La déchéance d'Hélène 04

Après avoir passé une première nuit dans ma famille depuis que j'étais la chose de Vincent, j' espère pouvoir profiter un peu des miens avant de retourner payer les dettes de mon père avec mon cul...

Au réveil, je vu agréablement surprise de la tenue qu'il avait choisie pour moi. Un legging blanc taille basse, un string noir, un top noir type débardeur, mais avec une épaule nue, et le nombril apparent ; et une paire d'escarpin noire vernie. Alors oui mon string dépassait (de toute façon il était parfaitement visible a travers le legging), oui ma poitrine était à peine caché, mais même si c'était pas classe, pour une fois je ne ressemblais pas clairement à une pute de trottoir.

On alla dans la cuisine, et commença à préparer un petit déjeuner. Après 5 minutes, Vincent me fit comprend qu'il avait envie d'une pipe. Je me mise à genoux, défit sa braguette, sortit l'engin de l'homme qui avait fait de moi une putain, et commença à sucer, avec toute la compétence apprise de ces derniers mois. J'étais en cours, quand j'entendis les pas de ma mère. J'allais interrompre ma fellation quand la main de Vincent maintenu ma tête bien sur sa bite. J'entendit donc le début de leur conversation

« Oh Vincent, bonjour »

« Bonjour Véronique bien dormi? »

Elle ne répondit pas et enchaîna:

« Vincent, je sais ce que vous faites pour nos dettes, et je ne veux pas revenir dessus, mais Hélène, ma fille, je ne sais pas ce que vous faites d'elle, mais s'il vous plait ne lui faite pas de mal, elle ne mérite pas ce qui lui arrive, ce n'est pas de sa faute si son père à perdu tout cet argent aux jeux, s'il vous plait... »

« Toute action à ses conséquences, et j'ai besoin de son corps pour rembourser mes propres créanciers ...mais ne vous inquiétez pas, je ne la frappe pas, je ne suis pas violent avec elle, et je veille à sa bonne santé »

« Merci » bredouilla t'elle, résigné, «Et si vous la voyez, dite lui que je voudrais voir avec elle ce qu'on fait aujourd'hui »

« Oh mais elle est la, elle est juste en train de me sucer » dit il joyeusement, tout en interrompant ma pipe, il me fit relever.

« Bonjour maman »

« Bonjour Hélène » dit elle en baissant les yeux, visiblement honteuse

« Je m'appelle Stacy maintenant, depuis que vous m'avez choisi pour devenir la propriété de Vincent »

« Euh..ok Hélé..Stacy, cette aprèm tes sœurs vont faire un peu de shopping en ville, tu veux les rejoindre? »

Je regardais Vincent qui hocha favorablement de la tête

« Ok avec plaisir Maman »!

« On pourra acheter des vêtements, ta sœur voudrais, »

Ma mère ne regardait pas, car gêné de m'avoir interrompu, mais Vincent n'avait déjà fait remettre à genoux, et j'avait déjà son membre en bouche.

« Désolé Michelle, mais Stacy doit finir son travail », je vous la libère rapidement pour qu'elle puisse finir sa conversation.

« Oh je, suis oh je », balbutia ma mère, avant de quitter précipitamment la pièce.

Vincent tenu parole, et il me baisa littéralement la bouche.

A défaut d'être agréable, ce fut efficace. Il se retira juste avant l'orgasme, pour tartiner mes joues de son sperme épais.

Bon j'allais encore devoir passer une partie de la matinée avec le foutre de mon maître étalé sur le visage....

Le reste de la journée fut plutôt cool comparé a mon activité de paillasson pour homme. Après une douche et encore des discussions futiles mais reposantes, on allait partir pour faire du shopping!

Avant de partir, Vincent me pris a part:

« Stacy, tu pars faire du shopping avec tes sœurs, c'est ok ; je te fille même un peu de liquide, on va dire que c'est une avance sur ton travail, fait toi plaisir. En revanche, je veux que tu reviennes du centre commercial en t'etant tapé un mec, n'importe qui, et je voudrait une preuve...tu connais la conséquence de la désobéissance... ».

Ça gâchait un peu ma bonne humeur, mais franchement, cela ne serait pas la première fois (ni la dernière) que je me taperais un inconnu...

Je parti avec mes sœurs, ma mère devant nous rejoindre plus tard....

A peine dans la voiture, je fut assaillit de question : « Hélène, comment tu vas? en vrai? Vincent te fait mal? Il te viole? Il te force a porter ces vêtements? et ton look de blondasse il te l'a imposé? »

Je voulais répondre que c'était elles qui avaient choisi de me sacrifier moi pour devenir l'esclave de Vincent, mais je ne voulais pas les inquiéter, j'allais bientôt repartir avec Vincent pour 3 mois d'esclavage sexuel.

J'avais cependant du mal à ne pas laisser couler quelque larmes.

« Non non ça va, mais il faut absolument que vous m'appeliez par mon nouveau nom : Stacy, Vincent serait en colère s'il savait, et puis Hèlene, c'est fini maintenant " dis-je en pleurnichant.

"il n'est pas méchant, je suis en bonne santé, je mange à ma faim. Et non je n'ai pas choisi de ressembler à une bimbo...par exemple, (reniflement) là je dois me taper un mec au centre commercial, c'est Vincent qui à demandé »

« Non...un inconnu, comme ça? mais c'est dégueulasse! » répondit Alix

« Bah c'est un peu ma vie maintenant, les filles...mais vous n'inquiétez pas, je commence à avoir un peu l'habitude...bon on parle d'autre chose que de ma vie de pute maintenant »

On enchaîna sur des sujets moins pesants, et on arriva au centre commercial. Bon je laissais mes sœurs, en expliquant que je voulais d'abord accomplir la demande de Vincent avant de profiter du shopping avec elles. De toute façon je savait que ça n'allait pas être très long vu mon look. Je fut vite abordé par un jeune, canette de bière à la main, mode cité, qui commença par des banalités, auquel le je faisait semblant de montrer beaucoup d'intérêt. J'étais pressé et le mec aussi, moins de 15 minutes après son approche, il m'embrassait déjà, n'hésitant pas à presser mes seins. Le mec était accro, et je l'invitais dans un vestiaire d'un magasin de vêtement.

