La Guêpe

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Le bon docteur se sacrifie pour sauver sa jeune patiente.
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Rainett
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Deux jeunes mariés bronzaient sur une plage déserte. La jeune femme, allongée sur le dos, entièrement nue, avait déjà un joli bronzage doré, et elle ouvrait largement les jambes pour que les rayons atteignent sa féminité. Elle s'assoupissait, bercée par une douce léthargie, lorsque malheureusement, une guêpe a choisi ce moment pour visiter son intimité.

La jeune femme était terrifiée et ne savait pas quoi faire pour se débarrasser de l'intruse, le mari la recouvrit d'un drap de bain, souleva sa femme dans ses bras et la porta jusqu'à la voiture. Heureusement, elle était fluette, et il a put la conduire jusqu'au cabinet médical le plus proche.

Le toubib venait de terminer sa journée et se dirigeait vers la porte, quand ce curieux équipage débarqua devant ses yeux ébahis. Le mari portait sa femme enveloppée dans un drap de bain, mais qu'elle était mignonne! Après quelques explications embrouillées et confuses, le toubib fit entrer le couple dans son cabinet afin d'ausculter la patiente.

D'abord, il s'assura que la vie de la jeune personne n'était pas en danger, et quand il comprit de quoi il s'agissait, il s'efforça de ne pas éclater de rire. Il referma la porte d'entrée afin de ne pas être dérangé, et prit son air le plus professionnel pour examiner la patiente.

Écartant le drap de bain, le docteur fut surpris de trouver la jeune femme entièrement nue. Il se délectait de la vision de ses seins gonflés aux tétons turgescents, de son pubis recouvert d'un doux chaume blond parfaitement taillé. Il faisait semblant d'écouter les explications du mari, mais son regard détaillait le corps de la jeune femme exposé sous ses yeux. Au grand désarroi de la jeune personne qui essayait de dissimuler sa féminité avec ses mains.

Le docteur n'avait pas l'habitude de voir le corps d'une si jeune et jolie femme entièrement exposé, et celle-là était ravissante! Le docteur prit un air sévère pour écarter les mains qui lui cachaient la vue:

«Tut, Tut! Laissez-moi voir, je dois vous ausculter!»

L'innocente jeune femme rougissait d'embarras de révéler sa nudité à un étranger, mais après tout, c'était un Docteur. Si quelqu'un pouvait l'aider, c'était sûrement lui. Tandis que son mari terminait avec enthousiasme ses explications, le Docteur secoua la tête en disant que c'était une première, et ajouta que la guêpe devait être enlevée d'un coup sûr.

Le cabinet médical étant fermé, ils étaient tranquilles et le Docteur a décidé de s'amuser de la situation. Si la guêpe était encore dans le vagin, elle devait être morte maintenant, mais elle pouvait illuminer sa soirée. D'abord, le docteur devait éveiller la libido de la femme.

Le jeune mari ne paraissait pas très brillant, alors qui sait jusqu'où le médecin pouvait pousser la plaisanterie. D'habitude, il demandait au mari de patienter dans la salle d'attente, mais il devait garder le mari près de lui pour ne pas le laisser se promener, et attirer l'attention. Il lui désigna une chaise et ordonna au mari de s'asseoir là.

Le mari assis près de la fenêtre, le médecin tira un paravent afin que le mari voit la tête de sa femme, mais pas ce que le docteur faisait à l'autre bout. Le Docteur souleva les étriers en métal aux coins de la table et aida la jeune femme à se positionner les pieds dedans. Normalement, il ne regardait jamais une femme pendant qu'elle s'installait, mais cette fois il profita du spectacle.

Sa chatte s'est entrebâillée un peu quand elle a replié ses jambes et les a soulevées. Sa chatte semblait lui sourire. Quelles belles lèvres! Gardant son air professionnel, le Docteur se positionna entre les jambes grandes ouvertes et se pencha en avant. Malgré ses années d'expérience, le Docteur sentait son pénis se vivifier.

Le docteur ne prit pas la peine d'enfiler ses gants en caoutchouc. Cette chatte, il voulait la savourer avec ses doigts nus. Après avoir délicatement écarté les lèvres serrées avec ses doigts, il introduisit un appareil pour scruter l'intérieur.

