La petite chienne de Maîtresse P. 17

Voilà pour la théorie ma Gina, pour la pratique cela va se passer de la manière suivante. J'ai un ami assez bien nanti, qui fait partie d'une petite confrérie, il s'agit d'une sorte de confrérie de la perversité, un groupe de gros pervers, qui aiment s'amuser avec notamment des esclaves sexuels mis à leur disposition. Cet ami possède un petit château à une cinquantaine de kilomètres d'ici, où il organise régulièrement des soirées « particulières », toujours très chaudes. On y vient sur invitation expresse et en toute confidentialité, après avoir démontré sa capacité de discrétion et s'y être engagé sur l'honneur. Pour en faire partie il faut bien sur d'abord appartenir à un milieu aisé, avoir des relations au sein de la confrérie et surtout avoir un esprit disons très « ouvert » en matière de jeux et de perversions sexuelles. J'ai la grande chance d'en faire partie.

Demain soir je vais t'y emmener et te présenter à la confrérie, comme mon nouveau jouet, avant de te mettre à disposition des participants. Je vais te faire découvrir ce que c'est que d'être une vraie femme objet, totalement soumise et destinée uniquement à dispenser du plaisir aux hommes et aux femmes. Ce sera ton examen de passage. Ensuite je te familiariserai avec le milieu et te ferai devenir une participante très « active », si l'on peut dire, pour le plus grand plaisir des membres. Ce sont tous de gros pervers, qui recherchent toujours des sensations nouvelles, de la chair fraîche à inséminer et à maltraiter délicatement. Tu seras parfaite pour eux. Demain soir nous partirons vers 19 :00. Tu t'habilleras en conséquence, j'ai demandé à Judith d'y veiller. Sur place on servira d'abord un apéritif en extérieur, où les participants te découvriront, ensuite ce sera un repas, que tu passeras sous la table, en compagnie d'autres soumises, à administrer des gâteries aux convives pendant qu'ils mangent. Ça te permettra de commencer à t'habituer à avaler leur sperme, ensuite ce seront de nouvelles réjouissances mais je te réserve encore la surprise de ce que je vais te faire et que tu devras faire.

Il y avait tant de mystères, de surprises, probablement pas toutes agréables, mais de suggestion qui toutes excitaient mon masochisme latent, que cette nuit là j'eu de la peine à m'endormir, mon imagination galopante me gardant longtemps éveillée. Le samedi se passa comme d'habitude, plusieurs services à Maîtresse. Vers 16 :00 Judith vient dans ma chambre.

-Il est temps de te préparer pour la fête Gina, Madame m'a demandé de t'habiller en petite soubrette infiniment salope, elle veut que tu aies un look de vrai appel au viol, on va voir ça. Mais avant ça il faut que je te nettoie bien les intérieurs afin que tu soies propre pour la soirée. Elle me fit venir dans la grande salle de bain, où elle m'administra un premier lavement, avec 2,5 litres de lait tiède, que je dus garder douloureusement, le ventre gonflé, durant 10 minutes, avec interdiction de relâcher avant qu'elle m'autorise. Après ce temps je fus autorisé à évacuer le mélange de lait et de matières dans un puissant jet brunâtre et malodorant. Ensuite de ce premier lavement, il a fallu me « rincer , avec de nouveau 2,5 litres, cette fois d'eau tiède qui me mirent une nouvelle fois des coliques. Pour parfaire le nettoyage, Judith me fit me coucher sur le sol, puis me retourner sur moi même à plusieurs reprises. Après les 10 minutes, je pus à nouveau expulser le contenu de mes intestins, qui sorti légèrement trouble des restes de lait, mais sans matières. Finalement un 3ème rinçage pour voir sortir de l'eau claire. Après ce traitement, elle me fit retourner dans ma chambre pour commencer à m'habiller, selon les désirs exprimés par Maîtresse.

