La petite chienne de Maîtresse P. 18

Informations sur Récit
Gina passe avec succès le test de sa déchéance sexuelle.
3.5k mots
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3

Partie 18 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Une partie des convives s'était levée pour se diriger vers leurs véhicules et en revenir avec des sacs ou des valises, remplies d'habits, de sextoys et d'instruments destinés à des activités bdsm très eu innocentes. D'autres attendaient encore terminant une discussion autour d'un verre d'alcool, mais tout le monde fini par descendre dans le sous-sol.

Maîtresse vint me sortir du dessous de la table.

-J'imagine que tu as faim Gina? tu n'as pas mangé ce soir et ce n'est pas le sperme que tu as avalé qui va te rassasier.

-Non Maîtresse, effectivement j'ai faim.

-Il faut que tu prennes des forces pour cette nuit, vient avec moi. Elle m'emmena vers la cuisine, demandant à la cuisinière de me préparer une assiette avec les restes du repas du soir.

-Mange, je reviens d'ici 15 minutes. Normalement j'aurais du te mettre l'assiette par terre, pour te faire manger comme une chienne, mais je n'ai pas envie que tu ruines trop vite le maquillage de Judith alors assied-toi sur la chaise et mange comme une personne normale en attendant de redevenir chienne. Du reste il faudra refaire quelques retouches, les pipes sous la table n'ont pas arrangé tes lèvres. Je te veux sublime pour ce soir. On verra plus tard. Elle m'attacha la laisse au pied de la table, refermant l'attache avec le petit cadenas à code toujours accroché à la laisse.

Un quart d'heure plus tard, Maîtresse revint, j'avais terminé mon assiette. Elle détacha la laisse puis me demanda de la suivre, en me tenant bien en laisse tout en passant ostensiblement devant les convives. Elle m'entraîna vers les sous-sols, vers lesquels tout le monde se dirigeait. De nombreuses mains baladeuses en ont profité pour tâter mes jolies fesses pendant que nous descendions les escaliers. Arrivés en bas je découvrais un sous sol immense, avec de hauts murs. Cela ressemblait un peu au sous-sol du manoir de Maîtresse, mais en bien plus spacieux. Au bas des escaliers, de petites pièces aménagées, permettant aux gens de se changer, plus loin des chambres à thème, avec des lits recouverts de draps en latex ou en vinyle et pendus aux murs ou dans des étagères, tout plein d'instruments bdsm, des fouets, des cravaches, des paddles, de nombreux sextoys en tout genre. Finalement la cave s'ouvrait sur une très grande salle où les gens se réunissaient dans un premier temps, la salle était très cosy, avec de nombreux et très confortables sofas, des lits dont un recouvert d'un drap en latex, remplie également de nombreux instruments de torture, des cages, deux croix de St-André, des anneaux aux murs ainsi que pendus aux murs, d'innombrables sextoys et instruments de punition.

Les belles tenues très sexy des dames, du début de la soirée, avaient été troquées par des habits de circonstances. Certaines femmes étaient clairement devenues des soumises, avec des chaînes, des attaches, peu d'habits mais en cuir, très érotiques, révélant surtout beaucoup de peau et mettant bien en évidence leurs attributs faits pour être abusés. D'autres au contraire étaient clairement des Maîtresses, habillées avec des catsuit en cuir, portant des cuissardes, certaines très travaillées, à lacets et avec des ceintures, avec de très hauts talons aiguille aussi, des bustiers cuir ou même des corsets ceinturant la taille et relevant encore plus une poitrine visible, mais totalement inaccessible, une chatte cachée derrière un accessoire vestimentaire qui attire le regard mais la rend tout aussi intouchable. Certaines étaient déjà équipées d'un gode ceinture et/ou d'une cravache dans les mains ou accrochée à la ceinture, voire une casquette en cuir, façon militaire. Toutes les Maîtresses étaient terriblement bien maquillées affichant incontournablement un air sévère sur elles. Il en allait de même pour les hommes, certains étant visiblement des soumis, eux aussi vêtus de peu de chose, avec des chaînes, des lanières, des attaches, d'autres étaient des Maîtres souvent très très cuir. La plupart des hommes avait leur pénis à l'air, souvent déjà bien dressé. Tous avaient bien sur pris leur dose de Cialis, mis à disposition lors de l'apéritif. Si durant la soirée tous les convives étaient en couple, visiblement dans la cave, il en allait tout autrement le mélange des genres était différent, avec des Maîtres tenant en laisse des esclaves masculins et des Maîtresses avec leurs chiennes lesbiennes. Penser que la plupart de ces soumis et soumises étaient dans la vie normale des personnalités, souvent dirigeantes, avait quelque chose d'assez piquant.

