Je suis une Sissy

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Mon parcours entre les sexes et les genres.
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Toute ma vie je me suis senti comme une grosse merde. J'ai actuellement 35 ans et mon mariage a pris fin. La faute à mon manque de confiance en moi, à ma minuscule bite qui ne bande pas souvent, à plein de chose qui font que ma femme a trouvé un autre homme plus à même de la satisfaire sur tous les plans. Maintenant que nous sommes divorcés, elle est heureuse et enceinte. Je ne suis pas un homme. En plus, depuis l'adolescence, j'ai une petite poitrine de fille. Il s'agit d'une gynécomastie très prononcée que je dissimule comme je peux sous des vêtements larges. Mes tétons très sensibles frottent contre le tissu et m'excitent malgré moi.

Moi, avec tout ça, j'ai plongé, même si j'ai réussi à garder in extremis mon boulot, j'ai été relégué dans un placard. Déprimé, je suis allé voir ma généraliste, qui m'a conseillé de consulter une psychologue de sa connaissance, très efficace selon elle, avec les hommes comme moi.

Madame D. n'est pas une personne qui tourne autour du pot. Après quelques séances passées où je racontais mes malheurs, elle m'a fait parler de mon enfance. Et là, c'est pas joli joli. J'ai été éduqué comme une fille par ma mère, qui adorait me voir en robe et fanfreluches. A la puberté, j'ai été violé par un ami de la famille, à cause de mon apparence hyper-efféminée.

J'ai raconté tout ça à Madame D. en lui demandant de m'aider à devenir un homme normal malgré tout, capable de faire l'amour avec une femme et d'avoir des enfants. Là elle a carrément ri, ça m'a beaucoup vexé. Elle s'est excusée, mais m'a quand même sévèrement réprimandé:

- Vous êtes à des années-lumières de la réalité mon cher Monsieur. Avec ce que vous avez vécu, il est totalement illusoire d'avoir un tel objectif. En plus, vu la taille de votre sexe, il faudrait rencontrer une femme vraiment très très compréhensive ou bien pas du tout intéressée par le sexe.

Je me suis mis à pleurer, en la suppliant de m'aider.

- Je peux vous aider, m'a-t-elle répondu, mais pas dans la direction que vous souhaitez. En revanche, il y a d'autres portes qui sont ouvertes.

- Ah oui? Et lesquelles? répondis-je d'un ton hargneux.

- Holà! Pas ce ton avec moi! Avez-vous déjà pensé à aller dans le sens de votre éducation? a-t-elle glissé.

- Que voulez-vous dire exactement? Mon éducation, c'est de la merde, j'ai été abusé et violé, j'ai envie de tourner la page!

- Seulement, vous n'allez pas y arriver, juste vous pourrir la vie!" rétorqua-t-elle.

Je n'avais rien à répondre à ça. Elle rajouta:

- Essayez de réfléchir jusqu'à la prochaine fois, pourquoi vous avez joué le jeu de votre mère, pourquoi vous avez toujours refusé de dénoncer l'homme qui vous a violé.

Je partis du cabinet très déprimé et avec le sentiment d'être un pauvre type. Il ne se passa rien les premiers jours, mais la troisième nuit après la séance, je me suis réveillé vers trois heures du matin, extrêmement excité. J'ai quasiment arraché mon t-shirt, je me suis fessé en me traitant de salope, j'imaginais que j'étais une fille et qu'un homme était en train de m'enculer violemment. Je revivais mon viol sur un mode d'excitation violente. J'ai éjaculé et je me suis endormi sans essuyer le sperme sur mon ventre, épuisé.

J'étais mal les jours suivants et j'attendais avec impatience la séance avec Madame D. Plein de honte, je lui ai raconté ce qui c'était passé. Elle n'avait pas l'aire choquée ni catastrophée. Elle m'expliqua que dans tout abus, il y a une part de plaisir qui se cache. Bien sûr, la victime n'en est pas responsable, c'est son corps qui ressent et réagit à une stimulation sexuelle.

- Dans votre cas, rajouta-t-elle cette expérience de sodomie semble vous avoir donné du plaisir. On peut penser que si cela n'avait pas été dans le contexte d'un viol, cela serait resté un excellent souvenir.

