Nouvelle demeure 01

Informations sur Récit
Notre première orgie chez nos voisins.
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Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/18/2022
Créé 07/06/2008
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Nouvelle demeure, nouveaux voisins

Our First New Home

Coulybaca / Vulgus

Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j'ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d'en faciliter la lecture.

Chapitre 1 : Notre première orgie chez nos voisins

Je me tenais avec mon époux sur l'entrée de notre nouvelle maison sa-vourant l'instant où nous allions pénétrer pour la première fois dedans.

C'était une belle grande maison, située dans une banlieue haut de gamme.

Elle était bâtie de pierres et de briques et paraissait neuve aussi bine de l'intérieur que de l'extérieur.

Cela faisait maintenant trois ans que nous étions mariés et nous avions travaillé dur pour épargner suffisamment d'argent pour nous offrir cette demeure.

Les mensualités étaient importantes et s'étendaient sur une longue pé-riode, mais s'avéraient bien moindre que la location que nous versions auparavant pour notre petit logement.

Actuellement, avec les déductions fiscales que nous avons obtenues, nous pouvions vivre largement.

Dave, mon mari travaillait dans une entreprise de fabrication d'avion de tout premier plan.

Il était un ingénieur très apprécié et il adorait son boulot, il était plus que bien payé, mais en contrepartie, il faisait beaucoup d'heures et voya-geait souvent.

Il me répétait que cela nous permettait d'honorer facilement nos enga-gements tout en nous ménageant une vie des plus confortables.

Je n'aimais pas le vois si souvent en voyage, mais je comprenais que c'était pour notre bien et je me montrais patiente.

Je travaillais dans un bureau comme une secrétaire des plus ordinaires bien que mon statut soit bien au-dessus de celui des dactylographes.

Je voulais travailler assez longtemps pour que l'on finisse de nous instal-ler dans notre nouvelle maison et qu'on puisse l'aménager à notre goût, puis, ensuite nous voulions avoir des enfants.

Nous pensions qu'au besoin je pourrais toujours trouver un autre travail.

La boite dans laquelle je travaillais était sinistre, les employés étaient traités durement et chaque jour je craignais de me rendre à mon boulot.

Je me prénomme Donna et j'ai 24 ans, Dave a deux de plus que moi.

Nous nous sommes rencontrés en fac et nous nous sommes rapidement amourachés l'un de l'autre, il ne nous fallut pas longtemps pour com-prendre que nous avions trouvé le partenaire que nous recherchions tous deux.

Nous nous sommes fiancés l'année suivante et nous nous sommes ins-tallés ensemble dans un petit logement sur le campus.

Je décidais alors que suivre de longues études ne m'intéressait pas et qu'il valait mieux que je gagne un peu d'argent pour améliorer sensible-ment notre train de vie.

Aussi abandonnais-je la fac pour rejoindre le monde du travail, jusqu'ici nos parents avaient subvenu à nos besoins, mais ils n'étaient pas très riches et avaient mieux à faire de leur argent que de me payer un di-plôme d'art contemporain! ....

Nous avions commencé à découvrir notre nouvelle maison.

Nous avions déjà apporté quelques cartons et des rideaux, mais nous avions attendu que la vente soit officialisée pour préparer notre emmé-nagement.

Et voila que nous avions officiellement rejoint le monde des accédants à la propriété! ..... C'était tout au moins ainsi qu'on nous qualifiait sur une montagne de papiers concernant l'achat.

Nous sommes rentrés à l'intérieur, et avons traversé la maison pour nous rendre dans l'arrière cour pour nous asseoir au bord de notre pis-cine.

Par chance les anciens propriétaires avaient laissé un ensemble de ma-tériel de plein air.

Nous nous relaxions main dans la main nous réjouissant d'être les heu-reux propriétaires de cette demeure confortable.

La matinée avait été stressante, l'idée que toutes ces démarches cela se terminaient sur une simple signature était assez intimidante.

Nous ne pouvions cependant pas rester longtemps à ne rien faire, nous devions planifier notre emménagement, nous devions empaqueter nos affaires et déménager de nous même en utilisant le pick-up de Dave les quelques jours à venir, on devait tout emporter nous-mêmes à part le mobilier lourd pour lequel on louerait les services d'une boite de déménagement.

