Kidnapping et Soumission Tome 16

BÊTA PUBLIQUE

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« Et qu'a-t-elle fait pour mériter ce châtiment? »

« Rien, Soumise Aurore est mon esclave et j'avais envie de lui infliger ce traitement pour qu'elle sache qui est son Maître. »

« Mais vous êtes sadique! »

« C'est cela le BDSM. Certains hommes aiment dominer de la sorte les femmes. Et certaines femmes aiment se faire dominer de la sorte. »

Maître Alexandre prit une des poires de gonflage.

« Vous voyez cette poire gonflable, il y a les mêmes pour sa chatte et son cul de pute. Gonflez-les si vous le voulez. »

Marie-Charlotte se pencha vers le visage de la soumise et entendit le souffle de sa respiration au travers du tube. Elle prit la poire et se mit à la presser une première fois. Elle entendit alors la soumise gémir dans son masque. Elle pompa à nouveau sur la poire plusieurs fois et vit les joues de la soumise gonfler.

Elle passa sur le côté de la table et vit les deux poires reliées à son sexe et à son fessier. Elle les prit dans ses mains et les pressa simultanément. La soumise se mit à geindre. Marie-Charlotte était comme en transe et pompait les deux poires. La soumise se mit à hurler dans son ball-gag car elle sentait les deux plugs gonflables lui écartelerer les chairs de son cul et de sa chatte. Marie-Charlotte vit le corps de l'esclave se trémousser sur la table. Marie-Charlotte sourit à la vue de cette danse pas comme les autres. Elle se positionna devant le visage masqué et posa sa main sur le tube du harnais, puis boucha celui-ci avec son doigt. L'esclave essaya de retrouver de l'air par le nez et vit alors le masque se gonfler et se recoller au visage de la femme au gré de sa respiration. L'esclave poussa des gémissements pour manifester son manque d'air. Marie-Charlotte relâcha l'embout du tuyau et l'esclave retrouva peu à peu un rythme respiratoire normal. Elle regarda sa montre.

« Vous m'avez fait perdre la notion du temps. Je suis en retard pour mon prochain rendez-vous. Il faut que je me sauve. »

« Je vous raccompagne. »

Maître Alexandre raccompagna son invitée jusqu'à la porte d'entrée.

« J'espère vous revoir bientôt. » Dit Maître Alexandre en faisant un bais-main.

Marie-Charlotte en fut décontenancée et surtout flattée, mais ne répondit pas à cette invitation.

Maître Alexandre regarda la jeune journaliste s'éloigner jusqu' à ce qu'elle passe le portail de la demeure et disparaisse de sa vue. Maître Alexandre la voyait s'éloigner et l'imaginait dans une combinaison latex, attachée au même portique en face de sa mère, sans masque l'une comme l'autre soumise aux impulsions électriques. Il sortit de son fantasme lorsqu'il sentit son sexe en érection sous son pantalon. Il retourna à l'intérieur de son manoir et se rendit dans la salle de sport dans laquelle se trouvaient N°1 et Sweet Pussy qui faisaient des exercices d'assouplissements.

« Vous deux suivez-moi. »

Maître Alexandre suivit de N°1 et de Sweet Pussy, pénétrèrent dans la chambre de Maître Alexandre. Les deux esclaves savaient qu'elles allaient se faire baiser par leur Maître. Maître Alexandre prit par la taille ses deux esclaves et commença par embrasser langoureusement Sweet Pussy puis N°1. Cette douceur surprit les deux esclaves qui rendirent ce baiser par une acollade amoureuse. C'est avec une douceur inhabituelle que Maître Alexandre appuya sur les épaules de ses deux soumises pour qu'elles lui sucent la queue. Les deux esclaves sexuelles dégrafèrent lentement le pantalon de leur Maître qui tomba à ses pieds. Elles lui descendirent le caleçon pour découvrir une bite tendue comme un arc. Elles lui léchèrent la queue avec leur langue fourchue et piercée. Maître Alexandre fermait les yeux et se passait de temps à autre la langue sur les lèvres. Sentant le plaisir monter, il leur dit :

« Mettez-vous sur le lit en levrette et baisser votre culotte. »

Sweet Pussy et N°1 obtempérèrent et se positionnèrent sur le lit à quatre pattes. Maître Alexandre ôta son pantalon et son caleçon. Il déboutonna sa chemise. Il alla à son chevet et prit un pot de gel. Les deux esclaves virent alors leur Maître enduire sa queue de gel. Maître Alexandre disparut de leur vue. Il se positionna derrière Sweet Pussy qui sentit le gland sur son anus. Maître Alexandre poussa lentement son sexe qui glissa dans le boyau de Sweet Pussy.

