Jeux Pervers - 01 (Timidement)

« Alors, vous êtes les costauds, mes chéris », leur dit Laura avec un grand sourire de connivence.

Elle voit bien leurs regards sur elle, bien centrés sur le haut de ses cuisses découvertes, et son excitation monte encore d'un cran.

« Placez-vous, sur le côté. Je vais vous montrer le mouvement », dit-elle.

Ils se placent si près d'elle, presque à la toucher, qu'elle doit leur demander de lui laisser un peu de place pour sa démonstration. Elle leur précise :

« Regardez bien. Votre mouvement sera pris en compte par le joystick de la Wii que vous tiendrez en main, mais c'est en faisant le véritable mouvement d'approche du bowling que la trajectoire de la boule que vous voyez sur l'écran sera la meilleure. »

Elle fait alors son geste presque au ralenti, ses chaussures plates permettant un glissé parfait, qui fait faire une grande fente à ses jambes, dont l'une croise par derrière en fin de mouvement. Laura garde cette position un bon moment, peut-être pour leur permettre de bien mémoriser, ou peut-être parce que celle-ci a fait remonter sa jupette quasiment au ras des fesses. C'est probablement ce deuxième cas qui prévaut car Laura leur propose une autre vue qui ne s'impose pas vraiment.

« Mettez-vous tous derrière moi. Comme ça, vous pourrez bien voir le mouvement de balancier de mon bras qui doit rester bien dans l'axe de la piste. »

Malgré sa recommandation, ce n'est pas son mouvement de bras que les trois vieillards scrutent. Leurs yeux ne quittent pas le bord de la jupette. Laura en est certainement consciente, car elle amplifie le mouvement, tout en fléchissant exagérément. Comme la fois précédente, elle reste longuement dans sa dernière position. Une petite portion des fesses nues, découvertes par le string, dépasse du bord de la jupette. Laura sent bien que l'entre-jambes de son string est complètement trempé.

« Bon ! On joue, maintenant », dit-elle, coupant court au spectacle qu'elle leur donnait.

Pour une première expérience, les trois hommes ne jouent pas si mal que cela. Laura les laisse gagner. Elle n'a pas trop de mal à faire moins bien qu'eux, malgré son expérience. En effet, à chaque lancé, elle s'applique à faire un mouvement incorrect, se penchant bien trop et ne se redressant pas assez en fin de mouvement. Son objectif n'est pas de faire un 'strike' mais de découvrir le plus possible ses fesses nues qui excitent tant ses spectateurs. A un moment, elle a même cru entendre, derrière elle, le petit 'clic' d'un smartphone prenant une photo. Sa chatte s'est alors mise à couler un peu plus.

A la fin de la partie, c'est Laura qui se retrouve dernière et leur dit :

« On fait la revanche? »

« Oh, non ! », dit le gagnant qui avait déjà été celui du loto, « Nous avons tous gagné contre vous. C'est un exploit que l'on est pas certain de reproduire. C'est plutôt le moment des récompenses. Ce sera encore un baiser pour moi, n'est-ce pas? »

« Oui et non », lui répond Laura, « parce que, cette fois, tous ceux qui sont sur le podium seront récompensés. Selon la tradition, je commence par le troisième. »

Ce dernier, qui n'avait pas été gagnant lors du loto, s'approche et embrasse Laura sur les deux joues. Celle-ci sert fortement le vieil homme contre elle, en lui murmurant à l'oreille :

« Mieux que ça ! »

Laura l'embrasse alors de chaque côté avec des baisers qui couvrent la moitié des lèvres.

Le second s'approche et pose carrément sa bouche sur celle de Laura qui l'entend ensuite dire :

« Moi, c'est toujours deux », avant de recommencer.

Lorsque se présente le premier, Laura questionne avec un petit sourire polisson :

« Et vous, c'est deux aussi? »

Le vieillard, qui lui paraît le plus coquin de tous, répond :

« Un seul me suffira ... mais ... un vrai ! »

Alors l'homme serre Laura d'une main contre lui, alors que l'autre se place derrière la tête. Il presse ses lèvres contre celles de Laura, qui a compris ce qu'il désire. Elle ouvre sa bouche et laisse la langue de l'homme venir chercher la sienne. La pression de la main sur sa nuque l'empêcherait de se dégager si elle en avait l'intention, ce qui n'est pas le cas. Leur baiser dure une bonne minute devant les yeux des deux autres vieillards, dont la surprise n'a d'égale que leur excitation. C'est d'autant plus vrai qu'ils viennent de remarquer que la main qui serre la taille de Laura vient de descendre jusqu'au bord de la jupette pour la relever complètement et palper une fesse. Lorsque le baiser prend fin, ce sont les deux mains de l'homme qui viennent caresser les deux fesses nues, sans que Laura ne tente de se dégager. Elle laisse faire, aussi excitée par ces caresses que par le regard des deux autres hommes.

