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« D'abord on fait une photo de face. »
Le Bourgmestre appuya sur le déclencheur et le flash crépita.
« Mainntenant de profil en tenant l'ardoise pour que le numéro soit visible. »
Le flash crépita de nouveau.
« Maintenant de face mais nue. »
« Pardon? » Dit Sweet Pussy.
« Il me faut des photos de votre corps nu au cas où. »
« Au cas où quoi? »
« Au cas où on retrouverait votre corps inanimé. » Dit le Bourgmestre d'un ton hésitant ne sachant pas comment répondre à Sweet Pussy.
« Au cas où on me retrouverait morte, vous voulez dire. C'est bien ça. »
« Euh oui, j'en ai bien peur. »
Sweet Pussy se déhabilla et posa ses affaires dans un coin. Lorsque le Bourgmestre vit le corps de Sweet Pussy, ses nombreux piercings, ses tatouages et surtout ses seins énormes, sa mâchoire faillit se décrocher. Sweet Pussy posa donc nue contre le mur.
« De face, de profil et de dos. Merci. »
Sweet Pussy se mit de face, de profil et de dos et changea position à chaque crépitement de flash.
« Voilà, c'est terminé pour vous. Je vous remercie. Quel nom dois-je inscrire sur le permis?
« Sweet Pussy, Monsieur. S.W.E.E.T. P.U.S.S.Y. » épela-t-elle à l'adresse du Bourgmestre.
« Vous pouvez vous rhabiller, merci. »
Sweet Pussy prit ses affaires et s'habilla sans plus tarder.
« Suivante » Entendit-on dans le studio.
N°1 ne perdit pas une seconde et marcha vers le studio photo. Elle suivit le même protocole que Sweet Pussy. Le Bourgmestre fut surpris de la réponse de N°1 lorsqu'il lui demanda son nom. Puis ce fut le tour de Soumise Aurore et enfin Lola passa sous l'objectif.
Le Bourgmestre ferma le studio photo et repartit s'assoir derrière son bureau. Il tapota sur le clavier de son ordinateur.
« Voilà vous pouvez maintenant vous rendre rue de Varin. Voici les clés des quatre vitrines.
Maître Tumba examina les permis et les donna aux toutes nouvelles putes.
« Monsieur le Bourgmestre, je vous remercie. Voudriez-vous un petit cadeau pour votre diligence dans mon affaire? »
« Oui, si vous voulez. Je n'ai fait que mon travail, vous savez. »
« Lola remercie Monsieur Le Bourgmestre pour son travail. »
« Merci Monsieur Le Bourgmestre. »
« Pas comme çà, espèce d'idiote. »
Maître Tumba se leva et saisit Lola par le bras. Lola sut alors comment elle devait remercier l'homme politique.
Lola s'agenouilla devant le Bourgmestre, lui descendit la braguette, sortit son sexe tendu à la vue de ces quatre putes si excitantes et goba le sexe en érection. C'est à ce moment précis qu'on frappa à la porte. Le Bourgmestre dit « entrez » machinalement. Il poussa Lola sous son bureau afin que sa collaboratrice ne s'aperçoive pas qu'il était en train de se faire sucer la bite.
« Monsieur Le Bourgmestre, voici les permis de travailleuse du sexe que vous avez imprimés ».
« Mer, merci Madame Van Vlit. »
La secrétaire du Bourgmestre montra un regard interrogatif vers le Bourgmestre mais tourna les talons et quitta le bureau non sans dévisager les putes qui allaient travailler dans la rue Varin.
Le bourgmestre tendit alors à Maître Tumba les permis de travailleuse du sexe. Et les clés des vitrines.
