La Guêpe

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

«Je vais devoir travailler un peu d'avant en arrière pour appâter la guêpe.»

Le Docteur pompait de plus en plus profondément, le miel se mélangeait aux jus de la femme, le vagin commençait à produire des bruits de succion. Il n'était plus nécessaire de tenir la chatte ouverte et Véronique a levé lentement ses bras et les a placés sur les bras du docteur.

Elle se sentait très proche du Docteur maintenant, et si le mari n'avait pas été là, elle se serait laissée aller à un comportement beaucoup moins passif. Mais Kevin restait penché, les mains sous les fesses de sa femme, hypnotisé par le monstrueux mandrin qui épanouissait la petite chatte de sa femme. Son érection était revenue, et il était à présent dur comme un roc à la vue de ce spectacle.

«Est-ce que tout va bien, Véronique?» demandait son mari. Il voyait le corps de sa femme trembler et s'inquiétait.

« Je ... Oui ... Ça peut aller...»

«Si c'est trop douloureux, nous pouvons chercher un autre moyen.»

Mais Véronique n'avait aucune envie d'arrêter maintenant, pas avec les sensations qu'elle ressentait au fond de son ventre. Elle en voulait plus, elle en voulait encore. Elle éprouvait l'intense désir d'enrouler ses bras et ses jambes autour du docteur, de le presser contre elle et de l'embrasser en s'abandonnant à la montée du plaisir qui lui creusait les reins.

«Oh, c'est très intense!» Dans son excitation, elle avait déliré à haute voix, quelques mots que son mari n'aurait pas dû entendre. Elle avait oublié la guêpe, mais devait jouer son rôle. Véronique employa son regard le plus inquiet pour regarder les yeux de son mari. Il était toujours penché sur elle, les mains coincées sous ses fesses. Véronique sentit qu'elle avait besoin de dire quelque chose:

«Ça fait un peu mal, Kevin, mais nous devons sortir cette guêpe, je suis sûre que ça marchera, chéri, faisons confiance au bon docteur, il sait ce qu'il fait.»

Le libidineux docteur s'immisçait plus profondément en elle à chaque coup. Leurs jus se mêlaient au miel, lubrifiant parfaitement le conduit. Véronique n'aurait pas dû faire ça, mais elle ôta ses pieds des étriers pour enrouler ses jambes autour des hanches du docteur. Ce faisant, elle a libéré les mains de Kevin coincées sous ses fesses.

Elle doit s'habituer, pensait-il. Mais la position adoptée par sa femme lui plaisait guère.

Le mari jaloux s'exclama nerveusement: «C'est assez profond!»

«Eh bien, Kevin, voyez-vous, tant que je n'ai pas touché la guêpe, je continue de m'avancer.»

À ce moment-là, Véronique vint au secours du médecin: «Oui, chéri, il doit aller plus loin, pour être sûr.»

Kevin n'était pas en état de discuter avec sa femme devant le docteur:

«Je suppose que nous devrions le laisser aller un peu plus profond.»

A ce moment-là, une infirmière passa la tête dans l'entrebâillement de la porte :

«Je pensais le cabinet désert ... Oh, pardon Docteur, je vois que vous êtes occupé avec un patient.»

Le docteur tourna la tête dans sa direction: «Oui, c'était une intervention urgente, je n'ai pas eu le temps de vous prévenir.»

«Je vous laisse finir votre intervention.»

«Infirmière, attendez!»

«Oui, Docteur?»

«Il n'y a plus de serviettes propres dans ce cabinet, pouvez-vous m'en rapporter, s'il vous plaît?»

L'infirmière fit le tour de la pièce pour s'en assurer. Ainsi, elle eut une bonne vision de ce qui se passait. Le mari, nu dans la moitié inférieure, tenait son pénis dans la main. Le docteur pompait avec son gros bâton dans la chatte de la femme.

«En voilà une qui passe un bon moment» pensa-t-elle. «En effet, docteur, je vous réapprovisionne rapidement.»

Elle sortit, et le Docteur était ravi. Depuis qu'il connaissait la petite infirmière, il avait toujours souhaité lui montrer sa queue. Maintenant qu'elle l'a vu, peut-être, bientôt, il pourra la fourrer dans sa chatte.