Nous devions ensuite inventorier notre matériel et voir comment il s'ins-crivait dan notre nouvelle demeure, puis acheter le complément néces-saire pour nous installer confortablement selon nos rêves.

Nous étions impatients de mener ces choses à terme, aussi nous som-mes nous levés pour nous diriger vers notre ancien appartement qui se trouvait à une dizaine de minutes de là.

Nous avions déjà bon nombre de cartons prêts, nous les avons chargés dans le van et les avons emmenés chez nous, nous avons eu le temps de faire trois voyages avant de décider que c'en était assez pour cette journée.

Cela ne faisait que 3 ans que nous étions mariés, jamais nous aurions pensé avoir accumulé autant de choses en si peu de temps! .....

Il y avait un grand nombre de cartons remplis de bouquins, nous aimions tous deux lire et avions chacun notre propre collection de livres.

Rien de tels que des livres pour composer des cartons bien lourds! ....

Après notre troisième voyage, l'après-midi se terminait, nous avons alors décidé de rester la fin du jour dans notre nouvelle demeure.

Nous avions déjà amené notre lit que nous avions assemblé dans la chambre. Je commençais alors à déposer les cartons de linge dans la cuisine.

Nos travaillions dur, mais notre joie était grande d'être parvenus à nos fins.

La sonnette de la porte d'entrée me fit sursauter.

Je fus surprise de voir un homme de si haute taille sur le seuil.

Il se présenta :

-Hello, je m'appelle Roy, j'habite la maison d'à coté..... Ma femme Anne m'envoie vous dire que le souper est prêt! ..... J'ai ordre de ne rentrer qu'avec vous! .....

Dave sortait de la chambre, il descendit au rez-de-chaussée et je le pré-sentais à Roy.

Je cherchais à expliquer à notre voisin que nous étions sales et couverts de sueur, et qu'il me paraissait difficile dans ces conditions de leur ren-dre visite.

Il ne voulait pas en démordre.

Je regardais Dave droit dans les yeux, il me fit signe d'accepter l'invita-tion.

Nous sommes sortis, Dave ferma la porte à clef et nous avons accom-pagné Roy.

Roy et Anne avaient tous deux une bonne quarantaine d'années, ils semblaient bien assortis, des gens aimables chez qui nous nous som-mes instantanément sentis les bienvenus.

Anne avait cuisiné un plat de lasagnes accompagné de pain à l'ail, je sa-livais en sentant le fumet des choses qui cuisaient dans la cuisine.

Nous avions quitté notre maison sans même nous rafraîchir, Roy nous montra où se trouvait leur salle de bain et nous avons pris tous deux une douche avant de nous asseoir devant le meilleur plat de lasagnes que nous ayons jamais dégusté! ..... Le tout accompagné d'un délice de vin rouge.

Je ne buvais pas beaucoup, ce n'est pas que j'aie quelque chose contre, tout simplement je n'avais pas aimé le goût des quelques vins que j'avais goûté jusqu'ici, mais ce dernier me semblait fantastique.

Nous avons mangé, bu et discuté pendant une bonne paire d'heures. Il nous semblait qu'en même temps que notre nouvelle maison nous avions déniché de merveilleux amis.

Roy et Anne étaient tous deux très séduisants, très bien éduqués, ils possédaient une bibliothèque à faire honte aux autres. Ils possédaient par ailleurs une collection de films très fournie et un écran géant qui de-vait avoir coûté le même prix que ma voiture.

Nous avons remercié Roy et Anne de leur accueil si chaleureux, et nous sommes retournés dans notre nouvelle maison.

On mit rapidement des draps sur le matelas et nous nous sommes en-dormis jusqu'à 9 heures du matin.

Le samedi matin, nous nous sommes levés tôt et après avoir vidé une paire de tasses de café dehors assis au bord de la piscine, nous som-mes retournés à notre ancien appartement avec la camionnette pleine de cartons que nous avions vidé la veille.

A la fin du jour, il ne restait plus que le mobilier lourd, des buffets, un ca-napé, une paire de chauffeuses et quelques étagères à livres.

