La petite chienne de Maîtresse P. 02

Informations sur Récit
Un ado indolent et sans ambition se laisse soumettre.
1.8k mots
4.03
7k
2

Partie 2 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je passai les jours suivants encore une fois dans un état de fébrilité totale, peinant à cacher à ma mère les émotions qui me taraudaient le ventre. Je ne lui dis rien bien sûr. Elle devait s'imaginer que j'avais fait une rencontre, mais bien évidemment pas celle qui occupait pareillement mon esprit. Mais comme nous ne parlions presque plus...

Je passais le plus clair de mon temps dans ma chambre, avec la page des messages du site de rencontre ouverte sur mon ordinateur, attendant chaque seconde cette réponse qui n'arrivait pas. Je commençai à désespérer lorsque le mercredi matin, le message arriva.

Bonjour Michel, j'espère que tu vas bien et que l'attente ne fut pas trop longue (elle me tutoyais désormais). Voilà, après mûre réflexion, j'ai décidé de retenir ta candidature. Tu sembles parfaitement me convenir, mais bien sûr j'ai besoin encore de te tester un peu (même beaucoup...) plus, pour savoir si tu pourras t'adapter à mes besoins et mes exigences, sans trop penser aux tiennes dans un premier temps. Si tu es toujours partant pour poursuivre, je te demande de venir samedi à Lyon, gare Part Dieu. Tu pourras rester le week-end. Il y a un train qui quitte Genève à 11:30 et arrive à 13:26 à Lyon. Julien sera là pour t'attendre à la sortie de la gare. Je possède une Rolls Royce vintage grise, tu ne pourras pas la manquer. Confirme-moi que tu es toujours disposé et que tu viendras.

Ma réponse ne se fit guère attendre, je lui répondis dans la minute que je viendrai samedi à Lyon. J'avais trop envie de voir ce qu'elle attendait de moi et cette femme m'attirait tellement que je me sentais déjà incapable de lui résister.

Le reste de la semaine passa à m'imaginer beaucoup de choses, à attendre fiévreusement le samedi matin. Ce jour là ma mère travaillait, je lui laissai un petit mot sur la table. « Je suis loin pour le week-end ». Je me rendis à la gare de Lausanne, pris un billet pour Lyon et arrivai exactement à l'heure prévue. Je sortis de la gare et sur un parking j'aperçus la Rolls Royce, avec Julien debout à côté qui m'attendais, dans un uniforme de chauffeur.

-Bonjour Julien, comment allez-vous?

-Bonjour Michel dit-il, toujours droit dans ses bottes et sans rien dire de plus. Il m'ouvrit la portière. Entrez je vous prie, Madame vous attends, mais je dois vous demander votre téléphone portable que je vous restituerai lors de votre retour, ne vous inquiétez pas.

Avec un peu de mauvaise grâce je le lui tendis.

-Merci, furent ses seules paroles. Nous partîmes, moi assis à l'arrière dans cette Rolls Royce vintage, conduite par un vrai chauffeur. Rien que cette image me disait que j'étais en train de vivre un moment assez particulier. Nous quittâmes Lyon. A la faveur d'un parking, Julien s'arrêta et passa à l'arrière.

-Madame veut assurer son anonymat pour le moment, je dois vous passer une cagoule pour vous éviter de voir le chemin.

Sur ce il me passa une cagoule en cuir, qui occultait totalement ma vision.

-Je vous la retirerai d'ici un moment, lorsque vous ne serez plus en mesure de reconnaître les lieux.

Julien roula encore une trentaine de minutes sans que je ne puisse rien voir. Nous prîmes visiblement un bout d'autoroute que nous quittâmes. Peu après il s'arrêta pour me retirer la cagoule. Nous étions sur une petite route nationale, en pleine campagne.

-Voilà, plus de danger désormais.

