Kidnapping et Soumission Tome 16

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Non effectivement, je ne vis pas seul. Peut-être était-ce mes soumises que vous avez entendues. »

« Pardon? »

Maître Alexandre essaya de détourner l'attention de la journaliste :

« Je crains malheureusement de ne pas vous être utile, n'étant pas de la région, mais si un bruit parvenait à mes oreilles, je ne manquerais pas de vous avertir. Auriez-vous une carte, pour que je puisse vous contacter? »

« Bien sûr, la voici. »

Maître Alexandre raccompagna la journaliste vers l'entrée et lui souhaita bonne chance dans son enquête.

Maître Manu observait la scène derrière le miroir sans tain du salon. Maître Alexandre pénétrait dans le salon alors que Maître Manu poussait le magnifique miroir pour se faufiler dans le salon.

« Pauvre fille. C'est terrible ce qui lui arrive! »

Maître Manu faisait les cent pas avec l'index devant la bouche.

« Qu'y a-t-il Maître Manu? Crachez le morceau! »

« La prison vous aurait-elle ramolli le cerveau?

« Pourquoi cette question? »

« Vous n'avez pas fait le rapprochement. Marie-Charlotte la fille, Charlotte la mère, Maître Tumba, Lola... »

Tout en disant cela, Maître Manu faisait comme si ses bras mettaient en balance les noms.

« Putain de merde. C'est la fille de Lola! »

« Eh ben, vous avez enfin compris! Il était temps. »

« Mais qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire? »

« Faut que je réfléchisse à un plan. »

« Et si on la prenait dans notre cheptel, la mère et la fille ce serait sensas non? La mère qui domine sa fille? » Dit Maître Alexandre en se frottant les mains, les yeux pétillants de plans salaces. »

« Faut pas s'emballer, il faut réfléchir à un bon plan pour éviter que ça nous pète à la gueule! »

« Mais ça serait pas mal, avouez-le! »

« Oui, c'est vrai, la mère et la fille comme esclave, ça serait jouissif de les voir ensemble dépravées. »

La jeune journaliste était sortie quelque peu dépitée du manoir mais elle s'était déjà retrouvée sur des pistes ne menant nulle part mais sa persévérance avait eu raison des pistes en cul de sac et elle avait fini par trouver. Elle se dit que quelques jours à reprendre toutes ses infos lui permettrait peut-être de trouver une nouvelle piste. Elle prit dans le parking du journal un fourgon banalisé et se fit le trajet jusqu'au manoir pour se mettre en planque avec son équipier, caméraman depuis 10 ans et a pour seul avantage d'être bâti comme une armoire à glace. Leur système de planque était plutôt bien rodé. Leur fourgon était stationné devant le domicile ou tout autre endroit. Si l'intéressé sortait et venait vers le fourgon, le « caméraman » sortait de son fourgon de messagerie en baillant et de sa grosse voix demandait pourquoi on le réveillait alors qu'il faisait sa pause. Généralement, avec son physique, l'intéressé ne demandait pas son reste et partait la queue entre les jambes. Marie-Charlotte reprenait tranquillement ses observations et prises de clichés dans sa niche sous le tas de faux colis.

Elle prit de nombreux clichés des quatre esclaves sexuelles de Maître Alexandre quand elles quittaient ou rentraient au manoir en compagnie de leurs Maîtres. Elle essaya même de suivre leur van. Mais lorsque le van pénétra dans un des quartiers louches de Liège, elle dût renoncer pour éviter d'avoir les hommes en manque de sexe lui coller aux baskets ou de passer pour une prostituée racolant avec son fourgon. Mais elle réussit à les suivre lors d'une soirée passée chez un bourgeois. Les quatre esclaves avaient été louées pour être le dessert de la soirée. Elles étaient habillées de latex, comme à leur habitude. N°1 portait un costume de boniche, Sweet Pussy portait son costume d'écolière, Soumise Aurore avait un costume d'infirmière et Lola une combinaison latex noire.

Marie-Charlotte développa ses clichés et étudia à la loupe les visages de ces femmes au look particulier. Les clichés étaient parfaits. Elle faisait des agrandissements de certains clichés pour savoir si sa mère ne faisait pas partie de ces femmes. Elle contacta un ami dans la police scientifique pour qu'il fasse une reconnaissance faciale mais il ne fut pas certain de ses résultats et ne voulut pas lui donner de faux espoirs. Leurs piercings, leurs tatouages et les modifications mammaires n'aidaient pas à obtenir un résultat positif.