Nous avons rassemblé ces meubles comme on le put,

et le lundi j'ai appelé un transporteur en lui demandant de se charger de l'acheminement de ces meubles au plus vite.

Comme le chargement était peu encombrant et que le déplacement était court, ils m'assurèrent que ce serait fait le mercredi suivant et que cela ne me coûterait pas les yeux de la tête.

Vendredi soir après avoir passé nos soirées à déballer nos affaires avant de les ranger nous pouvions enfin jouir de notre maison telle que nous l'avions rêvée.

Nous avions décidé de remeubler entièrement le salon et nous avions besoin de meubler la salle à manger puisque nous n'en avions pas dans notre ancien appartement.

Nous avions acquis de nouveaux équipements pour le patio et la piscine, elle était maintenant telle que nous l'avions pensée en la voyant la pre-mière fois.

Le dimanche, comme nous l'avions programmé la semaine précédente en soupant chez nos nouveaux voisins, Roy et Anne se pointèrent pour passer la soirée avec nous autour de la piscine.

J'avais acheté quelques steaks bien épais et préparé plusieurs salades variées.

Comme convenu, ils arrivèrent par la porte séparant nos deux cours, Dave manqua de s'étrangler en les voyant.

En voyant Anne en fait, elle portait un minuscule bikini mettant en valeur ses charmes plus qu'il ne les cachait. Je n'avais jamais vu de bikini aussi provocant, il lui allait à merveille.

Je donnais un coup de coude à Dave et il reprit une attitude plus nor-male, Roy traînait derrière elle, il charriait une petite glacière qu'il avait posée derrière la grille.

Anne s'avança et nous embrassa tous les deux convivialement, feignant de totalement ignorer le choc que nous avions ressenti à sa vue ainsi peu vêtue.

Elle était très sexy et vive, si elle ne m'avait pas dit son âge le denier week-end, j'aurai pensé qu'elle avait une bonne vingtaine d'années.

Elle était en bien meilleure forme que moi! ....

Ses tétons étaient dissimulés derrière deux petits triangles de tissu et un troisième s'efforçait de voiler sa toison pubienne.

Je portais aussi un petit bikini assez sexy, mais en comparaison du sien je me sentais vêtue de la tête aux pieds.

Roy s'avança et posa sa glacière avant de m'embrasser gentiment et de serrer la main de Dave.

Il portait un maillot de bain plus ordinaire, mais il était impossible d'igno-rer la bosse qui en déformait le devant de son maillot tant elle semblait importante.

Je ne sais ce qu'ils buvaient, le cocktail provenait d'une cruche, nichée dans la glacière.

Ils me dirent le nom de cette boisson, je ne la connaissais pas et je ne m'en rappelle plus maintenant.

Roy insista pour m'en servir un verre, c'était délicieux, je n'étais même pas certaine que ce mélange contenait de l'alcool.

Roy remplit mon verre à plusieurs reprises.

Dave aussi avait échangé sa bière contre un verre de ce mélange spé-cial qu'ils avaient concocté, il semblait 'apprécier tout autant que moi.

Nous discutions assis en rond.

Tout comme la semaine dernière, nos voisins menaient la conversation, mais c'était un moment extrêmement plaisant, nous avions atteint un tel niveau de béatitude que nous ne prêtions plus aucune attention à leurs tenues.

Jusqu'au moment où Anne me demanda ce que je pensais de son nou-veau maillot.

Je dus admettre que c'était la tenue la plus sexy que j'aie jamais vu à ce jour, elle me dit l'avoir trouvé sur le web et qu'elle en avait commandé plusieurs.

Elle poursuivit qu'elle aimerait me voir en porter un, et avant que je puisse dire un mot, ils décidèrent tous trois de se rendre chez eux pour en choisir un.

Dave semblait particulièrement impatient de me voir dans un de ces bi-kinis.

Je ne pense pas être plus modeste que la majorité des filles qui courent les rues, j'adore porter des mini-jupes, de courts shorts et des brassières sexy.

