La petite chienne de Maîtresse P. 19 - Fin

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Gina s'installe définitivement dans son rôle d'esclave.
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Maîtresse recevait désormais beaucoup plus, Judith restait aux fourneaux, elle était une cuisinière hors pair et préparait de succulents repas pour les invités de Maîtresse. Moi-même j'étais toujours habillée en parfaite soubrette à deux rôles, toujours hyper sexy, avec du latex, des bottines sexy, mini cuir vinyle ou latex, minuscule tablier blanc à dentelles, porte jarretelle et bas résilles, gants noirs, etc. et toujours mes organes à plaisir accessibles. Je devais assurer d'abord le service à table, ensuite le service sexuel des convives que Maîtresse incitait à m'utiliser pour se donner du plaisir. Elle m'emmenait désormais aussi une fois par mois aux réceptions de Igor, où j'étais devenue une petite idole. Parfois on demandait à Maîtresse Irina de me remettre dans le joug et j'étais violée des deux côtés à longueur de soirée et de nuit, souvent entre 40 et 50 fois de suite, ou alors Maîtresse me permettait de déambuler entre les convives et de me faire sauter sans restrictions par quiconque voulait. Ma chatte lubrifiée par des quantités de sperme s'habituait aussi bien à être limée et je terminais les soirées moins altérée qu'au début. Au cours de ces soirées, j'avais toujours ma bite attachée au nombril et le plug entre mes fesses pour me faire conserver tout le sperme qu'on déchargeait dans mes intestins. En général nous rentrions au petit matin et arrivés au manoir, Maîtresse adorait me mettre sur un chaise percée pour me voir expulser toute la semence reçue et en mesurer le volume. Parfois cela atteignait le demi litre.

Mais à côté de ce que Maîtresse considérait comme les nécessités d'usage d'une vie d'esclave, pour maintenir mon état de totale soumission et de dépendance, je connaissais des moments très différents de grande complicité avec elle. Elle me prenait désormais régulièrement avec elle lorsque nous allions faire des courses à la ville, elle s'assumant toujours pleinement dans ses looks total cuir cuissardes et moi habillée encore bien plus salope, avec des habits très provoquant ne laissant planer en apparence aucun doute sur qui j'étais. Souvent dans mes belles cuissardes argentées et hyper brillantes, mes talons de 15 cm, une mini cuir bien trop courte pour faire honnête, un bustier et de jolis balconnets mettant bien en évidence ma poitrine. Nous passions aux yeux des passants soit comme mère et fille, mais avec tout pleins de regards bien réprobateurs de la part de nombreux promeneurs scandalisés, qui se demandaient comment une mère aussi indigne pouvait permettre à sa fille qui semblait avoir 18 ans de s'habiller comme la pire des putes de rue... , alors que d'autres devaient s'imaginer plutôt le couple de gouines avec une belle cougar de caractère qui a séduit et pris dans ses griffes et se tape de la chair fraîche sous la forme d'une belle jeune petite salope. Nous, cela nous comblait de plaisir de provoquer ainsi visiblement le public, alors que nous ne leur demandions rien. Et nous commencions aussi à être un peu connues.

J'ai donc poursuivi ma vie avec Maîtresse. Après une année elle a voulu doubler ma poitrine et me faire poser des mamelles de 1000cc. Nous sommes retournées dans la clinique tunisienne où on m'a retiré mes anciens implants pour les remplacer par des 1000 cc. Heureusement mon bonnet 95D avait déjà bien distendu mes tissus et l'opération a pu être faite. Désormais je me promène avec deux véritables bombes, bonnet F et suis encore plus cambrée pour garder mon centre de gravité, étant alourdie par devant et d'autant plus nécessaire que je vis en permanence sur des talons de 15 centimètres, accentuant encore d'autant mon look de bimbo vulgaire sexy qui projette ses seins en avant, que j'adore et qui comble Maîtresse.

A la même période Maîtresse a encore voulu me faire opérer mes yeux pour leur donner une forme d'yeux de biche et me faire encore plus séduisante. L'opération s'est encore une fois déroulée dans la clinique du Dr Schulz et a parfaitement réussi. Mes yeux agrandis et en amande , de véritables yeux de biche, dont la forme est encore accentuée par un savant maquillage, font désormais des ravages, lorsque je plante mon regard dans celui d'un homme que je fais fondre et qui n'a ensuite plus qu'une idée en tête, tout faire pour m'inséminer..., ce qui en général est le cas...

Il y avait encore la question de ma mère. Ma vie de salope soumise propriété de Maîtresse Irina me comblait au delà de tout ce que j'aurais pu rêver. Pour rien au monde je ne voudrais vivre autrement, car cela corresponds tellement à mon caractère. J'avais un peu oublié ma mère, mais je me disais que pour elle ça devait être de même. Je lui envoyais de temps en temps un sms pour la rassurer, mais toujours à sens unique. Un jour Maîtresse me dit :

-Et si nous allions voir si ta mère te reconnaît?

La surprise fut totale.

-Tu m'as dit qu'elle est très croyante et se rend à la messe tous les dimanches. On pourrait aller une fois dans ton village un dimanche et jouer les touristes en passant près d'elle, qu'en penses-tu mon toutou?

-Je parie qu'elle ne me reconnaîtra pas mais ce serait un truc à tester, oui, pourquoi pas.

