Jung-Hyun & John 03 - Dévorée

BÊTA PUBLIQUE

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Il l'avait léchée ; il se mit à la sucer.

Ses jambes tressaillirent, toujours tirées grandes ouvertes pour lui.

Elle respirait fort, inspirant et expirant par secousses régulières. Entre ses cuisses, les vas et viens de la langue qui labourait son sillon produisaient des clapotements humides accompagnés de bruits de succions éhontés. L'érotisme torride du cunnilingus la projetait aux frontières de l'hystérie.

Elle se sentait lâcher prise. L'orgasme la guettait. La langue s'entortillait autour de ses replis et glissait dans chaque cachette.

Mais tout à coup, elle senti le membre élastique descendre la longueur de sa fente, abandonnant son clitoris à vif. Il glissa entre ses petites lèvres débordantes de cyprine, les écarta sans ménagement.

La pointe de sa langue plongeait en elle, ouvrant la voie de son orifice maternel. Entre plaintes de jouissance et inspirations réflexes, elle tenta d'articuler une sorte de protestation d'une voix faible et aigue.

-- Attends... Ahhh! Tu vas où?

C'était comme s'il ne l'entendait pas. Sa langue violait son embouchure intime et s'enfonçait à travers les douces parois de sa cavité. Était-ce permis? Son esprit chancelant tentait d'objecter. Cet issue-là n'était-elle pas faite seulement pour y enfoncer phallus et y extirper nouveau-nés? N'était-il pas sale d'y mettre sa langue? La prude aux tailleurs stricts combattait encore au fond d'elle-même.

Mais le membre plongeait irrémédiablement vers ses tréfonds, aussi loin dans son conduit que sa dimension lui permettait.

Sa lutte était futile, l'homme avalait cette femme pudique et austère, il la suçait en dehors d'elle. Son point G était comme une sucrerie qu'il léchait avec une passion gourmande et sauvage.

Jung-Hyun se raidissait à nouveau. Le plaisir l'embrumait.

Elle se cambra.

Assise dans cette position, elle avait l'impression qu'elle donnait naissance à la langue de John qui lui étirait délicieusement la cavité.

Il était enfin temps. Son corps ne pouvait plus se retenir. Elle allait jouir.

Une complainte d'exaltation sonore s'échappa d'elle tandis que son vagin expulsait ses fluides par torrents, abreuvant l'homme qui la pénétrait en lui malaxant délicieusement le clitoris de sa lèvre supérieure.

Elle senti la largeur de la puissante langue s'écraser entre ses contractions incontrôlables. Le chant de ses cordes vocales ne s'arrêtait plus. Elle tira ses cuisses à elle à s'en rompre les tendons.

L'orgasme arracha son esprit. L'extase l'emportait. Il la lécha sans s'arrêter pendant qu'elle agonisait contre son visage.

La violence des sensations lui fit lâcher ses cuisses. Elle enroula ses jambes autour de lui et empoigna de toute ses forces la tête de John. Elle l'écrasait contre elle. Ses hanches faisaient l'amour à son visage.

Imperturbable, le nez de l'homme lui caressait le pubis. Son souffle chaud et brutal chatouillait sa toison noire et touffue.

Son bassin se meut d'ondulations involontaires. L'être qu'ils formaient à eux deux n'avait plus qu'une bouche, et elle en gémissait d'autant plus fort. Elle jouissait sous sa langue, elle se déversait dans sa bouche.

Ses spasmes luttèrent contre l'appendice intrus durant plusieurs dizaines de secondes, jusqu'à l'épuisement. Ses cris de jouissance se fatiguèrent, la plénitude rattrapait lentement son corps de sa chute ; plus immense était le gouffre de l'orgasme, plus doux était le lit qui en tapissait le fond.

John extirpa sa langue et décolla ses lèvres de la vulve contentée. Jung-Hyun relâcha ses cuisses qui retombèrent l'une après l'autre le long de son dos. Le drap était humide, sa chatte encore grande ouverte. Un filet de cyprine la reliait à la bouche de son amant qui la regardait avec un air satisfait.

Tout comme sa première pénétration, sans doute que l'on n'oublie jamais son premier cunnilingus, pensa-t-elle. En tout cas, John venait de s'en assurer avec une virtuosité indéniable.