« Tenez, voici vos permis et les clés des quatre vitrines. N'oubliez pas de vous acquitter d'un loyer de 250€ par jour à payer sur place à la propriétaire sous peine de vous faire expulser de la vitrine et d'avoir une suspension de permis voire son annulation. Elles vont tapiner sur quel créneau horaire? »
« De 21h00 à 05h00, pourquoi? »
« Parce que la vitrine est occupée la journée donc elles doivent reprendre leurs affaires et laisser la vitrine propre pour la pute de la journée! »
« Il faut qu'elles restent dans la vitrine la journée pour être dans l'ambiance 24h00 sur 24. »
« Alors ce sera 500€ de loyer par jour. »
« Merci bien. Vous pouvez l'enculer si vous le désirez, il n'y a que dans son cul que vous pourrez fourrez votre bite Monsieur Le Bourgmestre. »
« Non, Merci. Juste une pipe, ça me suffira. Sucer n'est pas tromper comme on dit. Ah j'oubliais, une règle à surtout ne pas enfreindre : vous avez une vitrine donc vous ne devez pas faire le trottoir. Vous risqueriez d'avoir des problèmes avec la Police. »
Le Bourgmestre éjacula au fond de la gorge de Lola qui ouvrit la bouche pour montrer le sperme qui lui emplissait la bouche et elle avala cette sève humaine. Le Bourgmestre remonta sa braguette et reprit ses esprits.
« Je vous souhaite le bon vent, Mesdames. Tâchez d'être prudentes. »
Prostitution en vitrine rue de Varin
Après une sortie aussi spectaculaire et remarquable que leur entrée, Maître Tumba et les quatre nouvelles putes de Liège se rendirent rue Varin pour prendre possession de leur vitrine respective.
« Sweet Pussy, tu prends la clé du 93, N°1, celle du 95, Lola le 97, Soumise Aurore celle du 101. N'oubliez pas votre valise. Allez investir votre vitrine pour bien la préparer car ce soir vous commencez! Et toi Lola bosse bien. Je compte sur toi pour gagner ce challenge. Je pourrai ainsi gagner deux esclaves gratuitement.»
« Mais Maître, vous m'avez bloqué la chatte, je ne pourrai pas gagner! »
« Donne-moi ta chatte, que je la libère alors. »
Maître Tumba libéra la chatte de Lola en ouvrant les dix cadenas qu'il avait posé sur ses lèvres.
Après avoir sorti leur valise du van, toutes se rendirent vers leur vitrine respective et ouvrirent la porte. Sweet Pussy entra et referma la porte. Les murs et les portes de la pièce était d'un rouge carmin. Le rideau de la vitrine était de couleur rose pastelle. La pièce n'était meublée que d'un lit, d'un tabouret avec une assise en vinyle noir. Dans un petit recoin se trouvait le lavabo et une poubelle dessous. Des étagères étaient fixées sur le mur, quelques livres se trouvaient sur l'étagère du bas. Sweet Pussy tira un livre et le feuilleta rapidement. Le livre traitait du Kamasutra et toutes les positions de baise étaient expliquées etimagées. Elle en prit un magazine, un demask, spécialisé dans le latex. Sweet Pussy ouvrit la porte rouge et vit la cuvette des WC et juste à côté une douche à l'italienne dans laquelle on pouvait tenir à deux. Elle se dit qu'au moins, elle pouvait se faire baiser tout en se lavant.
Sweet Pussy se saisit de sa valise, la déposa sur le lit et l'ouvrit. Sur les nombreuses affaires une feuille de papier était posée avec des instructions. Maître Tumba lui demandait de teindre ses tresses en rose fluo et de porter pour sa première semaine une mini-jupe et un top en latex rose fluo. Des chaussettes en latex rose fluo et des babies terminaient son accoutrement pour être devant la vitrine. Maître Tumba demandait aussi d'être en place à partir de 21h00 jusqu'à 05h00 du matin.
Sweet Pussy se prépara donc et mit une grosse demi-heure pour se préparer et ne pas être en retard à son « poste ».
Lorsqu'elle eut terminé de se préparer, elle regarda l'horloge qui se trouvait au dessus de la porte qui indiquait 20h37.
Elle sortit et alla voir sa voisine. La porte était fermée. Elle frappa donc pour indiquait sa présence.