J'avais à peine fermé le rideau, qu'il avait déjà baissé mon legging et écarté mon string, il entreprit de me besogner en levrette, Il avait l'air très excité à l'idée de faire cela dans une cabine d'essayage. Je ne pouvais donc pas l'encourager par mes cris, mais il se débrouillait très bien tout seul. Je pensait a ce moment ou Vincent m'a dit qu'il voudrait une preuve. Je dis donc à Dylan (c'était son non) :

« retire toi et joui moi sur le cul, stp »

Autant dire qu'il ne se fit pas prier. Après encore 3 minutes d'assaut de ses coups de rein, il se retira, et vida le contenu de ses couilles sur mon cul et sur mon dos. Je prenais ensuite 3-4 photos de mon cul maculé de foutre, avant de m'essuyer rapidement, de remonter mon legging et de retourner voir mes sœurs, après avoir expliquer au fameux Dylan que non, je ne souhaitait pas le revoir, et que c'est juste pour « m'amuser.... »

Je retrouvais ensuite mes sœurs au stand de gaufre. Il y eu un silence gêné... Je décidais de le briser :

« Bon arrêtez de me fixer comme ça! oui je me suis taper un mec vite fait dans une cabine d'essayage, et non je n'ai pas trouver ça particulièrement fun..., mais je vais pas en mourir non plus... . Bon on retourne faire ce shopping »

Cette séance de shopping fut probablement la chose la plus amusante que je faisais depuis que j'était devenu Stacy, la putain esclave de Vincent. J'achetais même quelque tenu pour quand Vincent me libérerait de l'accord familial (et aussi quelques strings minimalistes pour changer un peu de la garde-robe fournie par Vincent).

Nous rentrâmes en début de soirée pour le dîner. Je savais que ce weekend familial touchait à sa fin. J'allais bientôt revenir à ma condition de simple putain, à alterner les passes, entrecoupé de longue période d'ennuie....

On mangea convenablement, et au moment du café, Vincent annonça : « bon Stacy, on prend le café et on file ».

Je n'avais vraiment pas envie de partir. « Vincent s'il vous plait, on pourrait pas rester un petit peu? la soirée n'est pas fini et je ne vois plus beaucoup ma famille » Je vis un visage dubitatif « S'il vous plait , je pourrais être très gentille » je posait un main sur sa cuisse, en espérant l'amadouer.

« Hum, ça va nous faire rentrer tard, mais...si tu me suce, je veux bien »

« Bah ok! » répondis -- je (de toute façon, ce n'est pas comme si je ne le suçais pas TRÈS régulièrement, je le sucerais dans la voiture, ou à son appart.)

Ma famille assistait à la conversation, visiblement médusé.

Je reprenais ensuite le cours de ma conversation par des banalités, histoire de détendre l'atmosphère quand Vincent interrompis « En fait t'as pas bien compris, je veux que tu me suces maintenant, pendant que je prend le café , tu passes sous la table et tu commence »

« Mais euh, on est tous la, enfin, c'est ma famille, s'il te plait »

« Bon ok, on rentre tout de suite alors »

De toute façon, j'étais partie pour le sucer, alors....

« Non, c'est bon je vais le faire »

Je passais sous la table, dans un silence glacial, Vincent avait la braguette ouvert, et je commençait à sucer.

Vincent fit des efforts pour relancer la conversation, et après 5 minutes, ils discutait de tout et de rien. Ma présence sous la table en train de pratiquer une pipe ne semblait en aucun cas les déranger. Je pouvais suivre les conversations et les rires, alors que je faisais des vas et vient sur la colonne de chaire. Encore 5 minutes de coup de tête et Vincent se tut, juste le temps de remplir ma bouche de sa semence.

J'avalais vite fait, puis remontait prendre place à table. A nouveau ce silence glacial.

« Oh c'est bon!, de toute façon vous croyez quoi en me donnant à Vincent, qu'il allait me forcer à jouer au Scrabble?!? , j'aurais du le sucer a pêne dans la voiture, comme quand je suis arrivé il y a deux jours..., alors il va falloir vous y faire, votre fille est une pute, désolé, mais c'est de votre faute.... »

C'est une de mes sœurs qui enchaîna :

« Non mais Stacy, c'est pas ça, c'est juste que...ben en fait....t'as encore un peu de ... tu sais, sur ton menton, ta droite »

« Je pouffais », sans doute nerveusement. « Merci » dis-je en m'essuyant la bouche, il restait effectivement un peu de foutre que je n'avais pas vu.

Le reste de la soirée se passa bien, je prolongeais un maximum, et personne ne voulais vraiment que je parte, surtout pas moi.

Néanmoins, vers 1h30, Vincent insista pour que l'on parte. J'étreignit ma famille longuement, et tout le monde pleura un peu. Ma mère était un peu froide, mais elle fit quand même des efforts. On se donna rendez-vous dans 3 mois, disant que ça passerait vite (bon ce n'est pas elle qui aurait à se prostituer pour payer les dettes de papa...).

Vincent conduisit, et je m'endormis au bout de 5 minutes de voitures, en pensant à toute ces bites que j'aurais à satisfaire à partir de demain...