Gagner Son Pardon Ch. 04

Informations sur Récit
Multiples humiliations et gang-bang pour Emma.
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 04/13/2021
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trouchard
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Traduction d'un texte de MechanicalAngel

******

Lorsqu'Emma se réveille le lendemain matin, elle reprend avec fatigue la routine matinale. A la cuisine, elle fait cuire du bacon et des œufs pour le petit-déjeuner, puis elle dresse la table pour deux. Lorsque la porte de la cuisine s'ouvre à exactement neuf heures et demie, elle n'entend qu'une paire de pas.

- William dort toujours. Tu as dû le fatiguer la nuit dernière. Dit Légèrement James.

Emma ne dit rien et l'entend manger le repas qu'elle vient de préparer.

- Pourquoi ne me racontes-tu pas?

Le cœur d'Emma se serre. Elle ne sait pas si elle va pouvoir supporter de dire à James ce qu'elle a fait la nuit dernière. Elle a l'impression de l'avoir encore trahi.

- Allez, dis-moi ce que vous avez fait tous les deux. Ne laisse aucun détail de côté, je le saurais si tu le fais.

Alors Emma parle, racontant à James comment elle a embrassé William et comment elle l'a laissé la baiser. Elle lui dit qu'elle l'a supplié et que finalement ils ont joui. Tout au long de l'histoire, James reste silencieux.

- C'est tout Maître. Dit-elle quand elle a fini.

- Eh bien, tu as certainement passé une soirée très amusante. Je me demande si tu aimerais encore coucher avec William ce soir. Dit-il moqueur.

Emma ne dit rien et prie pour qu'ils la laissent dormir dans sa cage ce soir. Il y a quelques jours à peine, elle n'aurait jamais cru qu'elle prierait de dormir dans cette affreuse cage, mais ils ont trouvé quelque chose de pire. Peu de temps après, William descend et les deux garçons commencent à comparer leur expérience de baiser Emma. Elle rougit en les entendant parler d'elle comme si elle n'était rien d'autre qu'un objet sexuel. Ils décrivent son corps en détail et ils parlent même de ses gémissements quand elle jouit.

Comme d'habitude ils la laissent se nourrir dans sa gamelle, puis ils la sortent dehors pour qu'elle se soulage.

- Profites-en, car tu ne sortiras qu'après le déjeuner! Dit James.

Ensuite ils lui ordonnent de se mettre à quatre pattes entre leurs deux fauteuils et ils posent un cendrier sur son dos. Toute la matinée, ils regardent la télévision et ils bavardent comme si elle n'était pas là. Emma se retrouve seule avec ses pensées. Elle ne peut s'empêcher de repenser à tout ce qui lui est arrivé depuis qu'elle est ici. Ça fait bien deux jours qu'elle n'a pas entendu son prénom, deux jours qu'elle ne peut pas faire ses propres choix, deux jours qu'elle n'a pas mangé à table avec des couverts. Ça ne fait que deux jours?

Elle a un mois entier à faire et elle ne veut pas penser à ce qu'ils peuvent lui réserver d'autre. Elle s'est exhibée à un groupe d'hommes ivres dans un pub, elle s'est enculée avec le talon de sa propre chaussure, elle a joué comme un chien. Et elle s'est laissée baiser par le meilleur copain de son petit ami. Que peuvent-ils faire d'autre pour l'humilier et la dégrader encore plus?

Après le déjeuner, ils ont de nouveau joué avec elle. Emma a du prendre un concombre pour se baiser avec. Puis elle a dû lécher son jus qui le recouvrait. Finalement ils lui ont ordonné de le couper en tranches, d'insérer chaque tranche dans sa chatte avant de la manger. Ils n'arrêtent pas de rire, comme s'ils n'arrivaient pas à croire la façon dont elle se rabaisse sur leurs ordres. Quand ils ont fini, ils l'emmènent dans la salle à manger. Elle prie pour qu'ils ne la punissent pas. Elle a bien fait tout ce qu'ils ont demandé, alors ils ne vont pas la battre, non?

Ils ne la battent pas. William ouvre une boite et en sort un gros plus anal. Il lui montre pendant que James enlève sa laisse. William pousse l'objet dans sa bouche et elle le suce pour qu'il soit lubrifié. Ensuite il le tend à James qui le met brutalement dans son cul. Il est plus gros que celui de la veille. Une fois encore, elle a l'impression d'avoir le cul en feu. William sort alors un vibromasseur qu'il enfonce dans sa chatte avant de l'allumer. Ses deux trous sont remplis et le vibromasseur touche également son clitoris. Instantanément elle sent qu'elle mouille.

