneusement de se croiser, avaient parcouru le Canton pour Influencer un maximum d'électrices à remplir leur devoir civique. A l'une ou l'autre occasion, Amaury avait bien ressenti le malaise dû à la présence d'un autre Doué dans une ville et il avait pris garde de trop s'y montrer.

Mais en ce soir d'élections, le garçon était dans un état de nervosité extrême ; un échec aujourd'hui ne compromettrait pas définitivement ses rêves de grandeur dans l'ombre mais ce serait un sérieux coup aux moral. Du coup, ses surhormones étaient en plein chambardement et il était tenaillé par un besoin constant de baiser. Pas de faire l'amour, de baiser, de se vider les couilles. Encore et encore.

Heureusement que Macha était dans le même état que lui car elle avait été la première à passer à la casserole. Il l'avait prise contre le mur du petit salon de leur permanence électorale pendant qu'O.B. Juse montait la garde devant la porte, attendant son tour . Elle n'avait eu que le temps de se défaire de sa jupe avant qu'il ne déchire son slip pour la pistonner brutalement de toute la puissance de sa verge de Doué. Il avait joui assez rapidement mais s'était fait rebander pour continuer à la matraquer contre le mur. Cette fois, il tint assez longtemps pour que sa liaison empathique avec Macha fonctionne et qu'elle puisse se soulager elle-aussi dans un orgasme aussi tonitruant que le sien.

Il l' avait ensuite déposée sur la table de conférence et appelé Ophélie-Blandine pour qu'elle vienne lécher son sperme qui commençait à s'écouler à travers les ruines du slip de Macha.

O.B. Juse était devenue la Soumise attitrée de Macha. Séverine et Amaury l'avaient cédée à regret mais elle était un parfait exutoire aux tendances de Dominatrice de Macha. Cette dernière la prêtait volontiers au jeune couple pour mieux punir Ophélie-Blandine de son infidélité lorsqu'elle lui revenait. Déçue, Séverine avait demandé une compensation à son Doué qui avait Influencé la Véronique aux gros seins pour en faire une Soumise mais elle n'avait pas l'instinct inné d'O.B. pour la soumission et sa présence aux pieds de Séverine n'apportait pas la même jouissance mentale à la jeune fille.

Pendant qu'Ophélie-Blandine léchait la conque inondée de Marie-Charlotte, Amaury n'avait pu résister à son cul rebondi et l'avait prise en levrette, défonçant son vagin déjà rutilant de mouille. Il avait réussi à créer un lien empathique permanent entre les deux femmes et lorsque la Soumise jouit sous son assaut brutal, Macha en profita aussi.

Il les quitta juste après tandis que la candidate aux élections poussait O.B. Juse à plat ventre sur la table et se mettait à la fesser en lui reprochant

« Tu as osé jouir sans ma permission! Ton gros cul va le payer cher! »

De l'autre côté de la porte, il entendait encore le martèlement de la magistrale fessée qu'elle lui infligeait!

Il entra sans prévenir dans le bureau d'Elise où celle-ci refaisait pour la cinquantième fois ses pronostics quant à leurs résultats. Elle leva les yeux de l'écran de son portable d'un air courroucé mais se radoucit en réalisant que c'était leur Doué qui venait de faire irruption. Chantal était assise dans un fauteuil de coin et lisait un magazine de mode. Le calme --au moins apparent- des deux femmes réveilla ses mauvais instincts. Il utilisa son Pouvoir pour les stimuler sexuellement toutes les deux avec un désir commun mais unique de son pénis. Seule la plus rapide ou la plus déterminée obtiendrait satisfaction ; l'autre souffrirait les mille morts de la frustration absolue ...

Et c'est Chantal qui l'emporta haut la main. Avant même qu'Elise n'ait fini de se lever, elle sortait la bite du garçon de son pantalon et le masturbait en gémissant de bonheur tandis qu'elle se débrouillait avec l'autre pour faire tomber à ses pieds son propre pantalon et son slip. Sans lâcher l'objet de sa concupiscence, elle enjamba ses vêtements et s'assit sur le bureau en écartant les cuisses. Amaury palpa un bref instant la chatte de Chantal qu'il trouva humide et ouverte à souhait. Il s'enfonça en elle d'un seul coup, le cri primal de la femelle en chaleur le remplissant d'aise.

« AAAAHH Amaury! Oohh ta grosse bite ... dans ma chatte!... Oooh ça fait du bien! Regarde ... Lise ... il me bourre ... grosse queue ... dom ... mage pour toi ... ma ... aaah ... gouine adorée ... tout pour moi! Oooh! »

Elise était comme pétrifiée . Elle se rendait parfaitement compte qu'elle était sous l'Influence d'Amaury mais ce jeune salaud de Doué ne lui avait laissé aucune chance : elle était excitée à mort par le spectacle de son amie qui se faisait tringler par la splendide verge du garçon mais il l'avait immobilisée ; elle ne pouvait même pas bouger sa main pour essayer de soulager son pauvre clito qui vibrait comme un grillon mâle. Et que dire de sa vulve tellement béante qu'on aurait pu y loger un nain de jardin tout entier.

La voyeuse malgré elle ne pouvait utiliser que ses cordes vocales et ne s'en priva pas

« Amaury, salaud! Me mettre dans cet état . AARGH! ...Arrête de baiser cette pute et oooh... occupe-toi de moi! Amaury ... oooh ... c'est insupportable ... Besoin d'être .. perforée ....oooh ... ramonée ... salaud ... baise-moi ..!

« NOOON AMAURY! » clama Chantal « Pas cette vieille ... aah ... peau ...! Continue ... défonce ma ... aaah ...chatte ..! ... Amaury ... je vais .. OOOH ... AVEC ... MOI ... AAAHHH! »

« AAARGGHH! » Le Doué s'épancha copieusement dans le vagin contracté de Chantal mais il se sentait toujours aussi survolté. Il la laissa s'écrouler sur le bureau et le contourna pour s'approcher d'Elise, flamberge au vent.

Il la repoussa contre le mur, lui enjoignant d'attraper deux anneaux en hauteur et de ne plus bouger. Il défit son chemisier, exhibant le soutien-gorge qui peinait à contenir sa lourde poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration haletante. Il pétrit les deux globes de chair sans ménagement, pinçant les mamelons érigés sous le tissu. Il ressentait encore et toujours cette envie irrésistible de prendre toutes les femmes qui croisaient son chemin, de préférence contre leur gré, comme pour affirmer sa domination sans partage.

« Oooh Amaury ... Maître... je t'en prie ...ne me laisse pas comme ça ...oooh ... «

Le garçon troussa sa jupe et fit descendre son slip trempé d'un coup sec avant de l'obliger à lever un pied après l'autre pour le lui enlever.

« Arrête de gémir Elise. Pense à la satisfaction de ton Maître! »

Il lui enfonça la culotte dans la bouche, réduisant ses protestation à un faible « mmmh »

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