La Déchéance de Caroline - 02

BÊTA PUBLIQUE

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Il besogne sa proie pendant encore un long moment, alternant les périodes lentes et rapides, indifférent aux cris de douleur de sa victime quand le bout de sa queue butte violemment au fond de l'utérus, quand les chairs tendres du vagin se trouvent distendues par un engin dont la dimension est supérieure à la moyenne.

A un moment, il arrête ses mouvements et se penche à l'oreille de sa victime : « Je vais te baptiser au jus de nègre! ». Il part dans un grand rire proche de l'hystérie tandis que reprennent ses pilonnages avec frénésie. La mère de famille sent des brûlures dans tout le bas ventre et se met à gémir et à se tordre sous le poids qui la maintient clouée au sol. Au paroxysme de la jouissance, l'homme se crispe soudain et vide par saccades vigoureuses son sperme dans le vagin investi.

Tout le corps de Sophie tressaille en sentant les jets brûlants envahir son ventre. Elle est prise sur l'instant d'une nausée de dégoût profond qui l'entraîne au plus sombre désespoir. Des larmes jaillissent de ses yeux et coulent à flots sans jamais pouvoir s'arrêter.

Seul point positif dans cette situation sordide : elle s'est fait ligature les trompes d'eustache il y a quelques mois et ne risque donc pas de tomber enceinte. Bien maigre consolation...

Se relevant et se rhabillant, le colosse reprend son arme et tient maintenant en respect le Président Parmentier, tandis que 3 de ses acolytes se ruent sur Sophie et la retournent sur le ventre. 2 d'entre eux la tiennent fermement aux chevilles et écartent ensuite les jambes de la malheureuse. Le 3eme, s'agenouillant derrière les fesses ainsi offertes, commence à faire coulisser un, puis 2 puis 3 de ses doigts couverts de salive dans le cul de la Directrice, envoyant une vague électrique de choc et de honte dans la colonne vertébrale de la femme. Après lui avoir grossièrement ouvert le rectum, le soldat se met à cracher d'énormes mollards dans l'anus ainsi ouvert. Caroline se met à pleurer, vu l'humiliation abjecte qu'elle subit.

Son futur profanateur semble satisfait que le trou du cul soit désormais béant et puisse à présent accueillir son énorme bite. Après avoir forcé le sphincter de la Directrice avec son gland, le reste de sa queue commence à coulisser lentement à l'intérieur de la femme blanche. Celle-ci peut sentir les couilles de son agresseur contre ses fesses.

Elle halète et se met à crier à nouveau alors que le violeur sort et rentre de plus en plus vite sa bite de 20 centimètres complètement hors de l'anus profané. Il continue ainsi pendant de longues minutes à l'enculer avant de se répandre dans ses entrailles. Puis, il intervertit son rôle avec l'homme qui tenait la jambe droite de Caroline et laisse sa place à celui-ci qui, séance tenante, sodomise à son tour la pauvre Directrice, avant que le 3eme larron ne fasse de même. Le dernier agresseur, après avoir éjaculé dans les profondeurs des intestins de la femme, se relève. Celle-ci gît sur le sol, telle une poupée inanimée. Son répit est de courte durée. La tirant par les cheveux, il l'oblige à s'agenouiller. Tandis que des doses massives de sperme s'écoulent de son anus et de sa chatte, se répandant sur ses cuisses et sur le sol, l'intéressée voit arriver près d'elle le dernier des 5 soudards.

Ce dernier se positionne à hauteur de son visage.

Le colosse à la mitraillette, pointant celle-ci en direction de la femme blanche, donne un nouvel ordre à cette dernière : - Tu as intérêt à faire à mon ami la meilleure pipe de ta vie! Sauf si tu veux recevoir une balle dans la tête! Alors, suce, chienne!

Pensant à ses 3 enfants et à son mari, horrifiée, elle s'exécute immédiatement. Tout en prenant le gland entre ses lèvres, elle caresse les couilles du troufion, les soupèse, joue avec, les malaxe. Le gland du Noir coulisse entre ses lèvres, tandis qu'elle tend de son autre main la peau du sexe au maximum. Sa langue descend le long de la bite, revient plus haut, puis redescend. Elle fait couler un filet de bave sur le bout de la grosse queue ébène, qu'elle s'empresse de nettoyer consciencieusement en avalant le sexe masculin sur toute sa longueur, son nez venant alors jouer avec les poils du pubis du violeur. Sa main s'aventure alors entre les fesses du soudard. Bien qu'un peu surpris de tant d'audace, c'est bien volontiers que l'homme lui facilite le passage. Elle joue sa vie, aussi son doigt courre-t-il sur l'entrée de l'anus. Elle suce son doigt, écarte les fesses, et titille la rosette, peu habituée à donner ce genre de plaisirs. Elle continue à pomper à fond l'agresseur et à rythme régulier, introduit sans ménagement son doigt au fond de son cul, décuplant ainsi son érection pourtant déjà bien avancée. Elle le suce comme cela pendant 10 bonnes minutes. Le violeur en profite de son côté pour la caresser, soupeser ses seins, pincer ses mamelons. Il lui donne au passage quelques instructions :

-Vas-y pompe, salope, pompe! Je vais juter! Tu as le choix. Tu peux choisir d'avaler, ou me faire jouir sur ta jolie petite gueule de chienne, j'adore aussi! Elle marque un temps d'arrêt, puis reprend sa fellation en accélérant et, au moment où l'homme crie de plaisir, éjaculant tout ce qu'il peut donner, continue de le lécher sans faiblir, avalant jusqu'à la dernière goutte puis nettoyant le gland de la moindre trace de sperme.

