Mon Apocalypse à Moi 01

Informations sur Récit
une apocalypse zombie peut être une sacrée opportunité
2.5k mots
4.04
18.3k
5

Partie 1 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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Tout le monde se souvient de son premier zombie. Certains malchanceux ont été confrontés à un groupe d’entrée. Ça a dû être dur pour eux, amis heureusement bref. Si l’on est pas préparé, c’est fatal. Moi, en fait,je suis prêt depuis tout petit. J’ai toujours détesté tout le monde, et depuis que je massacrais des petits animaux. Mon premier, c'était au supermarché. Je venais acheter des conserves et des bières pour le mois. Mon caddie était plein et je m'approchais de la caisse en préparant mon porte feuille. J’ai entendu un hurlement hystérique et j'ai vu une dame en robe à fleurs d'un certain âge et d’un bon poids égorger une caissière. Un policier arrivait en courant et il tira une balle en plein torse de la mégère homicide. Un geiser de sang jaillit sur le visage d’un monsieur qui s’effondra, sans doute évanoui. La grosse tomba sur son cul, puis se releva avec un grognement et empoigna le flic avec rage et voracité, lui ouvrant la gorge d'un coup de dents. Le défenseur de l'ordre s'effondra en dévoilant un sein laiteux et une totale absence de culotte. Les clients commençaient à paniquer et à refluer vers le fond du magasin. Moi, je compris tout de suite qu’une apocalypse zombie se produisait. Putain, j’avais regardé tellement de films traitant de cet événement, que j’etais ce qui pouvait s’apparenter à une forme d’expert. L’arme du policier avait glissé presque jusqu'à moi. Je me baissais pour la ramasser et me coulais jusqu'au corps du malheureux. J’empoignais l'automatique et osais avancer jusqu’au mort, déjà agité de convulsions. Je saisissais ses deux chargeurs d'avance dans son ceinturon et me dirigeais vers la sortie de secours. J'avais récupéré mon caddie, c’est pas tous les jours que l’on a une telle promotion. Le parking était un joyeux bordel. Des ombres titubaient derrière les clients affolés et s'abattaient à plusieurs sur les moins rapides ou les moins chanceux pour les dévorer. Un homme passait à côté de moi, poursuivi par deux folles dont l’une portait une robe légère déchirée qui laissait voir un sein bien rond. Quel dommage, vraiment. Je fauchais la jambe du mec qui s’effondra avec un cri. Je jetais mes emplettes au fond de ma camionnette tandis qu'il découvrait avec des hurlements l’affection dévorante au sens propre de ses nouvelles amies. Celle avec la robe légère dévoilait un cul juvénile et bandant avec une ficelle y traçant une trait esthétique et peu couvrant. Dans sa position, occupée qu’elle était à déguster les entrailles de sa victime, j’apercevais son trou du cul palpiter, comme s’il s’agissait d’une petite bouche qui répondait à la voracité de l’autre, la grande.
Je restais un instant à me demander si le virus zombie était une mst et si un rapport serait possible, quoique la fellation fut exclue, bien sûr. Un coup fit résonner l’habitacle. Une jeune fille paniquée tapait à ma fenêtre passager. Je débloquais la portière et la laissait monter et claquer derrière elle avant de verrouiller de nouveau. Évidemment, le bruit avait fait lever la tête de la jolie zombiette qui cherchait à discerner la provenance de ces bruits.
La minette déroulait une suite de phrases sur le siège passager. Il était question de sa soeur , de mon dieu mon dieu, et c’est horrible. Je lui fis signe de se taire et de passer à l’arrière. Le devant de son t-shirt était éclaboussé de sang, ainsi que son legging. Je lui chuchotais de se taire, et d’enlever son haut pour éviter la contagion. Elle se débarrassa de son top marqué”love” et de son legging bleu. Puis le soutien-gorge rose clair suivit les autres vêtements au fond de l’habitacle. À mon grand regret, sa culotte restait blanche, épargnée. Son mont de Vénus légèrement bombé la remplissait bien, et j'hésitais à lui enlever pour soulager l'érection qui grandissait dans mon caleçon. Mais je bruit du viol allait exciter les déments anthropophages qui erraient sur le parking.