J'ai rougi, mais j'ai honnêtement admis qu'elle avait raison. "Je ne vous juge pas du tout, ce que vous avez subi est terrible, mais il faut réussir à passer là-dessus" affirma-t-elle.

Je n'ai rien répondu à cela, essayant d'imaginer les implication de ce qu'elle disait.

Elle reprit:

- Nous devons aussi parler de votre mère...

- Je vois où vous voulez en venir, Madame. Je ne me suis jamais révolté contre ma mère, parce qu'au fond j'aimais beaucoup être sa petite fille, porter de jolies robes au tissu doux et aux jolies couleurs féminines.

- Exactement! Je l'avais deviné! Je suis contente que vous n'essayiez pas de finasser avec moi, comme cela nous pourrons avancer. Quels sont les rapports avec votre mère?

- Difficiles, je lui en veux beaucoup, même si je vois maintenant que j'ai ma part de responsabilité.

- Seriez-vous prêt à lui demander de venir à la prochaine séance?

- Je vais essayer".

La semaine fut difficile. Je me réveillais presque chaque nuit avec un rêve récurrent: ma mère m'habillait en pute et m'offrait ensuite à des hommes, pour mon plus grand plaisir. J'étais très fier de me faire prendre par plusieurs hommes devant ma mère. Elle avait accepté de venir à la séance et je craignais ce qui allait en ressortor.

Le jour venu, nous étions tous les deux assis dans le canapé qui faisait face à Madame D. Celle-ci a expliqué de manière claire la situation, puis a donné la parole à ma mère qui, à ma grande surprise, a déclaré que c'était moi qui avait demandé, à l'âge de 4 ans environ, à porter des robes. Comme cela correspondait à un désir de ma mère d'avoir une fille, elle avait accepté et ensuite cela s'était développé de soi-même et elle ne l'avait pas freiné, même si elle s'en voulait parfois, en se disant qu'elle aurait dû agir autrement. En même temps, comme cela correspondait à ce que je voulais, que je paraissais heureux en fille, elle n'avait pas voulu contrarier un développement qui paraissait naturel.

J'étais dégoûté. Pas à cause de ce que ma mère disait, mais parce que je me rendais bien compte qu'elle disait la vérité. Madame D. s'adressa à ma mère, comme la fin de la séance approchait:

- Je pense que le mieux que vous puissiez faire maintenant pour votre fils, c'est de l'aider à reprendre contact avec son côté féminin, à accepter son homosexualité aussi. Je vous fais confiance, je sais que vous savez exactement comment faire, avec amour et compréhension. S'adressant à moi, elle dit : Est-ce que cela vous conviendrait, d'être aidé par votre mère sur ce chemin difficile?

J'ai dit oui et on a convenu que j'allais habiter un moment chez ma mère, de manière à ce qu'elle puisse me suivre de manière plus efficace.

On arrive donc chez ma mère, on décharge les quelques cartons et on les met dans une chambre inoccupée, jouxtant la mienne. Cela m'a fait tout drôle de retrouver ma chambre d'enfant. Les jours suivants, nous avons commencé à trier ce que j'avais rapporté et aussi ce qui était resté depuis plusieurs années dans ma chambre. Ma mère est tombée sur de vieilles photos de moi dans une boîte à chaussures.

- Oh! Mais regarde comme tu étais mignon à l'époque? Quel âge as-tu là? 12 ans, 13 ans? Tu étais beau comme une fille à l'époque, une vraie demoiselle!

- Arrête Maman, c'est déjà assez dur comme ça! Si tu me rappelle en plus l'époque ou tout le monde me prenait pour une fille!

- Hé bien quoi! Il n'y a rien de mal à ça quand même? Tu aimais bien ça, je te rappelle. Moi j'ai toujours été fière que tu ressembles à une fille, aussi par ton caractère doux et docile. Et puis je me rappelle quand je t'ai emmené chez le médecin parce que tes seins poussaient, tu avais 13 ans, je crois...

- Maman, Arrête s'il te plaît!

- D'ailleurs, tu les as toujours, tes petits seins, non? Allez, montre-moi!

La mort dans l'âme, je déboutonne ma chemise et je lui montre ma poitrine, la gynécomastie qui me fait honte depuis l'adolescence. Ma mère tend une main et caresse doucement l'un, puis l'autre.