Elle fit aussi des recherches sur ce Maître Alexandre de Vénissieux. Elle contacta plusieurs flics à la police des mœurs mais téléphona aussi à des collègues de journaux concurrents pour obtenir des informations sur ce français. Elle reçut une mine de renseignements qui lui permit de tracer le portrait de cet homme.

Elle se décida à revenir au manoir et d'obtenir des informations sur sa mère sous un autre angle d'attaque.

C'est par une belle et chaude journée que Marie-Charlotte entra dans le domaine de Maître Alexandre. Elle était vêtue élégamment comme à son habitude : une veste, une jupe juste au-dessus du genou et des escarpins.

Maître Alexandre ouvrit la porte et fut surpris de revoir cette journaliste.

« Bonjour Mademoiselle. » Fit Maître Alexandre.

« Bonjour Monsieur de Vénissieux. »

Il la fit entrer et la conduisit au petit salon. lls s'installèrent dans les vastes fauteuils en cuir vieilli.

« Que me vaut le plaisir de cette nouvelle visite, Mademoiselle Van den Eede. »

« Eh bien, depuis ma première visite, j'ai fait quelques recherches Maître Alexandre. »

Le sourire qu'affichait Maître Alexandre disparut de son visage.

« Oui, je vois et ces recherches ont-elles été fructueuses? »

Marie-Charlotte attaqua de front son interlocuteur.

« Vous ne m'aviez pas dit que vous étiez un proxénète, Monsieur de Vénissieux. »

Maître Alexandre reçut l'insulte en plein visage mais elle ne le décontenança pas le moins du monde.

« Savez-vous ce qu'est un proxénète? »

« Oui, c'est une personne qui organise la prostitution d'autrui pour en tirer des revenus. »

« Connaissez-vous beaucoup de proxénètes qui nourrit, loge et blanchit ses putes? »

« Connaissez-vous beaucoup de proxénètes qui payent leurs vêtements et leur maquillage?

« Connaissez-vous beaucoup de proxénètes qui s'inquiètent de leur santé et appelle un médecin? »

« Dites-moi donc, Maître Alexandre, seriez-vous le premier proxénète à faire du social? » Répondit Marie-Charlotte à Maître Alexandre.

« Monsieur de Vénissieux, je désire plus que tout au monde retrouver ma mère, c'est pour cela que j'ai fait des recherches sur vous. »

« Enquêter, voulez-vous dire! »

« Et par la même occasion, je souhaiterais réaliser un reportage sur le BDSM et l'activité SM underground. »

« Vous ne pourrez jamais entrer dans ce milieu. Il faut montrer patte blanche, obtenir des parrainages pour entrer dans les clubs. Avec votre tenue vous serez vte repérée. Si vous voulez vraiment retrouver la trace de votre mère, vous devrez vous imprégner de ce milieu. Quand on entre dans ce monde, volontairement ou par contrainte on en ressort marqué ou on en ressort pas du tout. Ce n'est pas de tout repos et que ce n'est pas un jeu. »

« Je comprends. »

« Je vais vous soumettre à un test. Et de par vos réponses, je vous dirai ce que l'on pourra faire. »

« Je suis prête, allez-y première question. » Fit la journaliste en souriant.

« Pratiquez-vous la fellation? »

« Oui. »

« Et vous avalez le sperme? »

« Non, beurk. »

« La sodomie? »

« Non, c'est dégradant! »

« Donc pas de double pénétration, de plan à trois, d'orgie ou de gang-bang. Et vous ne sucez donc pas la bite qui vendrait juste de vous enculer. »

« Non mais quelle horreur. »

« Bi-sexuelle? »

« Non. »

« Pratique SM alors? »

« Non. »

« Avez-vous des piercings ou des tatouages? »

« Non et non. »

« Ces pratiques sont le quotidien de mes soumises et celles de votre mère à présent, certainement.»

« Si vous voulez retrouver votre mère, il vous faudra faire quelques concessions, sinon, je ne pourrai rien pour vous! »

« Mais je désire plus que tout retrouver ma mère mais je pensais plutôt à réaliser un reportage et montrer ce qu'est le SM en réalité et par la même occasion retrouver la trace de ma mère, mais je ne veux surtout pas devenir une de vos esclaves. »

« Je vais vous montrer mes soumises pour que vous voyez ce qu'est le SM Underground. »

Maître Alexandre téléphona à Maître Manu.

