Jung-Hyun & John 01 - L'abandon

BÊTA PUBLIQUE

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Elle gémissait à la cadence du gland qui lui malaxait le clitoris.

L'homme continuait de la travailler, sans défaillir un seul instant.

Il la fixait intensément. La pudeur s'accrochait de toutes ses forces en elle.

Elle se raidit. Elle se sentait céder, basculer sous le regard indécent de l'homme.

Il poursuivait son ouvrage, labourant sa fente sans ralentir.

Elle détendit ses jambes. Sa tête bascula en arrière.

Elle laissa l'intensité de l'orgasme la gagner, le flot l'inonder lentement.

Un chant long s'échappait de sa bouche.

Tous ses muscles se relâchaient d'extase.

Elle le laissa se consumer en elle. Le brasier lent et sourd incendiait son esprit, enfumait sa vue. Elle n'était plus que sa vulve, plus que ses seins. Elle en savourait chaque onde qui s'écrasait en elle, chaque déformation de ses muqueuses sous l'énorme gland.

Son corps se cabrait à présent sous les bourrasques indomptables de jouissance. Elle ne contrôlait plus ses cordes vocales. Elle ne s'entendait plus. Plus rien n'existait que le sexe de John qui écrasait son clitoris.

Seul traversait son esprit que le fait qu'elle jouissait sous les yeux de John.

L'homme poursuivait ses sévices avec une parfaite régularité. Il la regardait agonir lentement, allongeant son orgasme jusqu'au dernier fil. Jung-Hyun se faisait sienne, gémissante, formidable boule de plaisir ruisselant contre son gland.

La véritable Jessica s'abandonnait tout entière à lui. Seize années de fantasmes disparaissaient dans les chairs voluptueuses de son ventre et de ses seins qui sautillaient comme la flamme d'une torche.

La dernière fibre de son orgasme craquait enfin dans une longue complainte de reddition.

Elle tira machinalement ses cuisses vers elle et gémit une ultime fois en se caressant langoureusement les mamelles.

Il ralenti ses mouvements. Ses fluides féminins recouvraient son sexe toujours posé contre la vulve. Elle haletait, les yeux fermés, la tête tressaillant légèrement d'avant en arrière à chaque battement de cœur.

Aucun des rares hommes qui avait tenté de la faire jouir ne lui avait inspiré la confiance nécessaire pour pouvoir apprécier un orgasme long. Il fallait toujours que l'orgasme, à vrai dire presque jamais atteint, soit culminant et rapide car ses partenaires se fatiguaient aussitôt.

Là, c'était différent. John ne fléchissait pas. John le colosse savait garder sa queue bien droite et bien dure contre sa fente. Il lui avait infligé des vagues de plaisir successives et transportantes pendant de longues minutes. Elle n'en redescendait que degré par degré.

Il saisit les joues de la Coréenne entre ses deux mains. Elle ouvrit ses deux fines fentes de ses yeux.

—Tu es si belle quand tu jouis.

Elle ne répondit que par des souffles courts. Elle cachait toujours modestement ses seins dans ses petites mains. Devant lui, le tableau de cette asiatique défaite, à demi dissimulée, était encore plus sensuel.

Mais son membre était brulant. Ses couilles étaient lourdes. Il regarda le doux visage de la coréenne, les pommettes rosées par le feu de l'orgasme.

***

Il ne pouvait à peine y croire. Il allait se permettre d'entrer en elle, dans cette femme d'une beauté irréelle. Il allait sentir autour de sa queue tendue l'intérieur de son ventre. Il allait sentir la chaleur de sa chatte l'enserrer, ses contractions lui sucer la tige, son utérus caresser son gland et aspirer son flot de semence.

Elle retrouva l'expression résolue dans les yeux de John. De son visage anguleux et masculin émanait un désir ardent. C'était un homme, se dit-elle, qui savait porter une érection. Il était droit et fier comme un porte étendard. Dur et inflexible comme la justice.

Elle senti la queue se mouvoir depuis son clitoris rassasié jusqu'à la base de sa fente. Elle senti la pression du gland, qui lui parut gros comme une balle de golf, lentement écarter ses grandes lèvres gorgées de sang.

Le bulbe dépassa les grandes lèvres. Il glissa entre les petites, luisantes de cyprine. La grosse tige écarta la bouche de son sexe sans ménagement. Il était chaud, il était large. Il élargissait le tuyau génital avec une force irrépressible. Son sexe l'étirait à la limite de l'inconfort. Elle n'était pas vierge, mais elle se sentait étroite, toute tendue autour du tronc qui la pénétrait lentement.

Le membre rigide poursuivait implacablement sa route, entouré de la chaleur nuptiale et maternelle de Jung-Hyun. Il arrivait presqu'entièrement en elle, en des profondeurs jamais explorées de mémoire d'homme. La pression autour de sa tige n'en était que plus considérable.

A l'entrée, ses grosses lèves presque distendues sentirent glisser entre elles le cuir poilu de la base du sexe de John. Sa bourse atteignait dorénavant les fesses de l'asiatique. La toison pubienne de la femme embrassa celle de l'homme.

Il était tout à fait étiré en elle. Elle était tout à fait emplie de lui. Jamais elle n'avait englouti dans son corps un objet -- de chair - de cette taille.