***

La mâchoire de John était fatiguée. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas gouté une vulve. Voyant la réaction de son amie il lui était absolument clair qu'elle n'avait jamais eu la chance de connaitre cette pratique ; il avait donc mis tout son cœur à l'ouvrage jusqu'à repousser ses limites.

Son cou était moulu, sa mandibule éreintée, sa langue rompue ; si bien qu'il n'aurait pu correctement formuler un seul mot. Alors, face à Jung-Hyun qui se remettait de son orgasme, il se contenta de sourire en se massant le visage tout éclaboussé des jus de l'asiatique.

Elle reprenait son souffle, les genoux nus reposés sur les épaules de John, regardant son bienfaiteur à travers ses fines paupières effilées avec une expression de douce euphorie. Cela en valait mille fois la peine, se dit John.

Il s'insurgeait d'ailleurs qu'on n'ait jamais dénié offrir à Jung-Hyun un tel service. Pouvait-on s'appeler un mari sans chercher à contenter sa femme? Louise et lui n'étaient certes plus en bons termes, mais lorsqu'il s'était agi de sexe, tous deux avaient rempli leurs devoirs conjugaux avec la véhémence appropriée. Du moins les premières années, lorsqu'ils s'aimaient encore.

Elle observait maintenant ce visage maculé, calé entre ses deux cuisses avec l'air de se demander ce qui devait se passer à présent.

-- Merci... fit-elle maladroitement.

Sa fente palpitante était toujours à une quinzaine de centimètres de son visage. Comme elle semblait reprendre conscience de sa nudité, elle rabattu les plis de sa jupe par-dessus son sexe.

Voyant son large visage rougir à nouveau, John se lécha goulument les babines couvertes de cyprine et expira dans une expression de délectation, comme s'il venait de boire cul sec une boisson désaltérante. Cela la fit rire.

Elle se dégagea des épaules de John qui se releva. Il fila à la salle de bain et se rinça rapidement le visage.

Lorsqu'il revint dans la chambre, il trouva Jung-Hyun allongée sur le lit. La veste de son tailleur et un soutien-gorge reposait sur le dos de la chaise qui équipait le coin de la chambre. Elle ne portait désormais plus que sa jupe soleil dont les plis enchevêtrés recouvraient vaguement ses cuisses ainsi que son chemisier blanc dont elle avait négligemment déboutonné le col.

Elle l'attendait là, couchée sur le côté dans une pause délicieusement provocante qui lui donnait un air de lycéenne effrontée voulant se faire un professeur. John appréciait ses efforts de mise en scène, le rôle qu'elle se donnait était d'autant plus réaliste que Jung-Hyun avait en effet à peu près autant d'expérience sexuelle qu'une étudiante de deuxième année, si on ne comptait pas son accouchement.

Quoi qu'il en soit, les fluides bus à pleines gorgées et les effluves charnels de la vulve qu'il venait de faire jouir dans sa bouche l'avait mis en appétit. C'était Jessica qui l'attendait sur le lit, toute chaude de désir et prête à englober son érection dans la chaleur de son ventre. Ses beaux yeux bridés et son sourire coquin l'invitaient à venir la cueillir.

Il s'approcha du lit et retira son t-shirt. Jung-Hyun se dressa face à lui et caressa son torse d'homme. Elle approcha la tête de ses pectoraux.

La bouche à demi ouverte, sa petite langue dépassant de ses lèvres, elle embrassa tour à tour chacun de ses tétons.

La sensation moite de sa langue contre ses auréoles était exquise. Certes les tétons des hommes ne sont pas aussi sensibles que les mamelons de femmes, cependant Jung-Hyun avait mystérieusement compris comment éveiller ces délicates terminaisons érogènes.

Le plaisir chatouillant de cette petite langue de félin qui jouait avec ses nerfs l'étonnait. Jung-Hyun avait définitivement plus d'un tour dans son sac et il aurait définitivement tort de la sous-estimer.

Elle le léchait à présent avec une maîtrise si grande qu'il se demandait même si ses airs de vierge effarouchée n'étaient finalement pas qu'une posture habilement revêtue pour le séduire. Elle éveillait le doute en lui et il s'émerveillait de toujours trouver de nouvelles facettes à cette femme véritablement extraordinaire.