La vulve était joliment rose, le Docteur pouvait voir la guêpe morte juste vers l'entrée. Il aurait pu l'enlever facilement, avec un doigt ou un outil, mais à la place, il tendit la main vers une petite lampe de poche.

Il s'est assuré que la femme et le mari voyaient bien qu'il utilisait une lumière. Maintenant la chatte ouverte d'une main, il a fait semblant d'utiliser la lumière, mais en réalité il admirait l'endroit. Elle était très serrée et très bien faite, presque neuve pensait-il.

«Hum, jeune fille, votre vagin est tout neuf, presque encore vierge ... Vous êtes jeunes mariés, vous n'avez pas encore eut le temps de faire trop de dégâts dans la salle de jeux, n'est-ce pas?»

Le mari a répondu pour elle, et l'on pouvait percevoir la fierté dans sa voix: «Oui, docteur, elle était vierge pour la nuit de noces, malgré tout ces garçons qui lui tournaient autour, elle s'est préservée pour moi, c'est moi qu'elle a choisi!»

«Eh bien, vous pouvez l'être» répondit le docteur. «Rares sont les jeunes femmes de nos jours qui sont encore vierges pour le mariage.» Il se concentra de nouveau sur l'intimité de la jeune femme: «Voyons voir si nous pouvons sortir cette guêpe de là.» Il écarta avec ses doigts l'entrée du paradis et, à l'aide d'un petit outil, repoussa l'insecte indésirable aussi loin qu'il le pouvait. Il aurait pu facilement, en un tour de main, extraire la guêpe.

Mais, avec un mari aussi bête, la pauvre petite ne devait pas s'amuser souvent, aussi le bon docteur projetait-il de lui faire découvrir le plaisir que peut vous procurer un homme d'expérience, un homme viril, et qui sait se servir de son outil. Il expliqua donc à l'attention du mari que la guêpe semblait bien vivante et qu'elle s'était réfugiée trop loin pour être atteinte avec une pince.

Il a suggéré que le mari serve d'appât. Il pourrait essayer de l'attirer en mettant du miel sur son gland, avant de pénétrer sa femme, puis de se retirer dès qu'il sentirait la guêpe. Le mari serait-il assez crédule pour croire cela? Et si le mari acceptait cette suggestion stupide, qu'en serait-il de la femme? Si elle se mettait en colère et repousse sa suggestion, il pourrait juste sourire et dire qu'il plaisantait.

Le Docteur leva les yeux de la chatte exposée et, entre les seins, étudia le visage de la femme. Elle avait un regard amusé, un peu coquin, et ne semblait pas dupe. Comprenait-elle que le bon Docteur se moquait de son mari au travers de cet incident? Si le mari tombait dans le panneau, sans que sa femme proteste, le Docteur pourrait voir cette adorable petite chatte se prendre un coup de piston.

Le jeune mari était récalcitrant car il avait peur que la guêpe ne pique son outil de reproduction. Mais il avait confiance dans le diagnostic du toubib. Il accepta nerveusement d'essayer après que le Docteur lui ait assuré que la guêpe était à moitié endormie dans la chaleur de la vulve et que le risque de piqûre était faible.

Le mari a baissé son short, exposant un pénis recroquevillé dans sa coquille. Après deux minutes de masturbation, il avait du mal à dépasser une demi-érection et s'excusait: «Les circonstances ...»

Finalement, écoutant la suggestion du Docteur, le mari contourna la table. Sa femme se pencha sur lui et commença à jouer avec son membre pour le faire grossir. Toujours sur les conseils du médecin, le mari dû tripoter le clitoris de son épouse pour lui "réchauffer le conduit afin que la guêpe s'endorme mieux"!

Toujours est-il que les deux masturbations conjuguées lui ont permis d'atteindre une taille correcte, mais pas très impressionnante. Maintenant en état de marche, le mari s'est présenté entre les cuisses de sa femme. Elle a tenu le pénis pour s'en caresser la chatte jusqu'à ce qu'il présente quelque chose qui ressemblait à une érection complète. Son appareil génital était un modèle inférieur à la norme.

«On dirait que vous êtes prêt maintenant, laissez-moi répandre du miel sur votre gland» dit le docteur.

