Gagner Son Pardon Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Bon, nous devons aller quelque part comme l'a dit ce gentilhomme. Allez! Dit William avec un sourire.

Emma essaie d'abaisser sa jupe qui était remontée lorsqu'elle s'était agenouillée devant le clochard. James lui tape sur la main.

- Est-ce que nous t'avons autorisée à arranger tes vêtements?

Emma rougit profondément et secoue la tête.

- Non Maître.

Mais sa jupe est presque troussée à sa taille, pense-t-elle désespérément. Elle montre tout et les gens vont croire que c'est ce qu'elle veut si elle marche sans régler le problème. Sa main tremble et William attrape son poignet pour le tenir fermement.

- Laisse! Dit-il à voix basse sur un ton qui la menace de punitions si elle n'obéit pas.

Puis il la lâche et les deux garçons s'éloignent, Emma les suivant à nouveau à courte distance. Les regards qu'elle reçoit sont pires maintenant et sa jupe monte de plus en plus haut à chaque pas. Pour aggraver les choses, elle a encore le goût du clochard dans sa bouche et elle sent l'urine sécher sur son visage. Elle n'a pas osé s'essuyer.

Finalement les deux gars s'arrêtent devant un club qui a l'air fermé et ils attendent qu'Emma les rattrape.

- Comment te sens-tu? Demande joyeusement James.

- Bien Maître! Répond Emma, mortifiée.

- J'ai vu que peu de gens s'intéressaient à toi. Mais je ne suis pas surpris, tu ressembles à une SDF. Mais tu as au moins attiré l'attention d'un clochard.

James regarde William. Il lui dit avec désinvolture.

- J'aurais aimé savoir plus tôt qu'elle aime la pisse. Nous avons toujours utilisé des toilettes alors que nous avions une esclave volontaire devant nous.

Emma frissonne à l'idée et James sourit.

- Ne t'inquiète pas , nous avons autre chose à faire avec toi ici. Il y a beaucoup de gens qui vont apprécier ton apparence et tes talents. Nous allons entrer, mais toi tu attends ici jusqu'à ce que quelqu'un vienne te chercher.

William pousse la porte et les deux garçons entrent dans le club. Emma résiste à l'envie de baisser sa jupe en espérant que personne ne passe. Finalement la porte s'ouvre à nouveau et elle peut entendre une voix masculine qu'elle ne connaît pas dans les haut-parleurs :

- Messieurs, nous sommes fiers de vous présenter la pute de la soirée.

Emma entre et ses talons la font trébucher dans les escaliers. Elle essaie de regarder autour d'elle, mais comme un projecteur est braqué sur elle, elle ne peut rien voir. Quand elle arrive finalement dans le club, elle voit qu'il n'est pas trop bondé et que les clients sont exclusivement des hommes. Ils lui font comme une allée d'honneur pour qu'elle puisse marcher jusqu'à une estrade. Un étrange mécanisme est suspendu au plafond. Emma peut sentir les regards affamés que posent les hommes sur elle alors qu'elle passe et monte sur l'estrade. Elle reste debout et attend des instructions tandis que les clients du club la dévisagent. Une voix masculine sort des enceintes :

- Maintenant, avant de commencer, prenons un moment pour nous souvenir des règles. Seuls cinq hommes sont autorisés à la fois, deux dans chaque trou et un dans la bouche. Une fois que vous avez choisi votre place, vous ne pouvez pas changer d'avis, alors choisissez avec soin. Si vous voulez recommencer, n'hésitez pas à vous remettre dans la queue. Si vous essayez de passer devant quelqu'un d'autre, vous serez expulsé du club. Pas de violence, cette pute appartient à quelqu'un et nous ne voulons pas qu'elle soit endommagée. La seule exception à cette règle est que si elle vous suce et que vous pensez qu'elle ne fait pas d'efforts pour avaler votre bite, vous pouvez gifler son visage ou ses seins. Mais n'oubliez pas que trop de gifles vous renverront au fond de la file d'attente. Toutefois ses propriétaires nous ont dit que vous pouviez lui dire ce que vous voulez, même si c'est méchant, violent ou humiliant, alors ne vous plaignez pas de ne pas pouvoir la frapper. Allez, faites une file! Et lorsque vous avez terminé, éloignez-vous. Compris messieurs?

