La Soumission d'Isabelle 05 Fin

BÊTA PUBLIQUE

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Le Bob s'assoit confortablement dans un fauteuil, il me fait mettre à quatre pattes devant lui puis, me mets d'autorité sa queue dans la bouche...

Le spectacle de mes fesses dénudées et offertes doit être à leur goût, car aussitôt, je sens que quelqu'un se place derrière moi. J'ai juste le temps de dire non avant qu'une queue m'empale brutalement. Je crie de douleur de me faire prendre d'un coup brutal, ce qui me coupe le souffle et me fait arrêter la pipe que je fais à Bob.

La bite me semble énorme. Je ne sais pas qui est en train de me planter une queue d'une telle dimension. Mes yeux s'embuent de larmes et j'entends à peine Isabelle.

- Tu es en train de te faire enculer par notre meilleur acteur et il a été particulièrement bien doté par la nature...

Je gémis comme une femme sous les coups de boutoir de l'Acteur. Moi l'homme marié à une femme que j'adore, père de deux enfants, je suis entrain d'offrir mon cul à un acteur porno devant tous les gens du studio.

Le gland tape durement au fonds de mon ventre et me pousse contre le dossier du fauteuil. Je ne peux rien voir, mais je sais qu'Isabelle et les autres, regardent la scène, Bob me serre toujours la nuque pour que je subisse la loi de son acteur qui me laboure en profondeur.

- Tu vois Isabelle, une fois qu'on l'a ouvert, un cul s'habitue vite aux plus grosses tailles.

Je gémis de plus en plus fort.

- Écoute Lolo gémir! Une vraie putain! Pire même puisqu'il est gratuit...

L'acteur me fait mal en me sodomisant durement. Je crie sans pouvoir me retenir. Il m'écarte les fesses au maximum pour bien montrer mon trou dilaté. Un coup de reins d'une violence inouïe et un torrent de liquide dans mes entrailles dévastées. Les jets sont interminables et mon cul se rempli à nouveau de semence virile.

La bite reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Nous restons immobiles quelques secondes. James dit quelque chose en arabe. La bite sort rapidement.

En très peu de temps, un autre se glisse ou plutôt m'empale sur son membre.

Le plaisir est intense, car c'est inédit pour moi en tous points. Je me jette de nouveau sur la queue devant moi tout en me faisant baiser en levrette.

Quelques minutes après ce traitement, il m'encule de toute sa bite ce qui me fait pousser un petit cri de plaisir bien vite étouffé par la queue que Bob me remit dans la bouche.

Moi, le brave et honnête père de famille et époux modèle, je suce la queue d'un cameraman pendant qu'un autre m'encule pleinement.

Le reste de l'après midi, je me fais sodomiser par les trois acteurs pornos qui ne se sont pas privés aussi pour se faire sucer et jouir dans ma bouche, un sperme que je m'applique à avaler.

L'apothéose, c'est quand Bob me fait venir sur lui de dos et me fait empaler par le cul sur sa bite un peu plus grosse que celle de James, la sodomie est intense, la vision pour Isabelle est sans doute dantesque de voir son mari accueillir un sexe de cette taille au fond de son cul.

Je suis en transes et m'empale de moi-même sur cette queue qui m'encule profondément.

James en profite d'ailleurs pour venir présenter sa bite devant ma bouche qui ne refusa pas de s'ouvrir pour une nouvelle pipe.

- Écoute petite pute, le boss, c'est moi. Maintenant, ta femme, tu l'oublies. Tu la touches plus, sinon je te défonce pédé. C'est moi qui la baise. C'est moi qui te baise aussi. Mais tu vas pas te plaindre, t'aimes ça salope.

Constatant qu'il a raison, je grogne mon accord.

- Mais il faut gagner le droit de me sucer la queue, petite soumise. Alors désormais, dès que tu es libre, tu viens direct ici te faire baiser.

Il accélère la cadence, sans pitié, dans ma bouche.

- Tu feras ce que je te dirai, quand je te l'ordonnerai! Je te retourne, je te baise où je veux grosse putain! Tu t'habilleras comme je te le dis, fini de joueur à l'homme! Ouvre bien ta gueule de lopette Devant moi, tu baisses les yeux pédale! Maintenant, avale!

Comme pour confirmer cet accord, il se déverse à jets encore épais dans ma bouche. Obligé par sa force, convaincu par sa supériorité, j'avale comme une catin. Je suis aussi sa femme.

A présent, je lui appartiens, je garde bien sûr mon libre arbitre, mais son emprise sur moi lui permet de me faire dépasser mes limites.

Il contrôle ma sexualité, je n'ai plus le droit de me toucher sans sa permission. Seule ma vie de couple échappe encore à son aura.

