La déchéance d'Hélène 05

Après un weekend ou toute ma famille à pu constater que j'étais devenu la pute de Vincent, il me fallait maintenant gagner de quoi rembourser les dettes de mon géniteur....

Je me réveillais nu, dans mon lit, il y avait de quoi manger un petit déjeuner, et une robe légère. Ma porte était fermée à clé, mais pas celle de la salle de bain associé à la chambre.

Je passais beaucoup de temps dans la douche, et le reste à dormir et à m'ennuyer profondément. Je passais de longue journée comme cela, à rien faire. Parfois Vincent rentrait pour me sauter, ce qu'il faisait plutôt bien. J'étais tellement seule que j'appréciais ces moments de visite.

Un jour, ce fut un autre homme qui se présenta, un petit chauve grassouillet de 50 ans. Mais j'ouvris quand même mes cuisses sans broncher, je savais ce qu'on attendait de moi maintenant. Et je traînais dans un tel état de solitude que cette présence entre mes cuisses animait au moins mes journées.

Trois mois supplémentaires de ce régime avait fait de moi une vraie petite pute bien docile, Vincent me laissait maintenant acheter moi-même des fringues de pétasse, et je devenais vraiment compétente dans ce que je faisais.

La visite trimestrielle approchait à grand pas, enfin revoir du monde et avoir des interactions sociales.!! J'avais hâte. Vincent me fit faire deux passes le matin juste avant le départ. Je pense qu'il adorait me faire bien ressentir mon statut de pute.

Il m'offrit alors ma tenue, une nouvelle robe noire, ultracourte, sans manche ni bretelle. Seul mes gros seins l'empêchaient de tomber. Le dos nue descendait tellement que n'importe qui pourrait apercevoir mon tatouage très vulgaire au-dessus des reins., des bas résilles et des escarpins noirs complétaient le tout. Franchement, ça allait, je mettais régulièrement des trucs bien plus moche.

Je dormis pendant tout le trajet, comme d'habitude. Lors d'un arrêt à une station d'autoroute, Vincent me força à le sucer dans les chiottes. En vrai, il me baisa littéralement la gueule, alors que j'aurais pu le sucer convenablement. Jouir dans ma gorge aurait été trop simple, il juta sur ma robe le contenu de ses couilles, maculant ma robe noire de taches blanchâtre, qui ne partirait pas facilement.

J'étais donc bien apprêté pour revoir ma famille, deux mecs m'avait passé dessus, ma bouche avait l'odeur de la bite, et ma robe sentait et montrait de la semence d'homme....

Ma famille ne fit cependant aucune remarque, maintenant habituée à ma nouvelle activité...les retrouvailles furent joyeuse, plus de gêne et franchement ça faisait du bien.

Le programme fut installé assez vite, on commencerait par aller chercher la voiture qui était au garage, puis boulangerie, on achèterait le gâteau d'anniversaire de papa, prévu dimanche.

Je demandait à Vincent si je pouvais changer de tenue, et à ma grande surprise il accepta. Je portait maintenant une minijupe en jean, et mes classique bas resilles, dans une paire de basket.

On alla avec ma mère au garage, récupérer la voiture après une réparation. Tous se passa bien et on papota pas mal, pour prendre des nouvelles de la famille. Au moment de payer, ma mère dit au garagiste :

« Stacy (elle m'avait appelé par nom de pute) va payer s'il te plait »

« Mais maman, tu sais bien que je n'ai pas d'agent! »

« Je sais, mais je suis sûr que tu vas savoir comment te débrouiller, c'est ce que tu fais maintenant, non?

Allez, je suis sûr que Monsieur va bien s'occuper de toi »

Au même moment le garagiste me pris par la taille pour m'amener dans l'atelier. Choqué de l'attitude de ma mère, qui m utilisait pour payer les dépenses de famille, je ne résista pas.

Une fois dans l'intimité de l'atelier, je repris ce que je savais faire. J'enlevais rapidement mon Tshirt. Le garagiste s'était lavé les mains, elles étaient douces quand il pétrit mes gros seins. J'avais l'habitude de me faire passer dessus dans une chambre, dans une bagnole plus ou moins propre, ou contre un arbre dans un bois, l'atelier de garage était donc une première. Ça sentait l'huile de moteur, mais cela ne m'arrêta pas.

Après avoir passé 5 minutes à genoux à pomper sa bite, il me fit allonger contre le capot d'une voiture, le contact froid de la carrosserie contre mes seins me fit tressaillir. Je remontais mon cul pour favoriser la bonne pénétration de mon client. Il me bourra sans aucun ménagement, et il ne tarda pas à jouir dans ma petite chatte.

Je me relevai ensuite, réajusta ma jupe et remis mon Tshirt avant de rejoindre la voiture de ma mère.