Maîtresse était tellement habituée au lieu et à ses activités qu'elle ne faisait pas du tout attention. Un domestique de la maison lui avait apporté un joug ancien et lourd, qui ne détonnait pas parmi les nombreux instruments de torture et d'humiliation présents, dont les trois ouvertures (cou et poignets) étaient bien rembourrés et recouverts de doux cuir, ainsi qu'un banc molletonné recouvert lui aussi de cuir noir molletonné, disposé juste derrière. Après avoir retouché mon rouge à lèvre et mon maquillage, elle me fit me mettre à plat ventre sur le banc en cuir pour ajuster mon positionnement et poser mon cou et mes poignets sur les 3 demi ouvertures du joug ouvert par la moitié, avec le rabat tenu par une épaisse charnière. Le contact de la matière était doux et agréable, fait pour y demeurer de longues heures.

-Es-tu confortable me demanda-t-elle?

-Oui Maîtresse, ça va très bien.

-Il faut que tu te sentes bien car tu vas devoir rester longtemps, même très longtemps dans cette position ma belle salope.

Je lui répondis encore une fois que ça allait. J'étais bien installée. Le domestique régla finement la position du banc afin qu'il s'arrête exactement au niveau de ma taille et que mes jambes puissent se plier et appuyer par terre, tout en ayant le cou et les poignets installés et bien prisonniers du joug. Au bas du bac se trouvaient deux gros anneaux auxquels on attacha mes bracelets métalliques, m'immobilisant ainsi dans une position offerte, jambes écartées et cul ouvert. Pour parfaire le tout, on me glissa un coussin sous le ventre, ce qui eut comme effet de rehausser mes fesses et positionner mon anus pour faciliter son utilisation, tandis que mon clito était moins écrasé et que mes couilles pendaient sous mes fesses. Puis Maîtresse referma le joug et le bloqua par un cadenas. J'étais désormais prisonnière, pouvant à peine bouger ma tête, mes bras et mes jambes, désormais à la merci de tous ces pervers qui allaient abuser de moi cette nuit. On m'avait aussi placée dans un coin de la grande salle en ayant vue sur l'orgie sexuelle en préparation. Sur le montant du joug, était encore suspendu un flacon de lubrifiant et Maitresse avait poussé le vice en m'installant un gros bracelet en cuir autour du haut de ma cuisse, auquel était attaché avec une petite chaîne un plug anal bien installé dans ma chatte.

Maîtresse s'éloigna un court moment et revint avec une pancarte qu'elle me donna à lire, avant de l'attacher au joug, bien visible, un peu comme ces pancartes qui illustrent et décrivent un objet dans un musée.

Je suis Gina. J'ai 18 ans. Il y a 6 mois j'étais encore un garçon, aujourd'hui Maîtresse Irina a fait de moi une vraie femelle, sa petite salope et surtout la chienne esclave docile, sa propriété, physiquement et mentalement reformatée en parfaite petite pute dévoyée et salope dépravée.