Serrant fermement le pénis du mari de sa main gauche, le médecin badigeonna l'outil, un peu plus que le nécessaire. Étonnamment, le Docteur sentit le pénis dans sa main se raidir un peu. Pas en longueur, mais il semblait un peu plus épais et plus ferme qu'avant. Le Docteur comprit que le mari ressentait probablement un émoi érotique d'être ainsi manipulé par un autre homme.

Après s'être assuré que le gland était correctement recouvert de miel, il dit: «Je devrais peut-être vous guider, il est important que le miel ne se répande pas trop sur les parois du vagin.»

Le mari regardait cette main étrangère qui pointait sa virilité droit vers le vagin de sa femme. Puis, le mari s'avança lentement jusqu'à ce qu'il soit sur le point de toucher sa femme.

«Madame .. ouvrez-vous plus largement pour faciliter l'introduction.»

Essayant de cacher son trouble, elle glissa ses deux mains sous ses fesses, accrochant du bout des doigts les lèvres de sa chatte, pour ouvrir au maximum l'entrée de son vagin. Tandis que le mari avançait lentement ses hanches, le Docteur guida le pénis dans l'étroite ouverture.

La situation était particulièrement érotique pour le Docteur, il soupçonnait que la jeune femme ressentait la même chose, de la manière dont elle surveillait l'opération, au travers de ses yeux mi-clos.

Malgré la petite taille du pénis de son mari, lubrifié par le miel, la jeune dame était si étroite qu'elle ne put retenir un léger soupir pendant la pénétration. Pour sa petite chatte, son mari avait tout ce dont elle avait besoin, et le Docteur observait de près la dilatation de ses lèvres pour accepter la chair la plus intime de son mari. Il l'a pénétrée avec quelques coups de rein, qui ont fait panteler la jeune femme.

«Maintenant, voyons si la guêpe tombe dans le piège. Faites-moi savoir si vous la sentez.»

Le mari avait le cœur battant. Autant par l'action de pénétrer sa femme devant un inconnu, que par la peur de se faire piquer par la bestiole. Finalement, après un moment d'attente infructueuse, le mari a demandé au Docteur pourquoi cela ne fonctionnait pas. Le Docteur, en attendant, avait énormément apprécié cette scène digne d'un film pornographique.

Il avait d'abord vu une charmante jeune femme entièrement nue, sur le dos, cuisses écartées, offerte, les jambes coincées dans les étriers, qu'il avait tripotée sans gants. Puis elle avait masturbé devant lui le pénis tout mou de son mari, tandis que celui-ci excitait le clitoris de sa femme.

Enfin, il s'était placé aux premières loges, pour assister à la pénétration du pénis dans l'étroite petite chatte. Faisant semblant de viser pour eux, il avait admiré de près l'étirement des lèvres pendant la pénétration tandis qu'elles s'accrochaient à la hampe.

Mais le plus érotique de la situation, pour le libidineux docteur, c'était le regard de la jeune épouse. Tout le temps qu'avait duré cette scène, à travers ses yeux mi-clos, elle n'avait jamais quitté du regard le toubib. Que pensait-elle de tout cela? Elle n'avait pas prononcé le moindre mot. Pourtant, elle n'était pas dupe de la lubricité du docteur. Était-elle intéressée par le toubib? Était-elle beaucoup moins sage que le mari le pensait? Le docteur voulait le savoir.

Elle avait des seins magnifiques, même sur le dos, ils pointaient vers le ciel. Et cette petite chatte, si exiguë, qui se pressait étroitement autour du mince pénis de son mari. Le mari lui ayant donné une excuse, en demandant pourquoi cela ne fonctionnait pas, le bon docteur avait une suggestion :

«Retirez-vous lentement, afin qu'on jette un coup d'œil, peut-être que vous ne la sentez pas.»

Le mari se retira lentement et exposa son gland luisant de cyprine. Le Docteur pouvait constater l'émoi la jeune femme.

«Hum, ce n'est pas pour cette fois, recommencez, il faut y arriver!»

Le mari a pénétré sa femme le plus profondément possible. Après un instant, il a dit: «Je ne sens rien!»

Alors le docteur a dévisagé effrontément le mari: « Peut-être n'allez-vous pas assez loin! Quand j'ai regardé avec la lumière, j'ai pu voir qu'elle était assez loin à l'intérieur ... Peut-être, si rien ne s'y oppose, je pourrais essayer ... Mon pénis est un peu plus long que le votre.»