Le mari, après l'interruption due à l'infirmière, surveillait de nouveau les opérations. Le Docteur était déjà profondément entré dans sa femme, il entrait et sortait lentement, allant plus profond à chaque pénétration, et il lui restait encore tellement de chemin à parcourir.

Le Docteur entrait et sortait patiemment, il prenait son temps, savourant son plaisir, plutôt que se planter avec force. Et bien sûr, la jeune femme appréciait le mouvement. À ce stade, c'était beaucoup plus une baise qu'un acte médical.

Véronique tremblait de désir, mais elle faisait son tout possible pour le cacher. Elle aurait aimé que son mari s'absente un moment, aille aux toilettes, ou quelque chose comme ça, pour pouvoir donner sa pleine mesure.

La lenteur du Docteur et ses yeux de braise fixés dans les siens bouleversaient la jeune épouse. Elle ressentait son épaisseur, sa puissance qui gonflait sa chatte. «Si seulement nous pouvions rester seuls un instant!»

Le Docteur pouvait sentait la pression, son pénis blotti dans ce fourreau qui l'enserrait. Sa bite était plus raide qu'elle ne l'avait jamais été. Il ne pouvait pas pomper franchement à cause du mari qui regardait. Alors, quand il la pénétrait, arrivé en bout de course, il la piquait d'un geste brusque pour heurter le fond de sa vulve. Le mari ne pouvait pas le voir. C'était leur petit secret.

Plusieurs minutes s'écoulèrent pendant que le docteur continuait à encastrer son pénis en elle. C'était une sensation nouvelle pour elle. Chaque fois qu'il la pénétrait, ce pénis lui procurait de plus en plus de plaisir. Véronique était en chemin vers une jouissance torride, et devait mentalement se restreindre, pour empêcher que cela se produise. Elle ne pouvait décemment pas jouir devant son mari. Kevin comprendrait instantanément que ce n'était plus une procédure médicale.

Finalement, le docteur lui fit un clin d'œil et dit: «Je pense que je la sens au bout de mon pénis, je vais reculer très lentement pour voir ce qu'il se passe.»

«Oh, docteur, ce serait tellement merveilleux» dit-elle à contrecœur. La dernière chose que Véronique voulait maintenant, c'était que le Docteur se retire, et elle espérait qu'il trouverait une excuse pour la pénétrer de nouveau.

En priant pour que son vœu se réalise: «Oh, s'il te plaît, gentille petite bête, ne reste pas collée à sa queue!»

Le Docteur ressortit lentement son manche jusqu'à ce que seul le gland soit encore à l'intérieur de la chatte.

«Je pense qu'elle est au bout de mon sexe» affirma-t-il.

«Oh Docteur, ce serait génial si vous parveniez à la faire sortir!» mentit-elle.

Le Docteur regarda le mari: «Kevin, il faudra être très rapide, préparez-vous à l'attraper quand je sortirai.»

«Vous voulez que je mette ma main sur votre sexe quand vous vous retirerez?» demanda le mari, incrédule.

«Oui, et vous devrez être très rapide!»

Le mari mit sa main sous le pénis qui était encore à l'intérieur et étirait sa femme. Lorsque le Docteur se retira, il regarda avec fascination la façon dont les lèvres s'accrochaient fermement à la tige épaisse, comme si elles ne voulaient pas qu'il s'éloigne.

«Attrapez-la!» Le mari enroula rapidement ses doigts autour de la tête poisseuse. Il essayait d'en faire le tour.

«Merde, son truc est énorme. C'est comme une balle de golf» pensait-il.

C'était gros, chaud et gluant. Difficile de croire que ce gros machin pouvait entrer dans sa petite femme. Kevin regarda le vagin étiré de sa femme, brillant d'humidité, avec un liquide clair qui suintait. Sa chatte baillait, distendue.

«Où est la guêpe?» demanda le mari après avoir lentement déroulé ses doigts et n'avoir rien vu.

Le Docteur avait envie de rire, et dû faire un effort pour garder son sérieux.

«Exactement ce que je craignais, la guêpe n'a pas suivi, j'ai essayé d'être lent et sournois, mais elle s'est méfiée.»

Véronique, mise en appétit, et qui en voulait plus, dit: «Oh docteur, je l'ai sentie ramper plus haut à l'intérieur quand vous vous êtes retiré, nous devrions essayer de nouveau.» Elle savait bien mentir.