Ce soir, Maîtresse veut me faire passer mon épreuve d'entrée dans le monde du vice, pour en faire définitivement et irréversiblement partie, comme jouet sexuel. Mon corps de petite chienne lubrique sera donc mis à votre entière disposition durant toute la nuit pour satisfaire vos plaisirs les plus pervers. Ma chatte et ma bouche sont à votre disposition pour être bien bourrées de vos plaisirs. Ma chatte a été lavée cet après-midi, l'intérieur est tout propre et prêt à accueillir votre sperme. Servez-vous donc de moi comme d'un objet, abusez de moi, humiliez-moi, dégradez-moi, rabaissez-moi, violez-moi, avilissez-moi, débauchez-moi, dépravez-moi, je suis faite pour ça et je suis ici pour apprendre à aimer ce que l'on veut de moi.

Ce soir je vais devenir une éponge à sperme et une lécheuse de chatte définitive, aidez-moi à réussir le passage.

PS, après utilisation de ma chatte, veuillez svp bien refermer le trou à l'aide du plug pendu à ma jambe, afin d'éviter que du sperme ne s'écoule et ne se perde inutilement.

Les dés étaient maintenant jetés, et les loups lâchés, j'allais devoir subir de multiples assauts et me faire remplir mon corps de la semence d'une grande partie de ces mâles en rut. Maîtresse m'avait informée qu'ici il n'y avait pas de capotes, tout le monde était testé et sain, le but étant que le sperme coule à flots dans les trous. Serais-ce un calvaire douloureux ou la prise de conscience définitive, excitante et heureuse de ma femelitude? je me sentais très exactement dans la peau d'un parfait objet sexuel que l'on mettait à disposition pour s'amuser avec, le salir, le souiller de tous ses trous et le dépraver. Mais j'avais été tellement conditionnée et préparée à cette idée que mon excitation prenait le dessus sur toute forme de honte et de culpabilité. Jusqu'à ce jour je n'avais été enculée que par la petite bite de Julien et par les godes ceinture de Maîtresse. Ce soir j'allais découvrir ce qu'étaient de vrais gros calibres, installés sur de vrais gros cochons injectant des litres de sperme dans mon ventre. Je ne vais pas m'étendre en détail sur chacun des nombreux viols que j'ai subis cette nuit. Le premier est arrivé à peine quelques minutes plus tard, il a exigé que je le suce pour commencer avant de me sodomiser proprement tout en me rabaissant copieusement avec des mots très crus qui l'excitaient, pour finalement revenir dans ma bouche pour le nettoyer. Quelle sensation de ressentir pour la première fois de ma vie ces puissants jets de semence chaude gicler et inonder mes intestins, c'était absolument jouissif. Il a du m'en mettre au moins un demi décilitre, que je ne pouvait qu'apprécier étant donné mon état d'excitation permanent provoqué par la surdose de cialis. Puis de découvrir le goût de mes intérieurs en lui nettoyant son membre. Au cours de la nuit j'ai compté 36 sodomies avec 32 orgasmes et 25 fellations suivies de 17 éjaculations. Pour les dames, 24 léchages de chattes ayant provoqué 10 orgasmes. Moi-même j'ai joui 4 fois en étant sodomisée pendant qu'on me trayait mon clito. Vers la fin j'ai quand même beaucoup souffert, ma chatte complètement démolie de tant d'intromissions brutales était en feu et ma position devenait de plus en plus inconfortable. Malgré ce que je vivais je me disais que je devais apprécier ce qui m'arrivait, que ce que je vivais était un moment unique dans ma vie, que dans le fonds c'était ce que je recherchais et qui me transformait définitivement en vraie femelle à bite.

Les hommes pouvaient jouir 4-5 -6 fois de la soirée, jusqu'à ne plus pouvoir, gavés de cialis eux aussi, allant sauter sur toutes les chattes, les culs ou les bouches disponibles. Les fouets et les cravaches ont rougis de nombreuses fesses, les machines à baise écartelé de nombreux culs et chattes, les nombreux appareils de torture et accessoires ont vu des châtiment corporels douloureux se transformer en jouissances masochistes intenses et les 4 jeunes filles n'ont pas non plus été épargnées, sollicitées en permanence, je dirais presque violées en étant pleinement consentantes. A peine une bite sortait de leur chatte ou de leur cul qu'elles attendaient un nouvel utilisateur pour s'y introduire et y décharger son plaisir. Elles avaient visiblement été bien entraînées, malgré leur très jeune âge, car elles savaient visiblement y faire avec les hommes et ne refusaient jamais rien de ce qu'on leur faisait subir ; de vraies petites salopes en chaleur prêtes à se faire mettre. J'ai même aperçu maîtresse en train de se faire sodomiser par Igor, qui en fut visiblement ravi.