Caroline est enfin autorisée à se relever. Elle est conduite, avec le Président, jusqu'à un petit camion bâché garé à quelques dizaines de mètres. Les Noirs leur font signe de monter, ce qu'elle tente de faire avec leur aide. Ils ne se privent pas pour peloter ses fesses et son sexe pendant toute l'opération. Elle s'assied sur un banc de bois, tandis que son compagnon d'infortune est invité à s'installer sur l'autre banc situé en face d'elle. L'un des agresseurs le menotte alors les mains dans le dos, autour d'une des barres métalliques verticales soutenant la bâche. Le camion se met en marche, piloté par l'homme à qui elle vient d'être obligée de prodiguer une fellation.

2 autres troufions -parmi les 3 qui l'ont sodomisée- sont installés avec les otages dans le camion. La Directrice, elle, n'est pas attachée. Les 2 pillards s'installent à côté d'elle, de part et d'autre. Le moteur se met en marche. Elle sent les vibrations dans tout son corps. Les cahots de la route la jettent à droite et à gauche contre ses compagnons de voyage qui, loin de la repousser, l'accueillent dans leurs bras tous en pelotant copieusement ses seins ou ses fesses selon les circonstances.

Ils rient forts en faisant des commentaires égrillards sur son anatomie. Soudain, ils décident de lui écarter les cuisses, posant chacune d'entre elles sur l'une de leurs jambes.

Tout se passe devant Parmentier.

La lampe qui éclaire la benne, à l'intérieur de la bâche, lui offre une vision complète du sexe de la femme. Les soudards, pendant de longues minutes, s'amusent avec ses lèvres vaginales et son clitoris. Jamais la Directrice n'a été aussi humiliée.

De surcroît devant son patron...

Les pillards décident ensuite de varier les plaisirs et le voisin de droite de la jeune femme lui ordonne de sucer sa queue. Sachant qu'elle n'a pas le choix, elle défait les boutons du pantalon de son tourmenteur et prend dans l'une de ses mains, avec dégoût, le sexe du Black, qu'elle fait ainsi durcir. Lorsque celui-ci est dressé, elle ouvre la bouche et gobe le sexe. L'engin sur sa langue lui fait avoir un haut-le-cœur, qu'elle réussit néanmoins à contenir, poursuivant les caresses de sa langue sur le pieu, qui augmente de volume sous l'effet de l'excitation et rempli rapidement l'orifice buccal. Le Noir laisse faire la belle femelle blanche. Elle est très douée pour les pipes. Sa langue est agile, la fellation baveuse, ses lèvres refermées autour de son membre sont de velours. Alors il la laisse faire, bien décidé à jouir soit dans la bouche, soit sur le visage de sa prisonnière occidentale. Il se décide finalement à jouir à l'intérieur de sa bouche, non sans donner un dernier ordre :

-Avale tout, chienne!

A peine a-t-elle terminé son œuvre que son voisin de gauche demande à son tour de bénéficier de ses faveurs buccales. Rapidement, elle se retrouve à nouveau devant un gros braquemart dressé. Entamant sa fellation, elle sent l'homme lui caresser le crâne, puis lui saisir les cheveux et la faire aller-et-venir sur sa bite au rythme qu'il lui impose. Tantôt lent et doux, tantôt rapide et violent. Il se fait sucer par Caroline, dont la bouche est maintenant ouverte au maximum de ses possibilités. Puis il la saisit aux oreilles, la faisant monter et descendre sur sa hampe à une vitesse folle. Quand il sent qu'il ne va plus tenir bien longtemps, il lui lance lui aussi un autoritaire :

- Avale tout!

La femme lui obéit et déglutit, tandis qu'il lui caresse les cheveux, comme on flatte un chien.

Le voyage dure plus de 4 heures. Le camion s'arrête soudain et le moteur se coupe. L'aube pointe depuis quelque temps déjà. Après avoir vu ses menottes enlevées, le Président est invité à descendre, suivi par la belle jeune femme, qui est toujours nue. Les otages ont le temps de voir que le camion est garé dans un hangar en tôles rouillées. La jeep qu'ils avaient utilisé avec les soldats qui les escortaient est également rangée dans le hangar. Sans doute a-t-elle été amenée là par les 2 derniers agresseurs, dont l'homme à la mitraillette. Tout de suite, les 2 Blancs sont conduits vers une maison qui occupe le centre d'un petit village. Sans un mot, ils sont poussés à l'intérieur de la masure et Parmentier est invité à pénétrer dans une pièce dont la porte se referme derrière lui. Il en ressort une heure plus tard et glisse à la Directrice, pour tenter de la rassurer : - Tout va bien se passer, maintenant...

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Belle histoire.

Je sens que notre Caro va rester en Afrique, collier au cou et fers aux poignets et aux chevilles et plus encore !

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