N°1 lui ouvrit. Sa tresse était d'un vert kaki type armée et ses vêtements étaient de la même couleur. Elle était chaussée d'une paire de bottes noires.
« Bonjour Mon Général! » Cria Sweet Pussy en exécutant le salut militaire.
N°1 éclata de rire, Sweet Pussy aussi.
« On a la même chambre à ce que je vois. Tu es prête? Si oui, on va aller voir les deux autres putes. »
« Ok. » Fit N°1.
Elles sortirent et virent au travers de la vitre Lola qui s'habillait. Elle était tout de jaune, vêtue. Elles poussèrent vers la vitrine suivante et virent Soumise Aurore habillée de rouge et ses deux tresses aussi étaient rouge.
« Je pense que chaque semaine nous allons devoir changer de couleur de cheveux. »
« Tu as raison car la semaine prochaine, je dois teinter ma tresse en bleu. Assez parler couleur Sweet Pussy, Il faut aller travailler dur si tu ne veux pas être à la solde de maître Tumba. »
« Oui Général N°1, je retourne à mon stand. Surtout que les premiers clients serviront à payer le loyer exorbitant de la vitrine. » Pouffa Sweet Pussy.
Elle était pliée de rire.
A 21h00 précise, les quatre nouvelles putes allumèrent leur vitrine et attendirent le client, assises sur leur tabouret. Il n'y avait pas grand monde dehors en cette soirée pourtant ensoleillée. Lorsqu'un homme passait devant sa vitrine, Sweet Pussy tapa sur la vitre afin d'éveiller son attention. Mais elle remarqua vite que les passants portaient des maillots de l'équipe des diables rouges et donc les clients ne se bousculeraient pas aux vitrines. Elle réussit à attirer un homme en tapant fortement sur sa vitrine, il en fut même surpris puisqu'il sursauta. Sweet Pussy, toujours assise sur son tabouret, écarta les jambes et montra sa chatte à l'homme. L'homme fit le mouvement d'ine pipe avec sa main au visage et lui demanda avec son autre main quel était son tarif.
Sweet Pussy lui montra ses cinq doigts tendus. L'homme leva son pouce. Sweet Pussy alla lui ouvrir et ferma son rideau. Elle fit entrer son client et ferma la porte et tira le rideau pour ne pas être vu de la rue. Elles se tint devant l'homme et le fixa de son regard. L'homme sortit son porte-feuille et lui donna ses cinquante euros. Sweet Pussy prit les billets qu'elle glissa dans son top entre ses seins.
Sweet Pussy dégrafa son client et sortit une bite à demi-molle qu'elle goba immédiatement. Elle usa de ses talents de suceuse pour fixer des yeux son client, passer sa langue de serpent sur le gland ou tiltiller de ses piercings sa bite. L'homme commença à gémir. Sweet Pussy emboucha le membre turgescent et fit glisser ses lèvres sur toute sa longueur. Elle entendit l'homme râler et sentit sa jouissance couler sur sa langue. Lorsque l'homme eut fini d'éjaculer Sweet Pussy ouvrit la bouche et montra à son client son sperme. Sweet Pussy avala comme on lui avait appris. L'homme leva le pouce pour cette performance et remonta sa braguette. La nouvelle pute se leva et ouvrit la porte à son client qui partit sans un mot. Sweet Pussy se rendit devant le lavabo et se gargarisa. Elle tira les rideaux pour signifier aux badauds qu'elle était à nouveau libre.
La nuit passa assez rapidement pour Sweet Pussy car les clients furent assez nombreux. Elle fut prise de nombreuses fois en double pénétration. Sweet Pussy termina sa nuit par trois clients. Ils décidèrent de dépenser chacun trois euros en se payant la chatte, le cul et la bouche d'une belle pute. Lorsqu'ils passèrent devant la vitrine de Sweet Pussy, les trois hommes furent assez surpris due son look mais elle sut aguicher ses probables clients en montrant ses atours et sa langue fourchue et piercée. Ils opinèrent de la tête lorsqu'ils virent sa chatte annelée. Sweet Pussy les fit entrer et tira le rideau. Les trois hommes sortirent tous trois billets de 100 euros que la pute prit et déposa dans sa corbeille. Les trois hommes encerclèrent leur pute et commencèrent à la tripoter. L'un d'entre eux molesta ses énormes seins et pinça ses tétons. Le second passa sa main droite sous la jupette de Sweet Pussy et caressa ses lèvres. Il fit tinter ses anneaux et enfonça tout de suite plusieurs doigts. Sweet Pussy ferma les yeux. Le troisième était derrière Sweet Pussy et glissa le zip de son top. Ses seins se dévoilèrent.