Un rugissement affirmatif retentit. Emma pâlit. Elle essaie de compter le nombre d'hommes, mais ce qui lui semblait une foule relativement restreinte à son arrivée a grandi dans son esprit alors qu'elle comprend qu'ils vont tous la baiser. Ça va sûrement prendre toute la nuit. Emma n'a été baisée par personne d'autre que William depuis qu'elle est devenue esclave. Et maintenant elle va être possédée par cinq hommes à la fois. Elle attend avec effroi la suite.

- Allez, déshabille-toi, salope et prépare-toi à baiser!

Misérablement, Emma retire son haut sous les applaudissements et elle baisse sa jupe. Elle cherche des eux ce qu'elle doit faire ensuite et un homme apparaît sur le côté de la scène. Il n'est pas rasé et a les mains sales. Il la tire vers le mécanisme et elle réalise qu'il est fait pour la tenir dans une position pratique pour que les hommes la baisent. Une ceinture est attachée aux chaînes suspendues au plafond. Il l'attache autour de sa taille, puis il soulève sa jambe et la fixe sur un banc en bois rembourré. Il fait de même avec l'autre jambe. Maintenant, elle est suspendue au-dessus du sol en position assise, les jambes largement écartées, son poids supporté à la fois par le banc et la ceinture. Finalement il menotte ses poignets à des crochets de chaque côté de la ceinture. Elle est bloquée et incapable de bouger autre chose que sa tête. L'homme s'éloigne dans l'ombre.

- Ok messieurs, on dirait qu'elle est prête. Que les cinq premiers montent sur scène.

Les acclamations deviennent plus fortes et cinq hommes montent sur l'estrade. Emma aperçoit une bite plus grosse que ce qu'elle n'a jamais connu. A sa grande horreur l'homme la dirige vers son trou du cul. Sans cérémonie, il s'enfonce profondément dans son cul et Emma sert les dents pour ne pas crier. Quelques secondes plus tard, une autre bite l'a rejointe et son trou du cul est douloureusement étiré. Il ne l'a jamais été autant auparavant, même avec les plugs. Et ceux-ci avaient été lubrifiés. Un gros homme la regarde et enfonce sa queue dans sa chatte, à côté de celle d'un homme maigre qui a un air lubrique. Emma est à l'agonie, les hommes la martelant à l'unisson. Personne n'a pris la peine de la stimuler d'abord et elle ne mouille presque pas.

- Voyons voir si tu vaux le pris d'entrée, sale pute!

Emma regarde l'homme qui vient de parler et elle voit une énorme bite devant son visage. Docilement elle ouvre la bouche et il enfonce son sexe directement dans sa gorge. C'est brutal, elle tousse et s'étouffe. Elle n'est pas habituée aux gorges profondes et elle sait qu'elle doit apprendre rapidement ou s'étouffer. L'homme se retire et la gifle durement au visage, lui faisant ainsi venir des larmes de douleur aux yeux.

- Fais ça mieux, salope! Ordonne-t-il.

Il s'enfonce dans sa bouche et cette fois, elle réussit à avaler la longueur de la bite. Effrayée, elle bouge sa tête d'avant en arrière, en essayant de trouver un rythme avec les queues qui pilonnent son cul et sa chatte. Elle suce et lèche son pénis, en essayant de le faire jouir le plus rapidement possible pour pouvoir passer au suivant.

L'homme maigre gémit et donne un dernier coup de rein avant d'éjaculer son foutre. Il se retire et essuie son sexe sur sa jambe avant de s'éloigner sans un mot. Il a à peine fait deux pas qu'un autre homme prend sa place. Emma est presque reconnaissante que l'homme maigre ait éjaculé en elle, car maintenant son sperme agira comme un lubrifiant.

L'homme qu'elle suce la gifle à nouveau et elle essaie de se concentrer pour le faire jouir. Un autre homme éjacule et il recule pour la regarder.

- J'adore les petits trous du cul serrés. Mais maintenant on pourrait faire passer un train dans ce trou béant. Dit-il avec un sourire narquois.