Vers 4 heures du matin, l'ambiance d'orgie s'était calmée, les convives fatigués et alcoolisés. Beaucoup dormaient sur les canapés, enlacés, parfois en couples homo, souvent en couples échangés. Moi j'étais brisée dans mon joug, la chatte tellement douloureuse d'avoir été pareillement écartelée et limée, elle était comme incendiée, ma bouche douloureuse d'avoir été tellement écartelée, d'avoir tant sucé et léché, au goût de sperme, de merde et de pisse, certaines dames ne parvenant pas à retenir leur vessie en jouissant. Je devais avoir au moins 1 litre de laitance humaine dans mon ventre. Mon maquillage était complètement défait à cause des nombreuses faciales. Pourtant je ressentais encore une forme d'excitation et de contentement pervers d'avoir réussi cet examen de passage. D'avoir été violée pareillement, je me sentais définitivement femelle, surtout immensément sissy salope et définitivement addicte à la bite.

Maîtresse ne revint que vers 5 heures pour me délivrer.

-Alors ma belle, tu as bien supporté, tu as la chatte en feu? Il va te falloir plusieurs jours pour récupérer. Je vais te laisser tranquille un moment tu l'as mérité. Je te félicite, tu as été parfaite. Comment l'as-tu vécu?

-Douloureux bien sur, mais quand même bien Maîtresse, tellement j'étais toujours excitée de me sentir pareillement abusée, réduite à une fonction de parfait objet sexuel, de machine à dispenser du plaisir. Je ne voudrais pas recommencer demain c'est tout. Je sens aussi que autant mon estomac que mes intestins sont plein de sperme et je vous remercie pour m'avoir soumise à cette épreuve.

-Oui et je veux que tu gardes en toi toute cette semence, pour bien te sentir magnifiquement souillée dans tes tréfonds et t'y habituer, tu ne vas pas tomber enceinte ma belle... Je suis tellement heureuse que tu le prennes si bien Gina, tu es ma fierté. Mais ce n'est pas complètement fini, il reste encore un petit baptême à te faire passer.

Elle me détacha, j'étais complètement courbaturée et arrivais à peine à marcher tellement mon anus avait été démoli. Elle me tira par la laisse jusqu'à une petite salle annexe dans laquelle se trouvait une baignoire jacuzzi vide mais ayant visiblement servi au cours de la soirée, avec un reste d'eau au fonds. Elle me fit grimper dedans et me coucher sur le fonds. Puis elle se dirigea vers une dizaine de personnes qui tenaient encore debout, autour d'une table, en train de continuer à boire et à discuter. J'entendis Maîtresse s'adresser à eux.

-Chers amis, ma petite esclave que vous avez certainement toutes et tous bien troussée cette nuit, n'a pas complètement terminé son rite de passage, elle a encore besoin de passer son examen uro, des intéressés parmi vous?

Les dix se levèrent sans se faire prier.

-Bien clair que nous sommes preneurs, gavés de bière comme nous le somme, ça va sacrément gicler dit l'un d'eux.

Le groupe s'approcha du jaccuzzi en se répartissant autour, la bite déja à l'air. Deux femmes enjambèrent le rebord du jacuzzi pour positionner leur chatte au dessus de moi.

-Elle est à vous, souillez la copieusement.

Les hommes dirigèrent leur pénis dans ma direction et commencèrent à m'arroser de jets de leur pisse odorante, les femmes jouissant également du plaisir de m'arroser. Je fermais ma bouche et mes yeux. Soudain Maîtresse me parla sévèrement, visiblement contrariée.