Mini jupe plissée accordéon ultra courte en latex noir, corset vinyle noir, avec soutien gorge à balconnet étriqué pour bien mettre en évidence ma poitrine ainsi que les mamelons en cours d'allongement par le dispositif d'étirement bien visibles. Les balconnets étaient simplement ouverts au niveau des mamelons pour laisser ressortir les extenseurs, ce qui en plus était du plus bel effet, par un "trou de 3 cm de diamètre. Ensuite le corset bien serré pour affiner ma taille, un petit tablier blanc en dentelles par dessus, un porte jarretelles avec bas résille à grosses mailles, des bottines à lacet montant aux chevilles couleur métal argent, compensées avec un talon de 20 cm (15cm de vrai talon) et bien entendu sans culotte, avec les organes à l'air pour être utilisés sans restriction. Judith saisit ensuite ma bite pour lui retirer la barrette du frenum et la remplacer par un anneau. Elle attacha la petite chaînette ad hoc à l'anneau qu'elle relia ainsi à ma bite, maintenue bien dressée, au piercing du nombril, le dispositif faisant office de ceinture de chasteté.

-Ce soir tu n'en auras de toute façon pas besoin. Elle suinteras bien toute seule avec tout ce que tu vas prendre et Madame aura largement de quoi satisfaire tous ses besoins avec tout ce qui trainera de queutards excités durant cette soirée et qu'elle ne laisse jamais indifférents.

Judith passa ensuite au maquillage.

-Madame veut que tu aies l'air d'une parfaite pouffe ce soir, donc un maquillage ultra épais, très artificiel et bien vulgaire. Elle plâtra littéralement mon visage d'une épaisse couche de fonds de teint, pour me donner une vraie peau de pêche, me fit des yeux noirs très profond, les paupières foncées, encore marquées par mon maquillage permanent du contour accentuant ainsi la profondeur. Des faux cils bien vulgaires aussi de 2 cm de long, épais et hyper chargés de mascara, un rouge à lèvre rouge vif, avec le contour de mes lèvres bien épaisses parfaitement dessiné d'un trait quasiment noir. J'avais exactement l'air qu'on voulait me donner, une parfaite pute prête à l'usage et qui n'attendais que ça. Par dessus elle me fit passer un long manteau en cuir noir très cintré et tenu fermé par une ceinture attachée, qui me donnait une dégaine d'enfer, avec long un zip courant du bas en haut, d'autant plus sexy que ma taille avait été passablement affinée depuis mon opération. J'étais prête à suivre Maîtresse.

Finalement Judith me fit encore avaler deux comprimés de Cialis.

-Ce soir Maîtresse veut que tu ne débandes pas, que tu puisses vivre ce moment en état d'intense excitation. Avec 60 mg de Cialis qui circuleront dans tes veines, tu devras être prête à ça. Une fois de temps en temps ne devrait pas te faire trop de mal, et surtout la moindre pensée érotique, la plus petite excitation et tu te retrouveras raide et dure comme un morceau de bois..

Judith me demanda de descendre au salon où Maîtresse m'attendait. Habillée pour l'occasion classe, mais quand même limite provocatrice, avec toujours une paire de belles cuissardes en cuir noir, sobres, sans décorations, un pantalon en cuir stretch très lisse et hypermoulant et un joli bustier bien échancré, supportant sa poitrine abondante. Elle aussi avait un magnifique manteau en cuir noir, s'arrêtant à 5 cm du sol.

Mon manteau n'était pas fermé. Maîtresse écarta un des pans pour me jauger de haut en bas.

-Parfaite, tu es parfaite ma Gina, exactement comme je le voulais, sexy et bien vulgaire à souhait, les habits de soubrette sont sublimes et te vont à merveille et ton maquillage de pute, difficile de faire mieux. Judith merci, tu es vraiment bonne.

Judith acquiesça, manifestement heureuse du compliment.

-Allons-y fit Maîtresse en me prenant par le bras, à demain Judith, passe une bonne soirée.

-Merci Madame, vous également.

Nous partîmes avec la Rolls, conduite par Julien. Au bout d'une demi-heure, après avoir emprunté un chemin de campagne nous arrivâmes devant un beau château, entouré d'un grand parc sur lequel étaient déjà stationnés de nombreux véhicules. Devant l'entrée se trouvait une tente blanche sous laquelle de belles jeunes filles très sexy servaient des apéritifs aux convives. Une quinzaine de couples se trouvaient déjà là, toutes les femmes habillées les plus sexy les unes des autres, les hommes plutôt costume cravate chic.

