La Promotion de Sophie

BÊTA PUBLIQUE

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J'avais à peine cessé de me débattre qu'un noir me lia les poignets au poteau un autre me tripota le derrière avant de m'administrer une fessée. Odieusement, on me pinça et étira les tétons, comble d'infamie ils se mirent à durcir au grand plaisir du voyou. Sa vanité fut satisfaite en constatant l'humidité de ma culotte. D'un geste brutal, il l'arracha et glissa deux doigts dans ma chatte poisseuse.

Dès ce moment toutes repousses n'auraient d'impact sur l'évolution de mes tourments, j'étais perdu depuis le moment où mes tétons avaient durcit sous les durs pincements. Le long carême sexuel des dernières semaines présentait sa facture et ce soir je devrais l'acquitter.

Tout près du crime, un adonis qui filmait ma déchéance s'empara d'une jeune fille et la força brutalement à prendre soin de son mât d'ébène. Les contractions dans ma chatte découlèrent de l'image que j'eue de ce membre labourant ma chatte affamée.

Une légion de doigts noirs stimulait ma chair dans un crescendo de plaisirs mais on ne me permettait pas d'obtenir satisfaction, je n'étais plus qu'une chienne en rut en manque de queue.

Une voix au couleur du sud retentit dans le wagon arrière : « Sperm-Station » Nous semblions être arrivés au terminal. Au même instant, tous me lâchèrent et à tour de rôle chacun vint m'inonder de leur semence. Dix minutes plus tard j'étais sertit d'une crème blanchâtre. Sur mes cheveux, mon visage, mes seins, ma chatte et mes fesses déferlaient des torrents d'embryon d'origine africaine.

Ce fut l'osmose de l'abandon quand ce colosse noir vint me détacher et me passa un collier serti d'une douzaine de breloques en forme de phallus autour du cou. L'envie d'être sa chienne se répandit dans toutes les veines de mon corps. Ce fut d'une claque bien administrée sur mon cul que trépassât la femme mariée qui restait en moi. Trainée par les cheveux c'est imbibée d'une fièvre de débauche que je suivis docilement ce male alpha.

Louis fut pris d'un tremblement en regardant sa femme être amenée par cette brute, sa passion morbide pour le sexe scabreux l'avait amené à exposer sa femme aux aléas de ses lubies érotiques. Beaucoup trop tard maintenant il réalisait qu'il avait mis son couple en danger. La luxure qu'il vit dans les yeux de sa femme avant de suivre ce noir n'avait rien de rassurant.

Avant de quitter le métro, Akan obligea Sophie à se recouvrir d'une voilette avec grillage. En marchant la soierie s'imprégna des amoncellements de sperme laissant dans son sillage une odeur ne laissant aucune ambiguïté sur la dégradation dont elle était victime. Sous ce voilage collant, Sophie subissait un transfert de propriété comme elle n'en avait jamais pu imaginer, elle n'avait d'autre choix que de s'imprégné des arômes sexuels de ses nouveaux maîtres.

Les femmes et les jeunes filles blanches qu'ils croisaient sur leur passage se retournaient et criaient contre cette démonstration d'avilissement. Brutalement Akan tirait sur la laisse et d'une main experte flagellait le cul de Sophie pour indiquer aux jeunes filles témoins qu'il était le maître.

Les marmonnes qu'il entendait lui indiquait avec minutie qu'une d'entre elle était sur le point de mouiller sa petite culotte. Le rougissement de la jeune fille attira son regard. Arrogant, Akan tourbillonna sa grande langue et humecta ses lèvres puis lui fit un clin d'œil. En serrant les cuisses pour éviter que la mouille qui débordait de sa chatte se profile le long de ses cuisses et devienne visible, elle se révélait inconsciemment au méchant loup toujours à l'affût d'une fraiche brebis. Akan lui offrit son plus beau sourire dévoilant une forte dentition quand il lui souffla un baiser Sarah eut le temps d'apercevoir l'énorme chevalière à tête de serpent qui ornait sa main gauche.

Akan le savait, les prochains jours de cette jeune fille serait démoniaques, les fantasmes se succèderaient les uns après les autres, sa chatte serait en nage jour et nuit jusqu'au jour où elle réaliserait que seul la langue de cette brute inconnue en se glissant entre les lèvres de sa chatte pourrait mettre un terme à sa soif sexuelle. Mais le prix pour obtenir ce plaisir, elle l'avait vu dans son regard, quand il lui avait souri. L'odieux elle le savait, exigerait qu'elle le supplie pour qu'il lui fasse porter cette soierie à son tour.