Je m'approchais d’elle jusqu’à sentir sa poitrine contre mon torse.
-Tu t’appelles comment ?
-Christelle.
-Moi c'est Xavier.Voilà ce qu’on va faire. Tu ne vas pas bouger et moi non plus pendant une heure, le temps que le parking se vide. Ils ont pas l’air d’avoir une bonne vue. Et après, on se casse.
-D’accord. Murmura-t'elle.
J'avançais un peu mes hanches et elle frémit en sentant mon sexe durci sous mes vêtements. Sa respiration s'accéléra. Dehors des cris et des coups d’accélérateur se faisaient entendre, souvent suivi de bruits de collision et d'encore plus de cris. Elle sursautait à chaque nouvel ajout dans le pandémonium de bruits, à l’extérieur. Je souris en ouvrant ma braguette. Je lui détachais sa main de mon dos et la posais sur ma bite tendue.
-Tu sais quoi faire. Dis-je simplement.
Elle me regarda, les yeux perdus et brillants de larmes. Je la regardais avec des yeux durs. Elle referma sa main sur ma colonne de chair et commença un timide va et vient. J'étais excité, mais la caresse était inefficace. Je bandais dur mais ça n’allait pas suffire. Je caressais son petit cul rond par dessus sa culotte de coton. Et elle renifla pour étouffer un sanglot. La larme sur sa joue était ronde et belle, comme il sied à une jeune fille innocente obligée de branler un homme inconnu dans une camionnette entourée de zombies. J'explosai avec un râle étouffé, maculant sa cuisse droite d’une trainée gluante. Je me reculais et lui tendis un kleenex, qu’elle s’essuie. Peu après, je coupais par la pelouse nous séparant de la nationale pour nous emmener loin du parking. La radio diffusait des nouvelles alarmantes. Personne ne savait ce qui se passait, mais tout le monde avait peur.
Ma maison est à l'écart de la route et la haie d'épineux me gardait, derrière un grillage,de la curiosité malvenue des voisins et des démarcheurs. Je refermais le grand portail et la précédais dans l’entrée. Je lui donnais un t-shirt et un jogging avant d’aller chercher les courses. Je la retrouvais assise devant la télé où défilaient des reportages tous plus horribles les uns que les autres au sujet de la fin de la civilisation. Elle était fascinée, comme un lapin devant un serpent. Son esprit ne s’adaptait pas à ce que ses yeux voyaient. Elle picora son cassoulet. Elle but son yaourt avec davantage d’entrain. Puis elle m’aida à débarrasser.
-À poil! Ordonnais-je, quand elle se reposa sur le canapé.
-Mais… Commença -t' elle.
-Rien du tout.
-Je lui retirais son haut et ses seins pointaient avec le petit courant d’air. Je lui caressais par en dessous et elle frissonnait. Un des mamelons pointait plus que l’autre. Le gauche, si je me souviens bien.
Je me reculais d’un pas pour qu’elle puisse finir de se déshabiller.
J’en profitais pour ôter ma ceinture et ouvrir ma braguette.
-Ouvre la bouche. Dis-je.
Elle me regarda. J'étais entre elle et l'écran. Elle avait les jambes serrées et commençait à pleurer. Pourtant elle arrondit ses lèvres autour de mon gland quand je lui présentais. Je commençais à coulisser dans ce doux fourreau chaud. Elle avait des hauts le coeur lorsque je poussais vers sa gorge, mais je ne lui tenais pas la tête. Elle hoquetait et bavait. Je lui ordonnais de me flatter les bourses et elle commença à me caresser doucement les testicules. Après quelques minutes de ce traitement, je lui bloquais la tête et jouissais dans sa bouche soumise.
-Avale tout. Lâchais -je.
Elle déglutit avec difficulté. Je me reculais en me rajustant.
-Montre moi ta chatte.
Elle cachait son visage derrière ses cheveux qui tombaient jusque sur ses épaules. Elle écarta les jambes, exhibant une fente rosée dans une toison châtain clair comme des cheveux. Son sexe était un trait rosé qui rendait le tout comme une cicatrice.