Maîtresse se dirigea immédiatement vers le Maître de maison qu'elle aperçu pour le saluer.

-Bonjour Igor, comment vas-tu?

-Bonjour ma chère Irina, très bien merci, décidément, comme toujours je vois que tu es très en beauté ce soir, vraiment sexy. J'espère que tu me donneras l'occasion de t'honorer lui dit-il sans aucune gêne.

-Tu n'auras qu'à me trouver quand je serai disponible lui dit-elle. Mais tu sais déjà que j'aime ta belle grosse queue, même que j'en raffole, donc tu ne devrais pas avoir trop de difficultés...

Ce début de conversation s'arrêta là.

-Mais dis-moi qui est cette magnifique petite chose que tu nous amènes avec cette jolie laisse ce soir. Elle est sublime.

-C'est Gina, ma nouvelle sissy esclave, il y a 6 mois c'était encore un garçon timide, aujourd'hui regarde la belle salope que j'en ai faite.

-Incroyable, tu me bluffes, je n'aurais jamais imaginé que c'était une trans. Elle est tellement femelle. Joli travail, félicitations.

-Oui je suis assez fière du résultat et aussi heureuse, elle est vraiment faite pour ça, du reste je reconnais qu'elle y a aussi mis du sien et accepté avec complaisance beaucoup de choses que d'autres auraient refusé. Elle est encore sous hormonothérapie, mais tu peux voir que je lui ai déjà installé une belle paire de miches, avec de très jolis extenseurs à tétons. Elle passa sa main derrière le manteau pour l'écarter un peu et lui montrer les extenseurs qui sortaient des balconnets et laissaient dépasser les deux tétons bien étirés et qui désormais atteignaient les 3 cm.

-Décidément tu ne manques pas d'imagination pour rendre tes filles encore plus sexy et désirables, le dispositif est magnifique.

-Oui, un ami m'a encore glissé une idée que je vais lui faire subir tout bientôt, je veux lui faire remplir les tétons avec de l'acide hyaluronique pour les lui durcir et faire en sorte qu'ils restent dressés et gonflés en permanence et j'espère hypersensibles. Mais je l'utilise principalement pour soigner ma nymphomanie, c'est une merveille. Et regarde, elle est particulièrement bien dotée.

Maîtresse souleva ma jupette pour lui montrer ma bite complètement bandée à cause du Cialis et attachée par la chaînette au nombril.

-Oui, je vois, joli calibre en effet et joli dispositif de chasteté aussi, ça me donne des idées. Mais avec l'hormonothérapie, elle n'a pas de baisse de régime?

-Non, car Charles est génial, il la traite avec un mélange d'hormones adaptées, qui tout en la féminisant, lui permet de conserver sa virilité. Elle me baise 6-7 fois par jour, je lui permet en général une jutée par jour, ça la vidange un peu. Pour le reste elle n'a pas le droit de jouir. Et elle est sous 20mg de Cialis tous les jours.

-Je n'ai pas de mot pour te féliciter, sacré beau résultat ma belle.

-Merci Igor, ce soir je vous l'amène pour son baptême de la dépravation. J'ai attendu qu'elle soit parfaitement prête pour lui faire vivre ce grand moment lors d'une occasion, plutôt que de l'habituer peu à peu à la débauche. Je veux que ça soit brutal, que ça l'imprègne profondément, qu'elle vive ce moment comme unique , comme un rite de passage qui restera gravé dans son cerveau pour le restant de ses jours. Il y aura pour elle un jour « avant » et un jour « après ». Et après ne sera plus jamais comme avant pour elle. Je veux qu'elle découvre ce soir qui elle est au fonds d'elle même et ce pour quoi elle est faite. Je veux vous la mettre à disposition ce soir pour que tout le monde puisse en profiter, l'utiliser comme un vulgaire morceau de viande à sexe, la gaver de semence, l'avilir et lui montrer ce que c'est véritablement que d'être une pute, une salope, une esclave, une chienne à bite, le résultats de 6 mois de dressage et de formatage. Elle a aussi un côté masochiste, donc profitez, je n'entrevois pas de révolte de sa part, bien au contraire, elle devrait même beaucoup apprécier d'être ainsi dévergondée, débauchée, dégradée et avilie jusqu'au plus profonds de ses tripes.

