Kidnapping et Soumission Tome 16

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Les convives applaudirent cette démonstration qui clôturait la petite fête de leur hôte. Ils quittèrent tous la salle, laissant le Majordome libérer les esclaves. Il les fit mettre à genoux pour qu'elles le sucent toutes. C'est dans la bouche de N°1 qu'il éjacula.

« Maître Tumba a ordonné d'aller vous laver et de vous reposer dans votre chambre. Il viendra personnellement vous attacher. »

Les quatre esclaves se rendirent dans la magnifique salle d'eau que Maître Tumba avait aménagée pour que ses soumises puissent se laver, se décontracter et se délasser après leurs épreuves.

La salle d'eau était assez large pour que six personnes puissent se doucher. Elle était carrelée du sol au plafond. Un banc sur toute sa largeur avait été réalisé pour s'assoir tout en profitant du ciel de pluie. Les quatre soumises se délassèrent un long moment sous la douche. Soumise Aurore eut toutes les peines du monde pour mouiller sa peau endolorie. N°1 l'aida afin de la nettoyer.

Une fois séchées, les quatre esclaves allèrent se coucher. Maître Tumba entra dans la chambre et attacha « ses » quatre esclaves à la tête de lit par leur collier.

L'été battait son plein et les températures étaient caniculaires depuis deux semaines. Sweet Pussy, N°1, Lola et Soumise Aurore était en train de batifoler dans la piscine lorsque Maître Tumba arriva accompagné de Maître Alexandre et de Maître Manu.

« Vous voyez bien Maître Alexandre, elles se sentent bien ici. Regardez-les se défouler dans cette piscine. »

« Oui, je le vois mais ce n'est que temporaire. Je vous l'ai dit. »

Les quatre esclaves sortirent de la piscine. N°1 et Soumise Aurore sortirent de l'eau pour embrasser leur Maître. Sweet Pussy montant les marches de l'escalier romain et se sécha les fines nattes de sa coiffure et eut aussi le réflexe de passer sa main sur son crâne rasé comme si elle avait toujours son ancienne crinière blonde.

« Comment vas-tu Sweet Pussy? »

« Bien Maître. »

« Je suis venu exceptionnellement aujourd'hui pour vous informer que la proposition de Maître Tumba me convient et que, dans quelques jours, vous avez rendez-vous toutes les trois au studio de tatouage, 134 boulevard de la Sauvenière à Liège pour encrer vos nibards. Et comme c'est Maître Tumba qui paye vos tattoos, vous resterez encore un mois avec lui. »

A cette annonce les sourires s'estompèrent légèrement sur les visages de Sweet Pussy et N°1. Quant à Soumise Aurore, celle-ci se jeta aux pieds de son Maître en le suppliant de la reprendre.

« Vous disiez qu'elles se sentaient bien ici. Je me trompe? »

« Soumise Aurore n'aime pas se faire baiser par des chiens. »

« Ah, je comprends. »

Maître Alexandre s'approcha de soumise Aurore. Il prit les deux tresses de Soumise Aurore pour lui relever la tête :

« Tu dois apprendre à te faire baiser par des animaux. Tu n'es qu'une chienne. »

« Oui, Maître. » Dit Soumise Aurore à son ancien mari, devenu désormais son Maître.

« On n'est pas seulement venu pour vous annoncer une bonne nouvelle. On va profiter de cette magnifique piscine pour faire une partie de baise. Mais vite fait car nous avons rendez-vous avec un client pour un futur partenariat. Ce contrat va me permettre d'avoir une rentrée d'argent régulière. Sweet Pussy et N°1 vous aurez des prestations à faire régulièrement pour mon nouveau client. Bon, trêve de bla bla, Sweet Pussy vient ici, je vais te baiser avec Maître Tumba. Les autres occupez-vous de Maître Manu. »

Maître Alexandre attrapa le matelas d'une chaise longue et le posa sur la plage carrelée de la piscine. Il s'y allongea et prit sa bite pour la dresser comme un piquet.

« Sweet Pussy, viens t'empaler sur ma queue. Maître Tumba, venez enculer ma petite chienne. »

Maître Tumba regarda Sweet Pussy enfourcher son Maître. C'est dans un râle que la bite de son Maître glissa au fond de sa chatte. Maître Tumba s'approcha du couple à peine formé. Il cracha dans sa main et lubrifia sa queue avec sa salive. Il pointa son sexe sur l'anus de Sweet Pussy. Elle sentit son cul être écartelé par le gros mandrin. Elle poussa un cri de bête lorsque la bite de Maître Tumba glissa dans son rectum.