-Je te prends au mot Gina, on va organiser ça prochainement, la Suisse n'est pas si loin, 3 heures de route. Tu n'as pas peur?

-Non, pas du tout, je prends le risque.

Deux semaines plus tard, un dimanche matin très tôt nous sommes partis pour le village de mon enfance. Arrivés vers 10 :30, nous avons déambulé dans le petit bourg comme des touristes, en nous tenant par la taille comme un couple de gouines amoureuses, attirant sur nous comme toujours de nombreux regards, toujours curieux et souvent concupiscents de la part des hommes, dont certains n'hésitaient pas à se retourner sur notre passage, peu habitués aux looks de belles putes cuirées que nous montions. Au moment de voir les gens sortir de l'église nous nous en sommes rapprochée. Ma mère sortait effectivement avec des amies. Sur le moment j'ai ressenti une petite émotion, mais rien de plus. Avec nos airs de touristes habillées en salopes nous avons croisé son regard, qui en disait visiblement long sur ce qu'elles pensaient de l'habillement de ces deux femmes indignes, mais pas le moindre signe d'une émotion à reconnaître son fils. Nous avons passé à côté d'elle sans voir la moindre réaction. Test réussi. Sachant notre relation de l'époque, cela m'a complètement rassurée et tellement confortée dans ma certitude que ma vie était désormais celle que je vivais, femelle salope au service de Maîtresse Irina.

Aujourd'hui j'ai 22 ans, je suis l'esclave, la salope, la pute, la chienne soumise de Maîtresse Irina depuis 4 ans. Je suis sa chose, son objet sexuel, sa bimbo brainless dépravée, son objet de totale débauche sexuelle, son ustensile à plaisir. Je suis tout ça et surtout je lui APPARTIENS. Et désormais je n'imagine pas devoir changer quoique ce soit dans cette vie fantastique que m'offre Maîtresse.

Maîtresse Irina restait Maîtresse Irina, une dominatrice extrêmement vicieuse, sévère, sadique aussi. Elle avait ça dans ses tripes, c'était dans son ADN, soutenu encore par sa nymphomanie. Elle continuait à me dresser, à me punir, à me torturer, à me conforter dans mon statut de chienne, de bimbo slut fuckdoll et de parfait objet sexuel à son service, comme toujours. Elle en avait besoin pour satisfaire son immense perversité. Mais une relation nouvelle s'était peu à peu nouée entre nous avec le temps, nous avions compris combien chacun de nous avait besoin de l'autre. Elle de m'abuser et de me punir et moi de l'être. Cela devenait une relation presque amoureuse, en tous cas réciproquement respectueuse malgré les apparences trompeuses d'une relation dominante-dominée. Autant elle retirait du plaisir à m'user et à m'abuser, pour satisfaire ses instincts sadiques, autant elle savait ne jamais dépasser certaines limites et que de me traiter ainsi était peu à peu devenu chez moi un véritable besoin, dont je ne pouvais plus me passer, pour calmer mes propres envies masochistes, sources d'intenses jouissances. Et elle était même capable de me montrer des moments de tendresse, surtout après des punitions douloureuses, où elle me prenait ensuite dans ses bras pour me calmer, me caresser, me susurrer des mots tendres et me rassurer, comme on prend un petit enfant.

Mais surtout nous avions développé entre nous cette merveilleuse complicité qui nous unissait.

-Tu sais que l'an prochain nous fêterons nos cinq années passées ensemble, tu me combles toujours ma belle petite pute, tu es devenue exactement celle que je voulais avoir pour moi. Cinq ans, je n'y aurai jamais cru, il faudra fêter ça, organiser une petite cérémonie pour marquer ce passage. Une idée m'a récemment traversé la tête. Que penses-tu de t'imprimer définitivement ton appartenance en te marquant au fer rouge au cours d'une belle cérémonie, pour graver dans ta peau une marque définitive et indélébile d'appartenance, comme on marque un animal?

- Comme il vous plaira Maîtresse, vous savez que je vous appartiens.

- Mmmhh, j'aime bien l'idée, je pense qu'elle devrait aussi plaire à Igor, on pourrait organiser quelque chose lors d'une de nos rencontres mensuelles au château. Il faudra que je lui en parle.

Fin

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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11 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Beau recit mais regrettable qu'il soit déjà terminé...le fer rouge etc...Merci pour ces très très très agréables moments de lecture.

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

J'ai adoré l'ensemble du récit... La métamorphose de Michel est totalement extraordinaire ! Les différents épisodes s'enchainent avec un Vice de très grande qualité !! J'ai rarement lu sur les sites des histoires aussi troublantes. Je suis fasciné par les travesties et Gina est assurément une merveilleuse créature !! Merci !!

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Ce récit en 19 épisodes est totalement fantastique, d'une perversité extraordinaire... J'ai adoré la progression stupéfiante que Michel a réalisé... Maîtresse Irina est une Femme fascinante. Ce récit m'a comblé ! Il mériterais d'être édité. Un grand bravo à l'auteur !!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Merci pour votre réponse dans les commentaires et je vous souhaite également une excellente année 2023.

Rudy

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Désolé pour ce comportement lamentable, on ne peut que mépriser ce genre de lecteur. Qu'on aime ou pas votre travail mérite le respect. Quant à je vous remercie pour cette belle histoire ou le sentiment se mêle au vice et qui devait se terminer en effet.

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