Après quelques va et vient, il laissa Sweet Pussy le cul ouvert et se positionna sur l'anus de N°1. Il l'encula aussi doucement que Sweet Pussy. Les deux esclaves n'étaient pas habituées à autant de douceur, cette douceur décupla leur plaisir et leur désir pour leur Maître. Elles changèrent de position et poussèrent leur Maître sur le lit. Sweet Pussy se saisit de la bite de son Maître pour la sucer tandis que N°1 se positionna à califourchon sur le visage de Maître Alexandre qui s'empressa de lui lécher la chatte. Au bout de quelques minutes, Sweet Pussy se leva et enjamba la queue de son Maître pour se pénétrer la chatte. N°1 fit volte-face pour pouvoir caresser les seins de Sweet Pussy. Elle embrassa sa comparse alors qu'elle se faisait toujours lécher la chatte par son Maître.

C'est Sweet Pussy qui, la première, connut un orgasme fulgurant en se frottant le clitoris piercé contre le ventre de son Maître alors que N°1 lui pinçait toujours les tétons. Elle jouit abondamment sur son Maître qui lâcha des jets de sperme dans son vagin. N°1 poussa Sweet Pussy, qui se retrouva sur le dos et se mit à lui lécher avidement le sexe pour aspirer la semence de son Maître. N°1 quitta la chatte de Sweet Pussy pour gagner sa bouche et partager la liqueur de leur Maître.

« Humm, merci N°1. » Dit Sweet Pussy en se passant la langue sur les lèvres pour récupérer la semence qui coulait sur celles-ci.

N°1 embrassa à nouveau Sweet Pussy et regarda d'un œil malicieux son Maître tout en embrassant sa comparse et en caressant ses seins. Sa main descendit vers la chatte de Sweet Pussy et N°1 y enfonça ses doigts. Maître Alexandre les regarda se caresser. N1 commença un va et vient avec sa main. Sweet Pussy haletait comme une chienne en chaleur. N°1 accéléra le rythme et Sweet Pussy eut un orgasme fulgurant et gicla abondamment sur la main de N°1 et les draps. A la vue de cet orgasme, sa bite reprit de la vigueur et il quitta le lit pour se positionner derrière N°1 qui ondulait des hanches pour aguicher son Maître. Ce dernier pointa son sexe sur l'anus exposé et enfila d'un coup sec le cul de N°1 qui hurla sous l'assaut bestial. Maître Alexandre, ivre de plaisir, avait perdu sa douceur et fourrageait son esclave avec violence maintenant.

« Sweet Pussy, mets-toi à côté de N°1 dans la même position. »

« Oui Maître. » Dit Sweet Pussy.

Maître Alexandre décula N°1 et encula de suite Sweet Pussy. Maître Alexandre allait et venait dans un cul et dans l'autre. Parfois, il prenait la tresse d'une de ses esclaves pour qu'elle le suce sa bite après avoir été enculée par celle-ci.

« Allez, accroupies sur le sol toutes deux. »

Elles obtempérèrent et Maître Alexandre jouit puissamment sur le visage de ses deux esclaves.

« Léchez vos visages pour ne pas perdre une goutte de la liqueur de votre Maître. »

Les deux esclaves se léchèrent mutuellement le visage pour effacer toute trace de sperme. Les trois protagonistes sortirent de leur bonheur sexuel pour retrouver la plancher des vaches. Sweet Pussy et N°1 se levèrent et embrassèrent sur la joue leur Maître.

« Merci Maître. » Dirent les deux esclaves.

Elles ramassèrent leur bikini et sortitent de la chambre. Maître Alexandre sourit et les regarda s'éloigner. Il se souvint que deux de ses soumises étaient toujours punies et qu'il fallait les libérer. Il descendit au sous-sol et libéra ses deux esclaves de leur bondage. Elles hurlèrent de douleur lorsque leurs membres furent libérés de leurs liens.

Quelques jours plus tard, Maître Tumba fit une visite surprise au manoir pour revoir Lola. Maître Alexandre fit un rapide compte-rendu de son séjour et de sa punition. Ils discutèrent du beau temps et de la pluie et d'autres sujets sans grand intérêt.