« Maître Manu? Pourrez-vous amener N°1 et Sweet Pussy. »

« Quoi? Ah, oui en bikini ce sera parfait. »

Le silence se fit entre Maître Alexandre et Marie-Charlotte, un silence qui devint pesant au bout de quelques minutes. Ce silence fut coupé par l'entrée de Sweet Pussy et N°1. Elles pénétrèrent dans le salon en bikini latex et sandales compensées.

Marie-Charlotte en fut bouche bée et ouvrit de grands yeux lorsqu'elle vit les seins énormes des deux esclaves, les nombreux piercings sur leurs corps et les non moins nombreux tatouages sur leur peau et leur tête pratiquement rasée.

« Je vous présente mes deux perles. Sweet Pussy et N°1. » Dit Maître Alexandre en se plaçant entre ses deux esclaves, les prenant par la taille et en embrassant Sweet Pussy sur la joue.

« Ne sont-elles pas magnifiques? »

« Oui... » Dit dubitativement Marie-Charlotte.

Maître Alexandre se plaça derrière Sweet Pussy.

« Regardez-moi ces énormes nibards avec ses piercings qui les traversent. » Renchérit Maître Alexandre qui avait posé ses mains sur les deux gros seins de Sweet Pussy et pinçait délicatement ses tétons piercés. Il fit glisser le latex formant le soutien-gorge du bikini pour exposer les seins piercés de Sweet Pussy.

« Venez, approchez et touchez-les. Et touchez cette matière, c'est du latex, les hommes fantasment sur des femmes habillées en latex. »

Marie-Charlotte avait les yeux fixés sur les seins de Sweet Pussy mais hésitait à les toucher. C'est Maître Alexandre qui la prit par le bras. Elle sortit du canapé en cuir et Maître Alexandre posa la main de Marie-Charlotte sur le sein droit de Sweet Pussy. Sa main était hésitante et tremblait au toucher de la peau distendue des seins.

Maître Alexandre fit glisser sa main et dénoua alors le nœud du slip du bikini. Marie-Charlotte vit alors le sexe lourdement annelé de Sweet Pussy. Sa mâchoire faillt se décrocher lorsqu'elle vit tous les anneaux qui faisaient pendre les lèvres de son sexe.

« Regardez-moi cette chatte annelée. Les hommes raffolent des piercings sur le sexe des femmes. Ces lèvres lourdement annelées fascinent les hommes qui baisent ces esclaves. »

Maître Alexandre soupesait de sa main les lèvres annelées et distendues de Sweet Pussy.

Puis d'un signe de la main, Maître Alexandre ordonna à ses deux esclaves de quitter la pièce.

« Mais ce sont des monstres de foire! On dirait des extra-terrestres avec leurs piercings sur le front.» s'indigna Marie-Charlotte.

« C'est ce qu'avait dit Sweet Pussy à l'encontre de N°1 lorsqu'elle la vit la première fois. Puis les nombreux piercings, des tatouages, le rasage de sa tête et les nombreuses augmentations mammaires firent d'elle la sœur jumelle de N°1. » Dit en souriant Maître Alexandre.

« Et les hommes fantasment sur ça! »

« Vous n'avez pas idée! Elles sont la coqueluche des soirées mondaines et SM. »

« Et ma mère ressemble à ça aussi maintenant? »

« Peut-être. Il y a des Maîtres qui, comme moi, équipent leurs esclaves de bijoux et autres apparats. D'autres pas. »

« Vous n'avez que deux esclaves comme vous dites? Il me semblait en avoir vu d'autres. »

« Vous êtes très observatrices. »

« Effectivement, j'ai d'autres esclaves. J'en ai deux qui sont actuellement punies. Vous voulez les rencontrer? »

« Si ça ne vous dérange pas. Je veux bien. »

« Alors allons-y. »

D'un geste du bras, Maître Alexandre invita la journaliste à la suivre. Marie-Charlotte suivait Maître Alexandre dans un couloir, puis ils descendirent une volée d'escalier. Maître Alexandre ouvrit une porte et invita la journaliste à passer devant lui. Marie-Charlotte se retrouva dans une pièce immense éclairée par une lumière tamisée.