Les Maîtres se vidèrent les couilles et ils se désaccouplèrent aussi rapidement qu'ils s'étaient introduits en elles.

Maître Tumba serra la main de Maître Alexandre et Maître Manu. Le majordome les accompagna jusqu'à la sortie.

Les deux Maîtres avaient à peine quitté la plage de la piscine que Maître Tumba ordonna aux quatre esclaves de s'occuper de sa queue.

Quelques jours plus tard, Maître Tumba entra dans la chambre des esclaves alors qu'elles étaient en train de se réveiller aux premières lueurs du soleil.

« Tenez, mettez ça. On sort. »

Maître Tumba venait de jeter quatre bikinis ultra flashy et surtout ultra échancré. Les quatre esclaves se regardèrent et restaient pantoises, ce qui irrita Maître Tumba.

« N°1, le jaune. Sweet Pussy, le vert. Soumise Aurore le bleu. Lola, le doré. Comme ça, on ne perd pas de temps. Idem pour les chaussures. Dépêchez-vous de déjeuner et on part. »

Elles enfilèrent leurs bouts de tissus colorés. Les deux triangles du bikini couvraient juste leurs tétons tellement leurs seins étaient énormes. Le string cachait juste leur chatte et ce n'est pas la ficelle du string qui allait couvrir leurs fesses. Elles n'eurent même pas le temps de finir leur petit-déjeuner car Maître Tumba klaxonnait pour qu'elles accélèrent le mouvement

Elles montèrent dans le van.

Les quatre esclaves descendirent du van. Des jeunes qui passaient sur le trottoir d'en face les sifflèrent. N°1 leur répondit par un signe de la main. Elles traversèrent le boulevard. Les rayons du soleil étaient tellement puissants en ce mois de juin qu'elles ressentirent immédiatement leurs effets sur la peau.

Maître Tumba ouvrit la porte et eut la politesse de les laisser entrer.

Lorsque la réceptionniste vit les esclaves entrer, elle n'en croyait pas ses yeux. Elle appela le tatoueur qui arriva quelques secondes plus tard.

« Bonjour. »

« Bonjour, Maître Tumba je suppose? »

« Oui, j'amène quatre esclaves pour des tatouages. J'ai rendez-vous. »

« Oui, Maître Alexandre m'a prévenu. Suivez-moi, je vous prie. »

Le tatoueur leur fit signe d'entrer dans une des pièces.

« Je l'ai aménagé pour vous spécialement aujourd'hui. Maître Alexandre m'a demandé à ce qu'elles suivent quelques recommandations. »

« Je vous en prie. Faîtes donc »

Le tatoueur sortit quatre bouteilles de bières de 75 cl.

« Maître Alexandre a demandé à ce qu'elles aient cette bouteille dans leur cul pendant qu'elles se font tatouer leurs gros nibards de pute. » A-t-il dit.

« Bien, allez les putes, à poil et foutez vous ça dans votre cul. »

« Euh non pas comme cela. Elles doivent se mettre à quatre pattes sur la table et nous leur fourrons ces bouteilles dans leur cul de pute. »

« Allez, exécution. »

Les quatre esclaves ôtèrent leur bikini et se positionnèrent comme demandé. Le tatoueur prit l'initiative de s'occuper de Sweet Pussy. Il enduisit la bouteille de graisse pour les tatouages et enduisit aussi l'anus de Sweet Pussy et sans ménagement il enfonça un doigt dans son cul. Sweet Pussy hurla sous l'intromission indélicate. Le tatoueur lui mit ensuite deux doigts puis trois. Et à force de travail, sa main complète s'enfonça dans le fion de l'esclave.

Maître Tumba suivit le modus operandi du tatoueur et s'occupa de Lola. Elle gémit bruyamment lorsqu'elle sentit que son Maître lui pénétrait le cul. Le tatoueur sortit sa main du cul de Sweet Pussy et présenta la bouteille devant son anus qui s'ouvrit immédiatement pour absorber la bouteille de bière.

« Sacré cul Sweet Pussy. » Dit Maître Tumba en voyant la bouteille pointer vers le ciel.

Sweet Pussy décocha un sourire pincé.