-Ouvre la bouche Gina, tu ne vas quand même pas refuser un tel cadeau. Dix personnes qui t'arrosent de leur champagne c'est unique, tu dois en profiter, allez, montre moi le genre de salope que tu es devenue, ouvre la bouche et avale un peu de ce bon champagne pour petites putes lubriques.

Je savais que je n'avais pas le droit de refuser, j'ouvris donc ma bouche et de nombreux jets vinrent l'arroser. Je me forçai à avaler quelques gorgées du liquide âcre et amer, pour leur faire plaisir, sans m'étouffer. Peu à peu les jets se tarirent, laissant une belle couche d'urine au fonds du jaccuzzi. Plusieurs avaient sorti leurs téléphones portables pour immortaliser la scène. Maîtresse repris la parole.

-Maintenant je veux encore que tu te baignes et que tu te roules dans toute cette bonne pisse ma salope, roule-toi bien dedans afin qu'aucune partie de ton corps n'en soit privée.

Je me tortillais et me roulais dans toute cette urine odorante durant plusieurs minutes, pour le plus grand plaisir de tous ces immenses vicieux, moi partagée par un mélange explosif de honte, de dégoût et en même temps d'immense excitation de ce qu'on m'imposait de dégradant, me procurant ce sentiment d'incroyable plaisir à ma propre dépravation. Après une dizaine de minutes, Maîtresse mit un terme au jeu et renvoya les convives à leur table, non sans les avoir remerciés chaleureusement pour leur contribution à la déliquescence mentale de son esclave. Puis elle vida le jaccuzzi, me demanda de bien rincer le fonds et ensuite de me doucher durant au moins 10 minutes, à grand renfort de gel douche.

Une fois propre et essuyée, Maîtresse revint vers moi et il se passa quelque chose de très particulier. J'étais entièrement nue. Elle me pris dans ses bras, me serra longuement et tendrement contre elle, je ressentais quelque chose de fort venant d'elle, certainement quelque chose qui tenait de l'amour. Mais en tant que Maîtresse elle se garda quand même d'être trop familière. Pas de baiser mais elle me susurra à l'oreille :

-Tu as été merveilleuse ma Gina, je suis si fière de toi et de ce que j'ai fait de toi et de ce que tu es devenue. Tu as passé cette épreuve d'une manière que je n'aurai jamais imaginée, je m'attendais à ce que tu ne tiennes pas le coup, qu'à un moment tu te rebiffes, mais non tu es restée stoïque jusqu'au bout à te faire violer et inséminer sans limite. Je sais que tu as mal partout, maintenant tu es vraiment affranchie, tu es devenue une parfaite chienne lubrique, MA chienne lubrique. J'espère que cette expérience te restera gravée à jamais dans ta tête comme le moment de ton changement effectif de genre. Depuis ce matin, le garçon que tu étais n'existe plus, mais une femelle addicte à la bite et au sperme est née et l'a remplacé. Tu vas faire des malheurs lorsque nous reviendrons. Ces prochains jours je vais te laisser tranquille, tu le mérites, pour te permettre de récupérer des émotions intenses de ce soir. Dis-moi franchement, as-tu dans ta vie déjà vécu des sensations aussi intenses?

-Non Maîtresse, je dois vous avouer que ça restera gravé éternellement dans ma mémoire, tellement c'était puissant, mais autant comme un événement d'une intensité exceptionnelle que comme un espèce de traumatisme positif.