Soudain sous son voilage, Sophie poussa un énorme : « Nooooonnn.» Au travers du grillage, elle venait de reconnaître la jeune fille qui avait attiré l'attention de son maitre. Le nom de Sarah vint mourir sur ses lèvres quand la cravache s'abattit violement sur ses fesses.

Akan : « Avance salope. »

C'est le cœur meurtrit et le cul rougit qu'elle s'agrippa aux jambes d'Akan, qu'elle tenta une fellation au travers la double épaisseur de tissus pour détourner l'attention d'Akan. Voyant l'effort déployé par Sophie et le regard attisé de la jeune fille témoin de la scène, Akan décida de faire d'une pierre deux coups en se montrant magnanime, il lui permit de baisser sa fermeture éclair. Le membre était si imposant que la jeune fille excitée serra de nouveau les cuisses et glissa subtilement deux doigts entre elles pour soulager son clitoris engorgé. Soudain elle vit une bouche apparaitre sous ce vêtement relevée tentant de prendre ce membre noir en bouche. Au bout de quinze minutes de dévotions Akan retira sa queue de la gorge chaleureuse et offrit un soin du visage à sa chienne. Aussitôt une autre breloque noire vint s'accrocher au collier.

Sarah était bouleversée devant cette démonstration de pourvoir.

Comment pouvait-on humilier une femme de cette façon, comment une femme pouvait-elle accepter de n'être qu'un objet sexuel.

Un frisson traversa Sophie en réalisant que ce périple humiliant n'avait qu'un but, faire savoir à tout le monde qu'une nouvelle salope allait être initiée dans les prochaines heures et cette salope c'était elle. Elle eut une pensée pour Louis mais elle disparut aussi vite quand sa culotte se mouilla dans un frisson. Akan était le membre alpha le plus performant de la communauté NBWO de la région et il savait dresser les proies intéressantes et celle qu'il avait au bout de sa laisse allait l'apprendre avant la fin de la nuit.

Sophie devenait inquiète, ils avaient changé de cartier et la majorité des gens étaient noires à l'exception de mâles imposants accompagnés d'une chienne blanche. Qu'elle soit jeune ou mature, toutes semblaient destinées aux plaisirs de leur maitre.

Elles étaient toutes amenées dans l'antre du Black Power, une fois à l'intérieur ils commencèrent par prendre des photos de leurs soumises à tour de rôle afin de les coller sur le site de la BNWO. Sophie contrairement aux imprudentes juvéniles semblait attisée par l'ambiance orgiaque qui régnait. Son obéissante convulsive d'écoulait d'une chatte nécessiteuse.

L'avant cérémonie public l'avait laissé sur une soif insatiable. Sophie incitait l'écoulement de sa chatte en imaginant tous ces mâles désireux d'en faire des salopes blanches. Un spasme la traversa quand un doigt inconnu câlina son anus. L'apogée de son inconfort vint quand elle sentit un deuxième doigt astiquer son cul. Oh oui! Frémissante, être préparé pour l'insertion de verges démesurées.

Les membres de l'assemblée jouissaient de l'ordre nouveau qui prenait de l'ampleur et c'est avec intérêts qu'ils participèrent aux ébats entre Maître Akan et Sophie. Brutalement il l'avait mené aux abords du plaisir, l'obligeant à lui promettre de lui livrer sa fille en remerciement pour lui permettre de jouir. Très vite il lui avait fait découvrir des plaisirs qu'elle n'avait jamais connu, lui avait étiré et lubrifié tous ses trous,

À la première minutes ou Louis avait porté une attention au besoin de son zizi et fait des recherches pour du porno interracial, Sophie venait d'être immolée. Louis n'avait pas l'outil adéquat pour éteindre le brasier que son imprudence allait déclencher dans le ventre de sa femme. Une graine semée fini toujours germer. C'est ainsi qu'un soir, dans le jardin secret de Sophie une fleur du mal poussa grâce à l'ardeur déployée par maître Akan.

Au petit matin quand elle passa ses bras autour de son cou et l'embrassa à pleine bouche il sut qu'il en avait fait sa chienne. Qu'elle porterait des bébés noirs pour la gloire du NBWO. Maintenant qu'il l'avait marqué, il était temps de la ramener au mari cocu et faire connaissance avec tous les membres de la famille. Son cheptel venait de s'agrandir et l'avenir était prometteur.

À la maison Sarah tournait en rond, la veille elle était entrée chez elle et s'était enfermée dans sa chambre tentant d'assimiler la rencontre bouleversante qu'elle avait fait. C'est l'âme tourmenté et le sexe inassouvi qu'elle finit par glisser dans un sommeil agité.