Le Docteur hocha la tête : «Elle apprécie la chaleur, je vais devoir y retourner après avoir appliqué plus de miel.»

Étaler le miel devenait un spectacle. Cela n'était plus nécessaire pour lubrifier la chatte. Le miel, soi-disant, servait à attraper la guêpe. Encore une fois, le mari regardait avec ses yeux écarquillés le Docteur badigeonner de miel son membre palpitant. Du pénis du Docteur suintait un liquide clair, qu'il recouvrit de miel.

«Je vais devoir aller encore plus profond maintenant.»

«Chérie?» s'inquiéta Kevin. «Es-tu toujours d'accord avec ça? Ce que je veux dire, est-ce qu'il te fait mal ou quoi que ce soit? ... Ton vagin a vraiment fait un bruit étrange quand il s'est retiré.»

Mais Véronique ressentait le désir d'être pénétrée par ce pénis fabuleux. Elle désirait jouir pleinement et terminer ce qu'ils avaient ébauché.

«Non, non! Tout va bien, Kevin, c'est un peu douloureux, mais nous devons ôter cette bestiole.»

Elle ne pouvait pas dire à son mari que l'inconfort était terminé, et qu'elle ressentait uniquement du plaisir.

«OK, Docteur» accepta le mari vaincu. «Allez-y, elle est consentante.»

Malgré sa jalousie, Kevin commençait à ressentir une étrange forme de fièvre en voyant sa femme prise par un autre homme. Son pénis tout mou à cause de la gêne au début, est devenu totalement rigide après avoir vu la chatte de sa femme dilatée par le phallus du toubib.

Véronique s'était bien rendue compte de l'émoi de son mari, et elle se sentait intérieurement encouragée à continuer. Grâce à sa coopération, le Docteur avait le contrôle total de la situation.

«Kevin, aidez-moi en visant l'entrée du vagin.»

Le mari n'a plus hésité à saisir le pénis à pleine main, malgré son effarement devant la taille de l'engin. Kevin frémissait à l'idée des dégâts que pourrait occasionner cette monstruosité dans la mignonne petite grotte d'amour.

Pendant ce temps, sans qu'on le lui demande, Véronique utilisait ses doigts pour ouvrir sa chatte en préparation du membre à absorber. En sentant le gland écarter ses lèvres, elle s'ouvrit plus large et la maintint ouverte jusqu'à ce qu'il soit logé dans l'entrée. Cela fait, elle plaça ses mains sur les bras du Docteur dans l'attente de l'assaut.

Le Docteur aimait utiliser et humilier le mari pour l'aider dans cette procédure. Il décida de faire durer le plaisir:

«OK, Kevin, ne me lâchez pas, et utilisez votre autre main pour écarter l'ouverture.»

Faisant attention à ne pas entrer en contact avec les grosses bourses pendantes, le mari a rapidement écarté les lèvres de sa femme avec les doigts de sa main gauche. Dans le même mouvement, le Docteur s'est enfoncé. Entre la pression des doigts de son mari autour de sa chatte et la pénétration du mandrin du toubib, Véronique haletait.

Le mari tenait toujours la bite après qu'elle soit entrée de plus de la moitié, et le toubib regardait les yeux de la jeune femme se voiler de désir.

«Merci Kevin!» et Véronique a ajouté : «Oh! Oui, merci, Kevin!»

Le Docteur ne pouvait croire sa baraka. Un mari aussi débile et une jeune femme aussi charmante!

«Je peux vous dire, madame, que votre mari est très serviable!»

Un petit sourire éclaira son beau visage. Véronique se décontracta, le vagin distendu par le pénis du toubib. Elle le sentait bien, ses sensations étaient bonnes, elle ressentait la lente montée du plaisir pendant que le toubib pompait, s'enfonçant progressivement en elle.

Le mari retira ses mains à contrecœur, la jeune femme gémit doucement et ouvrit ses jambes encore plus largement. Ses tétons roses pointaient, rigides comme des pierres précieuses.

Le Docteur jeta un coup d'œil par-dessus son épaule droite et vit le mari hypnotisé par leurs organes génitaux en action. Il sourit à la jeune femme sous lui qui lui répondit par une suggestion:

«Je pense que vous devriez aller plus profond pour être sûr de pouvoir attraper cette sale bête!»