L'un d'eux fait un bruit en poussant une chaise. Laura s'inquiète :

« Que faites-vous, là? »

« Je bloque la porte pour que nous ne soyons pas dérangés », explique l'homme.

« Oh ... non ... », murmure Laura d'une voix qui laisse penser que ce 'non' veut dire 'oui'.

Dès que la porte est bloquée, des mains se posent sur les fesses nues de Laura. Une autre main se place sur son string, juste sur sa chatte, et la caresse à travers le tissu. Puis un doigt glisse au-dessous et vient se glisser entre les lèvres dégoulinantes. Laura ne sait plus qui lui fait quoi. Les hommes se la repassent comme une poupée de chiffon. Ils l'embrassent à tour de rôle, la fouillant de leur langue. Trop excitée, elle ne peut que se laisser faire. Cependant, elle s'inquiète, se demandant si elle n'est pas en train de commettre l'adultère. Non, ce ne sont que de petites caresses, se rassure-t-elle. Ce n'est que lorsque le vainqueur du jour lui prend la main pour la poser sur sa braguette qu'elle se dit que cela va trop loin. Elle se dit aussi qu'elle risque d'être surprise dans cette situation. Elle craint également qu'un de ces vieux hommes fasse une crise cardiaque. C'est ce qui la conduit à tout arrêter.

Alors, Laura se dégage, l'emprise de ces hommes très âgés étant de peu de force, retire la chaise et s'enfuit, oubliant même le matériel apporté.

Rentrée chez elle, il lui faut beaucoup de temps pour retrouver son calme, car elle a rarement été aussi excitée. Va-t-elle raconter son aventure à son mari? Il pourrait penser qu'elle a commis l'adultère. Mais, si elle ne lui dit rien et qu'il l'apprenne, il pensera qu'elle a vraiment voulu le tromper. Comment le saurait-il? Personne ne les a surpris. Elle ferait mieux de ne rien dire. Cependant, il y a eu cette photo, qui la montre quasiment fesses nues. Si cette image se retrouvait sur le net, son mari pourrait en avoir connaissance, lui qui surfe souvent sur des sites Internet. Bon, c'est décidé, elle va tout lui avouer ce soir.

Lorsque, au dîner, son mari l'interroge sur sa journée, Laura lui répond :

« Je préférerais que l'on en parle au lit, mon chéri », inquiète de sa réaction.

« Si tu me dis ça, c'est probablement parce que ta journée a été ... comment dire ... intéressante », dit Hervé, sa phrase ponctuée d'un grand sourire.

Laura se sent rassurée que son mari le prenne si bien.

Au lit, elle lui raconte tout dans les moindres détails. Elle le fait tout en branlant le sexe de son mari. La dureté croissante de la chose montre à Laura que cette branlette n'est pas la seule à y contribuer. A la fin de son récit, Laura le questionne tout de même :

« Je ne t'ai pas trompé, mon chéri. Je partage tout avec toi. Je ne suis pas une femme adultère. Je fais seulement des choses qui t'excitent ... et moi aussi. »

Sans attendre une réponse de son mari, elle ajoute :

« Je fais des choses coquines pour moi, pour me sentir de nouveau femme plutôt que mère. Mais je le fais aussi beaucoup pour toi. Tu me crois, mon chéri, n'est-ce pas? »

« Bien sûr », lui répond Hervé, qui se branle alors rapidement et éjacule copieusement sur la chatte de sa femme, ajoutant alors :

« Voilà ce que tu as failli recevoir de tes vieux bonshommes aujourd'hui. Ce sera peut-être pour la prochaine fois? »

Laura, qui se caresse maintenant la vulve avec ses doigts, étalant le sperme de son mari, qu'elle pousse même en elle, le contredit :

« Il n'y aura pas d'autre fois. La semaine prochaine, je dois aller faire la lecture à un homme qui a eu un grave accident qui l'a rendu aveugle et paraplégique. Je vais redevenir une femme très sage et très dévouée. »

La semaine suivante, Laura se prépare à aller faire sa séance de lecture. Ce sera au domicile d'un homme qui y vit seul, malgré son handicap. Une aide soignante vient matin et soir pour le lever et le coucher ainsi que pour les repas qui lui sont livrés. Cela laisse plusieurs heures à Laura pour faire la lecture. L'homme, utilisant habilement les services vocaux, a réussi à lui a transmettre sur sa tablette le roman qu'elle doit lui lire. Cela lui permet d'en prendre connaissance à l'avance, pour trouver le ton qui convient.

