Kidnapping et Soumission Tome 16

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De nouvelles péripéties pour Sweet Pussy.
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TOME XVI

Une sévère séance SM

Le bras de Monsieur commença à fatiguer, il arrêta donc de cingler les deux fessiers que leur offrait les deux esclaves. Il les libéra de leur carcan et leur ordonna de se mettre plat ventre. Il alla chercher quelques brins de corde et commença à ligoter N°1. Il replia sa jambe droite et commença son bondage. Il mit N°1 en hogtie sévère en liant les bras de N°1 dans son dos, N°1 gémissait dans cette position inconfortable. Puis le black s'occupa de Sweet Pussy qui gémissait aussi. Il passa une barre en acier entre leur dos et leurs bras. Il passa trois chaines au travers de cette barre. Il appuya sur sa télécommande et les chaînes s'élevèrent dans les airs entrainant avec elles les corps des deux soumises. N°1 et Sweet Pussy se retrouvèrent en sustentation dans les airs. Le black prit deux barres d'écartement qu'il fixa sur leurs cuisses afin d'avoir un large accès à leur sexe. Il passa alors une tige au travers des anneaux de leurs petites lèvres et relia celles-ci par deux chaînettes à la barre d'écartement. Cela eut pour effet d'allonger grandement leurs lèvres vers le bas.

Aussitôt, le black sortit d'une boîte jaune plusieurs blister contenant des aiguilles qui firent frissonner Sweet Pussy.

« Pitié, Monsieur, pas les aiguilles, on fera tout ce que vous voudrez, mais pas ça. »

« Ta gueule pétasse, tu préfères peut-être que je te coupe les lèvres avec mon couteau? Comme elles sont bien tendues, elles seront faciles à découper.» Dit l'homme en brandissant son cran d'arrêt devant le visage de Sweet Pussy.

Il se pencha et prit entre ses doigts une lèvre vaginale de Sweet Pussy et la lame de son couteau toucha légèrement la lèvre de son sexe.

« Je vais te saigner comme un lapin. »

« Non Monsieur! »

« Alors tu préfères les aiguilles? »

« Oui, Monsieur. » Dit en gémissant Sweet Pussy alors que des larmes coulaient sur ses joues.

« Et j'en mettrai un maximum sur tes lèvres de putes. Tu peux me croire. »

Le black ouvrit plusieurs blisters sans attendre. Il fit rouler entre ses doigts une aiguille devant les yeux de Sweet Pussy. Lorsqu'elle vit le diamètre de l'aiguille, elle fit non de la tête. Mais le black sourit devant la peur de son esclave. Il se baissa et vit alors une belle chatte annelée avec les lèvres distendues. Il effleura la chair avec ses doigts, puis la prit sans vergogne et planta l'aiguille dans la chair. Sweet Pussy s'arcbouta lorsqu'elle sentit la piqûre dans sa lèvre et elle souffla plusieurs fois pour atténuer la douleur. Et avant que Sweet Pussy ne puisse reprendre son souffle, une autre aiguille lui traversa les chairs. Le corps de Sweet Pussy s'arcbouta à nouveau, ce qui fit sourire le black. Il laissa Sweet Pussy reprendre ses esprits et passa au sexe de N°1. L'homme se releva et montra une aiguille de gros diamètre. N°1 s'affola et chercha à échapper d'une façon ou d'une autre à la douleur qu'elle allait ressentir. Le black planta l'aiguille dans la lèvre gauche du sexe de N°1 qui s'égosilla avec la douleur ressentie.

Le ballet des aiguilles continua et les aiguilles se multipliaient sur les lèvres vaginales. Parfois le black plantait les deux lèvres avec la même aiguille. Dans la pièce, résonnaient le souffle des deux esclaves et le rire sardonique du black. Pour les faire souffrir un peu plus, il étirait avec ses doigts les lèvres vaginales de ses deux esclaves ou faisait glisser dans la chair une aiguille. Il prit aussi un vibromasseur qu'il posa sur une aiguille et déclencha celui-ci. Sweet Pussy hurlait lorsque l'aiguille vibrait dans sa peau. Il posait parfois le vibromasseur sur le clitoris piercé pour faire aussi jouir l'esclave. La chatte de Sweet Pussy giclait et laissait échapper de grands jets de cyprine et de pisse.

L'homme descendit les deux esclaves pour que leur bouche soit à hauteur de sa bite. Il présenta son engin devant le visage de N°1.