Mais Jung-Hyun en fini avec ses pectoraux. Ses billes noires le fixaient avec une terrible intensité sous ses lourdes paupières en amande.

John sentit ses petites mains qui attrapèrent son entre-jambe et commencèrent à le caresser à travers son jean. Son érection était manifeste.

Un sourire d'excitation gamine illumina le visage de l'asiatique alors qu'elle défaisait le bouton et la braguette, plongeant une main à l'intérieur de son caleçon. Ses petits doigts explorèrent le membre chaud, le caressant de haut en bas.

Abaissant le pantalon, elle libéra la poutre de John à l'air libre. Puis elle le caressa lentement, sur toute sa longueur, comme il lui avait appris à faire la nuit dernière. Elle prit soin d'adopter un rythme aussi lent et régulier que possible, sentant la tige se raidir entre ses doigts.

-- Comme ça? fit-elle d'un ton suave. C'est bien comme ça que t'aimes te faire caresser?

Tant d'effronterie l'ahurissait. Son gland n'était plus qu'à quelques centimètres du petit nez de l'asiatique. Irait-elle jusqu'à le prendre dans sa bouche?

Jung-Hyun baissa les yeux vers son sexe, considérant ce gland gonflé d'envie. John cru lire sur son visage le frisson de la soif pêcheresse. Puis elle remonta les yeux jusqu'au sien avec un large sourire. Elle devinait l'expression de désir bouillonnant dans le regard de John, mais hocha la tête négativement.

-- Tu reviendras me voir, n'est-ce pas? Il faudra que tu reviennes vite.

Elle lâcha le sexe tuméfié qui palpita seul en l'air, narguant le mâle en riant.

-- Petite cochonne, dit John.

L'impatience de son membre le brûlait de l'intérieur. Il ne parvenait cependant pas à décider si elle n'était pas encore prête ou si au contraire elle savait parfaitement ce qu'elle faisait en le frustrant de cette manière. Probablement un peu des deux, trancha-t-il.

Il s'extirpa de son caleçon à moitié descendu et la rejoint sur le lit. Il l'attrapa et la mit à quatre pattes.

A genou derrière elle, il souleva résolument la jupe en découvrant les deux fesses nues et blanches de la femme.

-- Tu mérites une légère correction.

Il lui adressa une fessée dont Le claquement fit trembler la peau fragile de la femme. Elle sursauta en échappant un « ouch! » qui résultait plus de la surprise que de la véritable douleur.

John lui fit plier les avant-bras pour qu'elle se repose sur ses coudes. Dans cette posture, son fessier s'offrait à son maître dans toute sa vulnérabilité.

-- C'est la première fois que tu te fais pénétrer dans cette position?

Il ne s'embarrassait plus de détours, Jung-Hyun s'était faite sienne et elle aimait manifestement qu'il la malmène un peu. Tous ces mots crus et sans équivoque devait avoir le goût de l'exotisme pour cette petite Coréenne bien sage.

Elle se contenta d'hocher la tête positivement. Pouvait-on inventer une fille plus mignonne que sa Jung-Hyun? se demanda John.

Il passa ses genoux entre ceux de l'asiatique. Puis, sans ménagement, il la força à écarter les jambes.

-- On va faire ça comme il faut. Je te promets que tu vas aimer. Détends-toi et laisses moi faire, d'accord?

Il passa une main entre ses cuisses et atteignit la petite fente qu'il massa de ses larges doigts. La chair était molle et douce, le léger lainage pubien soyeux et florissant.

Alors qu'il s'employait à la faire mouiller à nouveau dans le creux de sa main, il remarqua qu'en dépit de ses jambes ouvertes elle parvenait encore à serrer les fesses entre elles. Par cette manœuvre un peu désespérée elle comptait probablement lui cacher la vue de son anus.

Cela le fit sourire. Il trouvait la futilité naïve de cette tentative tout à fait charmante. De sa deuxième main qu'il appliqua fermement sur la taille de la fluette Coréenne, il la forçat à cambrer le dos jusqu'à ce que sa raie, sa fente et le trou de son rectum s'ouvrent pleinement à son regard.