Lola hurla longuement pendant que son Maître lui enfonçait la bouteille de bière dans le cul. Le tatoueur s'occupait déjà de N°1 qui, comme Sweet Pussy, ne mit pas longtemps pour que son fondement soit comblé.

Soumise Aurore fut la dernière à recevoir ce plug surdimensionné. Les quatre esclaves étaient toutes dans la même position.

« Maintenant, couchées sur le dos et on va commencer à vous tatouer. »

Le tatoueur fit venir trois de ses collaborateurs qui s'empressèrent de positionner le motif sur les énormes seins de leur cliente et de faire crépiter leur machine à encrer. Après une journée complète à se faire tatouer les seins, les quatre esclaves exténuées durent obéir aux ordres de Maître Tumba.

Lorsque les seins de Sweet Pussy furent terminés, elle voulut se lever mais son tatoueur lui dit :

« Ce n'est pas terminé pour toi. Ton Maître veut t'ajouter le même tattoo que N°1 a sur le mont de Vénus. Un beau petit cobra. Le tatoueur prit un papier calque et dessina le cobra par transparence. Puis il fit les contours du cobra à l'encre noire et coloria le cobra suivant les teintes du tattoo de N°1.

« Maintenant que vos gros nibards sont tatoués, on va s'amuser un petit peu. Descendez des tables et à genoux. »

« Oui Maître, dirent ensemble les quatre esclaves. »

« Quant à moi, je vais chercher ma petite Zoé. On va s'amuser un peu avec elle aussi. Il faut qu'elle participe au spectacle. »

Le tatoueur sortit de l'atelier et revint quelques minutes plus tard avec Zoé. Maître Tumba n'en crut pas ses yeux lorsqu'il vit le corps frêle de ladite Zoé complètement tatoué.

« Zoé! »

« Oui Maître Patrick. »

« Enfonce-toi cette bouteille de bière dans ton cul. »

« Maître Patrick, c'est trop gros, je ne pourrai jamais me l'enfoncer dans le cul. »

« Ne me fais pas répéter sinon je te tatoue le visage complet! »

Zoé prit la bouteille de bière qui restait sur la table. Elle l'enduisit d'une épaisse couche de graisse avec la main et de ce qu'il restait s'enduisit le cul. Elle s'accroupit et positionna la bouteille, goulot au sol. On vit alors son visage se crisper alors qu'elle poussait pour ouvrir son cul. Elle se contorsionna et fit des mouvements circulaires pour faire pénétrer la bouteille. Elle souffla de satisfaction lorsque la bouteille écarta ses sphincters et que ses hanches descendirent autour de la bouteille.

« A genoux, Zoé. Tu vas sucer Maître Tumba. »

« Bien Maître Patrick. »

Zoé avança lentement à quatre pattes et se dirigea vers Maître Tumba. Elle le vit se dégrafer et sortir sa grosse bite déjà tendue. Zoé fut surprise des dimensions du sexe de Maître Tumba. Elle écarquilla les yeux de surprise. Elle ouvrit la bouche, le sexe de Maître Tumba emplissait complètement sa bouche, ses lèvres étaient même distendues. Patrick, le tatoueur, se demandait comment un sexe avec ces dimensions pourrait entrer dans la chatte et le cul de sa petite soumise.

Lorsque les deux Maîtres eurent joui, les esclaves ôtèrent la bouteille de bière qui obstruait leur cul. On entendit dans la pièce des râles et des gémissements lorsque les bouteilles quittèrent le cul des esclaves.

Sweet Pussy se fit encore remarquer en jouissant abondamment sur le sol lorsque son cul fut vide. Maître Tumba retourna Zoé pour qu'elle lui présente son cul. Maître Tumba pointa son dard sur l'anus de la pauvre Zoé.

« Je vais t'éclater le cul petite salope. Tu vas savoir ce que c'est que de se faire enculer par un black. »

« Pitié Maître Tumba, allez-y doucement je vous en supplie. » Dit Zoé en reniflant comme une petite fille qui allait recevoir une correction.

Maître Patrick souriait de voir sa Zoé apeurée.

Maître Tumba força l'anneau culier qui s'ouvrit sous la poussée de la bite surdimensionnée.

« Arrrgggghhhh! » Hurla Zoé sentant le sexe noir lui pénétrer l'intestin et lui écarteler son boyau.