Quelle n'est pas sa surprise de trouver un texte érotique ! En fait c'est même vraiment pornographique ! Laura se dit qu'elle ne peut pas lire ça à un homme qui sera chez lui, seul avec elle. Laura se demande comment annuler ainsi, au dernier moment. Elle s'est engagée ... mais sans savoir de quoi il s'agissait. Ce qu'il lui demande de faire est dégoûtant. D'un autre côté, cet homme n'a plus grand-chose de bien dans sa vie, se dit Laura, compatissante. Que craint-elle? Il ne peut pas, dans son état, la forcer à quoi que ce soit. De plus, ce n'est qu'une seule et unique séance, Marthe prenant la suite dès son retour. Bon, elle va tenir ses engagements.

Lorsque Laura choisit sa tenue, elle se dit qu'elle sera seule avec un homme qui ne peut la voir. Ce qu'elle portera n'aura pas d'importance. Finalement, elle choisit une chemisier assez couvrant et une jupe longue, la tenue d'une dame bien comme il faut. En fait, pas tout à fait, car elle a sélectionné une jupe très fendue. Ce choix lui est venu en pensant que ce type de lecture risque de l'exciter et qu'elle pourra ainsi se caresser aisément, dans une totale discrétion dans ces circonstances.

Lorsqu'elle arrive à l'adresse donnée, il lui suffit de pousser la porte qui a été laissée déverrouillée. Dans le séjour elle découvre un très bel homme d'une trentaine d'années, les yeux couverts par des lunettes noires, assis dans un fauteuil roulant, le bas du corps caché par une couverture. La poignée de main est ferme et sa chaleur étonne Laura, qui s'installe dans le fauteuil placé près de lui.

Elle commence tout de suite sa lecture. Laura a vite fait de se laisser emporter par le texte qui l'excite vraiment. Sa voix change peu à peu, devenant plus rauque. Tenant sa tablette dans sa main gauche, elle finit par laisser la droite passer par la grande fente de la jupe et se glisser dans sa petite culotte. Son index caresse son clitoris et se glisse par moments entre ses lèvres vulvaires qui se mouillent de plus en plus. Laura ne fait que de légers mouvements de main pour rester discrète. Aussi est-elle étonnée d'entendre l'homme dire :

« Je sais que vous vous caressez. »

« Mais non ! », rétorque Laura, qui sait bien qu'il ne peut la voir.

« Vous savez, les personnes qui ont perdu la vue développent naturellement leur audition à un niveau que vous ne pouvez imaginer. J'entends le léger clapotis que fait votre doigt à l'entrée de votre vagin. J'entends même le frottement de votre main à son passage sous le tissu de votre petite culotte. C'est normal que cette lecture vous excite, cela prouve que je l'ai bien choisie. Vous pouvez continuer. D'ailleurs je me caresse aussi sous mon plaid. »

« Bon », dit Laura dans un souffle, avant de reprendre son travail de lectrice.

Elle voit bien maintenant cette main qui bouge sous la couverture et cette vue ajoute à l'excitation de sa lecture. L'homme lui dit alors :

« Vous voyez, c'est la seule chose qui fonctionne encore dans la partie basse de mon corps. Je dirais même que ça marche même très bien. J'aimerais que vous voyez ça. Puis-je me découvrir? »

« Oui, si vous en avez envie », répond Laura dans un murmure.

Alors, l'homme repousse le plaid. Le sexe qu'il découvre est long et épais, un membre magnifique. Laura fait immédiatement la comparaison avec celui de son mari. Il fait bien le double, dans les deux dimensions. Elle ne peut le quitter des yeux, ce qui lui fait rater quelques mots dans une lecture qu'elle doit corriger souvent. La main de Laura s'active en ne tenant plus compte du bruit qu'elle peut faire. L'homme astique son membre d'une main frénétique. Laura s'attend à une proche jouissance. Sera-ce lui ou elle? La suite l'étonne car l'homme lui dit :

« Donnez-moi votre petite culotte. »

Son ton est celui d'un ordre et Laura se sent obligée de s'exécuter, malgré sa gêne car l'avant du sous-vêtement est complètement trempé. De sa main gauche, l'homme tient la petite culotte dont il place l'entre-jambes tout près de son gland. De l'autre, il branle son sexe furieusement. Laura sait ce qu'il veut faire et son excitation n'en est que plus grande. Elle imagine bien la difficulté de l'opération dans le noir dans lequel vit cet homme. Alors, arrêtant sa lecture, elle propose :

« Je pourrais peut-être vous aider? »

« Pourquoi pas? », répond l'aveugle.