Comme le mari ne protestait pas, le docteur continua de s'enfoncer par à-coups, jusqu'à ce qu'il parvienne à engloutir la totalité de sa bite, et que ses grosses bourses viennent claquer contre les fesses de Véronique. Oh, oui, c'était cela qu'elle voulait!

Il la possédait totalement maintenant, et la présence du mari n'avait rien empêché. Le bon docteur pressa fermement son pubis contre elle afin qu'elle sache avec certitude qu'il avait pénétrée entièrement. Le bon Docteur la sentait vibrer sous lui. Les doigts accrochés fermement aux bras de l'homme qui la possédait, les cuisses écartées au maximum, elle s'ouvrait sous la poussée de l'homme, soumise et consentante, espérant l'assaut qui ferait d'elle une femelle en rut.

D'une manière ou d'une autre, il devait les amener tous les deux à l'extase totale. Il tourna la tête pour regarder le mari assis sur le tabouret derrière eux et fixant intensément le vagin distendu par le colosse.

«Je la tenais presque, Kevin, je l'ai sentie s'éloigner au moment où je suis arrivé, je vais essayer de la taquiner pour voir si elle revient.»

Après ça, le Docteur commença des va-et-vient lents et profonds. La jeune femme sentait son cœur battre la chamade. C'était de plus en plus intense lorsque l'épaisseur du gland commença à traîner ses chairs vers l'intérieur et vers l'extérieur à chaque coup qu'il donnait.

«Je suis de retour avec les serviettes.»

Puis l'infirmière, voyant ce qui se passait, referma le rideau et regarda le spectacle. Bien évidemment, le bon docteur avait des rapports sexuels avec la patiente, et celui qui regardait semblait être son copain, ou son mari.

Elle pensa: «Je ne sais pas ce qui se trame ici, mais je vais attendre pour voir de quoi il s'agit.»

Étrangement, peut-être parce qu'il appréciait le spectacle, le jeune homme ne protestait pas. Curieusement, pour Kevin, la présence de l'infirmière justifiait l'action du médecin. Si elle ne protestait pas, et ne semblait pas s'étonner, il pouvait penser que tout était normal!

Le Docteur pensait: «Il est évident maintenant pour Kevin que je baise sa femme, et qu'elle y prend du plaisir, pourquoi ne réagit-il pas?»

Le Docteur, excité par le regard de la jeune infirmière qu'il convoitait, ne ménageait pas ses efforts. La jeune infirmière, nouvelle dans ce service, se disait que coucher avec le patron pouvait joindre l'utile et l'agréable, il était bien équipé et elle pouvait espérer une promotion canapé.

Le mari, assis sur le tabouret, le visage à moins d'un mètre des fesses du toubib, regardait sa femme se faire baiser en tripotant son pénis. L'infirmière, debout derrière le mari, glissa une main sous sa blouse et commença à caresser son vagin à travers sa culotte trempée.

«Oh! Bon sang!» Véronique avait oublié son mari et s'était concentrée sur ce qui arrivait à son corps, les yeux fermés, bouche grande ouverte. C'était trop de sensations, ce pénis étranger qui la travaillait devant son mari. Ce Docteur grand et viril, puissamment monté, qui la baisait en prenant son temps, avec de longs coups puissants.

Kevin, de plus en plus alarmé, ne réalisait pas tout à fait ce qui se passait, mais il regardait. Quel jeu joue ce Docteur avec la guêpe? Sa charmante petite femme semblait de plus en plus excitée par les poussées du Docteur. Ses jambes remontaient lentement, enveloppant la taille du Docteur. Avec ses bras, elle attirait le docteur sur elle.

Le Docteur jeta un coup d'œil par-dessus son épaule. Oui, le mari est toujours absorbé dans sa contemplation de ce sexe qui élargit la chatte de sa femme. Dans le même mouvement il vit, derrière Kevin, la jeune infirmière avec sa main sous sa blouse.

Joyeux, il revint à sa patiente, se pencha sur elle, et leurs lèvres se rencontrèrent pour un chaste baiser. Se redressant, elle l'attira de nouveau contre elle pour un baiser passionné, lèvres soudées, bouches ouvertes, leurs langues chahutant ensemble.