Julien repris la route, roula encore une quinzaine de minutes avant de bifurquer à droite sur une petite route pénétrant dans une forêt. L'endroit était collineux. Au bout de quelques centaines de mètres, il s'arrêta devant une grande grille, prolongée de chaque côté par de hauts murs. Sa télécommande ouvrit la grille. Au bout de l'allée se trouvait une belle maison carrée, façon petit manoir, entourée d'un très beau parc. Visiblement Lady Irina devait avoir des moyens.

Julien m'ouvrit la porte et me demanda de le suivre. L'entrée se trouvait au haut d'une dizaine de marches d'escalier. Une gouvernante ouvrit la porte, sans dire un mot et me conduisit dans un grand salon, occupant l'aile gauche du château, magnifiquement décoré dans un style ancien quand même un peu kitsch pour moi. Lady Irina m'attendait, toujours habillée dans du cuir, aussi parfaitement hyper sexy qu'à Lausanne.

-Ah notre petit Michel, bonjour, j'espère que tu as fait bon voyage, bienvenue chez Lady Irina. Un petit whisky?

-Bonjour Madame, volontiers dis-je avec peine, toujours en proie à une intense émotion que me causait cette femme impressionnante.

-Détends-toi, tu me connais désormais.

-Oui Madame.

La gouvernante apporta un verre de whisky et un petit bac de glaçons puis se retira sans dire un mot.

-Merci d'être venu. Alors voilà, je te propose de rester jusqu'à demain, ensuite nous pourrons discuter d'une éventuelle suite. Mais une chose compte pour moi avant tout. Je dois m'assurer que tu es sain. Elle appela la gouvernante avec une sonnette.

-Judith faites-lui une prise de sang et donnez l'échantillon à Julien, qu'il l'apporte immédiatement à mon amie la doctoresse à la clinique.

Judith arriva avec un équipement d'infirmière, me piqua dans l'avant bras gauche et recueilli un échantillon de sang. Elle se retira ensuite.

Entre temps je voyais Lady Irina commencer à se caresser la chatte à travers sa mini en cuir, sans aucune gêne et à se laisser aller à exprimer des gloussements d'excitation.

-Je t'ai dis que je suis nymphomane, je vais avoir besoin de toi de suite. As-tu déjà léché une chatte?

-Non Madame

-Eh bien ce sera une première, tu vas y goûter et surtout y prendre goût. Je vais te vider et t'assécher tes grosses burnes ce week-end, voir ce que tu vaux comme bull. Viens!

Elle retroussa sa mini en cuir, ne portant aucune petite culotte ou string, sa chatte parfaitement rasée et déjà suintante d'envie. Moi de mon côté il ne m'en fallait pas beaucoup plus pour me retrouver raide comme un morceau de bois. Elle saisit ma tête et me l'attira entre son entrejambe. Je découvrais l'odeur poignante, animale et surtout nouvelle d'une chatte en demande.

-Vas-y mon bull, lèche ta belle Maîtresse, donne lui du plaisir. Lèche moi doucement, avec la pointe de ta langue, explore ma chatte, découvre là.

Je commençais à lécher, apprenant très vite sous sa direction, m'indiquant comment faire, lécher son clitoris dur que je découvrais, ou insinuant ma langue entre ses lèvres, m'apprenant à mordiller délicatement son petit bouton devenu tout dur. A mesure que je m'excitais et me laissais aller, le goût salé et en même temps acide de sa chatte, qui au début me rebutait, devenait de plus en plus excitant. Il me fallut très peu de temps pour m'y habituer. Au bout d'un moment elle repoussa ma tête.

-Très bien pour un début, je suis certaine que tu feras un très bon lécheur, mais là j'ai besoin d'un orgasme. Tant que je n'ai pas le résultat de l'analyse sanguine, tu me baiseras avec une capote. Une fois que je te saurai sain, nous changerons les règles. Elle pris un préservatif posé à côté, ouvrir le sachet et me le déroula sur mon membre qui ne faiblissait pas, puis elle prit deux coussins qu'elle déposa par terre afin de m'y agenouiller confortablement. Ensuite elle se positionna afin que je puisse la prendre et la baiser, déjà très excitée.