Un jour que je rentre chez lui, il me fait me mettre à genoux et de sa voix grave et puissante, il me dit :

- Aujourd'hui, je ne suis pas seul, j'ai décidé de te présenter à un ami. Tu te dois de lui obéir comme si c'est moi. Ne me déçois pas, ne me fais pas honte. Je lui ai dit que tu es un bon soumis. Je veux que tu fasses honneur à mon dressage.

C'est ainsi que je fais la connaissance de Samir.

Cette après midi là, je perds définitivement ce qu'il reste de ma dignité de mâle auprès de ces deux mâles.

Ils usent, abusent de toutes les parties de mon corps. Quand ils en terminent, mon trou est béant, ma bouche ruisselle de foutre, mes seins sensibles à force d'avoir été martyrisés. J'en éprouve tout de même une plénitude d'avoir passé avec succès ce que je considère comme une épreuve, un palier prouvant à James la salope que je suis devenu.

Je suis devenu en quelques semaines une bonne lopette.

Il me confit quelques fois à Samir qui m'utilise comme vide couille. Son énorme engin circoncis ne me fait plus peur, je suis rodé.

Un jour dans le studio, à poil, ne gardant que mes chaussures, un collier autour du cou, tenu en laisse, il me fait parcourir de long en large le studio, puis il me passe des entraves en cuir autour des poignets et des chevilles, avec des cordes, il m'immobilise, les bras en l'air et les jambes bien écartées. Je reste ainsi, pendant que James et Bob filment Isabelle et Val qui se font saillir tous les trous par une dizaine de chiens.

Voyant que je bande dur, il me dit :

- T'inquiète pas, ton tour va venir bientôt.

- Je vais te préparer le cul. Je ne doute pas que tu veuilles te faire prendre, mais après ça, tu seras excité comme une chienne en chaleur.

James est derrière moi et bien qu'essayant de tourner la tête pour apercevoir ce qu'il fait, je ne vois rien. Me voyant remuer, il me rassure.

- Je te mets une racine de gingembre dans ton cul. Ça va te chauffer le cul. Tu vas vouloir recevoir plus de bites que ta femme.

Il me frotte tout l'anus avec cette racine pour l'introduit petit à petit. Je suis un peu déçu par la taille, pas de quoi m'éclater la rondelle avec ça.

James retourne filmer la saillie des deux femmes. Je sens peu à peu mon cul qui chauffe et je commence à me tortiller dans tous les sens, en tout cas autant que les liens me le permettent. Je veux me doigter pour apaiser cette sensation. Je contracte mes sphincters. C'est terrible. J'ai envie de me faire baiser, de me faire démonter le cul. J'ai la sensation que mon anus est devenu un volcan.

Il me faut du sperme pour apaiser cette sensation de chaleur, de brûlure. Cela me semble une éternité. Je vois ma femme et sa copine jouir sous les saillies des chiens.

La sensation de brûlure diminue. Par contre l'envie de n'être rempli est toujours là. C'est même encore pire. Je me mets à gémir, je m'imagine encore James en train de m'enculer. Ma queue se dresse et je me surprends à réclamer à haute voix le retour de mon tortionnaire.

La séance de la saillie filmée est finie pour Isabelle et val. Un assistant repart avec les chiens, sauf un qui se dérobe au pied de James. Il est tout sourire, fier de m'avoir affamé.

Je le supplie du regard de venir m'enculer?

Enfin, James s'approche de moi. Le gros chien lui file entre les pattes et vient me tourner autour. Il me donne des grands coups de langue sur la queue. Chaque coup de langue du chien est une torture. James met du gel sur ses doigts et me caresse l'anus.

Une fois derrière moi, il s'enfonce en un coup de reins jusqu'à la garde. Sa queue enfin dans mon cul et le froid du gel apaisent enfin le feu de mon anus. Je jouis aussitôt. Le chien lèche mon sperme répandu sur le sol. C'est la première fois que j'éjacule aussi vite.

A présent James me ramone le fion. Je suis content de prendre sa grosse bite en entier sans sourciller. Bob s'approche en filmant caméra sur l'épaule.

Je m'abandonne à ses va et vient. James me saisit par les hanches. À chaque fois, il ressort puis s'enfonce d'un seul coup avec une aisance qui le ravit. La cadence ne faiblit pas. J'espère qu'il va pouvoir tenir encore longtemps parce que j'en raffole.

Sa respiration se fait de plus en plus saccadée. Pour ne pas venir trop vite, à chaque fois qu'il ressort, il me gratifie d'une bonne fessée. Ça claque tellement fort que me voilà encore plus excité. Il le remarque, il me dit que je suis prêt à me faire tirer par un autre.