Elle pensait que son tourmenteur allait la fendre en deux. A chaque aller et retour du membre à l'intérieur de son intestin, on entendait Zoé soufflait et gémir bruyamment. Les quatre esclaves regardaient ce petit corps balloter suivant les mouvements de Maître Tumba.

Sweet Pussy s'accroupit et prit l'initiative de doigter Zoé. Elle enfonça un doigt puis deux, puis trois et les fit coulisser dans son vagin. Elle voulut y mettre un quatrième doigt mais l'élasticité de son vagin n'était encore qu'à ses prémices.

Maître Tumba sentit le plaisir arriva à son extase et il s'immobilisa pour gicler dans le cul de Zoé. Il relâcha son étreinte et sortit sa bite de l'étroit conduit.

« A genoux maintenant et nettoie ma bite, traînée. »

Zoé obéit servilement à l'ordre salace et nettoya méticuleusement l'engin qui venait de la sodomiser.

Maître Tumba paya Maître Patrick et ils sortirent du studio de tatouage repus de sexe.

Les quatre esclaves passèrent le mois de « location » chez Maître Tumba à se faire baiser par ses amis fortunés qui lui rendaient visite.

Maître Tumba avait aussi confectionné un genre de portique métallique qui comportait quatre tubes terminés par un sexe factice. Cet agrès pouvait être actionné par un moteur et devenait donc une fucking-machine ou laissé immobile.

« Mes amis, j'ai fabriqué un engin qui va vous divertir et régaler vos yeux. »

Pour surprendre les quatre esclaves, il demanda à son majordome d'amener sa petite invention et de la poser sur la plage de la piscine. Les invités étaient dans l'expectative. Leur attente fut brève lorsqu'ils virent l'engin arriver.

« Bravo, Maître Tumba. Votre imagination en matière de SM me surprendra toujours. »

« Eh les putes, venez ici nous divertir. »

« Oui Maître. » Dirent les quatre soumises.

Elles s'approchèrent et virent l'engin qui ne laissait aucune ambiguïté sur son utilisation.

« A genoux, chiennes! »

Les quatre esclaves obtempérèrent. Maître Tumba prit une pompe à graisse et enduisit les quatre plugs en forme de bite de gros diamètre qui étaient fixés sur l'engin. Sweet Pussy sentit que Maître Tumba lui enfonçait dans le rectum une canule pour lui graissait son intestin, puis en retirant la canule il déposa sur son anus une noisette de graisse. Il répéta l'opération trois fois.

« Allez les putes, divertissez-nous en vous fourrant le cul de ces plugs. »

« Oui Maître. »

Les convives et Maître Tumba virent alors les quatre soumises reculer sur leurs genoux et diriger leur cul vers les plugs qui pointaient en direction de leur cul. Les soumises ondulèrent du cul pour faire pénétrer ce plug de gros diamètre et contenter leur Maître. Les convives virant alors les anus s'ouvrir et absorber les bites factices. Les esclaves faisaient coulisser leur cul sur la longueur du plug. Parfois Maître Tumba appuyait sur la télécommande et c'étaient les plugs qui coulissaient dans le rectum des soumises qui devaient rester immobiles pour ne pas sentir le plug buter contre leur intestin et les blesser.

Les invités vantaient les talents de ces esclaves, piercées, tatouées, avec d'énormes seins et qui ne rechignaient pas devant les exigences de leur Maître.

Lorsque leurs couilles étaient vides, les invités buvaient et fumaient tout en regardant les quatre esclaves se gouiner et offrir un spectacle lesbien de toute beauté ou se faire baiser par la meute de chien de Maître Tumba.

C'est avec une certaine émotion que Sweet Pussy, N°1 et Soumise Aurore quittèrent Lola qui se laissa aller aux larmes. Elle savait qu'elle allait se retrouver seule avec son Maître, ce qui n'était pas arriver depuis trois longues années.

« Tu retourneras chez Maître Alexandre dans quelques semaines. Promis. »

Une visite inattendue

Les trois esclaves avaient repris leur train-train quotidien avec Maître Alexandre. Entre les clients pour des parties de baise et leur entrainement, les semaines passaient à une vitesse folle.

Maître Tumba rendit visite à Maître Alexandre deux mois après avoir rendu ses esclaves, comme il l'avait promis à Lola.

Maître Tumba ne traîna pas car il prenait un vol pour la Côte d'Ivoire, une affaire urgente à traiter l'amenait à entreprendre ce voyage. Lola n'en était que plus heureuse de retrouver Sweet Pussy et N°1, mais aussi Soumise Aurore dans une moindre mesure.