« Suce-moi la bite ou je te remets les aiguilles, mais cette fois-ci c'est ton cul qui les recevra. »

N°1 s'empressa d'emboucher la bite tendue qui se trouvait devant elle et s'appliqua pour contenter Monsieur. Il sortit brutalement son dard de la bouche de N°1 et la présenta à Sweet Pussy.

« Suce-moi la bite ou je te remets les aiguilles, mais cette fois-ci c'est ton cul qui les recevra. »

Sweet Pussy ne se fit pas prier et suça immédiatement la bite du black pour ne pas subir le supplice des aiguilles sur son trou du cul. Le black prit dans chacune de ses mains la tresse des esclaves et fit pivoter leur corps pour qu'elles le sucent en même temps. L'homme se délectait de voir ses deux putes ligotées lui sucer la bite. Il interrompit Sweet Pussy qui tira la langue afin de montrer son envie de continuer sa pipe mais l'engin qu'elle suçait s'éloigna de sa bouche alors qu'elle tendait le cou pour et tirait la langue.

Il baissa les chaînes pour qu'elles se retrouvent au sol.

« Le cul dressé pour honorer ma queue. »

Les deux esclaves posèrent la tête au sol pour tendre leurs fesses et présenter leur cul. Le black s'agenouilla et pénétra l'anus de N°1 sans préparation. N°1 gémit entre ses dents. L'homme lui assénait de profonds coups de bite qui faisaient bouger les aiguilles toujours plantées dans leurs lèvres. Le cul de Sweet Pussy subit aussi l'assaut du black qui fit de nouveau crier l'esclave de parles aiguilles plantées dans ses lèvres.

C'est après un long moment que le black retira toutes les aiguilles qui firent chanter et souffrir une nouvelle fois les deux esclaves.

L'homme reput du plaisir sadique qu'il venait de faire subir aux deux esclaves s'en alla sans un regard. Il paya Larbhi et lui donna même un supplément. Je reviens demain pour m'occuper d'elle une nouvelle fois.

Le lendemain, L'homme au costume trois pièces s'occupa des deux esclaves mais cette fois ce fut plus délicatement. Sweet Pussy et N°1 suivirent les ordres de leur client à la lettre mais ce fut une séance soft du moins pour les fellations qu'elles prodiguèrent. Il les sodomisa sauvagement et pénétra leur cul et leur chatte selon son bon vouloir.

Lorsqu'il alla payer le tenancier, il lui dit :

« Je vais les ramener moi-même demain à leur Maître. Tenez pour le dérangement. »

Le black donna 1000 euros pour que Larbhi le laisse faire.

« Mais leur Maître vient les chercher après-demain dimanche! »

Il lui donna 1000 euros de plus.

« Je souhaite que vous me les prépariez pour leur retour. Vous leur plantez un gros gode vibrant dans le cul et la chatte, vous leur fixez des patches sur leurs gros nibards et leur mettez un masque latex. Vous raccordez les fils à une centrale d'électrostimulation. Vous me les mettez chacune dans un vacbed latex, puis ce vacbed dans une malle et vous raccorderez le tuyau de respiration par un trou dans la malle. Le vacbed doit être bien fixé. »

« Le client est roi chez moi. Vos désirs sont des ordres. Je m'occupe d'acheter les fournitures. »

« Pas la peine, j'ai toutes les fournitures nécessaires dans le coffre de ma voiture. »

« Vous avez penser à tout. Elles vont déguster pendant leur voyage. »

Le lendemain, Larbhi s'occupa des deux esclaves en les préparant suivant les ordres du black. Larbhi leur fixa un gros gode dans leur trou à bite. Un patch sur chaque sein et raccorda le tout à une centrale d'électrostimulation. Sweet Pussy et N°1 savaient qu'elles allaient déguster. Il leur ordonna de rentrer dans les vacbeds et vissa de suite le tuyau de masque à gaz qui permettait aux esclaves de respirer Il brancha l'aspirateur pour faire le vide dans le vacbed. Les formes de Sweet Pussy apparurent sous la fine couche de latex. Ses énormes seins annelés bosselèrent la fine couche de latex. Larbhi caressa les piercings de ses seins et il entendit gémir Sweet Pussy au travers de son tuyau. Il vit aussi apparaître la base du plug fiché dans sa chatte, les fils reliés à la centrale qui se trouvait dans un coin du vacbed et les tresses de Sweet Pussy. Larbhi s'occupa ensuite de N°1. Il appela de de ses hommes pour porter les vacbed dans les malles et ils fixèrent les vacbed solidement aux anneaux à l'intérieur de chaque malle. Larbhi se chargea lui-même de raccorder les tuyaux à la malle puis il appuya sur un petit bouton de la centrale. Un bruit de vibration se fit entendre suivis de gémissements. Les impulsions des godes et des patches traversaient le corps des esclaves.