Pendant que le mari tergiversait, le Docteur regardait intensément les yeux de la femme. Le mari était abasourdi. Laisser un autre homme pénétrer sa femme? Il regarda sa femme avec un froncement de sourcils. Il espérait un signe, quelque chose qui pourrait lui dicter la conduite à tenir. Mais la jeune femme gardait un visage énigmatique, semblant effrayée par cette guêpe, mais secrètement émoustillée par la tournure des évènements.

Oui, émoustillée, et peut-être même un peu dévergondée. Le Docteur était bel homme, et il avait caressé sa chatte avec ses doigts nus. De plus, pendant la pénétration de son mari, le regard de cet homme l'avait troublée. En fait, la situation dans laquelle elle se trouvait, nue, cuisses ouvertes, pénétrée sous le regard d'un étranger, échauffait sa libido.

Elle fronça les sourcils et mima l'inquiétude: «Chéri, s'il te plaît, il faut vraiment m'ôter cette bestiole.»

Comme beaucoup de femmes, elle était plutôt bonne actrice, et elle a même réussi à avoir les yeux brillants. Dans ces circonstances, le mari s'est avoué vaincu. Alors qu'il se retirait de la chatte de sa femme et se reculait, le Docteur ôta rapidement son pantalon et son slip sous sa blouse. Pendant qu'il se déshabillait, ses yeux étaient fixés sur les yeux de la jeune épouse, qui attendait avec ses cuisses écartées, les jambes coincées dans les étriers.

Le malicieux docteur avait décrit son pénis comme "un peu plus long". Sa nudité révéla un sexe en semi-érection nettement plus épais et plus long que celui du mari, équipé d'un gland turgescent de la taille et de la couleur d'une prune rouge foncé. Tandis que le Docteur posait ses affaires sur une chaise, son pénis balançait d'un côté à l'autre, et au bout, on voyait une goutte claire, suspendue dans le vide.

Le mari a surpris le regard de sa femme sur le pénis du docteur, et le sien a rapetissé instantanément. Était-ce du désir ou de la peur qu'il lisait dans ses yeux? Il ne saurait pas le dire, mais le mari n'était plus d'accord après avoir vu la taille du pénis du toubib: «Heu! Attendez, Docteur, je ... je ne suis pas sûr ...»

Le Docteur ramassa le pot de miel et se tint là, le doigt plein de miel: «Eh bien, que voulez-vous? Dois-je sortir cette guêpe?»

La jeune épouse rajouta de la tension en regardant son mari d'un air anxieux : «Chéri...?»

La situation était sans issue pour le mari. S'il laissait le Docteur pénétrer sa douce petite femme, elle ressentirait une impression différente, à cause d'un pénis beaucoup plus grand que le sien. Cela pourrait lui plaire, et sa crainte c'était qu'elle ne puisse plus se contenter du sien ensuite. D'un autre côté, il fallait porter secours à sa femme. Il lui fallait prendre une décision, et la bonne décision.

«Docteur, comme vous pouvez le constater, ma femme est très étroite, donc faites attention à ne pas la déchirer, et n'allez pas plus profond que le strict nécessaire.»

Le docteur a adopté une attitude professionnelle: «Pas de problème, j'arrête dès que je sens la guêpe, je ne vais pas plus loin, c'est une procédure médicale simple.»

«Très lentement, avec beaucoup de douceur» insista le mari, inquiet. Il regardait le membre surdimensionné, et il semblait très impressionné: «Vous êtes assez fort!»

«Pas de problème» le Docteur prévoyait d'être lent, et doux, pour faire durer le plus longtemps possible.

«Vous comprenez, votre femme a un vagin suffisamment élastique pour laisser passer la tête d'un bébé, vous l'avez déjà un peu ouverte, et ce miel lubrifiera la vulve. Votre femme ne devrait pas avoir de problème pour m'accueillir, et une fois que la guêpe sentira le miel, elle sautera sur mon pénis et je sortirai.»

«Je possède une aire d'atterrissage suffisamment vaste pour que la guêpe puisse sauter dessus.»