La chatte entièrement pleine se contractait d'elle-même autour du membre. Après la séance de malaxage de son clitoris, se sentir écartelée de l'intérieur fournissait à sa vulve la plénitude qui lui avait fait défaut depuis tant d'années.

A présent, c'était un ensemencement en bonne et due forme qu'il lui fallait.

Il recula, désenfournant la longueur de son membre de l'emprise du sexe de la Coréenne. Ses petites lèvres s'étiraient à sa sortie, collant comme les ventouses d'une pieuvre autour du tronc brillant de cyprine. Elle sentit la couronne rigide de son gland atteindre l'embouchure de son vagin.

Puis il rentra à nouveau dans ses chairs ardentes, l'étirant presqu'au point de la faire craquer comme une vierge.

Elle soufflait d'effort pour l'accueillir, comme s'il fallait que son ventre pousse ses organes pour lui faire place. Il attrapa ses deux jambes qu'il souleva dans les airs, passant ses avant-bras sous les genoux de la femme. Il en soulageait le poids comme un vrai gentleman, se dit-elle, tout en l'engrossant comme un animal.

Il ressortait puis rentrait en elle. Il regardait la bouille de poupée de cette femme. Sa bouche ouverte et son expression de peine lui indiquait qu'elle le sentait passer, qu'elle sentait que queue était grosse et puissante en elle.

Il accélérait. Il se sentait glisser dans le tuyau chaud et volubile de Jung-Hyun. Sa chatte se contractait comme si elle tentait de le retenir bien au fond. Mais c'est lui qui imposait leurs mouvements, virilement et sans compromis.

Il pénétrait cette femme belle comme une déesse. Ses cheveux ondulants défaits tombaient sur ses épaules nues. Ses graisses flottantes voletaient autour de son ventre fécond.

Il commença à gémir lui aussi. La sensation de sa bite glissant de tout son long dans cette chatte bouillante prenait le contrôle de son esprit.

Jung-Hyun le regarda de ses magnifiques yeux noirs. Elle avait maintenant un sourire salace qu'elle ne se connaissait pas. Cette énorme queue qui la pilonnait faisait ressortir la femme cachée en elle, sortant du carcan des bonne manières et de la bien séance.

Son esprit s'emplissait d'images licencieuses. Elle voulait qu'il jouisse en elle, que ce gros tube la remplisse d'une abondante quantité de semence bien épaisse. Elle voulait qu'il déleste son orgasme tout au fond de son ventre.

Elle avait déjà joui, mais se sentir emplie virilement comme une animale lui redonnait encore une bouffée de plaisir sauvage. Elle profitait de ses vas et viens autant que lui.

Toutes-fois, elle le sentait proche de l'agonie. Sa bouche parla d'elle-même.

—Tu vas jouir en moi?

Ses propres paroles l'étonnèrent. Mais ces quelques mots semblèrent redoubler le labourage bestial de l'homme. Il gémissait par grognements graves qui à leurs tours excitaient encore plus la femme qu'il pénétrait.

—Tu peux jouir, je prends la pilule. Tu peux jouir bien au fond de moi.

Les grognements s'accéléraient. Elle sentait ses téton redurcir sous ses doigts. Elle se caressa, appréciant encore plusieurs dizaines de secondes le sexe érigé qui l'emplissait et lui enfonçait délicieusement l'entre-jambe. Puis elle le senti qu'il arrivait au bord de l'orgasme.

—Regarde-moi, John, regardes mes seins.

Elle laissa ses doigts glisser le long de ses mamelons. Elle dévoila ses seins, ses deux tétons raides, nus sous les yeux de John.

Il se changea entièrement en bête. Il transpirait. Il se contractait.

Les délicats mamelons rose foncé dansaient librement devant lui. Les deux seins sautaient au rythme du bourrage de la femme par son sexe en feu. Le sourire libidineux de Jung-Hyun le fixait toujours.

Elle était à lui et à lui seul. Sa chatte se contracta encore plus fortement autour du membre. Elle porta ses deux mains aux joues de John. Les lèvres de l'asiatique décrire silencieusement les mots « jouis pour moi ».

Son entre-jambe se contracta, les spasmes atteignirent sa prostate. Son sexe se gaina d'un coup.

Il grossi si soudainement en elle qu'elle poussa un cri de jouissance.

Le flot de semence traversa sa lance jusqu'à son gland.

Le flux indomptable de jus épais jaillit au fond de sa grotte. La violence du long jet gluant était telle qu'elle le sentit frappant ses parois, emplissant sa caverne.

Les coups de bassins sauvages se poursuivaient. Ils la firent gémir également, toute remplit qu'elle se sentait par la grosse bite chaude de l'occidental.

Il se senti siphonné par la vulve de la femme. Il se vidait en elle à grand coups de pompe. L'entre famélique semblait lui sucer le sexe jusqu'à la dernière goute de sperme.

Il eut une ultime expiration de jouissance et retira son sexe de Jung-Hyun.

Ils assistèrent silencieusement au résultat de l'orgasme du mâle. De sa fente ravagée, Jung-Hyun laissa s'échapper le paquet blanc et gluant de semence de John qu'il regarda, impassible, s'écraser sur le carrelage dans un bruit flasque.

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2 Commentaires
APVapvAPVapvil y a environ 1 an

J'ai bien aimé. D'abord et avant tout le style... puis l'érotisme.

AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

Belle histoire... bien racontée merci !

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