-Vas-y, viens dans moi mon petit salaud, baise moi bien, bourre-moi j'adore ça, fais moi jouir et ensuite tu pourras toi aussi. Je veux du sexe, du pur sexe, rien d'autre, tu comprends, pas de sentiments, pas de tendresse, du sexe, rien que du sexe et du pur plaisir.

Je la pénétrai sans aucune peine, tant elle était déjà bien lubrifiée, puis sans attendre je commençais à la besogner sans aucune tendresse, à la limite de la brutalité, comme elle me l'avait demandé. Elle aimait ça.

-Oh que c'est bon mon petit bull, vas-y bourre-moi encore, avec ta si belle bite, quel bonheur de te sentir long, large, chaud et si vigoureux. Quel bonheur d'avoir une belle bite de bull et pas ces sextoys de merde. Je crois qu'avec toi j'ai fais le bon choix. Continue.

Je la sentais monter très vite. Il ne lui fallut que quelques minutes pour s'offrir un orgasme dévastateur, tout son corps agité de spasmes incontrôlés, elle hurlant son plaisir durant d'interminables secondes, jusqu'à ce qu'elle retombe, épuisée et comblée. Je restai en elle, à la limite moi aussi, mais je m'étais retenu. Je n'avais jamais été témoin d'un orgasme aussi violent, mes rares petites amies d'occasion étant si souvent craintives. Là elle s'était lâchée et m'avait tellement bien mis en confiance. Elle reprenait peu à peu ses esprits.

-Ouahh, t'es vraiment un champion, ça fait une éternité que je n'ai plus jouis ainsi. Décidément il me faut une vraie bite. Allez, offre-toi ton plaisir maintenant. Elle se positionna de manière à m'offrir la meilleure position et de sa main gauche et se mit à caresser mes testicules d'une main et me pomper la bite de la droite. L'effet fut ravageur. En quelques minutes mon plaisir monta et à mon tour je vécu un orgasme exceptionnel, remplissant ma capote de crème blanche. Sitôt terminé elle se dégagea, retira ma capote et admira la quantité de sperme.

-Eh bien mon petit salaud, je vois que tu es aussi sacrément productif. Je me demande combien de temps tu seras capable d'en produire. Je vais me faire un plaisir de te vider totalement ce week-end.

Lady Irina appela ensuite sa gouvernante en sonnant une clochette. Elle arriva dans les secondes, visiblement conditionnée à obéir.

-Oui Madame?

-Judith, conduis Michel à sa chambre.

-Suivez-moi jeune homme me dit-elle.

Nous montâmes à l'étage. Elle se dirigea vers une porte qui s'ouvrait sur une grande chambre. Mes yeux s'écarquillèrent de surprise et d'admiration. La chambre était très grande, au bas mot 30 m2 et surtout parfaitement équipée de tout ce dont un addict aux jeux vidéos pouvait rêver. Un immense écran incurvé pour gamer était posé sur un grand bureau avec un PC haut de gamme qui devait "ouvrir" un maximum. Il y avait aussi un grand sofa en cuir donnant sur un écran TV géant de 98 pouces accroché au mur, également branché sur 3 consoles de jeux différentes, une playstation Sony, une Xbox et une Nintendo. J'avais le choix. A côté une petite table avec deux chaises, une grande armoire et un grand lit double. Dans un coin au fonds de la pièce se trouvait encore un petit WC. Il y avait de quoi se dire que c'était l'endroit d'une vie de rêve, comme je me l'imaginais. Curieusement au dessus du bureau, attachée au mur, se trouvait une espèce de lampe rouge, un peu comme une lampe d'alarme ainsi que plusieurs cameras de surveillance attachées au plafond.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Michel est un "bon' garçon...

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Clémence, une jeune Aristo (02) 7 ans déjà, les retrouvailles
Mauvais Flics Succession d'histoires brèves.
Clémence, une jeune Aristo (01) Une prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élève.
L'Invitation Une jeune femme reçoit une bien étrange invitation.
Madeleine Se Réveille Madeleine tente de Faire de son mari un sex-toy sans limites.
Plus d'histoires