Je ne dirai pas que mon bikini était un modèle de décence, mais je n'avais aucune envie d'essayer un de ces maillots minimums dévoilant plus de charmes qu'il n'en cachait.

Je suivis donc à contrecœur Anne dans sa chambre.

Elle sortit de sa commode deux bikinis similaires au sien et un troisième qui s'avérait encore plus indécent.

Dès que nous fûmes dans sa chambre, elle tendit le bras pour dégrafer mon soutien-gorge, j'en étais troublée, mais je décidais de me comporter comme si c'était anodin.

Elle repoussa ensuite mon string sur mes cuisses et il tomba au sol.

Je n'avais plus jamais étée déshabillée par une femme depuis que ma mère prenait soin de moi dans ma tendre enfance, cela me semblait étrange.

Anne me fit tourner sur moi-même admirant mon corps me complimen-tant sur mes seins épanouis et ma chute de rein avenante.

Je rougis comme une tomate et tendais le bras pour saisir un des mail-lots qu'elle avait posé sur le lit.

Elle me coupa dans mon élan en me disant :

Tu ne peux pas les enfiler tout de go Donna, il y a un petit problème à régler auparavant! ......

Elle saisit ma main et me tira dans sa salle de bains.

Elle posa une serviette sur la lunette des toilettes et me fit asseoir face à elle.

Je suppose que dès ce moment je sus ce qui allait advenir, j'étais incapable de réagir lorsque Roy et elle m'entouraient.

Avant que je puisse dire un mot, ou appeler à l'aide, à l'aide d'une paire de ciseaux elle raccourcissait ma toison pubienne. Tout en travaillant, elle me félicitait d'avoir une aussi jolie chatte, jamais une autre femme ne m'avait dit cela auparavant.

Elle travaillait rapidement et cela ne prit pas longtemps pour qu'il ne me reste plus que quelques vestiges de ma blonde toison. On aurait dit qu'on avait coupé mon pelage en courte brosse.

Anne se redressa et empoigna un rasoir, de la mousse à raser et une serviette humide, puis elle me força à écarter de plus belle les cuisses.

Visiblement elle n'était pas satisfaite de son œuvre, je dus me relever, elle posa la serviette sur le sol carrelé de la salle de bain et je dus m'al-longer dessus à plat dos.

Il semblait que je ne commandais plus mes actes, elle se penchait à nouveau entre mes cuisses.

J'étais extrêmement gênée laisser une autre personne que mon mari manipuler mon intimité, mais je ne protestais pas alors qu'elle promenait la serviette humide sur ma fentine embrasée puis étalait de la mousse à raser sur toute la surface de mon pubis.

Elle me semblait gaspiller beaucoup pus de temps que nécessaire à masser ma féminité tout en étalant la crème mousseuse.

Elle se courba sur moi, le visage a quelques 20 centimètres de ma four-che alors qu'elle rasait les derniers vestiges de ma fourrure.

Lorsqu'elle écarta de ses doigts mes babines pour permettre un rasage intégral de ma chatoune, un choc électrique courut dans tout mon corps ce qui accrut encore ma gêne.

Cela empira encore, alors que je pensais qu'elle en avait terminé, que mon mont de Venus était glabre, elle releva subitement ma jambe la repliant sur mon buste pour examiner en détail ma cramouille béante et mon petit oeillet frémissant de honte, enlevant les dernières traces de poils autour de mon anus.

Elle me rinça avec la serviette puis me sécha consciencieusement avant de m'aider à me relever.

Elle me posta devant le miroir en pied et susurra :

-Magnifique! ..... Qu'en penses-tu Donna? .....

-Bordel je ne pensais pas que ma chatoune puisse paraître aussi juvénile et soyeuse! ....

-J'étais trop choquée pour dire un mot, et pourtant cette image de moi était vraiment très sexy.

Elle me ramena dans la chambre et j'essayais les deux bikinis.

Ils me laissaient quasiment nue.

Jusqu'ici, il n'y avait que deux endroits dans lesquels je m'étais dénudée, ma salle de bain et ma chambre, je trouvais inapproprié de me trouver nue au que se soit ailleurs.

Avant que j'aie le temps de refuser, Anne tira sur les ficelles du second string de bikini qui chut au sol.