Alors que Laura pensait tenir pour lui sa petite culotte, ce sont les deux mains de l'homme qui se posent sur le sous-vêtement pour bien l'écarter et le positionner. Sans hésiter, Laura entoure le gros membre des doigts de sa main droite et se met à le branler rapidement. Sa main gauche trouve le chemin de sa chatte pour y enfoncer deux doigts et se pistonner au même rythme. Lorsque les premières giclées de sperme engluent l'entre-jambes de sa culotte, Laura rentre dans un orgasme fulgurant qui semble ne jamais s'arrêter car la semence de l'homme continue de jaillir, épaississant la couche blanche déposée sur le tissu.

Lorsqu'elle retrouve enfin ses esprits, Laura remercie l'homme du plaisir qu'il lui a donné par un baiser passionné sur sa bouche. Leur baiser s'éternise, puis Laura récupère sa petite culotte souillée, qu'elle roule un peu sur elle-même et place dans son sac. Elle quitte alors cet homme, qu'elle n'aura vu qu'un jour, sans qu'un seul mot ne soit plus échangé entre eux. Lorsqu'elle va poser sa main sur la poignée de la porte, elle s'aperçoit que ses doigts sont englués de sperme, aussi les suce-t-elle un à un avant d'ouvrir pour sortir.

Laura ne craint plus que son mari ne la gronde pour ce qu'elle a fait aujourd'hui. Elle sait bien que tout ce qu'elle fait l'excite. Quel chance d'avoir un mari si compréhensif, se dit-elle.

Ce soir, pour accueillir son mari de retour du bureau, Laura est restée dans la même tenue, nue sous sa jupe fendue. Lorsqu'il arrive, Laura l'embrasse passionnément et lui dit :

« Regarde ! »

Elle ouvre alors la fente de sa jupe longue pour montrer une chatte toute rougie d'excitation, puis tend à son mari sa petite culotte remplie de sperme. A sa grande surprise, son mari se met à crier :

« Tu t'ai faite baiser, salope ! Tu m'as trompé ! »

« Mais non », se défend Laura, « Je ne t'ai pas trompé, puisque je vais tout te dire, et personne ne m'a baisée. »

Hervé, un peu calmé, écoute alors le récit détaillé de sa femme. Laura sent bien que l'agressivité initiale de son mari n'est plus qu'un mauvais souvenir, car, en l'écoutant, il a ouvert sa braguette et sorti son sexe pour se branler en l'écoutant. Dans les détails de son récit, Laura raconte la comparaison qu'elle a faite entre le sexe du paraplégique et celui de son mari. Cela lui a échappé, mais elle se rassure en voyant qu'il n'est pas fâché, constatant même que le membre de son mari a eu un sursaut de tension lorsqu'elle lui a dit ça.

A la fin de son récit, Laura s'étonne de voir son mari manipuler sa petite culotte pleine de sperme avec toute la délicatesse qu'il aurait pour un objet précieux. Il lui demande alors de retirer sa jupe, ce qu'elle fait sans hésiter. Son mari lui tend alors le sous-vêtement en lui disant :

« Remet ta culotte, ma chérie. »

« Comme ça? Mais elle est pleine de ... », s'étonne Laura.

« Oui, comme ça ! », insiste Hervé d'un ton qui n'autorise pas la contradiction.

Alors Laura obéit. Lorsque la culotte est en place, le sperme englue toute la chatte et le pubis de Laura. Où veut-il en venir? Cela paraît en tous cas exciter son mari qui se branle avec vigueur, avant de dire :

« Allez ! Tire bien sur ta culotte. Remonte-la mieux que ça ! »

Laura le fait, encouragée par un mari qui répète :

« Plus haut ! Plus haut ! Tire encore ! »

Dans le mouvement, le tissu de l'entre-jambes se resserre et glisse entre les lèvres vulvaires qui s'écartent. Laura sent bien qu'une bonne partie de la semence de l'homme pénètre ainsi dans son vagin et cela l'excite. Hervé place alors deux doigts sur le tissu et presse vers le haut, forçant tout, tissu et sperme, dans le vagin de sa femme, qui lui dit :

« C'est vraiment excitant, mon amour », ajoutant alors :

« Heureusement que je prends la pilule ... »

« Et bien, on recommencera lorsque tu ne sera plus sous contraception », assène Hervé.

En entendant ça, Laura se met à jouir alors que le sperme de son mari arrose sa chatte.

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... à suivre ...