« On est presque arrivé. »

Il ouvrit une seconde porte. Marie-Charlotte s'arrêta net et vit alors une forme humaine attachée à un portique au milieu d'une pièce fortement éclairée. Puis sur une table, se trouvait une autre forme humaine couverte de rouge.

« Celle-ci c'est Lola. Ce n'est pas mon esclave sexuelle, elle n'est qu'en prêt, son Maître est en voyage d'affaire. Elle n'a pas obéi à son Maître. Son Maître m'a demandé de la punir pour sa désobéissance. »

« Mais qu'a-t-elle fait? »

« Elle a refusé de se faire baiser par une vingtaine d'hommes parce qu'elle se sentait fatiguée. On appelle cela le total inclosure en SM. »

Marie-Charlotte observait la forme noire. Elle tourna par curiosité autour du portique pour voir la posture de cette forme humaine dépersonnalisée. Marie-Charlotte vit que les jambes de la femme, car elle vit la forme de ses énormes seins sous la couche de latex, était repliées sur l'arrière de ses cuisses. Ses bras étaient ligotés dans son dos.

La forme humaine féminine portait un masque duquel sortait un tube noir. Elle portait un collier autour du cou avec un gros anneau.

Des liens autour de ses jambes, de ses bras et autour de sa taille la maintenaient sur les tubes noirs qui formaient le portique. Elle était comme en sustentation dans l'air. Marie-Charlotte entendait le son de la respiration de l'esclave sortir du tube duquel coulait un filet de bave sans discontinuer. Au niveau de sa poitrine une poire de gonflage pendait et bougait lentement suivant le rythme de sa respiration. Une dizaine de câbles électriques raccordée à un boitier de commande, sortait au niveau de son sexe. Ses bras tendus étaient arrachés dans le dos de la soumise.

« A quoi servent tous ces équipements? »

« Curieuse? »

« Un peu. »

Maître Alexandre prit la poire gonflable en la montrant à la jeune journaliste.

« Cette poire sert à gonfler le ball-gag en forme de papillon qu'elle a dans le gosier. Regardez ses joues. »

Maître Alexandre appuya deux fois sur la poire. On entendit alors la forme humaine couverte de latex gémir au travers du tube.

« On peut aussi la faire souffrir un peu plus en faisant cela et lui montrer qui est le Maître de de sa vie. »

Maître Alexandre boucha avec son doigt le tube qui permettant l'oxygénation de l'esclave. Marie-Charlotte vit alors la forme humaine bougeait le peu qu'elle pouvait afin de trouver l'oxygène donneur de vie dont le Maître la privait.

Maître Alexandre ôta son doigt du tube et ils entendirent alors un rythme de respiration alletant qui retrouva lentement son rythme normal.

« Ce portique a aussi cette particularité. »

Maître Alexandre appuya sur une pédale au bas du portique. Ils entendirent un bruit métallique et Maître Alexandre fit pivoter sa soumise par l'axe du portique. La soumise se retrouva donc la tête en bas. La respiration de celle-ci s'accéléra. Maître Alexandre se baissa. Il plongea son égard dans celui de la journaliste et boucha à nouveau le tuyau permettant à l'esclave de respirer. Marie-Charlotte vit alors les jambes et le torse de l'esclave gigoter et des gémissements pour chercher l'air donneur de vie. Il lâcha le tuyau. La forme noire ne gigota plus et son souffle revint à la normale. Maître Alexandre laissa encore quelques minutes son esclave la tête en bas, puis la releva.

« Maintenant je vais vous montrer à quoi servent ces câbles électriques et ce boîtier de commande. Ces câbles sont reliés à des patches posés sur ses nibards, à des plugs fichés dans son cul et sa chatte mais aussi sur les muscles de cette pute. Ce boîtier est une centrale d'élecrostimulation pour faire travailler les muscles. Mais pour cette esclave récalcitrante, nous lui faisons travailler ces trous à bites et ses nibards. »

Maître Alexandre usait volontairement de mots grossiers pour observer la réaction de son interlocutrice. Marie-Charlotte regardait fixement la femme couverte de latex.