- Nous allons te laisser seule un petit moment. Nous ne voulions pas que tu t'ennuies, alors tu as ces jouets pour t'occuper. Dit James en lui menottant les poignets derrière le dos

William attache ses chevilles à des crochets dans le sol qui gardent ses jambes écartées. Puis il attache ses poignets à un crochet dans le mur. Elle est bien incapable de bouger.

- Nous ne voulons pas t'avoir dans les pattes tout le temps. Nous avons d'autres choses à faire et tu n'en fait pas partie.

Ils la laissent seule dans la salle à manger. Le message est clair. Elle n'est pas assez importante pour qu'il s'occupe d'elle à moins de vouloir quelque chose.

Pendant des heures ils sont absents. Ses jambes et ses épaules lui font mal. Son cul et sa chatte palpite sous la stimulation constante et implacable. Elle jouit encore et encore, et son jus coule le long de ses cuisses et forme une flaque sous elle. Elle n'arrive plus à penser, car les orgasmes prennent le dessus. Quand James revient enfin, elle est presque évanouie.

Quand le garçon sort sans précaution le plug anal et le vibromasseur, son corps proteste violemment. Son trou du cul est béant et elle a désespérément besoin de quelque chose pour remplir sa chatte. Elle gémit légèrement et James éclate de rire.

- Tu n'auras plus rien. Tu as du nettoyage à faire!

Il la libère des menottes et il la pousse au sol avant de plonger son visage dans la flaque de jus. Docilement elle tire la langue et lèche les saletés qu'elle a faites. Quand c'est propre, James la remet sur ses pieds et la pousse vers la porte.

- William veut te voir. Il est dans sa chambre.

Bientôt Emma frappe nerveusement à la porte de la chambre de William. Il est vêtu d'un survêtement et il est en sueur. Il lève les yeux quand elle entre et il sourit :

- Bien tu es là! J'ai décidé de faire un peu de sport, mais je ne suis pas vraiment en forme. Je suis ruisselant de sueur. Nettoie-moi!

Il retire son tee-shirt. Emma hésite. Elle n'est pas sûre de ce qu'il veut vraiment. Soupirant d'impatience il la tire vers lui.

- tu n'es pas idiote, non? Lèche-moi salope!

Sa bouche est déjà pleine du goût de son propre jus, et maintenant il se mélange à la saveur salée de la sueur de William. Sa peau est moite et sale. Emma a honte de devoir lécher sa poitrine et son ventre. Il lève les bras et elle se déplace pour lécher ses aisselles, enfouissant le nez dans ses poils. Elle est écœurée par le goût et l'odeur. Quand il baisse son pantalon et son caleçon, elle doit lutter pour ne pas s'enfuir. Il la pousse à genoux et tient son visage entre ses fesses. Elle continue de lécher en essayant d'oublier le goût âcre. Enfin elle finit par ses couilles et sa bite.

Toutefois, avant de complètement bander, William la repousse et s'assoit en disant :

- Fais mes pieds!

Elle commence timidement à lui lécher les pieds et il soupire d'aise :

- C'est ça salope! Assure-toi de bien nettoyer entre chaque orteil, c'est là que c'est vraiment sale.

Finalement, Emma est autorisée à partir. Son nez et sa bouche sont saturés par l'odeur du corps du garçon. Elle prie pour qu'on ne lui redemande jamais de faire ça.

Ils ne lui donnent rien pour enlever ce goût horrible, et quand James la pousse dans sa cage ce soir-là, elle a toujours le goût de William dans la bouche. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'être soulagée de ramper dans la cage métallique. Après les excès de la veille, elle est contente de ne pas être forcée à faire quelque chose de pire. Elle s'endort instantanément.

Les jours passent lentement, et chacun apporte un peu plus d'humiliation et de dégradation. Parfois les deux garçons reçoivent d'autres personnes et ces jours-là sont les pires. Elle a l'impression qu'ils veulent prouver à quel point ils peuvent l'humilier. Elle ne s'habitue pas à manger sur le sol et à faire ses besoins à l'extérieur. Et elle ne s'habitue pas non plus à être traitée de salope et de pute. Mais elle apprend à s'y attendre. Elle n'est plus surprise par tout ce qu'ils lui font faire. Lentement, mais sûrement, elle devient ce qu'ils veulent qu'elle soit : un simple objet à traiter avec dédain et mépris. Elle perd rapidement le compte des jours où elle est leur esclave.