A partir de cette étape, ma relation avec Maîtresse a beaucoup changé. Certes elle était toujours la Maîtresse et moi alternativement son petit toutou ou son taureau, mais une certaine complicité s'était installée entre nous, m'amenant à me sentir en grande confiance envers elle. J'étais bien sur secrètement follement amoureux de ma Maîtresse mais j'avais l'impression qu'elle n'était plus du tout aussi indifférente à moi et qu'au delà des apparences de son rôle de Maîtresse, elle devait elle aussi éprouver des sentiments à l'égard de son toutou. Mais pour donner une image, cela s'apparentait beaucoup plus à cette forme d'amour que des femmes donnent à leurs petits chiens de compagnie adorés, auxquels elles tiennent et qu'elles choient comme leur petit enfant, qu'un amour entre êtres humains. Cela ne me dérangeait absolument pas et le sentiment d'être aimée comme une vraie petite chienne de compagnie contribuait à alimenter mon bonheur de soumise masochiste.

Je restais bien sur l'esclave, la petite salope dépravée, la chienne lubrique et masochiste de Maîtresse Irina. J'étais utilisée journellement pour calmer ses besoins de nymphomane, mise sous cialis, je devais subir régulièrement des séances d'entraînement bdsm dans le donjon, attachée et cravachée, punie, mise sur des instruments de torture. J'étais aussi régulièrement humiliée, Maîtresse aimait me montrer à quel point cela l'excitait de me voir dégradée, tenue en laisse, parfois obligée de manger à ses pieds dans une écuelle, lui lécher ses bottes, embrasser ses pieds, me faire étaler du sperme sur mon visage ou devoir boire son urine. Elle recevait aussi beaucoup plus et naturellement que j'étais mise à disposition de ses invités pour être utilisée sexuellement, souvent de manière brute, juste violée sur la table du salon, devant elle. En même temps Judith continuait de s'occuper de moi, surtout de mon habillement et de parfaire ma gestuelle hyper féminine dans les plus petits détails. Avec elle je devenais de plus en plus bimbo, cultivant cette attitude de « sissy bimbo brainless fucktoy », une bimbo salope et à laquelle on avait complètement vidé le cerveau et que je devais adopter désormais devant chaque visiteur. Judith m'avait même appris à dire des bêtises avec un air de parfaite nunuche en les imitant, pour faire croire à mon interlocuteur du moment que mon cerveau s'était déplacé vers ma bouche et ma chatte. Judith s'occupait aussi de ma taille, je portais désormais des corsets tous les jours et Judith les serraient un maximum. Ma taille s'affinait ainsi à mesure que la pression faisait remonter mes organes. Mon tour de taille avait perdu plus de 10 cm et je n'avais plus cette taille trop large d'homme qui est la signature de trop de travestie au look excessivement masculin. Au contraire ma taille affinée relevait encore mieux mes hanches et mes fesses.

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9 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Quelle belle nuit...un fantasme extra et un texte excellent,bravo

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Magnifique épisode !!

GinaputanaGinaputanail y a plus d’un anAuteur

Le salopard qui s'amuse à détruire la réputation des histoires a encore sévit cette nuit. Hier soir la part 18 devait être à 4.75 avec une douzaine d'évaluations, cette nuit elle à soudainement passé de 12 à 32 évaluations et la note tombée de 4.75 à 3.03. Idem pour la partie 19, avec une douzaine d'évaluation hier et qui en totalise soudainement 26, avec une note qui tombe à 2.38...Il s'agit clairement de malveillance intentionnée. Comme les commentaires sont modérés, j'en appelle au modérateur, qui me lit, pour que le site empêche ce genre de manipulations assez dégoutantes et qui ne motive pas à poursuivre la publication de nouvelles histoires.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Pour rebondir sur ce que dit trouchard, je suis persuadé de savoir de qui ça vient. Dans le top, un auteur sorti de nulle part, commentaires désactivés, avec un pseudo très ressemblant avec un auteur qui a déjà fait des siennes... Ange, quand tu nous tiens. 4.99, pretend-t-il être noté. Faut quoi dans la tête pour spam bot une texte érotique...

GinaputanaGinaputanail y a plus d’un anAuteur

Cher Anonyme du dernier message, un grand merci pour votre soutien, j'apprécie très sincèrement. Et vous souhaite également, ainsi qu'à tous les lecteurs une très bonne année 2023.

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