Au matin son père était incapable de lui dire où était sa mère. Elle n'avait pas souvenir d'avoir vu sa mère découchée une fin de semaine.

Louis était comateux, les deux dernières nuits avaient été pénibles. Sarah cherchait à comprendre, elle était persuadée d'avoir entendu son père écouté de la pornographie et de s'être livré à la masturbation pendant ces deux nuits mais sans en connaitre la raison les sons de plaisirs de son père s'étaient tous transformés en lamentations avant la fin de la nuit.

Le dimanche soir, père et fille se regardèrent avant de se précipiter à la fenêtre du salon quand ils entendirent une voiture se stationner dans l'entrée. Stupéfaite de voir un noir au volant d'une voiture demeuré là sans descendre, Sarah sortit dehors pour savoir qui il était. Louis s'était figé d'effroi en voyant l'adonis noir. Son cœur battait d'affolement en regardant Sarah s'approcher de la voiture. Il vit sa fille se figer devant le spectacle de sa mère prodiguant une fellation au noir.

Quand Akan sortit de la voiture après avoir fait la démonstration de son pouvoir, c'est avec arrogance et la braguette baissée qu'il salua Sarah. Comme un mauvais télégramme reçu, Louis encaissa le coup.

Sarah l'air ahurie regarda sa mère, les vêtements en décrépitudes, les cheveux ébouriffés et le visage barbouillé de sperme glisser son bras autour de la taille de ce gros noir. C'est en dominateur qu'Akan ouvrit la porte de la maison. Père et fille furent affranchis du nouvel ordre familial sans possibilité d'opposition. Quand Louis tenta de chasser Akan, il reçut une baffe qui lui enleva tout envie de contester l'autorité de l'amant de sa femme.

Akan : « Retire ton pantalon petit blanc, tu n'en es pas digne du moins pas dans cette maison. »

Louis les yeux baissés se plia à l'ordre dicté, quand ce fut fait Akan en regardant le caleçon qu'il portait en profita pour le rabaisser d'avantage.

Akan : « Je vois qu'il y a tromperie là aussi, dorénavant tu ne porteras que les dessous de ta fille. »

Offusquée, Sarah se mit à engueuler Akan et le traita de sale nègre. En un éclair Sarah fut sur le cul et une série d'étoiles lui indiqua sa nouvelle réalité. Avec autorité, Akan la souleva d'un bras et de l'autre lui arracha son pantalon puis son slip qu'il jeta à Louis en lui ordonnant de le mettre.

Akan : « Écoutes moi petite chienne à partir d'aujourd'hui tu devras toujours avoir la chatte à l'air et ta camisole devra avoir deux trous permettant à tes mamelons d'être visibles. Compris? »

Devant son silence Akan lui administra une bonne fessée.

Akan : «Compris? » Sarah : «Oui monsieur. »

Ayant reconnu la chevalière au doigt d'Akan, Sarah reconsidéra sa situation et décida de se montrer docile en attendant sa chance et monta dans sa chambre.

Louis était toujours sous le choc et quand Akan s'approcha de lui et lui dit : « Tu n'as pas l'intention de t'opposer à notre relation? »

Louis : « Non monsieur. » Akan : « Bon c'est bien que tu sois d'accord que je baise ta femme et lui donne le plaisir qu'elle mérite, ça va m'éviter de te battre devant ta fille. Comme tu étais incapable de satisfaire ta femme, elle était vulnérable aux plaisirs que lui donnerait un vrai homme. »

Cruellement Akan lui exhiba l'outil qui avait asservit sa femme.

Akan : « Regarde, tu n'avais aucune chance petit blanc, maintenant la dernière qu'il te reste c'est d'accepter de veiller au bien être de ton maitre et ça commence par entretenir la chatte de ta femme afin qu'elle soit toujours prête à me recevoir. »

Louis : « Oui monsieur. »

Sophie : « Maître je crois qu'il a compris, il est juste un peu pétrifié mais il n'a pas les couilles pour être désobéissant. N'est-ce pas Louis? »

Louis : « Non ma chérie. »

Akan : « Oh! Non elle n'est plus ta chérie, c'est la mienne à présent, tu n'auras plus qu'à répondre non maitresse ou oui maitresse. »

Humilié, Louis dit: « Oui maitre. »

Akan sourit en entendant la réponse de la mauviette, grâce à lui un autre couple de blanc allait être formé à promouvoir la reconnaissance du NBWO.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

histoire excitante malgré quelques notions racistes. par contre la traduction , la grammaire, et l'orthographe sont vraiment médiocres

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