Larbhi referma les deux valises et retourna à la gestion de son établissement. C'est presqu'une heure plus tard que l'homme au costume trois pièces entra et salua Larbhi.

« Elles sont prêtes? »

« Oui depuis presqu'une heure, comme vous le souhaitiez. »

« Ouvrez une malle s'il vous plaît. »

Larbhi s'exécuta et ouvrit une malle. Le black se mit à sourire lorsqu'il vit une forme humaine se débattre sous une fine couche de latex noir et entendit les gémissements de la forme. Il se baissa pour pincer les barbels noirs des seins de la forme humaine.

Le black fit glisser sa main et la dirigea vers le sexe de l'esclave. Il appuya sur la base du gode pour l'enfoncer au plus profond du sexe de l'esclave. On entendit une longue plainte étouffée sortant du tuyau noir.

« Vous pouvez refermer. Belle prestation. Je ferai à nouveau appel à vos services. »

« Un client satisfait est un client qui revient! »

Larbhi appela deux de ses gars. Ceux-ci arrivèrent avec un diable et emmenèrent les deux malles vers le break du black. A peine les deux malles chargées, le black monta dans son véhicule et donna l'adresse vers laquelle il désirait se rendre.

Quelques heures plus tard, le break mercedes passait le portail en fer forgé délimitant une propriété rénovée à grand frais.

Le chauffeur descendit et ouvrit la porte à l'homme au costume trois pièces. Puis le chauffeur ouvrit le coffre et descendit les deux malles sans prêter attention aux chocs lorsqu'elles touchèrent le sol puisqu'il n'avait pas de diable pour les transporter. Le chauffeur suivit le black en traînant les deux malles au sol.

Le black sonna. C'est Maître Alexandre qui ouvrit la porte d'entrée et accueillit son visiteur. Il se présenta sommairement puis dit :

« J'ai deux présents pour vous qui se trouvent dans ces malles. »

« Mais je n'ai rien commandé. »

« Vous êtes sûr que vous n'avez rien perdu? »

Le black bouche avec ses doigts la sortie du tube d'une des 2 valises et on entend alors des gémissements et les malles bouger.

« Qu'y a-t-il dans ces valises? »

« Les deux esclaves que vous aviez déposées au FKK en prostitution. Je me suis amusé un peu avec elles. Elles sont très dociles et surtout très particulières. »

« Mais pourquoi vous me dites tout cela et pourquoi les avoir amenées dans ma demeure vous-même? »

Il ouvrit les deux malles et Maître Alexandre vit alors deux vacbeds noirs avec deux formes humaines aux seins proéminents. Le black ouvrit la valve des vacbeds, gonfla ceux-ci avec le petit aspirateur qui se trouvait dans chaque malle et appuya sur le bouton d'arrêt des centrales. Les deux esclaves eurent toutes les peines à sortir de leur cercueil de latex. Sweet Pussy et N°1 détendirent leurs muscles comme l'aurait un chat après une sieste. Elles étaient couvertes de sueur. Elles reconnurent l'homme qui les avaient torturées et voulurent sortir un mot mais furent stopper dans leur élan pour leur Maître.

Le black regarde les murs du manoir et dans un mouvement délicat ôte sa perruque et sa barbe.

« Parce que je voulais revoir mon manoir et non le vôtre. »

« Maître Tumba! »

Les quatre esclaves et Maître Alexandre en restèrent coas d'étonnement.

« Oui, c'est bien moi. »

« C'est à cause de vous que nous avons connu toutes ses galères! Et vous osez réapparaître! »

« Ce n'est pas moi qui vous ai vendus contrairement à ce que tout le monde pense. C'est votre plus vieil ami qui, pour sauver sa peau nous a vendu, Il avait amassé toute une collection de vidéos de nos chères esclaves dont celles des bungalows et de la partie de zoophilie avec N°1 et Sweet Pussy. C'est lui qui nous a vendu pour sauver sa peau. »

« Je vais donc reprendre possession de mon bien et de mon esclave, n'est-ce pas Lola! » Dit Maître Tumba en regardant droit dans les yeux, Lola.