C'est l'assistant qui s'approche, face à moi. Sa main se referme sur ma queue qui commence à reprendre forme après mon éjaculation plus que précoce. Il me roule une pelle. J'aime pas plus que ça. Je sens à son haleine que c'est un fumeur. Heureusement, il n'insiste pas. Il se contente d'être devant moi, empêchant mon corps d'avancer à chaque coup de boutoir de James qui se déchaîne dans mon rectum. Il ne doit pas être loin de la jouissance.

Je sens effectivement James se contracter. Il décharge dans mes entrailles, je sens la chaleur de son jus s'écouler en moi. Avec la préparation au gingembre de James, je ne suis pas encore apaisé par ses giclées. Il sort de mon cul, m'envoie une autre claque sur la fesse.

Le chien qui est resté couché tout le temps au pied de l'assistant s'agite un peu. Visiblement, il veut participer à la fête. James m'a déjà fait essayer pas mal de trucs, mais un chien, c'est tout nouveau pour moi. L'assistant se positionne et s'enfonce lui aussi d'un seul coup. James a bien préparé le terrain avec son gros manche. L'assistant est un peu moins bien équipé, mais son engin reste de belle taille, il sait s'en servir, le bougre.

Bob vient mettre sa bite dans ma bouche.

L'assistant se calme et fait durer le plaisir. Quand il est complètement en moi, il me masturbe puis ressort et ainsi de suite. J'ai à nouveau le sexe érigé, James appelle le chien pour qu'il me lèche. Il ne se fait pas prier et ses coups de langue me font durcir encore plus, j'en avale la bite de Bob encore plus profondément.

James se fait à son tour lécher la bite par le chien. Il doit certainement se préparer à m'enfiler une nouvelle fois.

L'assistant est sacrément résistant. Il continue de me ramoner en cadence avec la bite de Bob dans ma gorge.

Alors que l'assistant est sur le point d'éjaculer, James commence à me détacher. J'apprécie de pouvoir baisser les bras. Mon cul est tellement ouvert que je peux assurément me faire enculer. Pendant que l'assistant m'assène ses derniers coups de reins, Bob me saisit la tête, il jouit dans ma gorge. J'avale quelques coups de langue le jus et la queue de Bob.

Voilà, l'assistant éjacule dans mon Boyau, James me fait allonger sur le tapis. Je suis à plat ventre, il me glisse un pouf sous le ventre. Il se met en place et s'enfonce sans crier gare dans mon cul. Je sens ses couilles contre mon périnée. À chaque fois qu'il s'enfonce, j'ai l'impression que c'est un drapeau qu'il plante, comme pour marquer un territoire.

Il a les mains appuyées sur mes épaules. J'ai l'impression de m'enfoncer dans le tapis à chaque coup. Il affirme sa domination et j'aime ça. Je le sens prêt à éjaculer. Il me pilonne le cul. Il se retire et jouit sur mes fesses et le bas de mon dos. Sur mes reins, je sens le sperme de James, il m'en enduit la rondelle puis il y introduit d'abord deux doigts ensuite bientôt trois.

L'assistant tient le chien devant moi.

- Voilà ton nouveau mâle, ma chienne! Qu'en penses-tu?

- Je? Je crois que?

- Les putes ne croient pas. Elles écoutent. Elles subissent. Elles acceptent. Toi, tu vas nous dire que tu veux être sa chienne. Allé!

- Je veux être sa chienne!

- Plus fort! J'ai rien entendu.

- Je veux être sa chienne.

- Continue. Je veux qu'il me remplisse de son bon jus.

- Je veux qu'il me remplisse de son bon jus!

- Tu nous garderas un chiot de sa portée! lance Bob avec sa caméra sur l'épaule.

L'assistant tire le chien par le collier, il le caressa pour le mettre en confiance.

- A quatre pattes chienne!

Il positionne l'animal derrière moi, le chien s'empresse de venir lécher le sperme qui sort de mon anus. Il doit raffoler clairement de cette matière. Soudain, il pose ses pattes avant sur mes épaules. Je sens son fourreau frotter contre mes fesses ; la sensation du pelage contre ma peau m'électrise et je pense alors qu'une des raisons de l'engouement de certaines personnes pour la zoophilie est à chercher dans cette dualité entre peau humaine et pilosité animale. Sa bite trouve tout de suite le chemin de mon cul, il me la plante dans l'arrière train.

L'animal, excité, m'enfile à fond. Directement, je sens la boule gonfler contre mon anneau rectal. Je suis sailli par un gros chien comme une chienne. Se faire sodomiser par un clébard, c'est vraiment la pire chose qui pouvait m'arriver! Je prends réellement conscience de ma déchéance et de ma dépendance sexuelle. Je suis prêt à tout pour me faire jouir du cul.

- Vas-y, Sultan! Mets-la bien à fond, ramone-lui bien le cul à ta grosse chienne.