« Waouhhh, quelle paire de nibards! On va bien te baiser toi. T'aimes la bite salope? »
« Oui Monsieur, montrez-moi vos queues! »
Les trois hommes ôtèrent leur pantalon, puis leurs autres vêtements pour se retrouver nus. Sweet Pussy vit trois queues dressées prêtes à baiser la pute qu'ils ont payée. La jupe latex de Sweet Pussy se retrouva à ses pieds. Elle l'enjamba, la ramassa et la jeta sur le lit. Les trois hommes se jetèrent sur le corps de la pute et commencèrent à la peloter et à lui sucer les tétons annelés.
« A genoux sur le lit. » Lui intima l'un des trois hommes.
Sweet Pussy obtempéra et se positionna comme demandé. Les trois hommes recommencèrent à lui peloter les seins. Une main s'imiscia sur ses lèvres vaginales, puis ses doigts lui pénétrèrent le sexe. L'homme commença à lui limer la chatte et Sweet Pussy répondit à ses caresses par un gémissement ininterrompu. Elle ouvrit la bouche et lorsqu'elle jouit en giclant sur la main de l'homme, elle cria de bonheur.
« Putain les mecs, regardez-moi ça! Elle jouit comme une vache qui pisse. Il montra sa main trempée de cyprine et de pisse qui dégoulinait. Il recommença de suite afin de faire une nouvelle fois jouir la femme.
« T'aimes bien gicler comme ça?
« Oui, encore, fais-moi couler! »
L'homme remit sa main dans le sexe de Sweet Pussy et recommença ses mouvements de va et vient. Sweet Pussy jouit de nouveau. Ses jambes étaient trempées et une tâche apparaissait sur les draps. Ils la basculèrent sur le lit. L'un d'entre eux fourra sa bite dans la chatte de la fille, les deux autres lui ordonnèrent de leur sucer la queue. Sweet Pussy prit dans ses mains les deux organes sexuels et les rapprocha de sa bouche. Elle suça de sa langue les deux bites qui se trouvaient au dessus de sa bouche. Elle tirait la langue pour montrer à ses clients qu'elle se délectait de leur organe. Puis celui qui labourait sa chatte lui demanda de se lever.
Sweet Pussy se leva et celui qui se faisait sucer s'allongea sur le lit.
« Allez, viens là salope. » Dit l'homme en dressant sa bite vers le plafond.
Sweet Pussy enfourcha l'homme et s'empala sur le sexe de celui-ci. Sweet Pussy présentait alors ses fesses et son anus qui s'ouvrait lentement. Aussitôt, l'homme qui l'avait déjà baisée enfonça sa bite dans son cul sans préparation. Sweet Pussy hurla, même si son anus avait déjà été perfora pendant cette nuit et qu'il devait encore être gorgé de sperme des autres clients. Elle sentit la bite lui perforer l'anus à sec. Un cri de bête sortit de sa gorge.
« Suce-moi cette bite pétasse et arrête de gueuler! » éructa le troisième client.
Sweet Pussy ouvrit la bouche et goba la bite dressée devant son visage. Elle était labouréepar sa chatte et son cul. Les deux hommes conjugaient le mouvement de leur sexe pour qu'une bite sorte de son vagin alors que l'autre entrait dans son fondement. Puis les deux hommes se coordonnaient pour que leurs bites entrent en même temps dans ses orifices. Ses seins étaient aussi pétris sans douceur. Sa bouche était distendue et le troisième client s'en donnait à cœur joie et ne se faisait plus sucer par la pute mais baisait sa bouche. Les trois hommes changèrent de position pour que leurs chibres sentent la douceur de ses trois orifices. Ils éjaculèrent sur son visage et étalèrent leur sperme sur sa peau.