« Mais ne pourrait-on pas trouver un arrangement pour le toit, car j'y ai investi pas mal de fric pour le remettre au goût du jour. » Dit Maître Alexandre dans un ton mielleux pour amadouer Maître Tumba.

« Je vais y réfléchir. Je ne vais pas vous jeter dehors comme un malpropre. En Afrique, nous avons une certaine hospitalité. »

« Merci Maître Tumba. » Dit tout penaud Maître Alexandre.

« Mais qui est cette esclave à côté de ma Lola? » Dit en s'approchant Maître Tumba.

« C'est Soumise Aurore. »

« Elle est pas mal aussi celle-ci, elle n'a pas d'aussi gros nibards que les trois autres esclaves mais ça viendra. » Il écarquilla les yeux lorsqu'il s'aperçut que c'était Maîtresse Aurore.

« Que s'est-il passé avec Maîtresse Aurore? »

« Elle a dérouillé en prison. Ils l'ont mise délibérément avec la sœur d'une de nos esclaves et les matonnes lui ont cassé la volonté de se battre. Elle est accro au sexe maintenant. Elles l'ont ramonée avec des brosses à cheveux, des battes de baseball. Ils lui ont injecté de la mousse polyuréthane dans le cul et le vagin. Elle a failli mourir car ses intestins allaient exploser avec l'expansion de la mousse. Maintenant, c'est une esclave qui ne veut que du sexe. Maître Manu, ici présent, l'éduque durement pour lui apprendre à être docile. »

« Je la prendrai bien un jour ou deux pour la soumettre... Vous permettez Maître Alexandre? » Dit Maître Tumba en souriant.

« Oui mais pas tout de suite Maître Tumba. Je connais votre sens de l'éducation. »

« Pour en revenir à votre demande d'arrangement, vous pouvez rester dans mon manoir si vous me prêtez vos trois esclaves pendant un mois et, bien entendu, je récupère ma Lola. »

Sweet Pussy et N°1 firent une moue de désappointement en entendant la demande de Maître Tumba. Mais elles savaient que leur Maître ne pouvait pas refuser ce deal sinon elles se retrouveraient à la rue et leur Maître aussi. Quant à Lola, elle retrouvait son Maître.

« Je suis votre obligé Maître Tumba. Je ne peux qu'accepter votre proposition. Alors soit, prenez-les pendant un mois. Mais ne me les ramenez pas abîmées! »

« Maître Alexandre, je pense que vous n'avez pas voix au chapitre. Si j'ai envie qu'elles dérouillent, elles dérouilleront. »

« Mais si elles sont abîmées, elles ne rapporteront plus d'argent ni à moi, ni à vous! »

« Maître Alexandre, une pute même abîmée, rapporte toujours quelques euros. Et si l'une d'entre elles claquent, il y en a des milliers qui prendront leur place. »

Les quatre esclaves restaient bouche bée d'entendre de tels propos à leur encontre. Elles ne valaient rien, ni pour Maître Tumba, ni pour Maître Alexandre.

« Bon, je ne traîne pas. Je les emmène donc pour un mois et, si elles sont encore vivantes, je vous les rendrai. Ne prenez pas la peine de me raccompagner, je connais le chemin. Allez les putes en route. Et pour le toit, j'ai investi dans une autre bâtisse. Je reprends aussi ce manoir mais nous y cohabiterons. Je pense que nous allons tous y être gagnant. Et j'organise une petite fête le week-end prochain. Vous êtes cordialement invités. Vous verrez vos esclaves en pleine activité. »

« On pourrait peut-être s'habiller avant de partir, non? » protesta Sweet Pussy qui reçut un coup de coude de N°1 lui signifiant de la fermer.

Maître Tumba s'approcha de Sweet Pussy. Il prit entre ses pouces et index les tétons piercés de Sweet Pussy qui grimaça de douleur, se dressa sur la pointe des pieds pour atténuer la souffrance que lui transmettaient ses seins.

« Bon, allez chercher des catsuits latex et vos vêtements de pute. Et vous pouvez vous habiller. »

« Merci Maître. » fit doucement Sweet Pussy.

Après s'être habillées et avoir rempli leur valise, les quatre esclaves quittèrent le manoir et montèrent dans le break pour se rendre vers une destination inconnue.