Maître Alexandre regardait avec délectation ses esclaves subir un entraînement au plug. Les quatre soumises étaient attachées sur un banc et une fucking-machine installée derrière leur corps faisait coulisser un plug de gros diamètre dans leur cul. Les gémissements se faisaient entendre régulièrement car en plus, un plug et des patches pour électrostimulation avaient été posés. Lorsque la sonnerie retentit. Maître Alexandre se rendit à l'entrée quelque peu désappointé d'être dérangé pendant l'entrainement des quatre esclaves sexuelles.

Maître Alexandre passa le relais à Maître Manu et quitta la pièce sans un mot. Il se dirigea vers la porte d'entrée lorsque la sonnerie retentit à nouveau. Il ouvrit la porte, ce qui surprit la jeune femme qu'il trouva devant lui.

« Excusez-moi de vous avoir effrayée. »

« Il n'y a pas de mal Monsieur. Je vous remercie pour votre sollicitude. »

« Qu'y a-t-il pour votre service? »

« Je me prénomme Marie-Charlotte, je suis journaliste investigatrice. »

« Je ne veux pas d'interview, ni être interrogé sur quoi que ce soit. »

« Mais je recherche ma mère dans le cadre de mon enquête! »

« Ah, et qu'est-il arrivé à votre mère? »

« Ne pourrait-on pas en discuter à l'intérieur plutôt que sur le pas de votre porte? »

« Veuillez m'excuser Mademoiselle. Je manque à tous mes devoirs. Entrez, je vous prie. »

Maître Alexandre laissa passer la journaliste vêtue d'un tailleur gris prince de galles dont la jupe laissait les genoux et le bas des cuisses de la jeune femme apparents. La journaliste portait une paire de collants noir brillant du plus bel effet à la lumière. Maître Alexandre la suivit dans le couloir et l'invita à se diriger vers le salon sur sa gauche. Maître Alexandre fixait les jambes et les mollets bien galbés de sa visiteuse. Des idées sexuelles emplirent son cerveau. Elle attendit qu'il lui ouvre la porte. La journaliste vit alors un magnifique salon avec plusieurs tapis au sol, des fauteuils et banquette en cuir vieilli et un magnifique miroir qui trônait au mur entre deux bibliothèques. Elle prit place dans la banquette, Maître Alexandre prit son siège habituel.

« Alors Mademoiselle? »

« Marie-Charlotte Van den Eede, Monsieur. »

« Que me vaut l'honneur de votre visite? »

« Comme je vous l'ai dit à votre porte, je recherche ma mère, Charlotte Van den Eede. Elle a disparu brutalement il y a sept ans, j'avais alors à peine quatorze ans. Mon père n'a jamais voulu parler de cette disparition jusqu'à ce qu'il se confesse sur son lit de mort. Il m'a avoué qu'il l'avait mise à la porte pour son comportement inconvenant et adultère. Elle lui avait dit qu'elle allait régulièrement rendre visite à une amie qui était dans le besoin et allait mal psychologiquement. Mon père l'a, un jour, suivi et l'a surprise en train de faire la putain dans cette maison. Lorsqu'il l'a vue, elle suçait le sexe d'un homme alors qu'un black la sodomisait comme la dernière des putes, j'emploie exactement ses mots. Elle lui a expliqué qu'elle était forcée de se soumettre à un homme, un certain Maître Tumba pour une question d'argent. Mon père, paix à son âme, n'a rien voulu entendre et l'a jetée à la porte avec sa valise et a coupé toute relation avec ma mère. »

Maître Alexandre fixait la jeune journaliste pendant qu'elle lui narrait son histoire.

« C'est une bien triste affaire. Mais je ne connais ce... comment dîtes-vous déjà, Maître Tumba. »

« Oui c'est son nom d'après les explications de ma mère à l'époque. »

« J'ai emménagé dans ce manoir il y a à peine deux ans seulement et je suis d'origine française. »

« Mais je vous ai dit comment je me prénommais mais vous ne m'avez pas donné votre nom. »

« Alexandre De Vénissieux pour vous servir. »

« Vous vivez seul? Parce qu'il m'a semblé avoir entendu des voix de femmes de temps à autres lorsque vous m'avez invité à entrer? » Dit la journaliste en notant sur son calepin les informations glanées.