Elle peut être là depuis des mois ou juste quelques semaines, elle ne sait plus. A certaines occasions, ils trouvent des raisons de la punir, et ils s'attendent toujours à ce qu'elle les remercie. William ne la baise plus comme la première fois. Mais il lui demande parfois de se mettre à quatre pattes et il la baise de cette façon. Quand il le fait, elle n'a pas le droit de gémir ou parler, elle doit aboyer comme un chien. Et si elle ne le fait pas de manière satisfaisante, il sort de sa chatte et l'encule jusqu'à ce qu'il soit content. Il la laisse à peine jouir, et il l'oblige toujours à dire à quel point elle apprécie ce traitement. Ensuite elle doit le nettoyer même s'il vient de l'enculer. James ne la baise jamais, et aucun des invités non plus, bien qu'ils soient sûrement autorisés de lui faire ce qu'ils veulent.

Un soir on lui demande de mettre la tenue posée sur la cage, car ils sortent. Bien que des gens soient venus à la maison, les deux garçons ne l'avaient pas emmenée depuis la nuit du pub et de la maison de Daniel. Avec un peu d'appréhension, Emma monte à l'étage. La jupe qu'ils lui fournissent cette fois est encore plus courte que celle d'avant. En baissant les yeux, elle peut clairement voir sa chatte exposée. Elle peut sentir que son trou du cul est à peine couvert. Le haut n'est rien de plus qu'un bout de tissu qui recouvre à peine ses mamelons. Une paire de talons incroyablement hauts complète la tenue. La dernière fois elle ressemblait à une prostituée ordinaire, mais là elle ressemble à une pute de bas échelle.

Elle dévale l'escalier et se présente devant James et William qui l'attendent. Le premier lui dit :

- Nous ne marcherons pas ensemble. Tu vas nous suivre sans trop t'approcher. Nous ne voulons pas être vus avec la grosse pute que tu es. Si quelqu'un te parle, souris et sois polie, affectueuse même. Si quelqu'un veut te toucher, tu dois le laisser faire. Tu donnes les mêmes réponses que la nuit au pub. Compris?

Emma rougit, mais acquiesce. Ils sortent et Emma s'assure de rester à distance des deux garçons. Elle prie pour que personne ne s'approche d'elle. Le premier homme qu'elle croise la regarde de haut en . Loin d'être intéressé, il semble plutôt être dégoûté :

- Mets des fringues, sale pute!

- Merci! Marmonne-t-elle doucement.

La personne suivant qu'elle croise est tout aussi désobligeante :

- Tu penses vraiment être sexy en étant habillée comme ça? Tu ressembles à une grosse vache menée à l'abattoir.

Et ainsi de suite... De temps en temps, un homme passe et fait un commentaire suggestif, mais dans l'ensemble les hommes et les femmes ressentent le besoin de lui dire à quel point elle a l'air ridicule ou sordide. A chaque fois qu'elle les remercie, ils semblent encore plus dégoûtés par elle.

Puis un homme arrive en face d'elle et l'oblige à s'arrêter. Il porte un vieil imperméable sale et déchiré. De plus il pue l'alcool.

- Ça va chérie?

Emma réussit à sourire et hoche la tête.

- Oui merci.

- Pourquoi montres-tu ta chatte?

Gênée, Emma essaie de garder le sourire.

- Ça m'excite de laisser les gens voir ma chatte. Répond-elle en rougissant.

Les yeux du clochard s'agrandissent et il sourit. Puis d'un air lubrique il dit :

- Tu devrais surveiller ta bouche. Un bouche avec de tels mots pourrait te causer des ennuis, tu ne crois pas?

- Oui, je suis désolé.

- Ne t'inquiète pas! Mais dis-moi quelque chose, jeune fille?

Il se penche près d'elle et son odeur emplit les narines d'Emma. Ça doit faire des mois qu'il ne s'est pas lavé.

- Est-ce que ça t'excite aussi de laisser les gens te toucher?

« S'il vous plaît, tout sauf ça » pense Emma.

- Oui! Répond-elle avec un sourire, en se sentant malheureuse à l'intérieur.