« Maman, franchement t'abuse, t'aurais au moins pu me prévenir »

« Je sais je sais, mais bon, j'avais un peu honte, et puis, tu sais, avec les dettes de ton père, on a vraiment du mal a joindre les deux bout, ça faisait au moins 2 mois qu'on arrivait pas à payer les réparations, alors....

« Tu fais quand même chier....et au fait, chez le boulanger, j'espère que t'as de quoi payer!!

« Bah pendant qu'on en parle...

« Maman, c'est non! »

« Bah comme tu veux, mais pour une fois j'avais pris des bon gâteaux, pour ton père, et aussi un peu pour toi...et puis le boulanger, c'est juste une pipe, je me suis mise d'accord avec lui... »

« Maman, putain.... Juste une pipe, t'as qu'a lui faire toi-même!!! »

« Hors de question ,c'est dégueulasse! mais toi c'est différent, t'es quand même un peu devenu une pute, alors ça devrait pas être si dure pour une fille comme toi.... »

Malheureusement, elle avait raison....

C'est ainsi qu'à peine la commande de maman reçu, je rejoignis le boulanger dans l'arrière-boutique. La pipe était ma botte secrète. Je pris avec adresse le membre dans ma bouche, fraîchement sortit du pantalon du boulanger, et commença mon travail, mes mains caressant alternativement ses couilles et son membre de bonne taille. Il jouit dans ma bouche très vite. A peine fini, je m'essuyais vite fait avant de reprendre la voiture, avec un « bonus du boulanger », 2 pains au chocolats...quel radin...

On rentra à la maison ensuite, et on se promena un peu en forêt, c'était des moments agréables que je ne boudais pas. La soirée finie tard dans la nuit, avec seulement une intervention de Vincent qui demanda une pipe rapide après le café. La routine quoi....

Le lendemain, on se leva tot et prépara le repas pour l'anniversaire de papa. Vers 10h30, il m'invita dans ma chambre, pour me présenter la tenue qu'il jugerait adapté au repas...

Une minijupe écossaise, chemisier blanc beaucoup trop court, escarpin noir verni et bas blanc et deux couettes. La parfaite schoolgirl des film pornos, une des tenues préféré de Vincent quand il me baisait chez lui.

Vers 11h00, sonnât a la porte M.Charbet. C'était un ami de mon père, et également mon professeur de math en seconde au lycée. Je compris tout de suite la tenu. Il me fit la bise, en faisant semblant de ne rien remarquer de ma tenue.

« Oh bonjour, euh Stacy, c'est ça maintenant ton nom d'"artiste". » (donc il savait....)

« Oui Monsieur Charbet »

« Que tu as changé depuis ton lycée, les maths n'étaient pas ton fort..., tu deviens quoi? »

« Pas grand-chose, je cherche du travail » mentis-je.

« Oh, bah je suis sure qu'une fille comme toi n'aurais pas mal, je pense »

« Tu peux me montrer ta chambre? pour savoir comment vivait une de mes élèves?? »

L'invitation n'était même pas subtile...

Une fois dans ma chambre, nous nous asseyâmes sur le lit. Je savait déjà comment cela allait finir. Il posa sa main sur ma cuisse, en remontant doucement vers mon entrejambe.

« Oh Stacy, depuis le temps que je voulais te baiser, dès le lycée déjà.... »

Je ne répondit pas, et puis , au bout d'un moment, je me mit a ouvrir son pantalon pour saisir son membre.

Il m'arrêta net.

« Ne t'inquiète pas Stacy, je vais te baiser, mais pas tout de suite »

« T'étais vraiment nulle en math, et bon l'éducation nationale ne m'autorisais pas à te châtier comme tu le méritait, mais la je vais pouvoir enfin...., allonge toi , afin que je puisse te fesser convenablement.

J'obeissait, un peu peureuse car c'était pas une demande courante de mes clients.

Il se mit ensuite à relever ma jupe, et caresser mes fesses et l'intérieure de mes cuisses.

Puis d'un coup, Vlan!

Je poussais un petit cri de douleur. Il recommença un peu plus fort, encore 5 fois. Puis caressa encore l'intérieure de mes cuisses.

La chaleur montait, et à ma grande honte, je commençais a ressentir de l'excitation. Mon activité de petite pute m'apportait rarement du plaisir, mais la cela commençait à devenir vraiment intense.

Il recommença ensuite : 10 claques de plus. Quand sa main revint dans mon entrejambe, celle-ci était franchement trempée. Ah ma grande honte, j'était maintenant très excitée.

Je me releva, pour me pencher sur mon bureau en écartant bien mes jambes.

« J'ai été vraiment une vilaine élève, punissez moi encore s'il vous plait, Monsieur »

Je ne me reconnaissais plus.

« Il se releva, puis claqua 5 fois » - j'etais trempée.

« Baisez moi maintenant, s'il vous plait, pour me pardonner » - J'avais vraiment besoin de sa bite, maintenant!