Il s'éloigne et un autre homme approche rapidement pour l'enculer.

Emma a l'impression que la file d'hommes est sans fin, chacun attendant de prendre le relais dès qu'un autre a giclé. Elle est recouverte de foutre. Il coule de ses deux trous, elle en a dans les cheveux et dans le nez, partout sur ses seins et son ventre. Et elle a dû en avaler des litres. Mais le martèlement est sans relâche.

La plupart des hommes sont partis après avoir fini, mais certains restent pour lui parler, l'insulter, lui dire à quel point il pense qu'elle est une vraie pute, qu'elle est une salope sans morale. Emma a l'impression qu'elle va s'évanouir d'épuisement, mais elle doit rester éveillée sinon elle va recevoir une claque d'un homme qui lui reprochera de ne pas s'appliquer à lui sucer la bite.

Son cul et sa chatte semblent étirés au-delà de ce qui est possible. Sa mâchoire est sa langue la font souffrir. Elle est même trop fatiguée pour se sentir humiliée, ses mouvements devenant mécaniques. Finalement elle reconnaît des hommes qui sont déjà passés. Visiblement ils ont fait la queue une seconde fois. Emma espère que cela signifie que son calvaire est presque terminé.

Mais elle a tort. La deuxième fois, les hommes mettent plus de temps à jouir, et il semble lui en vouloir en la punissant en la baisant plus violemment. L'homme qui a été le premier à éjaculer dans son cul s'approche avec un sourire méchant.

- Voyons si ta bouche est meilleure que ton cul, putain de salope!

Elle ouvre la bouche docilement et recule la tête devant l'odeur de sa bite. L'homme sourit encore plus.

- Je parie que tu aimes le goût de ton cul dans ta bouche, n'est-ce pas grosse pute?

Emma est baisée encore et encore, certains hommes revenant une troisième fois. Puis il y en a moins, un seul dans son cul, et un seul dans sa chatte ou juste un dans sa bouche. Après ce qui lui semble être des heures, l'assaut s'arrête. Emma se retrouve seule, épuisée et recouverte de sperme.

Le même homme qui l'a attachée vient la libérer en souriant.

- Je parie que tu as aimé ça, non?

Emma ne répond pas. Elle ne tient pas sur ses pieds et elle se tient au banc pour se stabiliser. Le sol est couvert de foutre et Emma glisse presque. L'homme éclate de rire et s'éloigne.

William et James qui étaient restés au fond du club s'avance. Un homme bien habillé vient les saluer avec un grand sourire.

- Merci beaucoup d'avoir amené votre pute dans mon petit club. J'espère que c'est ce que vous attendiez?

James lui serre la main chaleureusement et hoche la tête.

- Nous n'aurions pu espérer mieux. Merci de nous avoir accueilli.

- Pas du tout, c'était un plaisir. Voici un chèque de votre part des recettes. Nous avons bien gagné ce soir. La plupart des hommes se sont remis dans la file d'attente pour un second tour. Ça n'arrive pas toujours.

Ils continuent à dialoguer, mais Emma écoute à peine. Finalement James la rejoint et attache la laisse au collier.

- Allez petite pute, nous partons.

Elle les suit hors du club et ce n'est que lorsque l'air froid la frappe qu'elle réalise qu'elle est toujours nue. Ni William, ni James ne semblent s'en soucier, et Emma sait qu'il ne sert à rien de le dire. De toute façon, ça fait sûrement partie du plan visant à continuer à la dégrader cette nuit.

Heureusement personne ne les croise. Emma est pressée de retrouver sa cage. Quand ils sont à la maison, dans le salon, James lui dit de rester debout devant eux. Elle obéit et attend de savoir ce qu'ils veulent d'elle maintenant. Pourquoi ne la laissent-ils pas simplement dormir? James dit alors :

- Cela fait presque un mois. Donc ton temps ici est presque écoulé.

- Oui Maître.

Emma ne se sent pas aussi soulagée par cette idée qu'elle l'avait prévu. Elle ne sait pas comment elle pourra reprendre une vie normale maintenant en leur ayant permis de faire tant de choses.