« Voulez-vous la faire souffrir un peu en augmentant les impulsions? »

« Je n'ose pas, Monsieur de Vénissieux. »

« Ne vous en faîtes pas Marie-Charlotte, elle ne saura pas qui lui inflige cette punition. Et de toute façon, elle n'a rien à dire. Elle n'est qu'une esclave sexuelle et une soumise. »

Marie-Charlotte se saisit de du boîtier de commande et l'examina. Elle vit les inscriptions notées sur le boîtier qui indiquaient à quelle partie du corps les dix potentiomètres étaient reliés : nibards, chatte, cul, fesses entre autres.

« Vous voyez les patches au travers de sa combinaison latex? » Dit Maître Alexandre en montrant les patches sour les seins de la forme humaine.

Lorsque Maître Alexandre effleura le sein de la soumise, celle-ci eut un soubresaut et on entendit au travers du tuyau de respiration un gémissement. Marie-Charlotte poussa le bouton pour la mise en route de la centrale. Elle hésita ensuite sur le choix du programme. C'est Maître Alexandre qui l'aida dans son choix

« Je serai vous, je choisirai le mode aléatoire Comme cela, cette pute ne saura pas quelle partie de son corps va travailler et quelle intensité lui traversera son corps »

Marie-Charlotte suivit le conseil de son hôte et choisit le programme aléatoire. Elle entendit alors la forme humaine gémir lorsque les implulsions lui étaient envoyées.

« Si vous le désirez vous pouvez augmenter l'intensité sur les parties génitales que vous souhaitez voir travailler. »

La jeune journaliste regardait Maître Alexandre et obéissait à ses demandes comme si elle devenait sa soumise.

Marie-Charlotte choisit le potentiomètre qui faisait travailler les seins et le fit pivoter pour atteindre la force 3 en intensité. La forme noire se mit à gémir et à tressauter lorsque les impulsions lui traverèrent les seins. Puis elle pivota le potentiomètre des fesses et se positionna derrière l'esclave pour observer les mouvements de la forme humaine. Marie-Charlotte vit alors les muscles fessiers de l'esclaves se contracter. Elle lança un regard vers Maître Alexandre qui lui fit un signe de la tête qu'elle avait son assentissement pour continuer.

Marie-Charlotte actionna les potentiomètres qui allaient faire travailler le cul et la chatte de l'esclave. Lorsque l'esclave reçut les implusions de la centrale l'esclave se contorsionnait et gémissait sous son masque. Elle pouvait entendre les cris de « son esclave » au travers du tube permettant sa respiration. Marie-Charlotte et Maître Alexandre observèrent les contractions du corps recouvert de latex et les gémissements de l'esclave pendant une dizaine de minutes. Puis Marie-charlotte tourna un à un les potentiomètres au maximum d'intensité distribuée. La forme noire gigotait sur le portique et ses gémissements n'étaient plus qu'un cri ininterrompu. Le souffle de l'esclave était bruyant, elle éructait et la salive était comme projeté suivant le rythme de son souffle et non plus un filet ininterrompu.

Maître Alexandre observa son invitée infliger la souffrance à une esclave, ignorant qu'elle était sa mère. Pouvait-elle être sa nouvelle Maîtresse de maison se demandait Maître Alexandre. Cette idée le fit sortir de son rêve car il voulait aller au bout de sa première idée et avoir cette jeune femme et sa mère comme esclave.

Marie-Charlotte était comme hipnotisée par ce qu'elle voyait et voir souffrir l'esclave qui se trouvait devant elle la désinhiba quelque peu. Elle aussi sortit de son trip et débrancha la centrale d'électrostimulation d'un seul coup.

« Et si on allait voir la seconde esclave. »

« Comme vous voulez. »

Ils firent quelques pas. Maître Alexandre et la journaliste se présentèrent devant une table sur laquelle se trouvait une autre forme humaine, couverte de rouge.

Maître Alexandre fit les présentations.

« Je vous présente Soumise Aurore. »

Soumise Aurore se trouvait sur une table en hogtie, couverte d'une combinaison et d'un masque latex sur lequel un harnais était fixé. Ce harnais, équipé de la même poire gonflable et du même tube pour lui permettre de respirer, était identique à celui de la première esclave. Ses bras se trouvaient dans un armbinder, dans son dos, ce qui lui relevait les épaules. Ses jambes étaient serrées l'une contre l'autre à l'équerre. Une corde reliait ce harnais aux chevilles de la soumise. Cette corde était telle que la tête de l'esclave était fortement relevée. Marie-Charlotte se disait que la posture devait être fatigante pour cette femme.