Les trois hommes se regardèrent et rirent de concert lorsqu'ils virent le visage de leur pute. Ils se rhabillèrent et quittèrent la chambre en saluant Sweet Pussy.
« Tu es vraiment bonne tu sais, on reviendra, pas vrai les gars! »
« Oui et on amènera notre pote, on sera quatre. Ça ne te gêne pas? »
« Non pas du tout, tant que vous payez! Bye. »
Sweet Pussy ferma la porte et tira les rideaux. Elle voyait le soleil donnait ses premières lueurs matinales. Elle bâilla, éteignit la lumière et s'affala sur le lit. Elle sentit sur sa peau la jouissance qui avait mouillé ses draps mais n'en fit aucun cas. Elle ne mit pas longtemps pour s'endormir. C'est un klaxon de voiture qui la réveilla en sursaut. Elle regarda l'horloge qui indiquait 14h30. Elle vit qu'elle était nue et décida de prendre une douche pour ôter cette odeur de jouissance qui émanait de sa chatte et le sperme séché sur la peau de son visage. Sweet Pussy se délassa un bon moment sous l'eau chaude. Elle se savonna longuement la peau puis se fit un lavement. Elle se gargarisa pour ne plus avoir le goût du sperme dans la gorge. Une fois séchée, Sweet Pussyse vêtit de sa mini-jupe et de son top. Elle mit un blouson et sortit pour prendre un café chez sa logeuse. Un silence de mort se fit dans le bar lorsqu'elle entra.
« Un café bien serré s'il vous plaît. » Dit-elle en s'asseyant à une table.
La tenancière du bar amena son café.
« Ça fait 1.50 euro. Et 500 euros pour la chambre. «
Sweet Pussy dévisagea la tenancière et sortit de la poche de son blouson une poignée de billet. Elle prit cinq billets de 100 euros et les jeta sur la table.
« Putain mais cr'est qu'elle bosse comme une dingue celle-là, elle est pleine aux as. »
La tenancière prit les billets de dépit et tourna les talons. N°1 pénétra dans le bar accompagnée de Soumise Aurore et de Lola. Elles s'installèrent à la table de Sweet Pussy. Elles commandèrent un café chacune. Et la tenancière réclama son loyer en amenant les cafés. Toutes les trois la payèrent rubis sur l'ongle. La tenancière du bar fit une moue en prenant les billets.
« Faut qu'on mange les filles. » Dit N°1.
« Ouais, j'ai la dalle. » Dit Sweet Pussy.
Elles quittèrent le bar et se dirigèrent vers le premier restaurant qu'elles virent sur leur route. Après un bon repas, elles retournèrent toutes vers leurs vitrines pour se préparer car l'heure de reprise de leur travail approchait.
Sweet Pussy se fit baiser par un, deux ou trois hommes en même temps par trois clients. Le tarif était alors à son maximum lorsque les clients se tapaient ses trois trous à bites : 900€. Sweet Pussy éteignit la lumière à 05h00 du matin pour prendre une dernière douche et dormir du sommeil du juste. Elle compta sa recette de cette seconde nuit avant d'aller dormir. Elle avait récolté 4600€ pour une seule nuit de travail auxquels il faudra enlever les 500 euros de loyer.
Les nuits suivantes furent du même tonneau. Le train-train quotidien s'installait lentement.
Sweet Pussy changea de tenue au début de la semaine suivante car Maître Tumba avait laissé des instructions précises qu'elle devait suivra à la lettre.
Ses tresses devaient être de couleur orange. Elle devait porter un short en latex noir et un boléro ultra court d'où dépassaient ses énormes seins. Elle devait se chausser des cuissarde vinyle noires.