J'entendait sa braguette se défaire, pour mon plus grand bonheur. Je sentis ses mains sur mes fesses, puis son gland se présenter à l'entrée de ma petite chatte maintenant trempée. Il me pénétra et je ne pus caché un cri de plaisir. Je détestais ce prof à l'école, mais maintenant il était en mois, et honteusement il me provoquait un plaisir immense.

Ses va et vient commencèrent, et ses mains n'étaient pas en reste. Je sentais mon orgasme monter, et c'est la qu'il parla : « Petite pute, je t'interdit de jouir, ne t'avise pas de désobéir , ou je te punirait! »

Forcément, l'idée d'une punition m'excita encore plus, j'essayais sans grand résultat de me contenir, mais rien n'y faisait. Et puis il attrapa mes couettes pour les tirer un peu. Ce fut un coup de grâce et un orgasme absolument dévastateur me traversa. J'hurlais mon plaisir à travers la chambre, puis me laissait tomber sur le bureau, complètement à la merci de mon ancien prof.

« Je t'avais pourtant interdit petite salope,mais t'es trop dissipée pour pouvoir te contrôler, dommage pour ton petit cul.... »

Il se retira de ma chatte, et présentât son gland contre ma rondelle. Je pratiquais la sodomie régulièrement dans le cadre des mes « activités » mais je n'y prenais jamais le moindre plaisir.

Mais j'avais désobéit, et maintenant j'allais prendre ...il me pénétra avec son membre, et rentra toute sa bite en une seule fois. Je poussais un petit cri de douleur, mais cela ne l'arrêta pas. Il me pilonna comme une brute, mais heureusement pour mon cul, cela ne dura pas longtemps. Il se vida longuement à l'intérieur de mon cul.

« Tu m'a coûté cher, mais putain, depuis le temps que je voulais te baiser. Tu faisais parti des élèves sur lesquelles je me suis le plus branlé...pas surprenant que tu sois devenu une pute..... »

Je ne répondit pas, honteuse d'avoir pris autant de plaisir avec ce gros porc de prof. Et puis il fallait vite passer à table, il était déjà midi!

Le reste de l'après midi se passa super bien, on feta normalement l'anniversaire de mon père, et je pu profiter à fond de ma famille. Il y a avait ma famille, Monsieur Charbet, et une première, le nouveau mec de ma sœur aînée, Charlotte, qui me voyait pour la première fois et semblait un peu perturbée par mon look de petite pute....

On allait se coucher et je m'apprêtais à partir, je montais donc à l'étage pour dire au revoir à mon père. C'est alors que je le surpris sur son PC, en train de jouer sur un paris en ligne!

Ma première réaction fut une colère froide, en effet, son démon du jeu avait contraint ma famille à me donner en prostituée à Vincent. Et puis je repensais au vote unanime qui avait fait de moi une pute. Je décidais quelque chose, car je ne voulais pas faire une scène a mon père, le jour de son anniversaire, alors que je n'allais plus le voire pendant 3 mois.

J'allais le voire : « Papa? on s'en va? »

« Oh euh..il fit mine de caché l'écran »

« Tu sais j'ai vu ce que tu faisais. Tu sais je comprends, je veux pas t'en vouloir. Bon tous ca pour te dire que je te soutient, quoi que tu fasse mon papounet »

« Oh merci, tu sais c'est dur, je sais que c'est un peu de ma faute si maintenant tu fait la pute pour Vincent, mais la je suis sur un coup. Je vais bientôt payé mes dettes et pouvoir te racheter , je te promet »

« D'accord, mais fait quand même attention, j'ai pas l'intention de faire la pute toute ma vie tu sais.... »

« Oui ma fille, à dans 3 mois, bisous »

« Bisous »

Nous rentrâmes dans la voiture de Vincent, et nous parlons un peu.

« Tu savais que Maman m'avait offerte en paiement? »

« Oui je sais, elle m'a demandé l'autorisation, comme quoi vous êtes dociles dans la famille, c'est elle aussi qui à eu l'idée pour M.Charbet, disons que ça aide à éponger les dettes de famille... »

« Ok, sympa...mais le garagiste et le boulanger, c'était du bonus? »

« visiblement, disons que ta mère semble souhaiter garder son niveau de vie....tout ca pour dire que je suis fier de toi Stacy, tu deviens une petite pute bien docile, ça me fait très plaisir, on peux dire que tu as vraiment le sens de la famille »

Il disais cela en plongeant sa main dans ma culotte. Il gara vite sa voiture sur le bas coté et me pris directement sur le siège passager. Ce vu rapide, brutale, et en fait plutôt agréable.

J'eu le droit de prendre une douche en arrivant avant de me coucher, ce qui n'était pas commun. Je me couchais ensuite, me préparant psychologiquement au 3 mois de solitude entrecoupée de passes plus ou moins glauque avant de revoir ma famille....j'avais maintenant les cartes pour mettre mon jeux en place....