- Tu veux venir avec moi dans la ruelle?

Emma lève les yeux et voit James et William se prélasser nonchalamment contre un mur voisin. Ils regardent ailleurs et font mine de ne pas savoir qu'elle est là. Elle se sent à la fois soulagée qu'ils ne soient pas loin et malheureuse à l'idée qu'ils s'attendent à ce qu'elle fasse tout ce que le clochard veut. Elle se force à sourire :

- Oui merci.

L'homme se frotte les mains l'air joyeux. Il part vers une ruelle en face. Emma lance un regard désespéré à ses maîtres et arrive à attirer l'attention de William. Il se contente de hausser un sourcil et il fait un signe de tête vers la ruelle. Elle doit suivre le clochard.

- Tu viens chérie?

Elle rejoint l'homme qui la pousse doucement contre le mur. Il s'appuie sur elle et Emma sent qu'elle va être malade.

- Tu veux que je te doigte?

Emma doit prendre tout son courage pour ne pas se détourner de son haleine fétide.

- Oui s'il vous plaît!

Le clochard sourit à nouveau et dit :

- Es-tu sûre? Je ne me lave jamais les mains, même après avoir pissé. Et je fouille les poubelles toute la journée.

Il lève ses mains pour lui montrer. Emma voit qu'elles sont recouvertes d'une vraie couche de saleté.

- Est-ce que ça t'excite vraiment que je te baise avec mes doigts?

- Oui.

Les yeux du clochard se plissent alors :

- Tu n'es pas une pute hein? Je ne te paierai pas!

Emma secoue la tête.

- Je ne suis pas une prostituée.

Le clochard fait son plus large sourire. Il semble heureux.

- Alors tu es juste une cochonne, n'est-ce pas?

- Oui.

Sans autres mots, il enfonce un doigt sale au fond de sa chatte.

- Est-ce que tu aimes ça? Dis-moi combien tu aimes ça?

- J'adore ça, ça m'excite.

Emma ne s'est jamais aussi sentie moins excitée de sa vie, mais visiblement elle doit bien simuler, car le clochard pousse un autre doigt en elle.

- Tu aimes ça, salope?

- Oui. Gémit-elle.

Elle déteste ça, elle voudrait s'enfuir loin. Mais elle sait que James et William l'attendent. L'homme commence à faire coulisser ses deux doigts en elle, limant sa chatte douloureusement parce qu'il n'a pas pris le temps de la stimuler avant.

- Tu veux un autre doigt?

Emma hoche la tête. Il retire sa main avant d'enfoncer rudement trois doigts en elle.

- Oh oui putain, tu aimes ça, n'est-ce pas? Tu aimes ça!

Il semble ne pas s'apercevoir qu'Emma ne mouille pas, ne gémit pas et ne s'amuse pas du tout. Il n'arrête pas de pousser ses doigts en elle.

- Tu en veux un autre? Tu en veux un autre n'est-ce pas? Tu veux toute ma main, non?

Emma n'a pas d'autres choix que de dire oui. L'homme glousse et enfonce sa main dans sa chatte. Elle gémit de douleur sous l'intrusion, mais le clochard prend ça comme une preuve qu'elle aime ça. Il agite sa main en elle. Emma ferme les yeux et prie pour ce soit bientôt fini. Finalement il retire sa main et sourit. Il la regarde en donnant l'impression qu'il vient de lui faire une grande faveur.

- Merci! Dit-elle quand il devient évident qu'il attend qu'elle parle.

- De rien Chérie! Ce n'est pas souvent que je peux toucher quelqu'un d'aussi jolie que toi.

Il se penche encore plus près quand une pensée lui arrive :

- Je suppose que tu ne veux pas me toucher, n'est-ce pas?

A peine capable de croire ce qu'elle fait, Emma hoche légèrement la tête :

- Si! Si vous aimez ça!

Les yeux de l'homme s'illuminent et il se presse contre elle pour lui chuchoter à l'oreille. Si près, son odeur est écrasante.

- Tu voudrais aussi me goûter?

- Oui! Murmure Emma.

Il détache le bout de ficelle qui retient son pantalon et le laisse tomber au sol, affichant une bite la plus sale qu'Emma ait jamais vu. Lentement elle se met à genoux et regarde la queue crasseuse du clochard. Son entraînement prend le dessus et elle lève les yeux vers l'homme :

- Merci de me laisser toucher votre sexe.