- Ils sont très beaux, tu sais. Peut-être qu'il est temps d'accepter qui tu es, tu ne crois pas?

elle me renverse doucement sur le lit et se met à me peloter les seins, tout en disant des mots qui m'excitent au plus haut point:

- Mhm ma chérie, ma fille, tu as toujours été tellement mignonne, j'ai toujours regretté que tu préfères essayer d'être un garçon, mais tu n'es pas faite pour ça, n'est-ce pas?

- Non Maman, tu as raison, je suis faite pour être la femelle soumise d'un homme, je ne pense qu'à ça depuis que mon patron sort avec mon ex. J'aimerais être à sa place à elle, me faire prendre par un homme viril.

- Mhm oui, je l'ai toujours su ma chérie. Allez, montre-moi ton joli petit cul...

Sans hésiter, je dégrafe mon pantalon et le baisse, ainsi que mon slip, jusqu'aux genoux. Ma minuscule bite est bandée. Ma mère la caresse un instant, sans cesser de me caresser les seins, puis elle me fait me retourner, pour voir mon cul.

- Mhm, très mignon, beaucoup d'homme seront ravis de te prendre. Attends! j'ai une idée! Déshabille-toi complètement et attends-moi, je reviens.

Je me mets nu, toujours très excité. Je caresse mon "clitoris" et mes seins, c'est vraiment délicieux de m'imaginer femme. Ma mère revient avec divers objets dans un carton. Elle me fait mettre en chien de fusil et sort un tube de lubrifiant, dont elle s'enduit la main, avant de la passer dans la raie de mes fesses et de titiller mon anus. J'ai un petit mouvement de crispation, mais ma mère continue à caresser doucement et je me détends. Elle glisse un doigt dans mon anus.

- Tu as un joli petit vagin ma chérie, tu le savais?

- Non maman, mais j'aime beaucoup cette idée!

Elle sort un gode du carton et l'enduit lui aussi de lubrifiant, avant de le promener dans ma raie, puis de presser et de l'introduire petit à petit dans mon cul.

- Mhm, que c'est bon Maman, encule-moi, ça fait du bien!

Elle ne se fait pas prier et se met à me pistonner plus fort.

- Ma chérie, tu es une vraie petite putain et une salope, tu es faite pour les grosses queues!

Ses paroles me font jouir! Quel bonheur!

- Je suis une pédale et une tapette!

- Oui et je t'aime comme ça ma petite chienne!

Elle retire le gode et me donne une grande claque sur les fesses.

- Allez, à la douche jeune fille, il faut bien nettoyer ton petit vagin et ton clitoris maintenant.

Je file sous la douche, un peu honteux maintenant que j'ai joui. Ma mère me donne un gel-douche parfumé et une crème pour la peau. Je me lave devant elle, sans fermer le rideau de la douche et une fois sec, elle m'enduit le corps avec la crème.

- Reste nue ma chérie, il fait assez chaud, nous allons faire à manger ensemble .

Je prépare le repas, pendant que ma mère effectue quelques téléphone, pour prendre rendez-vous pour moi chez son esthéticienne et sa coiffeuse. Vers 22 heures, elle m'envoie au lit, disant qu'on a beaucoup de choses à faire demain.

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Une suite de prévue ? J ai aimé lire cette histoire

Vanessatv30Vanessatv30il y a 8 mois

Le réve de toutes sissy ... Je suis née avec les Chromosomes XXY /47 ,transexuelle de naissance mais mes parents milieu ouvrier voulaient un garçon ... Une vie complétement gachée ...

GinaputanaGinaputanail y a plus d’un an

Jolie histoire qui nous laisse sur notre faim...J'aurais aimé une transition plus lente et plus élaborée (un chap 2) de l'appropriation du fils par la mère, qui accepte et encourage sa sissification. Dommage, les choses évoluent bien au début, puis se précipitent à la fin. Il y aurait encore tellement à dire d'une mère perverse qui sissifie complètement son fils soumis

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Plutôt pas mal du tout

J'ai bien aimé. Bon, la mère qui embraye au pieds levé il faudra trouver une explication dans un épisode prochain , parce que là c'est un peu trop miraculeux.

Mais c'est bien écrit, bandant, par un pseudo évocateur ... Miam. Vivement la les suite s

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Une suite ?

J'espere lire une suite, les récits de ce style en français sont si rare sur ce site.

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