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BÊTA PUBLIQUE

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— Vas-y, tu n'as plus qu'à.

—?

— Non je ne vais pas te lâcher, c'est un de mes fantasmes. Tenir la queue d'un mec pendant qu'il pisse. Comme un petit garçon.

— Ça me bloque un peu.

Elle me caresse les fesses et me dit de me décontracter. Je ferme les yeux et me laisse aller. Ses caresses sont agréables et de plus en plus précises sur ma bite, sur mon cul. Dans un instant de relâchement, je pose ma tête sur son épaule. Je sens un jet partir. Elle laisse l'amorce se faire puis arrose l'arbre en dirigeant ma queue comme une lance. Je bande tellement qu'il suffit qu'elle abaisse légèrement ma queue vers le sol pour stopper ma miction et la relâche pour que l'urine reparte en saccades. Elle enfonce un doigt dans mon cul. Il me pénètre sans résistance, pourtant je ne me sentais pas humide. Je me penche un peu pour l'inciter à en rajouter un second. Il entre sans difficulté.

— Garde tes doigts dans mon cul, c'est très bon, osé-je dire.

À ma grande surprise, elle m'embrasse. Un baiser fougueux, plein d'envie. Ses doigts dans mon corps se font plus possessifs.

Elle secoue mon appendice. C'est fini.

— Rentrons, dit-elle.

Ses doigts me poussent devant elle, me guident et me fouillent jusqu'au salon.

Son complice achève de se masturber et d'éjaculer sur les seins de Sandrine. La scène est surréaliste. Ma femme est à moitié inconsciente, les yeux fermés, affalée sur le canapé, les cuisses largement ouvertes, les bras en croix. Comme une invitation à venir l'empaler. Le truand est à genoux sur le canapé, à cheval sur elle au-dessus de sa poitrine en train de se branler. Il éjacule enfin dans un grand râle et un « Putain que ça fait du bien » quand nous arrivons à sa hauteur. Il macule les seins de Sandrine, un peu son visage. Les seins sont bleus, violets, marrons, rouges en souvenir de leur carrière de punching-ball. Et maintenant le boxeur s'est mué en peintre pour rajouter du blanc avec son pinceau fou.

— Bon ça suffit, dit Lucia. Le contrat est rempli, tu t'es vidé les burnes. On se casse.

Je ne comprends pas bien de quel contrat parlent-ils? Et les bijoux n'ont-ils plus d'intérêt?

— Qu'est-ce qu'on fait d'eux? demande le type.

— Normalement elle devait donner des explications. Rattache-lui les mains et réveille-là, on les emmène.

Avec de l'eau, avalée et aspergée, et quelques gifles, Sandrine a repris conscience. Nous sommes à l'arrière de leur voiture. Lucia sur le siège passager avant est tournée vers nous. Elle s'adresse à Sandrine.

— Tu vas devoir donner quelques explications à ton mec sur ce qui vient de se passer. Je pense que ce ne sera pas tellement compliqué.

— Pourquoi tu nous emmènes dans cette voiture? demande ma femme.

— C'est un supplément gratuit, ma petite surprise, je suis certaine que ça vous plaira, dit Lucia. On va s'arrêter et tu vas gentiment expliquer, devant moi, que tout ça était une mise en scène. Hein? Sinon je vous relâche comme ça mais bien plus loin de chez vous, en ville par exemple.

Sandrine baisse la tête comme une enfant prise en plein chapardage de bonbons.

— C'est vrai. Lucia savait qu'il n'y avait pas de bijoux, ni de coffre. Ils étaient là pour me violenter et m'humilier.

Je ne peux m'empêcher une réaction de surprise sincère même si je commençais à me douter de quelque chose.

— Quoi! C'est quoi le but? demandé-je.

— En fait, ce que ta femme essaie de te dire, reprend Lucia, c'est qu'elle a des envies qu'elle n'a jamais su t'avouer et qu'elle s'emmerdait grave avec toi. D'où notre relation. Ce qu'elle t'a raconté, ce qui se passait entre elle et moi est en partie vrai. Sauf qu'elle ne m'a jamais fait chanter. Juste on s'est trouvé une attirance, une envie de réaliser un fantasme et je suis passée sous son bureau, avec quelques humiliations. Puis une envie de plein d'autres fantasmes encore. Tout ça est vrai. De fil en aiguille elle m'a avoué qu'elle avait bien envie de se faire humilier et brutaliser à son tour. Pour pimenter votre couple moribond, mais qu'elle ne savait pas comment te le dire. C'est vrai que c'est difficile de dire à son mari qu'on est une vraie salope alors que me le dire était si facile. Puis l'idée que ça se passe sous tes yeux l'a branchée. Et j'ai monté ce scénario, dont elle ne connaissait seulement le principe, pour garder surprise et frayeurs réelles et pour que ce soit l'occasion de faire les larronnes. Et nous voilà.

Elle laisse un silence. Pour me permettre de digérer, je suppose. Puis elle rajoute :

— Tu en dis quoi?

Je regarde ma femme, ma nouvelle femme.

— C'était très crédible! dis-je.

— Bien vous pouvez descendre.

— Comme ça? demande ma femme.

— Comme ça, tiens donc! À poil au bord de cette route peu fréquentée, en pleine nuit, à environ trois kilomètres de chez vous, oui bien sûr. C'est sexe et excitant, non? Je vais juste vous détacher les mains et après vous vous débrouillez pour rentrer. Ce twist final va vous plaire, j'en suis sûre.

On descend sur le bas-côté. Lucia coupe nos liens et nous claque une bise sonore autant que la claque qu'elle assène sur nos fesses.

— À lundi! lance-t-elle à Sandrine en remontant en voiture. Et à bientôt, ajoute-t-elle en lorgnant mon bas-ventre.

— On n'a plus qu'a faire attention pour rentrer, dit ma femme en se serrant contre moi.

Je mets une main dans son entrejambe. Elle mouille. Beaucoup même. J'introduis ma queue dans sa main pour qu'elle en éprouve la dureté.

— Je pense qu'on a le temps et on en a déjà trop perdu. Je vais d'abord te culbuter sur le bas-côté de la route et te prendre comme une bête. Si quelqu'un nous découvre et bien tant pis. Ou tant mieux. Il y a assez de marques sur tes miches et sur ton cul pour justifier une agression. En attendant, je veux t'entendre crier de plaisir au bord de cette route comme une chienne en chaleur.

— Oh oui, baisons, baise-moi! Fais-moi hurler! Je veux qu'on m'entende jouir à des kilomètres à la ronde.

Elle me saute dessus. Nous allons passer une bonne partie du restant de la nuit dans le fossé.

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2 Commentaires
Silvain004Silvain004il y a 10 mois

Oui j’ai beaucoup aimé moi aussi

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Très bon scénario j'ai adoré

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