Elle attrapa la petite pièce de tissu et me l'enleva sans aucune difficulté.

Elle se pencha en avant et me fit enfiler le haut constitué" de deux mi-cros triangles de tissu, puis elle noua les bretelles dans mon dos.

Elle tira sur les minuscules triangles de tissu quasi transparent et les ajusta sur mes nichons.

Les fines bretelle se prolongeaient vers le bas rejoignant me foufoune en formant un nouveau minuscule triangle de tissu transparent qui épousait ma fente.

De là un cordon courait dans ma raie culière qui s'entourait au tour de ma taille se rattachant sur le devant.

Anne s'extasiait, elle me complimentait sur mon look si sexy insistant sur le fait que ce micro maillot semblait créé pour moi.

Je me voyais dans le miroir en pied et je devais admettre que c'était drô-lement excitant.

Les zones que dissimulaient habituellement mes bikinis étaient mainte-nant exhibés révélant des bandes de chair blanche qui attirait les yeux.

Je savais pertinemment que Dave adorerait cela, je serais vraiment heu-reuse de le porter moi aussi si nous étions s tous les deux.

Mais je n'eus même pas le temps de dire à Anne que je ne voulais porter aucun de ces trois maillots en public et encore moins le troisième.

Elle me traînait déjà dans mon arrière cour sans écouter mes vagisse-ments.

Je semblais totalement incapable de m'opposer à ses volontés, je lui obéissais docilement tout comme j'aurai obéi à mes parents.

Moins d'une minute plus tard je me trouvais face à Dave et Roy, l'éclair de concupiscence qui s'allumait dans leurs yeux alors qu'ils me compli-mentaient me plongea dans un extrême embarras.

J'étais certaine que Dave serait furieux et m'ordonnerait de me rhabiller.

J'avais tort! ....

Il aimait ma tenue! ....

Il m'attira contre lui et m'embrassa passionnément en me disant que j'étais ravissante.

Il fit promettre à Anne de lui donner l'adresse web ou du site sur lequel elle s'était procurée ces jolies choses pour qu'ils puissent m'acheter d'au-tres articles érotiques.

On me donna un nouveau verre de cette boisson contenue dans le pi-chet qu'ils avaient amené. Elle était réellement délicieuse et quoi qu'elle comporta, elle contribua à me calmer rapidement.

Tout au long de l'après midi Anne et Roy continuèrent à diriger la conversation abordant souvent des sujets qui me gênaient.

Ils avaient une sexualité exubérante qu'ils n'hésitaient pas à évoquer, il me semblait que plus je buvais de verres de leur boisson, moins je me sentais gênée.

Après avoir piqué une tête dans la piscine je constatais que mon maillot était totalement transparent. On distinguait clairement mes tétons érigés et ma fentine débroussaillée. Je fis comme si c'était tout à fait normal.

Roy retourna deux reprises chez lui au cours de l'après-midi pour remplir le pichet.

Nous étions, Dave et moi, légèrement éméchés.

On piqua une tête à plusieurs reprises dans la piscine, j'étais parfaite-ment consciente que mon bikini s'avérait totalement transparent lorsqu'il était mouillé.

Roy m'allumait alors que nous étions dans la piscine ce qui me faisait rire, je dus une bonne douzaine de fois réajuster mon haut de maillot qui avait glissé exposant mes mamelons à l'air libre.

Je remarquais Anne jouait les gamines espiègles avec Dave s'amusant à l'allumer.

Je remarquais aussi qu'une énorme bosse déformait l'avant du maillot de Roy alors qu'il escaladait le rebord de la piscine.

Je ne pouvais m'e^pêcher de regarder cette grosse bosse me deman-dant ce que je ressentirai si cette énorme colonne de chair allait et venait dans mon étroite petite chatte.

Ma main avait effleuré à plusieurs reprises cette grosse déformation alors que nous jouions dans la piscine, et je suppose que mes réflexes amoindris par la forte quantité d'alcool que j'avais absorbé au cours de l'après- midi je n'avais pas résisté à la tentation de la serrer fermement entre mes doigts pour tester sa véritable grosseur.

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