Maître Manu entra accompagné des quatre soumises tenues en laisse. Lola vint s'assoir près du fauteuil de son Maître. Tandis que les trois esclaves prirent place autour des pieds de Maître Alexandre. C'est à ce moment là que Maître Tumba relança le sujet sur le montant d'achat de ses trois esclaves.

« Avez-vous réfléchi à la proposition dont nous avions discuté aux commodités lors de ma petite sauterie? »

Maître Alexandre coupa court à toute discussion sur ce sujet sensible. Le regard des trois esclaves s'assombrit et leur sourire disparut.

« Maître Tumba, je vous ai donné un montant que vous n'avez pas accepté. L'affaire est classée. »

« Faisons un petit concours alors! »

« Où voulez-vous en venir, Maître Tumba? »

« Un concours de tapinage. Pourquoi ne pas soumettre nos esclaves à un challenge. »

« Mais lequel? »

« On les met sur le trottoir à faire la pute rue de varin à Liège pendant un mois toutes les nuits et celle qui remportera le concours sera celle qui ramènera le plus de fric. »

« Et donc? »

« Si c'est ma Lola qui gagne vous me donnez une de vos esclaves. Si c'est une des vôtres, vous gagnez Lola. »

Sweet Pussy et N°1 s'offusquèrent et voulurent prendre la parole d'être considérées comme une vulgaire monnaie d'échange mais elles furent coupées dans leur élan par leur Maître d'un doigt levé. Le moment privilégié qu'elle avaient connu avec leur Maître quelques jours auparavant venait d'être rayé de leur mémoire par le peu de considération que leur portait leur Maître à l'instant.

« Ok. On part comme cela. Quand désirez-vous débuter votre concours? »

« Il faut que je me présente à la mairie avec elle pour leur obtenir un permis de travailleuse du sexe qui ne peut être délivré que par le bourgmestre. Dès qu'elles l'auront obtenu, elles auront droit à leur vitrine rue de Varin. Leurs vitrines seront les unes à côté des autres. Donc il n'y aura pas de problème. »

« Et les keufs? Ils fermeront les yeux sur elles? »

« Il y a un poste de police pas loin mais ils sont tolérents sur la prostitution. Pas tous, mais il n'y aura aucun problème. C'est clean. »

« Alors d'accord. Vous me tenez informé. »

Maître Tumba quitta le manoir en emmenant Lola.

Maître Alexandre retourna au salon où l'attendaient Maître Manu et ses trois esclaves. Sweet Pussy prit la parole, vociférant ses mots :

« On va encore faire la pute alors que vous jouez avec Maître Tumba à qui à la plus grosse. On le sait de toute façon puisque c'est Maître Tumba qui a la plus grosse. »

Maître Alexandre s'apporcha de Sweet Pussy et lui décocha un revers de la main qui la fit basculer. N°1 prit la défense de Swwet Pussy :

« C'est vrai, pourquoi vous nous prostituez encore une fois? On l'a déjà fait pendant une semaine pour renflouer les caisses et là c'est pour nous donner à lui! »

N°1 reçut elle aussi une gifle magistrale qui la déséquilibra. Le moment de douceur s'était maintenant complètement évanoui pour laisser place à de la violence.

« Maître Manu, mettez-moi ces deux putes en salle de total enclosure pendant deux heures, ça les fera réfléchir. »

« Bien, Maître Alexandre. »

Maître Manu prit manu militari les deux esclaves par le bras et direction le sous-sol. Les deux esclaves savaient qu'elles avaient été trop loin et ce qui les attendait.

Arrivés à la salle de « total enclosure », Maître Manu stoppa Sweet Pussy. Il prit des électrodes et des plugs qu'il montra à son esclave.

« Tu te mets ça dans le fion et la chatte. Les patches sur tes nibards, ton bide et tes fesses et je viendrais te poser le masque et le ball-gag. »

« Oui Maître. » Fit Sweet Pussy.

Maître Manu quitta Sweet Pussy et alla vers N°1.

« Tu mets ces plugs gonflables dans ta chatte et dans ton cul, et cette combinaison. Je te mettrai le masque et le ball-gag. »

« Bien Maître. » Fit N°1.