-Joli programme, demande-moi donc tout ce dont tu auras besoin pour qu'on puisse l'utiliser, ce sera avec plaisir.

-Je pense qu'il me faudra un de tes jougs.

-Pas de problème, ce soir en bas tu n'auras qu'à en réserver un.

-En attendant Igor, pour la faire connaître par tout le monde, je te propose de la mettre au service. Elle pourrait circuler entre les convives avec une bouteille de Champagne et remplir les verres. Il faudrait aussi que les gens sachent qu'ils peuvent déjà la tripoter lorsqu'elle passe vers eux.

Igor appela un serveur qui devait gérer le service et lui donna des instructions. Moi j'écoutais ce qu'on disait. La manière dont on parlait de moi, comme d'un vulgaire objet à qui l'on promettait une soirée de tous les excès, cette discussion déclenchait invariablement ce mélange de peur dans le ventre, paradoxalement tellement bienfaisante avec cette incroyable excitation masochiste en même temps. A la moindre évocation sexuelle, au moindre attouchement, ma bite gonflait et devenait dure comme un roc, raide, appuyée contre mon ventre, attachée à la chaine du nombril, qui s'était complètement détendue. Mon cœur battait la chamade et la chaleur montait dans ma tête, sans doute l'effet de trop de cialis, mais dans le fonds j'attendais avec impatience de vivre ce qu'on m'annonçait indirectement, tout en sachant que tout ne serait probablement pas une partie de bien-être, mais que mes plaisirs de soumise seraient au rendez-vous. Le serveur s'approcha de moi et me dit :

-Viens suis-moi.

Il se dirigea vers la table faisant office de bar, me donna une bouteille de champagne.

-Tu vas passer vers les invités et leur demander poliment s'ils souhaitent compléter leur verre.

Puis je vis Igor se rapprocher de quelques couples, pour leur passer le message de ne pas se gêner de me tripoter, sachant que dès que d'autres verraient des mains baladeuses glisser sous ma jupe ou tripoter vicieusement ma poitrine, ils ne se gêneraient plus de faire de même. Je vis aussi que Maîtresse s'arrêtait vers de nombreux couples pour les saluer et qu'elle parlait visiblement beaucoup de moi. Cela n'a pas manqué, dès que je m'approchais d'une personne ou d'un couple pour leur proposer du champagne, j'avais droit à un commentaire salace, avec une main qui glissait sous ma jupe et caressai mes fesses, tripotait mes couilles, si ce n'était pas une petite tapette. Il faut dire que ma laisse, qui pendait sur le côté, ne laissait guère planer de doute sur mon statut. Je n'étais déjà qu'un simple objet de plaisir pour eux tous.

Sur les 20 :00, Igor convia les invités à rentrer et se rendre dans la grande salle pour le dîner. La salle était très grande, avec une très longue table, magnifiquement arrangée posée au milieu de la salle. Il y avait une vingtaine de couples qui prirent place, 10 de chaque côté. Les femmes exhibaient beaucoup de cuir, de faux-cuir, moulant , en minijupe ultra courte, avec un porte jarretelle bien visible, des talons très hauts, souvent un bustier montrant une belle poitrine, ou un leggings brillant recouvert d'une paire de belles cuissardes, chacune rivalisant d'érotisme. Maîtresse vint me chercher, pendant que le serveur amenait les 4 filles du service, toutes quatre visiblement très jeunes j'aurais dit dans les 16 ans, peut-être moins. Le serveur les fit passer sous la table, en même temps que Maîtresse faisait de même avec moi. Nous étions donc 5 et avions chacune 4 couples à nous occuper. Nous reçûmes comme instruction de nous occuper d'eux, de sucer les messieurs et de lécher les dames. Le jeux était de les amener à l'orgasme, qui devait être vécu et bien montré aux autres convives lorsqu'ils joussaient. Et nous comme instruction de tout avaler et de ne rien perdre.