De pudeur, elle se plongea le visage dans un oreiller. John s'en amusa avec attendrissement.

Sa main gauche toujours appliquée sur la cambrure de son dos délicat bridait la Coréenne en place. Il leva la main droite en l'air, délaissant un instant la vulve qu'il malaxait. Puis il l'abattu contre ses fesses blanches dans un nouveau claquement sonore.

L'asiatique tressaillit et tortilla les hanches sans protester.

-- Pourquoi tu te caches? demanda-t-il en reprenant ses caresses de sa grande main.

Elle ne répondit que par une modeste plainte.

-- T'es timide? Personne n'a encore jamais vu ton trou du cul?

Personne d'autre que le personnel qui l'avait accouché, aurait-il dû dire. Enfin, le corps médical ne comptait probablement pas. Elle se figea et protesta d'une voix honteuse.

-- Arrête! Ne regarde pas.

Mais c'était là tout l'intérêt de cette position qui réservait à John l'accès à tous ses orifices. Il observa la rondelle musculeuse se contracter d'embarras entre ses deux fesses grandes ouvertes qui tentaient de se refermer. Cependant dans cette posture elles n'avaient pas la moindre chance d'y parvenir.

Il contempla l'idée de lui caresser la sensible rosette, d'y introduire un index ou un majeur et de lui masser l'intérieur du rectum. Il se ravisa, jugeant qu'elle était encore trop pudique. A ce stade cela aurait pu lui faire mal, mieux valait ne pas brûler les étapes avec sa délicate amante. Et puis, il fallait encore lui réserver quelques découvertes pour leurs prochaines rencontres.

Il se contenta d'explorer du regard l'évasure couleur chocolat au centre de laquelle s'évanouissaient sa multitude de ridules resserrées.

-- Dommage pour toi, tu es forcée de me laisser te voir partout même si ça n'te plaît pas, insista-t-il. Tu as tors, d'ailleurs, tu as un très joli trou du cul.

Se sachant vaincue, elle n'objectait plus. Elle laissait son seul silence témoigner de sa frustration.

-- Ne fais pas la tête, Jun-Hyun, je sais que t'aimes ça que je te regarde. Je peux sentir comme ça t'excite.

En effet, au fur et à mesure qu'il acculait la timide asiatique, un filet humide naissait progressivement dans la paume de sa main. La source chaude renaissait petit à petit entre ses doigts.

-- Et ta chatte est adorable. C'est tellement bon d'y enfiler ma langue, tu peux pas savoir comme j'ai hâte de remettre ça.

Le son de clapotis mouillé que produisait désormais ses doigts qui massaient Jung-Hyun témoignait de la chaleur qui avait ressaisit la vulve. Elle était à nouveau prête pour l'accueillir.

-- Mais pour l'instant on va faire ça autrement.

Il retira sa main de l'entre-jambe de Jung-Hyun et brandit son sexe érigé.

Il avança le bassin vers le sien et plaqua son gland et sa tige contre la vulve chaude. Avant de la pénétrer, il enduit son phallus des fluides corporels visqueux de l'asiatique par des mouvements de vas et vient contre le sillon maternel.

Son corps accumulait ses hormones depuis trop longtemps. De quelle montagne de patience ne fallait-il pas faire preuve pour s'octroyer le droit d'engrosser cette femme? John espérait au moins qu'elle reconnaissait ses efforts.

Il plaça son gland à l'embouchure de sa cavité et poussa sa lance en elle. Il s'avança lentement, savourant chaque millimètre du vagin exigu qui se cambrait pour lui. La femme sortit son large visage plat de l'oreiller pour évacuer de nouveaux soupirs de plaisir.

Elle était chaude et la position la rendait étroite ; le cuir des muqueuses épousait délicieusement la forme de son phallus qui plongeait en elle par vas et viens toujours un peu plus profonds.

Cette chatte enflammait sa tige, ses contractions l'appelaient de l'intérieur. Il s'introduit jusqu'au fond de la Coréenne, jusqu'à ce que ses hanches touchent les deux fesses blanches, jusqu'à ce que son gros gland embrasse le col de son utérus.