Maître Manu repartit auprès Sweet Pussy. Elle était prête, patches posés et plugs insérés. Sweet Pussy lui tendit le masque latex qu'il saisit en la regardant droit dans les yeux. Sweet Pussy baissa les yeux et pivota pour lui présenter le dos. Maître Manu lui passa le masque sur la tête et tira sur ses tresses pour les insérer dans le trou prévu pour les cheveux. Sur le masque étaient disposées quatre boucles de ceinture, deux à côté des yeux et deux à côté de la bouche.

« Avance et pose tes genoux sur les coussins. »

Sweet Pussy obtempéra et trouva par tatonnement les reposoirs. Maître Manu attacha le ventre de Sweet Pussy sur le portique, puis ses cuisses. Il replia le bas de ses jambes sur ses cuisses et les lia avec des sangles. Il prit ses bras et les mit dans le dos de son esclave pour les ligoter ensemble. Le corps de Sweet Pussy était maintenant attaché fermement au portique.

« Ouvre ta gueule, chienne. »

Sweet Pussy ouvrit la bouche et Maître Manu enfonça sans ménagement le ball-gag dans son gosier et boucla les ceintures de celui-ci. Puis il posa le bandeau sur les yeux de son esclave. Sweet Pussy se retrouva aveuglée et dans l'obscurité la plus totale. Il la guida vers le portique.

Maître Manu fessa violamment le cul de Sweet Pussy qui hurla dans son ball-gag. Il fit pivoter le portique par son axe et Sweet Pussy se retrouva la tête en bas. Ses tresses touchaient le sol. Maître Manu mit en route la centrale d'électrostimulation. Il vit alors les muscles de l'esclave se contracter et entendit les gémissements de Sweet Pussy lorsque les impulsions lui traversaient les seins, le vagin ou le cul.

N°1 vit tout le déroulé de l'opération pour Sweet Pussy et se disait que son sort était plus enviable que celui de sa comparse. Maître Manu remit Sweet Pussy la tête à l'endroit.

« A nous deux maintenant. »

N°1 avala sa salive car le regard de Maître Manu n'augurait rien qui vaille. Il lui posa le masque sur le visage et lui posa ensuite son ball-gag en forme d'anneau.

« Sur la table. » Dit Maître Manu en la montrant de l'index.

N°1 monta sur la table. Maître Manu lui replia les jambes en hogtie et les lia ensemble. Puis il tira une corde entre ses chevilles et sa tresse pour cambrer au maximmum son cou et ses jambes tout en ayant sa tête à l'ohrizontale. Maïtre Manu fixa en bout de table une barre équipée sur toute sa longueur d'anneaux de fixation. Il prit quatre fins câbles qu'il fixa aux anneaux de la barre.

« Sors ta langue de suceuse de bite, salope. »

N°1 sortit son organe et Maître Manu fixa deux des câbles sur un des anneaux de sa langue, celui du bout fourchu. Il prit les deux autres et les fixa sur l'autre anneau. N°1 ne pouvait plus rentrer son organe buccal. Maître Manu régla alors les câbles pour faire sortir au plus loin la langue de N°1. N°1 poussa un cri étouffé. Il pressa sur les deux poires gonflables. N°1 sentit alors les plugs gonflables écarter sa chatte et son cul.

C'est Maître Alexandre, accompagné de Maître Manu, qui vint personnellement ôter leur bondage. Il passa d'abord derrière le corps de Sweet Pussy. Il détacha les deux patches de ses fesses. Maître Alexandre décrocha du mur une cravache et la fit glisser sur le dos et les fesses de Sweet Pussy et tout à coup il lui cingla les fesses. Un cri étouffé sortit du ball-gag duquel coulait un filet ininterrompu de bave. Maître Alexandre cravacha le cul de Sweet Pussy sans une once de pitié. A chaque impact, Sweet Pussy hurlait dans son masque. Ses fesses furent zébrées de vingt coups de cravache.

Il pinça aussi ses tétons piercés, gonfla le ball-gag, augmenta l'intensité des impulsions de la centrale et obtura le tuyau de respiration. Sweet Pussy subissait toutes ces tortures en gémissant au travers du tuyau en latex. N°1 ne fut pas en reste car elle tata, elle aussi de la cravache après que son Maître lui eut délié les jambes. Il asséna des coups de cravaches tellement fort que le latex se déchira sous les impacts.

Maître Tumba fit les démarches nécessaires auprès de la mairie et eut un rendez-vous avec le Bourgmestre. Il appela Maître Alexandre qu'il passerait dans trois jours pour emmener ses trois soumises et Lola afin d'obtenir leur permis de travailleuse du sexe.