Il lui lance un regard étonné et elle se penche pour embrasser chacune de ses chaussures dégoûtantes et tachées. Se relevant pour regarder son sexe elle le remercie à nouveau puis, en essayant de retenir sa respiration, elle se penche vers lui. Peut-être va-t-elle pouvoir le faire sans vraiment le sucer, pense-t-elle. Elle va être sûrement capable de le faire jouir avec ses mains? Elle pourra même s'éloigner quand il éjaculera. Elle pose doucement ses lèvres autour du gland.

Mais dès que la bouche est sur lui, le vieux clochard prend ses cheveux dans ses doigts et enfonce sa queue dans sa gorge. Il tire sa tête vers son bas-ventre et le nez d'Emma est bientôt enfoui dans ses poils pubiens. Il sent la pisse, Emma a envie de vomir. A maintes reprises, il enfonce a bite dans sa bouche et il est impossible pour elle d'éviter de le toucher et de sentir le goût avec sa langue.

- C'est ça! Oh ouais, c'est tellement bon. Lèche-moi chérie! Fais tourner ta langue! Suce-moi bien! Sois une gentille fille!

Une partie d'elle-même sait que William et James ne sauraient jamais si elle ne le faisait pas, mais elle est trop habituée à suivre des ordres maintenant qu'elle fait ce qu'il lui demande. S'il ne se lave pas souvent les mains, il doit se laver la bite encore moins fréquemment, pense Emma. Il n'y a pas que le goût. Quand elle passe sa langue sur le gland, elle peut sentir du sable et de la saleté se détacher pour se dissoudre dans sa bouche.

Enfin, elle le sent se raidir. Il saisit fermement sa tête pour la rapprocher alors qu'il éjacule son foutre dans sa gorge. Le goût salé se mêle à autre chose, et elle réalise avec horreur qu'il urine. Le clochard ne semble même pas le remarquer et il la tient serrée contre son bas-ventre tandis qu'il vide sa vessie. Elle essaie de ne pas avaler, mais il la tient trop fort et elle n'a pas d'autre choix. Il ne semble pas y avoir de fin, et Emma lutte pour pouvoir respirer en avalant le jet d'urine chaude.

Quand il sort enfin de sa bouche, la bite dégouline légèrement. Il lui tire les cheveux d'une main alors qu'il s'appuie contre le mur pour se stabiliser. Si bien qu'Emma penche la tête et, pour compléter son humiliation, un dernier jet de pisse la frappe au visage.

L'homme lâche alors ses cheveux et se tourne pour s'appuyer correctement sur le mur. Il sourit comme un idiot. Il lui dit en pensant lui faire un compliment:

- Tu es une fille vraiment sexy! Je n'ai jamais joui autant auparavant, je peux te le dire.

Emma ne sait pas que dire alors elle reste silencieuse. L'homme dit alors soudainement :

- Oh merde! Je ne t'ai pas pissé dessus hein?

En rougissant, Emma hoche la tête :

- Et dans ma bouche après avoir éjaculé. Dit-elle doucement.

Les yeux du clochard s'écarquillent :

- Merde, je n'ai pas réalisé. Pourquoi ne m'as-tu pas arrêté?

Encore une fois le dressage de James et William prend le dessus. Elle secoue la tête et arrive à afficher un sourire. Elle lui dit :

- Parce que j'aime ça. Merci!

Les yeux de l'homme s'agrandissent encore plus pendant que son esprit enregistre l'information. Puis il glousse avec indulgence :

- Tu es vraiment une petite pute vicieuse, n'est-ce pas?

Emma hoche la tête et sourit, en se maudissant intérieurement :

- Oui.

Toujours en rigolant il lui ébouriffe les cheveux :

- Bon, je suppose que tu allais quelque part, non? Sinon pourquoi serais-tu habillée comme ça? J'imagine que ce n'est pas seulement pour attirer de bons messieurs comme moi.

Il semble penser qu'elle passe un bon moment. Elle fait un faible sourire et lui dit :

- Je devrais y aller.

Elle est soulagée qu'il lui donne un moyen de partir. Elle commençait à s'inquiéter qu'il ne la laisse pas et que James et William l'abandonnent. Le clochard hoche la tête :

- Je ne t'embête pas plus, continue ton chemin.

Elle court presque pour sortir de la ruelle et elle rejoint James et William. Ils sont en train de rire.

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