- Comment tu trouves ton nouveau mâle, hein? Tu aimes te faire enculer comme une chienne, ta femme adore ça. Elle vient de son plein gré ici pour se faire saillir devant la caméra par une meute de chiens.

Je suis rempli d'une onde de désir, je m'abandonne complémentent aux assauts de l'animal.

- OUIII! J'aime! C'est bon! AAARRFF! Quelle bite!

- Encourage-le!

- Allez, Sultan! Vas-y, encule moi! Vas-y plus fort!

Le traitement que l'animal me fait subir refait bander l'assistant. James lui lance :

- Elle te fait envie, hein, notre chienne? T'inquiète pas, tu l'auras après! Il faudra juste patienter que le clebs puisse sortir de son trou. En attendant, tu peux utiliser le trou de devant! Te prive pas, mec! Il a des trous, il faut les utiliser!

Tandis que le chien me défonce sauvagement la rondelle, l'assistant me remplit la bouche. Pendant ce temps, Bob filme la salope que je suis sous toutes les coutures. Cette situation décalée me rend fou. Mes lèvres serrées aspirent la bite tendue de l'assistant, mon anus ouvert avale le membre canin. Bob se juge certainement délaissé, il pose la caméra sur un trépied et vient se mettre à côté de l'assistant, pour que je lui dispense aussi mes faveurs buccales.

Il m'a attrapé par les oreilles, il se sert de ma tête comme d'un vagin. Je sens la queue de chien enfler en moi, j'angoisse, mais je prends un pied comme jamais. Je ne vois plus rien, j'ai les yeux révulsés de plaisir.

Isabelle et Val rhabillés encouragent le chien à m'enculer, elles font monter la pression. L'animal ne comprend pas ce qu'il lui arrive. Ses pattes me griffent les flans du dos tandis qu'il laboure mon trou avide. Que c'est bon de sentir monter le plaisir entouré de spectateurs.

Je sens la queue de chien enfler en moi, j'angoisse, mais je prends un pied comme jamais. Je ne vois plus rien, j'ai les yeux révulsés de plaisir.

Le chien ne remue presque plus, mais je le sens se déverser en moi. Je devine un orgasme anal en train d'arriver. C'est lent et encore loin, mais ça va être énorme. Je ne suis plus qu'un réceptacle à foutre canin. C'est ce que j'ai envie d'être à cet instant.

Le chien ahane, se cabre en poussant un grognement, il lâche son sperme dans mon ventre. Les jets de sperme jaillissent dans mes entrailles et l'assistant puis Bob ce vide dans ma bouche. J'avale leurs jus, c'est que l'orgasme arrive, d'une puissance insoupçonnée.

Mon corps ne répond plus à mes ordres, il se démerde tout seul. Je sens mes sphincters se contracter. Le chien se met à couiner en sentant sa queue serrée par mes muscles, il essaye de se dégager et tire en arrière.

La boule est trop enflée pour passer, mais il tire encore et encore, c'est douloureux, mais plus il tire et plus, je me contracte involontairement. Je me crispe pour le retenir. Parce que je veux le garder en moi le plus longtemps possible et pour éviter la douleur que procurera cette boule si elle sort aussi grosse.

La pression retombe pour l'animal épuisé. Il reste collé à moi pendant une dizaine de minutes. En attendant ma libération, Isabelle vient me rassurer, elle m'affirme que c'est le moment que Val et elle préfère.

Lorsque le chien se retire de moi, je me mets à trembler comme une feuille... Autant d'excitation que de peur. Je suis vraiment un drogué du sexe.

James, avec Isabelle à son bras, vient me dire.

- Si tu savais ce qui t'attend! Me dit-il d'un air vicelard pour bien m'inquiéter.

Mon excitation décuple. J'ai envie d'être livré à une vingtaine de mecs bien excités, qu'ils me défoncent, qu'ils m'inondent de leur foutre, qu'ils se conduisent comme des animaux...

J'ai envie d'être une chienne, une femelle avide de grosses queues. Mon désir est d'être gavé de foutre, autant que ma Isabelle Tous mes désirs doivent se lire sur mon visage. Après l'épisode du chien, je suis prêt à tout. J'ai passé le point de non-retour, à présent, je peux baiser avec n'importe qui, n'importe quoi.

Pourquoi tout ce qui est humiliant est excitant? Je crois savoir, en me disant que c'est peut-être parce que je suis vicieux et que je suis tombé sur un pervers qui en profite de me voir consentant. Toujours est-il que mes jouissances sont décuplées quand les situations sont dégradantes.

Fin

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

James a donc fait de Laurent un sac à foutre soumis aux Mâles Alpha, une chienne avide de grosses bites et de sperme...

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