Trois jours plus tard, Maître Tumba entra dans le manoir. Maître Alexandre sortit avec ses trois esclaves et les fit monter à l'intérieur du van. Elles ne pipaient mots et avaient une mine déconfite.

« Ne me mettez pas en rogne ou vous allez le regrettez. »

« Lola a déjà regretté son attitude désinvolte et sa mauvaise tête. Lola montre-leur. »

« Oui, Maître. »

Lola releva sa jupe. Maître Tumba lui avait cadenassé la chatte par paire d'anneaux et un fil éléctrique dépassait de son sexe. Sweet Pussy et N°1 écarquillèrent les yeux. C'est alors que Maître Tumba appuya sur la télécommande qu'il avait à la main. Sweet Pussy et N°1 virent alors Lola se contorsionner et serrer les sièges en cuir avec les mains pour endurer la vive douleur qui lui traversait le sexe.

« Je lui ai insérer un œuf vibrant avec douze volts de tension et sa chatte est cadenassée. Les clients lui baiseront le cul pendant un mois complet.

« Vous voulez la même chose vous deux? » Dit Maître Alexandre à l'adresse de ses deux esclaves.

« Non, Maître. On est contente toutes les deux de faire la pute pour vous. » Fit Sweet Pussy.

« Non, Maître. On est contente toutes les deux de faire la pute pour vous. » Fit Sweet Pussy.

Maître Tumba se dirigea vers la mairie. Ils ne passèrent pas inaperçus lorsqu'elles traversèrent le magnifique hall d'entrée. Sweet Pussy était vêtue comme une petite écolière dans un costume trois pièces, top, mini-jupe et soquettes qui laissaient entrevoir ses tatouages sur le ventre, les bras et les jambes. N°1 portait une mini-robe rose fluo en latex dont la longueur s'arrêtait juste au bas de ses fesses, Soumise Aurore portait une mini-jupe et un top jaune fluo avec des cuissardes noires en vinyle et Lola portait une mini-jupe en cuir avec une brassière en tulle noir qui laissait entrevoir ses énormes seins. Les personnes qui attendaient aux guichets les dévisageaient éberluées par ces femmes sortant de l'ordinaire. Les piercings et leurs seins énormes attiraient le regard de quelques hommes qui furent vite réprimendés par leur épouse.

Leurs talons claquèrent sur le sol en marbre. Maître Tumba se dirigea vers le guichet d'accueil montrant sa convocation. La dame prit la convocation, l'examina et leva les yeux vers ces femmes de joie puisque la convocation était pour des permis de travailleuse du sexe.

« Troisième étage, sur votre droite le bureau du fond. Monsieur le Bourgmestre vous attend. » dit l'agent d'accueil d'un ton aussi glacial que l'antarctique.

Maître Tumba et les quatres futures putes montèrent les escaliers. Les personnes qu'elles croisaient étaient interloquées lorsqu'elles voyaient ces femmes habillées de la sorte. Nul doute qu'elles savaient quel était leur métier. Maître Tumba frappa sur la porte en chêne massif du bureau du Bourgmestre. Après avoir entendu un oui, il poussa la porte et ils entrèrent tous. Après les salutations d'usage, le Bourgmestre les invita à s'assoir.

« Vous venez pour des permis de travailleuse du sexe, c'est bien cela? »

« Tout à fait Monsieur le Bourgmestre. » Répondit Maître Tumba.

« Eh bien je vais tout de suite m'en occuper. »

Le Bourgmestre quitta son fauteuil.

« Mesdames, si vous voulez bien me suivre. » En désignant une pièce vitrée dans laquelle se trouvait un appareil photo sur un trépied.

« Laquelle d'entre vous désire passer la première? » Fit le Bourgmestre en ouvrant la porte vitrée du studio.

Comme aucune d'entre elles ne prenait l'initiative, Sweet Pussy se lança et pénétra dans le studio pour la pose obligatoire.

« Mettez-vous là contre le mur et tenez ceci entre vos mains, je vous prie. »

Sweet Pussy se saisit de l'ardoise noire sur laquelle était inscrit un numéro et se cala contre le mur sur lequel était fixé un tableau de mesure. Sweet Pussy se croyait dans une série policière dans laquelle elle avait été arrêtée pour prostitution.