En parlant, le Docteur agitait sa queue d'une main et regardait la jeune femme droit dans les yeux.

Les jeunes époux regardaient avec des yeux effarés le docteur badigeonner de miel le gland plantureux. Mais ils avaient des pensées bien différentes. Si le mari était surtout inquiet de la comparaison avec le sien, la femme était plutôt alléchée par ce qu'elle voyait et espérait que la guêpe ne se précipiterait pas trop vite.

Ce manche que le Docteur tenait entre ses mains était intimidant à coup sûr, mais la curiosité l'emportait. Une chance unique d'essayer un pénis étranger sans être accusée de tromperie. Le bon Docteur prenait son temps, badigeonnant jusqu'à mi-longueur son pénis avec le miel doré. Il se donnait en spectacle, effrayant le mari et alléchant la jeune femme.

Le médecin et la femme frissonnèrent conjointement quand il glissa son gland entre les lèvres vaginales. Leurs regards se croisèrent, et ils comprirent que la séance allait être intéressante.

Méfiant, le mari se rapprocha pour tout voir et empêcher le méchant docteur de pénétrer trop profondément sa charmante épouse.

«Je vais entrer lentement afin que vous puissiez vous adapter.»

«Oui, Docteur» Elle grogna doucement et se mordit la lèvre inférieure tandis que le pénis tentait d'entrer en elle.

L'entrée étant très étroite, et le membre très gros, il lui demanda de s'ouvrir avec ses doigts. La jeune femme tremblait d'impatience et d'appréhension. De nouveau leurs yeux se sont croisés. Il poussa un peu, mais la chatte récalcitrante résistait, faisant plier son outil. Le Docteur savait qu'il n'avait qu'à pousser plus fort, mais c'était trop amusant.

«Pouvez-vous ouvrir un peu plus large?»

Elle tirait sur sa chatte autant que possible en émettant un profond soupir, le pénis s'enfonça légèrement et le docteur qui souhaitait faire durer le plus possible, stoppa la pénétration. Il aurait pu utiliser plus de force et continuer, mais le médecin voulait profiter des circonstances.

« Qu'est-ce qui ne va pas, Docteur, ça n'entre pas?» Le mari était très nerveux.

Le Docteur a eu une pensée intéressante: « Jusqu'où puis-je jouer avec le mari?»

«Comment vous appelez-vous, jeune homme?»

«Ken ... Pardon, je veux dire Kevin, docteur, Kevin Millet.»

«Et votre charmante épouse?»

«Véronique, docteur, Véronique Millet.»

«Véronique, aimeriez-vous que votre mari nous aide? Kevin, puisque vous avez plus de force que votre femme, aidez-nous en ouvrant les lèvres de votre femme.»

Il baissa les yeux sur la charmante femme: «Ce sera moins pénible pour vous.»

«Absolument, docteur!» Elle regarda le docteur droit dans les yeux en lui souriant.

Étonnamment, le mari n'a pas hésité. Il voulait en finir avec ça. Posant ses mains entre les fesses, Kevin utilisa ses doigts pour ouvrir la chatte de Véronique légèrement plus large. Lorsque le docteur pénétra profondément la vulve, ses lourdes testicules vinrent en appui sur le dos des mains du mari. Situation inconfortable pour le jeune homme qui regardait l'étroite chatte de sa femme distendue par le mandrin qui l'étirait. Les bourses du docteur étaient gonflées de sperme, et sous la légère accélération du mouvement, elle venaient heurter les mains du mari.

Kevin observait les lèvres distendues de sa femme, son vagin enserrant le sexe du toubib, comme si elle lui faisait une fellation avec sa bouche du bas.

Avec quatre mains l'ouvrant aussi large que possible, le miel mélangé aux jus de la jeune femme, le docteur se sentait comme dans un gant de velours. Il devait faire un effort de concentration pour ne pas la baiser comme une salope.

Par plongées successives, il s'enfonçait de plus en plus loin, ouvrant la chatte de Véronique à une nouvelle profondeur jamais atteinte auparavant. Elle pantelait sous la charge profonde du docteur.

Le Docteur lui fit les gros yeux en pinçant les lèvres, hochant la tête de gauche à droite, lui faisant comprendre par cette mimique d'être plus discrète, afin de ne pas alerter le mari.

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