- Je veux que tu sois honnête avec toi-même maintenant. Je t'ai vu sucer des hommes te lécher la chatte de femmes. Je t'ai fait faire tes besoins dans le jardin et aboyer comme un chien. Je t'ai attachée, battue. Je t'ai volontiers livrée à des amis et connaissances pour qu'ils se servent de toi à leur guise. Et je ne t'ai pas dit une seule fois que tu comptais pour moi. Es-tu d'accord avec tout ça?

- Oui Maître. Dit lentement Emma en se demandant où il veut en venir.

- Et ce soir, je t'ai faite baiser par des personnes que je n'ai jamais rencontré auparavant, en échange d'argent. Si tu veux être honnête avec toi-même, crois-tu que nous pourrions reprendre une vie de couple normale?

Emma reste silencieuse pendant un moment. Elle était entrée dans cet esclavage en pensant que ce ,e serait qu'un jeu entre James et elle, une preuve qu'elle était désolée. Elle s'était attendue qu'il la rudoie un peu, lui fasse faire le ménage ou chercher des bières avant de la pardonner. Et quand elle avait vu William dans l'embrasure de la porte, elle s'était dit que ce ne serait que eux trois. Elle essaie de comprendre pourquoi elle n'a pas tout arrêté quand ça s'est compliqué. Pourquoi elle ne s'est pas sauvée? Elle devait bien savoir qu'elle ne pourrait plus jamais être la petite amie de James, pas après tout ça. Comment pourrait-elle le regarder différemment maintenant?

- Non je ne pense pas que nous pourrions Maître. Admet-elle doucement.

- Tu ne penses pas que c'est possible depuis un bon moment maintenant, alors pourquoi as-tu continué?

C'est une question difficile à laquelle Emma ne peut pas répondre.

- Je ne sais pas Maître.

- Je pense que si. Veux-tu savoir ce que je pense, salope?

- Oui Maître.

- Je pense qu'au fond tu as aimé ça. Tu aimes être traitée comme une merde et c'était l'excuse parfaite. Si jamais tu pensais que ce que tu faisais était mal, tu pouvais juste te dire que tu le faisais afin que nous puissions être à nouveau ensemble. Penses-tu que ça pourrait être vrai? Honnêtement?

- Non Maître.

Elle a envie de crier que ce n'est pas vrai. Comment peuvent-ils penser qu'elle a apprécié les choses qu'ils lui ont faites? James rit :

- Non? Pourquoi as-tu fait ça alors? Tu as supplié William de te baiser plus fort, tu as léché la nourriture sur le sol comme si tu étais née pour ça. Et tu as joui ce soir, non?

Emma rougit et regarde le sol.

- Oui Maître.

- Oui Maître! Imite James en riant à nouveau.

- Tu as été baisée par des hommes que tu ne connaissais pas et tu as joui. J'ai vu tes yeux. Oui tu as été humiliée. Oui tu t'es sentie dégradée au-delà de ce que tu pouvais imaginer. Et ça fait du bien, non? Quand tu aboyais comme un chien pendant que William te baisait, ça rendait l'orgasme plus puissant que d'habitude , non? Je parie que tu étais excitée quand le clochard a pissé dans ta bouche.

Emma est confuse et ne sait pas quoi répondre. C'est vrai qu'elle ne les a arrêtés à aucun moment. Elle n'a pas tourné le dos pour s'enfuir de la maison. Et c'est vrai qu'elle a fait tout ce qu'ils lui ont ordonné sans jamais le remettre en question. Elle ne peut pas nier qu'elle a joui quand William l'a faite aboyer comme un chien. Mais elle est convaincue qu'elle n'a jamais aimé ça. C'était juste une réaction naturelle avec ses orgasmes pendant les rapports sexuels. Cela n'a rien à voir avec l'humiliation. Ça l'était? Les pensées d'Emma sont brouillonnes et elle ne peut pas répondre.

- Il t'a posé une question, salope. Au fond, as-tu aimé être traitée comme un objet sans valeur. Demande William.

- Je... Je ne sais pas Maître.

Le jeune homme se lève et pose son pouce sur son clitoris, envoyant des petites décharges d'électricité à travers son corps. Il commence à frotter son clitoris et il dit :

- Alors laisse-moi te poser une question plus facile. Aimes-tu ça?