Le mari n'avait rien vu du baiser passionné entre les deux amants. Mais, après que sa femme ait soulevé ses fesses pour enrouler ses jambes autour de la taille du docteur, la vision de cette chatte enserrant le pieu qui la pénétrait, débordante de jus qui lui coulait dans la raie des fesses et trempait le drap sous elle, Kevin comprit que la tactique de toubib avait changé. Est-ce que attraper la guêpe restait sa mission première?

Tandis qu'il pompait, le Docteur tremblait. Il utilisait chaque fibre de son être pour se retenir, autant pour le plaisir de cette jeune femme que pour montrer à la jolie infirmière de quoi il était capable, dans l'espoir de la conquérir.

Véronique haletait maintenant. Son corps tremblait et brillait de sueur. Véronique, l'épouse fidèle, allait jouir, baisée par le bon Docteur, et devant son mari. En dépit de son souhait de ne pas révéler son plaisir devant son mari, elle ne pouvait contenir cette tornade qui traversait son corps et ravageait son cerveau.

«Oh, Docteur, mais qu'est-ce que vous me faites?»

«Mais, oui, docteur, pensait l'infirmière, expliquez-nous ce que vous faites pour elle?» L'infirmière, cependant, avait maintenant sa main dans sa culotte.

Les hanches de Véronique commencèrent à onduler en cadence, répondant aux coups de boutoir du médecin alors qu'il augmentait la fréquence et la force de ses coups.

Quand son orgasme s'est déclenché, un liquide clair s'est échappé de son vagin, la transformant en femme-fontaine.

Dans le même temps, Kevin n'a pu retenir le jus qui coulait de sa verge, poissant ses doigts. Consterné, Kevin ressentit une rage folle.

L'infirmière a tout vu, dans le même temps la jeune femme jouissant sous les coups de boutoir du médecin, son mari en train de jouir dans sa main, alors son orgasme est arrivé, et elle a enfoncé profondément ses doigts dans sa chatte pour se libérer.

«Hé, mais qu'est-ce qui se passe?» demanda Kevin, confus, en caressant sa queue fanée.

Les yeux de Kevin se concentraient intensément sur la chatte de sa femme. Alors qu'elle redescendait et se détendait lentement, les testicules du Docteur claquaient joyeusement contre les joues de son joli cul.

Le pénis du médecin devenait incroyablement plus épais et devenait plus dur que l'acier. Elle a ressenti sa force et sa puissance tandis que de longs jets frappaient le col de l'utérus, inondant son vagin de sperme épais.

Encore une fois, le mari demanda bêtement: «Docteur, mais qu'est-ce qui se passe, et la guêpe?»

L'infirmière, la culotte trempée, sourit. Elle tendit une des serviettes à Kevin. Se rendant compte que l'infirmière l'avait vu se masturber jusqu'à l'orgasme, son visage est devenu cramoisi. Tête basse, il commença à essuyer ses doigts.

«Changement de plan, Kevin,» haleta le médecin en jouissant. «Je vais noyer cette sale petite bête!»

L'infirmière attendait, tenant toujours les serviettes dans ses mains, comprenant maintenant pourquoi le bon docteur les avait demandées.

Avec la dernière goutte expulsée, les deux amants se séparèrent lentement, reprenant leur souffle après ce sprint final.

Les yeux dans les yeux ils se sourirent et leurs lèvres esquissèrent un tendre baiser. Oui, c'était fini.

«Je suis sûr de lui avoir réglé son compte, à la guêpe.» commenta le Docteur faiblement, cherchant une explication crédible pour le mari et l'infirmière, qui regardait avidement son pénis congestionné en pensant à ce qu'elle pourrait en faire.

Mais Kevin, avec une naïveté touchante, s'exclama : «Hé, Docteur, vous l'avez noyée la guêpe, quand vous vous êtes retiré, la guêpe est sortie, emportée par tout ce jus!»

Lorsque les jeunes époux quittèrent le cabinet, le bon Docteur insista auprès de la jeune femme pour qu'elle revienne le lendemain en fin de journée, afin de vérifier que tout allait bien.

En lui recommandant : «Sans votre mari, cette fois!»

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Bonjour Rainett. Envisager vous de faire une suite à cette histoire ? Je l'espère en tout cas...

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Un Medecin Très Attentionné Un medecin vicieux profite d une jeune patiente.
La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
Le Pensionnat des Oiseaux Recrutement de la prof de maths.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Plus d'histoires