Il resta en elle un moment, droit et dur, enserré par son ventre mou et chaud, sentant contre son membre les flux de sang qui abondaient à travers le corps de l'asiatique, pulsant violemment à chaque battement de son petit cœur. Puis il s'extirpa en reculant les hanches.

Les exhalations retenues de Jung-Hyun lui laissait apprécier l'effet produit par le déplacement d'un tel volume de chair. Puis il poussa en elle à nouveau, bien au fond. Elle gémit cette fois-ci à haute voix.

Il répéta le mouvement, ample et de plus en plus rapide. La sensation de sa queue nue sanglée par cette petite chatte le rendait fou. Cette nouvelle position changeait entièrement le ressenti.

A chaque passage de plus en plus brutal à l'intérieur de Jung-Hyun, son prépuce se déshabillait par la pression des parois vaginales étirées. Il se mit à gémir de concert avec son amante en lui tirant les hanches par à-coups contre les siennes.

Le claquement de ses cuisses contre les deux fesses de la Coréenne rythmait leurs ébats, accompagnés par le grincement du lit. Le plaisir ardent montait dangereusement au fond de lui.

Jung-Hyun se balançait elle-même d'avant en arrière pour avaler son érection. Leurs mouvements étaient de plus en plus abrupts, leurs clameurs de plus en plus fortes.

Alors que l'orgasme poussait les portes de sa prostate, John plaqua ses deux mains sur les fesses de l'asiatique. Il approcha ses deux pouces de l'anus de la femme, qui, sentant les doigts glisser le long de sa raie eut une plainte de surprise plus bruyante et plus aigüe que les autres.

L'idée de Jessica entièrement à sa merci grondait dans l'esprit de John. Mais il arrêta l'avancement de ses pouces, à un centimètre du sensible trou, tout en continuant de la pénétrer avec une sauvagerie débridée.

Sa queue le brûlait, cette vulve l'abrutissait. Il allait jouir, il allait expulser son fluide séminal et emplir son utérus.

Juste à ce moment-là, il contracta les deux pouces mordant autour de la rondelle de l'asiatique, lui écartant les fesses comme on ouvre une pêche mure. La tension des chairs ovalisa le trou, distendant l'anus, étirant son sphincter. L'anneau se gonfla de plaisir, lissant les rides et dilatant l'ouverture.

Sentant sa chatte tendue par la large tige qui allait et venait, la rondelle étirée sans ménagement, Jung-Hyun poussa une bruyante plainte de plaisir. John rugit. Le fondement secret de l'asiatique s'ouvrait pour lui, béant et convulsant sous ses yeux. Il ne se retint plus. Le puissant geyser de sperme fusa à travers sa queue. Il emplit la cavité de longues cordes de fluide épais et collant.

A chaque plongée entre ses lèvres, la chatte insatiable écrasait ses parois bouillantes autour de lui. A chaque départ, ses muqueuses l'enserraient et le retenaient. Il poursuivait. Elle gémissait. A chaque reculade une nouvelle boule de sperme naissait en lui, à chaque pénétration il l'expulsait en elle.

Le temps n'avait plus cour. Seul le plaisir brut des deux amants exaltant leur jouissance n'avait de sens. Son orgasme paru interminable ; la cavité semblait infinie.

Leurs genoux labouraient les draps, les jambes et les coudes de la coréenne perdaient leur appui. Mais les grandes mains de John empoignaient solidement ses hanches et la ramenaient à lui. Il la tirait, il l'empalait comme une poupée sans volonté. Elle était à lui, il la faisait sienne dans un grondement de gémissements torrides.

Puis la machine ralentit. La grosse queue luisante qui pompait l'arrière de la femme à quatre pattes diminua son rythme. John transpirait. De sa vie il ne se souvenait pas avoir déjà jouit aussi intensément et aussi longuement. Il continuait de fourrer son sexe en elle au ralentit, grognant toujours les restes de son puissant orgasme, jusqu'à ce que son érection se fatigue.

Il expira bien fort, exténué, extirpant lentement son sexe hors de la fente ravagée. Il tomba à genoux dernière elle.

Elle restait immobile, le cul grand ouvert, expirante de fatigue. Elle laissa sa tête s'écraser contre l'oreiller.

Ils soufflèrent un moment, puis, les cuisses fourbues par l'effort, elle rassembla la force de se retourner.