Les filles avaient droit à un concours duquel j'étais exclue. Celle qui arrivait à cumuler le plus d'orgasmes, hommes et femmes compris, serait libérée, les autres devraient participer aux réjouissances de la nuit. Finalement c'est moi qui gagnai le concours, avec 10 orgasmes et mon ventre déjà plein de sperme et donc aucune des filles ne fut libérée. J'aurais sans doute pu arriver à plus, mais je suspectai que certains mâles voulaient conserver des réserves pour la suite de la soirée et ne pas gâcher leur stock trop vite...

Le repas se poursuivit jusqu'aux environs de 22 :30, lorsque Igor, en bout de table, pris la parole.

-Mes chers invités, chers amis, j'espère d'abord que ce repas vous a convenu, il est temps de passer aux autres réjouissances, celles pour lesquelles vous êtes ici. Je vous propose de vous déplacer gentiment vers le donjon, vous connaissez le chemin. Ne vous précipitez toutefois pas toutes et tous en même temps, car il n'y a que 4 salles pour vous changer. J'ai une communication à vous faire. Notre amie Maîtresse Irina nous offre ce soir un cadeau spécial. Vous avez toutes et tous aperçu la jolie petite soubrette qui a contribué aux divers services ce soir...il s'agit de la nouvelle esclave de Irina. Sachez qu'il y a encore 6 mois, c'était un garçon timide. Elle en a fait une vraie petite salope, une adorable petite pute, totalement dévouée aux plaisirs pervers, soumise et qu'elle espère faire devenir bientôt une vraie droguée du sexe. Ce soir c'est son examen d'entrée dans notre monde, avec sa fonction d'objet sexuel à laquelle la destine notre amie. Elle sera donc mise à votre entière disposition pour toute la nuit, vous pourrez en user, en abuser, la violer, l'humilier. Maîtresse Irina m'a confié qu'elle lui a révélé et développé encore un côté très masochiste, qui devrait grandement faciliter encore l'acceptation de tous les actes dégradants que vous pourrez lui infliger au cours de la soirée.

Vous aurez aussi à votre disposition les quatre jeunes filles que vous avez vues et qui vous ont servi l'apéritif ce soir, et donc de la bonne chair et de la chatte très jeune et très fraîche. Elles sont très jeunes, mais déjà très au fait de nos plaisirs et parfaitement adaptées. Elles ont été éduquées par une amie qui me les met à disposition ce soir pour votre plaisir. N'hésitez pas à vous en servir, elles ne sont pas farouches et savent déjà parfaitement se comporter et offrir aux hommes (et aux femmes) tout ce qu'ils peuvent espérer, faites pour donner du plaisir et être de parfaites petites chiennes à sexe. (J'avais entendu parler de ces fermes d'élevage où l'on forme et programme de très belles jeunes filles, souvent orphelines et enlevées, à devenir du pur matériel sexuel destiné à être utilisé au plaisir des hommes et qui les mettent à disposition pour ce genre de soirées, des jeunes filles tellement parfaitement conditionnées durant des années qu'elles ne connaissent rien d'autre de la vie que de mettre leur corps à disposition des bites, autant pour en jouir elles-mêmes, que de donner de la jouissance et qui ne savent rien faire d'autre. Sans doute provenaient-elles de ce genre d'établissement dont faisait référence Igor). Elles sont équipées de 3 belles ouvertures parfaitement fonctionnelles, douces, humides et tièdes et en total libre service. Sachez encore qu'elles ont déjà été stérilisées, de manière à pouvoir les utiliser sans le moindre risque de les mettre enceintes. Et toutes sont certifiées avoir plus de 18 ans...Voilà, je vous souhaite de vous amuser ce soir et d'avoir un maximum de plaisir et d'orgasmes, nous sommes ici pour ça. Bonne suite de soirée mes amis.

J'écoutais et surtout je buvais ses paroles, toujours excitée lorsque l'on évoquait des situations très vicieuses. Je me demandais aussi si les jeunes filles étaient vraiment majeures, ce dont je doutais. A force de les observer, je les voyais comme des filles plus jeunes, qui avaient mûri trop vite et qui se donnaient des airs de grandes filles. Et donc que leur éducation avait sans doute commencé au tout début de leur puberté pour en faire de jeunes esclaves sexuelles. Mais bon Igor a dit qu'elles avaient 18 ans.