-Merci , petite. Concluais-je.
Elle me regarda avec surprise.
-Je te protège de ce merdier. Tu me rends service en soulageant la pression. Je vais pas d'insulter en plus. Tu devrais prévenir ta famille.
-Ma mère ne répond pas à mes messages.
Elle habitait un quartier pavillonnaire de l'autre côté de la ville, et cet après-midi, elle était de sortie pour acheter des fringues dans la galerie du Leclerc où je me ravitaillais.
-Tu vas essayer avec mon fixe, le réseau mobile doit être saturé.
Elle hocha la tête. Je lui donnais le poste sans fil et partit dans la cuisine écouter sur le second téléphone.
Sonnerie, sonnerie, sonnerie. Ça décrocha. La voix était hostile. Elle bredouilla un salut à sa mère,et expliqua qu’un monsieur l’avait sauvée. La mégère au téléphone insinua qu’elle aurait préféré que Catherine s’en sorte, car c'était une bonne fille qui ne laisserait pas sa mère seule avec ce merdier. Christelle pleurait et disait qu'elle voulait rentrer. Sa mère lui cracha qu’elle allait voir ce que Roger allait lui passer si elle ne se grouillait pas de revenir. Et raccrocha. Je revins dans la pièce à vivre peu après. Elle me regardait avec des yeux de chien battu.
-Tu les as rassurés?
Elle hocha la tête.Ils vont venir te chercher?
-Non, dit elle d’une toute petite voix. Ma mère n’est pas très affectueuse.
Elle me débita l’attendu couplet sur sa mère méchante et son beau-père vicelard qui pourchassait ses belles filles, les obligeant à verrouiller leur portes de chambre. Elle avait surpris Catherine en train de le sucer devant un porno pour 50€.
-Catherine ressemble à ma mère,dit elle finalement.
-Ressemblait. Corrigeais je.
Elle ouvrit de grands yeux. Je remis la chaîne d'infos. Toujours les mêmes images. Je l’envoyais se doucher. Elle verrouilla la porte et j’entendis l’eau couler. J’ en profitais pour descendre à la cave. J’ouvrais mon armoire forte. Je caressais mon fusil à pompe et ma 22 de précision. J’avais autant d’armes que la loi française le permettait. Et des balles de chasse au sanglier. Largement de quoi exploser une tête.
Je remontais peu après que les bruits d'écoulement se fussent tus. Elle avait remis le t-shirt, et celui-ci adhérait à ses flancs avec l’humidité.
-Demain, je te ramène chez toi, dis je.
Elle ouvrit de grands yeux.
-Tu préfères aller ailleurs?
Elle laissa couler une larme. Mon dieu, qu'elles m’excitait, ces larmes de gosse.
-Si tu veux rester, je ne me contenterai pas de préliminaires. Tu es vierge?
Elle hocha la tête.
-Bien. Alors tu vas te caresser. Je ne veux pas te prendre toute sèche, ça va t'abimer.
Elle était perdue. Le monde s’effondrait et les repères avec.
-Relèves ton t-shirt.
-Maintenant ? Hasarda -t'elle.
-Oui. Tout de suite.
Elle leva le vêtement jusqu'à ce qu'il roule sur ses hanches. Puis elle hasarda une main fine dans sa légère toison. Son index coulissa le long de sa fente rose et elle commença à le faire glisser de plus en plus vite, avant de s'appliquer à titiller le bouton qui pointait au sommet de la vulve. Elle émit une sorte de toussotement en arrivant au maximum d’excitation, ses reins se cambrèrent, me montrant sa vulve ouverte et humide et la membrane rosée que j’allais détruire. Je m'étais complètement déshabillé. Je me plaçais à genoux entre ses cuisses que j'écartais encore davantage. Le gland rentrait bien. Je sentis une résistance. Je plongeais mon regard dans le sien. Elle ferma les yeux pour dissimuler sa terreur, mais je la sentais trembler Comme une biche aux abois. J’augmentais ma pression et plongeais dans le fourreau étroit de son sexe juvénile. Mon dieu, quel pied ces muqueuses inviolées et ces gémissements mêlés d’ halètements aigüs. Je sentais son jeune corps s'adapter au lien et augmentais le rythme de mes allers retours. Je vis qu'elle peinait à supporter le traitement que je lui infligeais et qu'elle tentait de me repousser en posant sa main gauche sur mon torse. Je l'écrasais alors de toute mon poids continuant à la pilonner de toute ma vigueur. Ses seins s'écrasèrent sur mes pectoraux. Elle gémit plus fort et je déchargeais avec un râle. Je restais planté en elle pour jouir encore un peu des palpitations de son vagin. Puis je me redressais.