- Oui Maître! Répond-elle un peu à bout de souffle.

- Et une autre question facile. Si ça ne t'a pas plu, pourquoi restes-tu encore là debout alors que James vient de te dire qu'il ne reviendra jamais avec toi?

Pour la première fois cette nuit-là, Emma sent qu'elle est doucement caressée. Le plaisir qui traverse son corps brouille encore plus ses pensées. Elle marmonne quelque chose sur le fait d'avoir fait une promesse. William rit méchamment.

- C'est n'importe quoi et tu le sais. Si tu ne voulais pas rester, tu serais déjà partie. Tu aimes être traitée de cette façon, n'est-ce pas?

Il continue de caresser le clitoris exposé et Emma ne peut s'empêcher de gémir en disant :

- Oui Maître.

William s'éloigne, satisfait de la réponse.

- On peut continuer si tu veux.

Emma fronce les sourcils, une question muette dans les yeux.

- C'est facile. Tu peux continuer à être esclave. Aimerais-tu ça?

Emma ne dit rien. William revient et recommence à titiller son clitoris. Elle gémit doucement.

- Je t'ai posé une question. Veux-tu continuer à être esclave .

Encore une fois, Emma ne peut empêcher les mots de quitter sa bouche.

- Oui Maître.

Les yeux de William montre sa satisfaction.

- Veux-tu être esclave pour le reste de ta vie?

- Oui Maître. Soupire Emma, pas vraiment consciente de ce à quoi elle donne son accord.

La voix de William devient douce et tendre. Emma est épuisée et le mouvement sur son clitoris est apaisant. Le garçon dit doucement :

- Nous pouvons faire en sorte que ça le soit si tu le souhaites. Veux-tu que nous le fassions?

- Oui Maître.

- Nous avons un contrat juridique ici. En gros il dit que tu m'appartiens. Il ne peut pas être à nos deux noms, mais je te partagerai avec James bien sûr. Il y a beaucoup de notions juridiques que tu ne comprendrais pas, mais au final, il dit que je te possède. Veux-tu le signer? James signera en tant que témoin.

Il glisse lentement un doigt en elle et le fait coulisser. Emma lutte contre le plaisir et la fatigue en essayant de se concentrer suer ce qu'il dit. William enfonce un autre doigt en elle.

- Veux-tu le signer? Demande-t-il à nouveau alors qu'il fait lentement entrer et sortir ses doigts de sa chatte.

Après les assauts brutaux de la soirée, c'est merveilleux d'être caressée avec tendresse. Emma ferme les yeux et se laisse emporter.

- Veux-tu le signer? Murmure William en bougeant toujours ses doigts en elle.

- Oui. Souffle-t-elle

James apporte le contrat et tend un stylo à Emma. Elle signe où il lui montre en jetant à peine un coup d'œil sur le papier. Elle rate aussi le regard que James et William s'échangent. Ce dernier lui dit alors tendrement :

- Allez, tu as eu une longue journée. Je suis sûre que tu aimerais monter à l'étage et aller dormir dans ta cage, n'est-ce pas?

- Oui Maître.

A suivre...

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

merci pour ce texte génial ! une fois le mois terminé, et la fin du texte imminente, on peut espérer une longue suite.

J'espère pouvoir lire encore longtemps cette histoire très excitante et que l'héroïne va commencer par assumer sa déviance et prendre du plaisir à sa vie de soumission.

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

C'était sûr que James n'allait pas la reprendre après le mois d'humiliations et de soumission. Ils ont profité de son état de fatigue intense après la soirée éprouvante au Club pour lui faire signer un contrat d'esclavage.

Leur dressage a tellement été efficace qu'elle ne sait plus qu'acquiescer à leurs demandes.

OlivX

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Anna Enchaîne Son Demi Frère Ch. 01 CH 1 Anna dresse son demi-frère arrogant.
La Descente aux Enfers de Jessie 01 Jessie connaît ses premières expériences de soumission.
Café Beyrouth Trois étudiantes ont eu tort de prendre de haut un Arabe.
La nouvelle vie de Christine Soumission d'une belle-mère.
18 Maîtres Ch. 01 Mon fantasme se réalise.
Plus d'histoires