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Cliquez iciCependant John la retint. Il plaça se main gauche à nouveau dans la courbure du dos de l'asiatique et utilisa sa main droite pour lui bloquer les jambes en position.
Jung-Hyun, exténuée, tourna la tête vers lui, ne comprenant pas quel était le sens de cette nouvelle manœuvre.
Mais elle sentit tout à coup sa grotte déborder du fluide dont il l'avait empli. Elle se courba pour tenter de fermer les cuisses. Les mains de John l'arrêtèrent, bloquant l'asiatique exténuée sans aucun effort.
Elle protesta ; il durcit son emprise, la forçant à se cambrer à quatre patte, écartant la chatte grand ouverte.
L'asiatique vaincue se débattait vainement sous ses larges mains, augmentant d'autant plus la pression du fluide inondant sa cavité maternelle.
Quelques secondes plus tard naquit entre ses lèvres un filet épais et blanc qui dégoulina lentement le long de son sillon rose. Les gouttes de colle visqueuses recouvrirent lentement le bourgeon de la coréenne et vinrent se perdre dans sa pilosité en contre bas, tâchant le noir absolu de sa forêt pubienne par la blancheur du ruisseau séminal. Jung-Hyun contractait son bassin, le visage rougit d'une honte infondée, poussant par à-coups les grosses gouttes pâteuses hors d'elle.
John ne la retenait plus. Il plaça sa main comme une coupe entre les cuisses de la Coréenne. Nul besoin de mettre le personnel d'entretien au courant de leurs ébats, pensa-t-il en regardant, pensif, son amante rejetant silencieusement son éjaculat dont les généreuses perles chaudes et grasses lui tombait dans la paume.
Quelques minutes plus tard, ils partagèrent la douche pour une toilette rapide.
Mercredi passerait, la semaine toucherait vite à sa fin. Par chance il leur restait encore jeudi soir pour satisfaire leur soif l'un de l'autre avant qu'il ne rentre au Canada.