Un filet de mucosités rosées par le sang de la défloration coulait goutte à goutte de sa fleur enfin éclose. Je lui tendis un kleenex, qu’elle s’essuie et me nettoyais moi même.
-Tu es une bonne petite fille. Nous allons bien nous entendre.
Elle grimaça un pâle assentiment.
Je désignais la télévision.
Ce merdier a l’air de s'installer. Il va falloir s'organiser.
-Qu' est ce qu' on va faire ?
-Tant que c'est possible, je vais prendre une douche. Tu devrais te laver la chatte, ça va brûler, sinon. Tu as un bidet dans la salle de bains.
Je profitais de l’eau chaude longuement. Elle se nettoya après moi. Je lui proposais de dormir avec moi. Elle hésitait visiblement. Je lui rappelais ce qui traînait dehors et que je prendrais une arme. Je plaçais l’automatique et ses chargeurs dans le tiroir de ma table de nuit. Je lui donnais un t-shirt à bretelles pour la nuit. Le tissus un peu lâche faisait un charmant décolleté rond. Le bord de ses pâles aréoles était visible. Je lui souris de mon sourire de loup. Elle eut un éclair de terreur dans les yeux. Je m'éveillais dans la nuit. J'avais entendu marcher sur la terrasse. Je me levais et marchais jusqu'à la fenêtre. Une ombre se déplaçait de manière erratique, en traînant une des chaises de jardin pliante avec sa jambe droite. Ce crétin ne faisait rien pour s’en débarrasser. Ce bruit allait attirer tous les crevés alentour. Il grognait, en plus, ce con. Je revins dans la chambre et décrochais mon arbalète du mur. Le carreau se ficha au dessus du front et il s'étala comme un sac de linge sale. Je ne le voyais pas bien, la lune n'était pas pleine. Au moins, il ne bougeait plus. J'avais ma petite idée sur son identité, mais cela demanderait vérification.
Christelle me regardait, embrumée, encore prise dans les limbes du sommeil.
-Un traînard sur la terrasse.
Elle hocha la tête.
-Mets toi à plat ventre. Et écarte les jambes.
Je me plaçais entre ses jambes et versais quelques gouttes de lubrifiant sur mon gland. Je me plaçais en position d'intromission et poussais. Cette position donnait une belle vue sur ses petites fesses. À la lumière de ma lampe de chevet je voyais les chairs roses et douces onduler comme une bouche autour de mon membre qui disparaissait par éclair dans le ventre, alors que j’accelerais mes va-et-vient. J’apercevais l’ombre de son anus serré, à peine visible dans la pénombre. Je maintenais une belle raideur mais mes réserves n'étaient pas pleines. Je la besognais brutalement un bon moment et la sueur traçait peu à peu un sillon brillant sur son dos. L’oreiller où elle enfonçait son visage étouffait ses cris, de plus en plus aigus et plaintifs. Alors que la sueur coulait sur ma nuque, je remarquais qu’elle se relâchait enfin, et que ses cris se raréfiaient. Ses jambes étaient moins tendues et elle devenait un peu inerte. J’effleurais son étoile secrète du bout du pouce et son sursaut d’horreur me fit partir. Peu, mais assez pour me soulager. Je me laissais rouler sur le dos. Elle se mit sur le côté. Je pensais à me servir d’un plug pour la préparer, mais j'étais crevé. Je m'endormis, en songeant que cette apocalypse commençait bien.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Excellente idée

Peut être inséré dans l histoire la sœur et sa meilleure amie. Qui elle comprenne que si elle veut vivre elle doit payer sa dette en nature

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Presque moyen, continue tu à une bonne idée...

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

L'histoire est bien mais ces gros pavés sont dures à lire. Et attention au passé simple.

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