Une heure plus tard le break entrait dans un corps de ferme rénové et flambant neuf à l'écart du village qu'ils venaient de traverser. Le portail s'ouvrit automatiquement et le break pénétra dans la cour. Maître Tumba ordonna à ses esclaves de descendre. Elles virent le portail se refermer automatiquement. Un mur d'enceinte protégeait le corps de ferme de la vue des passants ou du voisinage éloigné. Une meute de chiens imposants vint accueillir leur Maître. On entendit le hennissement d'un cheval venant d'une dépendance et un meuglement de vache brisa le silence de la bâtisse.

Les regards de Sweet Pussy et N°1 se croisèrent. Elles pensaient à la même chose. Elles allaient encore se faire baiser par des animaux.

Maître Tumba leur indiqua la chambre dans laquelle elles seraient quatre à dormir. Le lit était gigantesque. On pouvait facilement y dormir à dix et y faire un gang bang. Maître Tumba attacha les esclaves aux colliers qui se trouvaient sur la tête de lit.

« Dormez bien car demain sera une dure journée...pour vous! »

Les quatre esclaves regardèrent Maître Tumba quitter la chambre et commencèrent à parler entre elles. La porte de la chambre s'ouvrit soudainement.

« J'ai dit dormir, sinon je vous fourre un ball-gag dans la gueule et des plugs dans vos trous à bite! »

Les esclaves se turent immédiatement.

Après une nuit réparatrice, Maître Tumba pénétra dans la chambre et demanda à ses quatre esclaves qu'elles prennent une douche, qu'elles se fassent cinq lavements avant de se pomponner et qu'elles l'attendent dans la chambre.

Maître Tumba entra à nouveau dans la chambre et demanda aux quatre esclaves de le suivre.

Le majordome de Maître Tumba pénétra dans la grande salle en faisant roulé un grand panneau de bois. Lorsqu'il le fit pivoter pour le plaquer contre le mur les quatre esclaves furent bouches bées et avaient les yeux ecarquillés. Deux engins de bondage assez curieux se trouvaient sur un socle en bois.

« Sweet Pussy, N°1, sur le socle à genoux et talons sur les fesses. »

Sweet Pussy et N°1 obéirent immédiatement. Maître Tumba prit par les aisselles Sweet Pussy et commença à l'attacher sur son engin de bondage. Il lui passa d'abord un collier corset en latex épais. Puis il passa autour de sa bouche une large ceinture ball-gag qui allait lui maintenir la bouche ouverte. Il prit un harnais fait de multiple ceinture en cuir pour contraindre le corps de Sweet Pussy attacha ses bras dans le dos. Elle sentit alors que Maître Tumba lui fourrait deux larges plugs en métal dans la chatte et le cul. Lorsqu'il se releva, Maître Tumba lui montra la télécommande d'électrostimulation.

Sweet Pussy savait qu'elle allait encore se prendre des coups de joute lorsqu'il appuya sur la télécommande. Sweet Pussy poussa des gémissements au travers de son bâillon alors que les décharges traversaient les chairs de son cul et de son vagin. En tournant le potentiomètre qu'il tenait dans sa main, Maître Tumba accéléra la cadence des décharges, le corps de Sweet Pussy se tétanisait et Sweet Pussy piaillait à chaque impulsion.

Maître Tumba prit une ceinture du harnais et la passa dans la raie de ses fesses et sur son sexe pour éviter que les plugs ne s'échappent de ses orifices. Puis il prit deux ceintures de cuir qu'il passa autour de ses seins et les serra assez fort pour faire gonfler ses nibards. Il poussa Sweet Pussy pour que sa tête s'encastre dans la stalle et la bloqua avec une ceinture attachée à la stalle. Il posa un crochet de nez qui fit lever la tête de Sweet Pussy pour attacher le cordon sur le haut de la stalle. Il se saisit de ses tresses et les fit passer dans le trou situé en haut de la stalle. La tête de Sweet Pussy était basculée en arrière. Elle avait vue sur le plafond. Maître Tumba prit un mécanisme fait de deux chaînes et d'une large ceinture sur laquelle était fixé une sorte de pédale métallique en forme de pied. Il se présenta debout devant la cuvette pour contrôler son attraction. Sweet Pussy vit alors en gros plan la braguette de Maître Tumba. Il se baissa et passa la large ceinture autour de la taille de Sweet Pussy et fixa les deux chaînes sur les barbels horizontaux traversant ses tétons. Il termina par attacher les jambes de l'esclave avec deux ceintures équipées d'anneaux pour les fixer sur le panneau de bois.